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Citations de Kristin Hannah (243)


L’amour. Dans les meilleures périodes, c’est un rêve. Dans les pires, un salut.
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Une battante croit à une fin qu’elle ne voit pas et se bat pour l’atteindre. Une battante n’abandonne jamais. Une battante se bat pour ceux qui sont plus faibles qu’elle.
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Je suis venue dans l’Ouest… en quête d’une vie meilleure… mais mon rêve américain a été mis en pièces par les épreuves et la pauvreté. Et l’avidité.
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Elle ne sut combien de temps elle resta assise là, à déplorer qu'ils n'aient plus de lait, et se demander comment elle allait nourrir ses enfants sans lait ni fromage, à faire le deuil de cette bonne bête qui respirait la poussière toute la journée et ne vivrait plus longtemps.
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Les périodes difficiles ne durent pas.
L'amour, oui.
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- Sans numéro d'urgence, ni personne à appeler à l'aide. Pendant tout ce temps, Papa avait appris à Leni à quel point le monde extérieur était dangereux. Mais en réalité, le plus grand danger se trouvait dans sa propre maison.
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Elle savait combien il souffrait. Les pleurs de son père la réveillaient parfois, elle entendait alors sa mère tenter de l'apaiser....
Il secoua la tête et crache une bouffée de fumée bleu-gris.
- Je veux simplement...plus que ça, je crois. Pas un travail. Une vie. Je veux pouvoir marcher dans la rue sans craindre qu'on me traite de tueur de bébés. je veux...
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Le seul véritable voyage, ce ne serait pas d'aller vers de nouveaux paysages, mais d'avoir d'autres yeux. Marcel Proust
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𝑳𝒂 𝒗𝒊𝒆 𝒓𝒆́𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒔𝒆 𝒑𝒂𝒔𝒔𝒆 𝒂𝒗𝒆𝒄 𝒏𝒐𝒔 𝒂𝒎𝒊𝒔 𝒆𝒕 𝒏𝒐𝒔 𝒇𝒂𝒎𝒊𝒍𝒍𝒆𝒔, 𝒆𝒕 𝒄𝒐𝒎𝒎𝒆 𝒖𝒏 𝒗𝒊𝒆𝒊𝒍 𝒂𝒎𝒊 𝒎𝒆 𝒍’𝒂 𝒇𝒂𝒊𝒕 𝒓𝒆𝒎𝒂𝒓𝒒𝒖𝒆𝒓 𝒖𝒏 𝒋𝒐𝒖𝒓, 𝒋’𝒂𝒊 𝒃𝒆𝒍 𝒆𝒕 𝒃𝒊𝒆𝒏 𝒖𝒏𝒆 𝒇𝒂𝒎𝒊𝒍𝒍𝒆. 𝑬𝒕 𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒂 𝒃𝒆𝒔𝒐𝒊𝒏 𝒅𝒆 𝒎𝒐𝒊 𝒎𝒂𝒊𝒏𝒕𝒆𝒏𝒂𝒏𝒕.
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... un cœur brisé fait autant souffrir en temps de guerre qu'en temps de paix. Fais un bel au revoir à ton jeune homme. (page 398 ligne 5)
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Le chant d'un oiseau. Un rossignol. Elle l'entend chanter d'un air triste. Le rossignol est une symbole de chagrin, n'est-ce pas ? De l'amour qui se termine ou ne dure pas ou n'a même jamais existé. Il y a un poème à ce sujet, lui semble-t-il. Une ode. (Poème au début de la page 361)
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Perdus. Ce mot donne l'impression que j'ai égaré les êtres qui me sont chers ; comme si je les avais laissés à un endroit qui leur était étranger avant de m'éloigner, trop troublée pour retrouver mon chemin.
(Début de la page 10)
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Si j'ai appris une chose dans cette longue vie qui a été la mienne, c'est ceci : dans l'amour, nous découvrons qui nous voulons être ; dans la guerre, nous découvrons qui nous sommes. (Début de la page 7)
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L'amour dans les meilleures périodes, c'est un rêve,dans les pires un salut
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Je souris à mes deux garçons qui auraient dû m'anéantir, mais m'ont en fait sauvée, chacun à sa manière. Grâce à eux, je sais maintenant ce qui importe, et ce n'est pas ce que j'ai perdu. Ce sont mes souvenirs. Les blessures cicatrisent. L'amour perdure.
Nous demeurons.
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Si tu traverses l'enfer, continue d'avancer.
Winston Churchill
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Ils étaient pris au piège, par leur environnement et par les finances, mais surtout par l'amour tordu et malsain qui unissait ses parents. [...] Maman ne pourrait jamais quitter papa, et Leni n'abandonnerait jamais maman. Et papa ne les laisserait jamais partir. Dans cet horrible nœud destructeur qu'était sa famille, aucun d'eux ne pouvait s'échapper.
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La nuit, dans ces contrées, le ciel paraissait infini et jamais tout à fait noir, il restait d'un profond bleu velouté. Le monde qu'il dominait semblait insignifiant : la lueur d'un feu, le reflet blanc ondulé de la lune sur les vagues ternes.
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L'été se termina aussi vite qu'il avait commencé. L'automne en Alaska était moins une saison qu'un instant, une transition. [...]
Tout à coup, semblait-il, les feuilles des peupliers qui entouraient le chalet prirent une teinte dorée et chuchotèrent entre elles, puis elles se recroquevillèrent en forme de flûtes noires et flottèrent jusqu'au sol où elles s'amoncelèrent en tas dentelés qui craquaient sous les pas.
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L'hiver avait ici une extrême importance. Leni l'avait appris. Ici, les gens faisaient constamment allusion à l'arrivée du froid. Même quand on allait pêcher par une belle journée d'été, c'était pour prendre du poisson pour l'hiver. On pouvait s'amuser, mais il s'agissait d'une affaire sérieuse. Leur survie, semblait-il, pouvait se jouer sur le moindre détail.
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