Citations de Laurelin Paige (149)
Je comprends pourquoi tant de gens rêvent de voler. Le problème c’est qu’on a beau savoir voler, il faut toujours atterrir à un moment ou à un autre. Et souvent, le retour se fait en chute libre.
Pour le meilleur ou pour le pire, toutes les routes mènent à lui. C'est peut-être ça de lui appartenir complètement.
Comment ai-je pu croire que j'étais amoureux avant elle ?
L'amour, c'est ça.
Et je dois le protéger à n'importe quel prix, dès aujourd'hui.
Je ne pouvais m’empêcher de penser que c’était une solution trop simple, comme si je vendais mon âme au diable.
- Je t'aime, murmure-t-elle.
- Je t'ai aimée en premier.
Et je t'aimerai en dernier.
Je l'embrasse tendrement sous les regards attendris de nos invités, avec juste ce qu'il faut de piquant pour qu'elle sache que je pense ce que je dis.
- Rimango con te. Toujours. Je suis avec toi, tesoro mio.
- Je sais, je sais. Ne regarde pas comme ça, dis-je en levant les yeux au ciel. Tu te dis qu'on pourrait appeler notre histoire Cinquante Nuances de bordel, c'est ça ?
Ce n'était pas seulement sa beauté incroyable, et sa parfaite démonstration de ce que devait être l'idéal masculin qui me faisait mouiller à ce point, tout en cherchant l'issue de secours la plus proche. C'était sa façon de me regarder. Aucun autre homme ne m'avait jamais regardée comme ça ; avec cette possessivité dévorante. Il ne se contentait pas de me déshabiller des yeux ; il prenait possession de moi et me promettait qu'aucun autre homme ne me satisferait jamais plus.
Immédiatement j'ai envie de lui. Des papillons se sont installés au creux de mon ventre. C'est un sentiment que je ne connaissait que trop bien. Pourtant mon désir semblait importer peu. Son regard me disait qu'il me prendrait que je le veuille ou non ; que c'était inévitable, comme si c'était déjà chose acquise.
- En fait, notre destin était de nous sauver l'un l'autre, lui ai-je dit.
"Mon amour est si féroce, si dominateur qu'il me possède complètement. Il me change. Il fait de moi quelqu'un d'autre et pourtant je n'ai jamais autant assumé qui j'étais."
Je lui explique que cela signifie qu'elle n'est pas seulement le centre de mon univers - qu'elle est mon univers. Qu'elle n'est pas seulement ma raison de vivre - qu'elle est l'air que je respire. Qu'elle est la raison derrière chacune de mes pensées, derrière chaque battement de mon cœur, chaque murmure de ma conscience. Qu'elle est tout pour moi. C'est aussi simple - et aussi complexe - que cela.
Et alors, il faut que je travaille. Tu sais, ce truc qu’on fait, où on se rend dans un bureau pour gagner beaucoup d’argent. Même ceux qui ne gagnent pas beaucoup d’argent doivent s’y rendre.
Il m'attire dans ses bras.
- Alayna, tu es virée. Tu n'as plus le droit d'être ma pseudo-petite copine.
Il redevient sérieux.
- Sois ma vraie copine, à la place.
Lorsque je lui ai tendu son whisky, ses doigts ont effleuré les miens. J’ai frissonné. Il a haussé légèrement les sourcils, l’air satisfait devant ma réaction.
J’ai vite ôté ma main et l’ai plaquée contre le corset de ma robe bustier, comme si le tissu pouvait absorber la chaleur de sa peau, qui s’était déjà glissée entre mes jambes.
Je n’avais jamais effleuré les doigts d’un client, pourquoi commencer maintenant ?
Parce que je n’avais pas pu m’en empêcher. J’étais tellement attirée par lui, tellement désireuse d’assouvir un désir inavoué, que j’étais prête à accepter n’importe quel contact avec sa peau.
Non, pas ça. Pas encore. Pas maintenant.
Plus jamais.
Je me suis éloignée. Vite, et loin. Enfin, aussi loin que me le permettait le bar. David n’aurait qu’à le servir s’il voulait autre chose. Moi, je ne voulais plus l’approcher.
– Je peux me faire sucer par n’importe quelle bouche, me dit-il en haletant. Par toutes les femmes que je veux. L’argent peut acheter les plus jolies lèvres, les bouches les plus célèbres, les gorges les plus profondes. Et pourtant… depuis dix ans, je ne pense qu’à ta bouche, c’est la seule que je veuille vraiment. Pourquoi je n’arrive pas à oublier ta putain de bouche ?
- Je ne peux pas, dit-il brutalement. Je ne veux plus faire prendre de risque à quiconque, Sabrina. C'est la vie que j'ai choisie et je ne vais surtout pas la changer pour toi.
Et l'amour que je ressens pour lui est si léger, comme une plume, comme un rayon de lumière, comme une chute éternelle qui promet de ne jamais toucher terre.
"Je n'arrive pas à vous comprendre, Emily. Je ne sais pas si je vous aime bien ou si j'ai juste envie de vous baiser."
- C'est bien beau d'assouvir ce fantasme , mais je préférerais te ramener au penthouse pour te faire l'amour dans notre lit.
- C'est une très bonne idée, parce que même si tout ça est superbement romantique, j'ai des pétales de roses collés sur les fesses et sur les cuisses.
"Peu importe les mots que nous prononçons, ils doivent être choisis avec soin pour les gens qui ont les entendre et qui seront influencés par eux de manière positive ou négative."