AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Laura Ingalls Wilder (61)


" - Je sais que là où une flamme meurt, moi je ne peux pas vivre."
Commenter  J’apprécie          60
Laura Ingalls Wilder
" - Le beau temps n'est jamais éternel, sur cette terre."
Commenter  J’apprécie          86
" - Et qu'est-ce que nous allons devenir dans un pays sauvage comme celui-ci sans un bon petit chien de garde, je me le demande."
Commenter  J’apprécie          20
La prairie avait changé d'aspect. Elle était jaune foncé, presque brune, à présent, et des trainées rouges de sumac la zébraient. Le vent se lamentait dans les hautes herbes ou murmurait tristement dans l'herbe à bison, courte et bouclée. La nuit, le vent prenait les accents d'un homme en pleurs.
Commenter  J’apprécie          190
-Xanthophylle, annonça alors M. Clewett.
A sa propre surprise, Laura se sentit décontenancée. Les yeux fermés, elle voyait presque ce mot écrit à sa place parmi les autres, à la dernière page du livre, mais elle n'arrivait pas à le retrouver entièrement. Le silence qui s'installa, rendu plus pesant par tous ces yeux braqués sur elle, lui parut interminable.
-Xanthophylle, répéta t-elle désespérée, et elle épela rapidement :
-x-a-n, xan; t-h-o, tho; xantho; p-h…
Laura pensa tout à coup au mot "Xénophile", et elle ajouta sans réfléchir :
-i-l-e ?
M. Clewett hocha la tête négativement.

(La société littéraire)
Commenter  J’apprécie          30
Soudain, la porte s'ouvrit et Papa entra en trombe dans la pièce
-Caroline, les filles, mettez vos capelines, lança t-il. Il y a une réunion à l'école.
-Ciel…commença Maman.
-Toute la ville s'y rend, poursuivit Papa. Nous allons fonder une société littéraire.
Commenter  J’apprécie          40
Elle vit le mocassin brodé de perles de l'Indien, son regard monta le long de la jambière frangée, qui pressait le flanc nu du poney. L'Indien s'était drapé dans une couverture aux couleurs vives. L'un de ses bras nus, à la peau cuivrée, maintenait son fusil légèrement posé au travers de l'encolure nue. Enfin, Laura leva les yeux vers le visage brun, farouche et impassible de l'Indien.

C'était un visage fier, impénétrable. Quoi qu'il arrivait, il demeurait toujours ainsi. Rien ne le changerait. Seuls les yeux vivaient dans ce visage, mais ils fixaient les lointains, vers l'ouest. Leur regard ne se laissait pas détourner. Rien, d'ailleurs, ne bougeait, ni ne changeait en cet homme, si ce n'étaient les plumes d'aigles, piquées bien droit dans la mèche du scalp, sur la tête rasée. Ces longues plumes se balançaient, s'inclinaient de droite et de gauche ou tournoyaient dans le vent, tandis que le grand Indien, perché sur le poney noir, les dépassait et s'éloignait.
Commenter  J’apprécie          80
Les cimes des arbres des berges avaient pris couleur, maintenant. Les chênes étaient rouges, jaunes, bruns et verts. Les peupliers, les sycomores et les noyers étaient jaune d'or. Le ciel n'était plus d'un bleu aussi vif et le vent était âpre.
Commenter  J’apprécie          20
Tout au long de la route, les pieds-d'alouette sauvages secouaient leurs fleurs roses, bleues ou blanches, des oiseaux faisaient de l'équilibre sur les plumes jaunes des gerbes d'or et les papillons voletaient. Les pâquerettes étoilées éclairaient de leur présence l'ombre des arbres. Des écureuils babillaient dans les branches, des lapins à queue blanche sautillaient de part et d'autre de la piste et des serpents la traversaient en rapides ondulations, à l'approche du chariot.
Commenter  J’apprécie          20
Laura n’avait pas songé à sa personne en tant que compagnie agréable. Si c’est cela qu’il recherchait, se dit-elle, il lui faudrait faire un effort pour être plus gaie.
Commenter  J’apprécie          40
Laura croyait que leurs ennuis s’arrêteraient là. Pourtant, ils étaient encore loin du compte.
Commenter  J’apprécie          30
Le cœur de Laura ne fit qu’un bond. Il lui sembla que tout chavirait autour d’elle, mais elle ne dit rien. Laura savait que Papa et Maman avaient espéré que Marie serait institutrice et Marie l’avait souhaité aussi. À présent, Marie ne pouvait plus enseigner et… « Oh, non, non, se révolta Laura, je ne veux pas enseigner. Je ne peux pas ». Puis, elle se dit : « Il le faut ».
Commenter  J’apprécie          20
Voyager en train était rapide et amusant, mais Laura préférait le chariot.
Commenter  J’apprécie          10
Vraisemblablement, les pauvres créatures voulaient rejoindre le soleil, dit Maman. Je suis contente que nous soyons bien installés, abrités de la pluie par un bon toit
Commenter  J’apprécie          20
C'etait il y a bien longtemps,très longtemps ,Papa,maman Laura,Marie et bébé Carrie roulaient alors dans un wagon..
Commenter  J’apprécie          40
Lettre de Rose à son père

"Something is happening which I think you should know, though to me, especially, it is a painful subject to contemplate. I notice Mama Bess (Laura) says nothing about it in her letters, but I can quite understand why she does not. Still, I feel it is only right you should know, and think it my duty to tell you. Wow. I was gearing up for Rose’s fears that Laura had Alzheimer’s or something, but here goes: Mama Bess is growing fat."
Commenter  J’apprécie          100
« - Si tout le monde souhaitait toujours le bonheur de tous, alors ce serait Noël tous les jours ? demanda Laura.
- Oui, Laura, lui répondit Maman.
Commenter  J’apprécie          70
Marie était plus grande que Laura et elle avait une poupée de chiffon appelée Nettie. Laura n'avait qu'un épi de maïs enveloppé dans un mouchoir, mais c'était une bonne poupée. Elle s'appelait Suzanne.
Commenter  J’apprécie          110
Il y a très longtemps, quand tous les grands-pères et toutes les grands-mères n'étaient que des petits garçons ou des petites filles, ou même de très petits bébés, s'ils étaient déjà nés, Papa, Maman, Marie, Laura et bébé Carrie quittèrent la petite maison où ils vivaient, dans les grands bois du Wisconsin.
Commenter  J’apprécie          100
En ce mois de janvier il y a cent ans, au nord de l'état de New York, partout la neige était tombée en couche épaisse. Un petit garçon, accompagné de son frère aîné Royal et de ses deux soeurs, Eliza Jane et Alice avançaient péniblement sur le long chemin. Royal, Eliza Jane et Alice étaient âgés, respectivement, de treize, douze et dix ans. Almanzo, qui était le plus jeune, n'avait pas encore neuf ans, aussi était-ce son premier jour de classe...
...C'était un fouet en peau de serpent noir, de quatre mètres de longs...le pantalon de Bill était transperçé, ses bras ensanglantés par la morsure du fouet...
...un jet brûlant l'atteignit au visage. Almanzo poussa un hurlement. Il n'y voyait plus. De grandes mains arrachèrent les siennes qu'il avait plaquées sur son visage. Père lui renversa la tête en arrière...
Commenter  J’apprécie          90



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Laura Ingalls Wilder (839)Voir plus

Quiz Voir plus

Chaos ou Karma ?

Rouge XXX Jean-Christophe Grangé

chaos
karma

12 questions
112 lecteurs ont répondu
Thèmes : romans policiers et polars , humour , chaos , karmaCréer un quiz sur cet auteur

{* *}