Citations de Kazuo Kamimura (102)
On divorce parce qu’on s’est marié,… on meurt parce qu’on est né, c’est pareil en fait !
Malgré le poids des larmes et de la sueur que l’on doit verser pour vivre, l’argent que l’on gagne est aussi léger que les plumes d’un oiseau.
Pour dire les choses en un mot : le mariage, c’est du théâtre !
Le talent tient dans cette capacité à persévérer. Le génie réside, lui, dans cette capacité à toujours créer quelque chose de nouveau.
("Postface" de "Lady Snowblood volume 3")
Le train file en direction du passé.
Là, je compte rencontrer celle que j’ai été jadis, cracher sur la petite fille qui croyait un tant soit peu en l’amour, la mépriser de toute mes forces.
A cette fillette que je fus, je lancerais : « L’amour dis-tu ? Peuh ! »
Le véritable maître enseigne ce qui n’est pas dans les manuels. Je suis ici pour leur Enseigner la passion. C’est quelque chose que la loi ne peut interdire, pour laquelle on ne peut jeter personne en prison.
[l'extase] C'est le seul instant où n'importe quel homme ne remarque rien quoi qu'on lui fasse.
Il y a toutes sortes de façons d'aimer pour une femme.
[...] on ne peut jurer de rien avec les femmes.
Il n'y a que les gens qui ne connaissent pas l'adversité qui éprouvent de la compassion et plaignent les autres, alors qu'en réalité ceux qui traversent ces épreuves ne s'apitoient pas sur leur sort !
[...] les geishas doivent apprécier la danse et le shamisen bien sûr, mais aussi la poésie, l'arrangement floral et même la peinture.
Elles ne peuvent servir de compagnes de divertissement à leurs protecteurs si elles ne sont pas plus cultivées que les épouses distinguées assises dans leurs salons.
Il ne faut jamais vendre ton corps et ton cœur... Quand tu t'en rends compte, il est déjà trop tard.
De la même façon que l'écriture est révélatrice du corps, le corps aussi manifeste des signes.
Rien n'est plus inquiétant que le sourire d'une personne qui passe son temps à se fâcher pour tout.
Je m'offre à toi, alors que c'est ma première fois...
...accepte d'entrer dans le flacon de mes souvenirs...
Même si tu gardes la bouche close, ton corps parlera à ta place.
[...] il est difficile de refranchir le seuil d'un monde qu'on a quitté.
- ...vous êtes professeur, vous êtes venu ici pour enseigner le japonais. Vous avez oublié votre mission, c'est là le grave. Qu'êtes vous donc venu faire ici, à la fin ?
- Je suis venu ... enseigner la passion.
- Quoi ? La passion ? Ce n'est pas dans le programme ça !
- Le véritable maître enseigne ce qui n'est pas dans les manuels. Je suis ici pour leur enseigner la passion. C'est quelque chose que la loi ne peut pas interdire, pour laquelle on ne peut jeter personne en prison.
Amour a ses raisons, fleur qui s'épanouit a les siennes.
Au mortier broie et pile
La farine broie et pile
Si cher est le riz
Et un enfant nous est né
Ciel ! Femme
Bien forcée
Dans une natte l'a entouré
Et à la rivière l'a jeté
[Chanson de l'enfant abandonné, folklore du Bassin de la Shinano]