AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Laurell K. Hamilton (483)


-Vous n'êtes pas assez grande pour être l'Exécutrice, chuchota-t-il comme s'il craignait qu'on ne l'entende.
Je haussai les épaules.
-Moi aussi, ça me déçoit.
Commenter  J’apprécie          00
Cet amour que nous avions construit lentement au fil des semaines et des mois, au prix d'efforts et de confiance, était très précieux à mon coeur. Et je savais que, même si toute magie disparaissait de la surface de la Terre, je les aimerais encore. Et après ce qu'ils m'avaient montré ce soir, je pensais qu'eux aussi m'aimeraient toujours.
Commenter  J’apprécie          00
- Pour vous avoir dans mon lit le restant de ma vie, je renoncerais à la Féerie, au trône, à tout ce que je suis, à tout ce que je pourrais devenir.
Commenter  J’apprécie          00
- Que donnerais-tu pour ton Froid Mortel?
- Tout.
- Serais-tu prête à renoncer à la couronne que tu portes? s'enquit-elle.
...
Commenter  J’apprécie          00
Personnellement, je me fichais qu’il m’apprécie ou non. J’eus envie de crier : « Vous avez un problème ? » Mais je me contentai de demander aimablement :

— Il y a un problème ?

Bert aurait été fier de moi.

— Je ne m’attendais pas à une personne comme vous, mademoiselle Blake.

— Et en quoi suis-je différente de l’image que vous vous faisiez d’une réanimatrice ?

— Pour commencer, vous êtes jolie.

Je le sentais bien : dans sa bouche, ça n’était pas un compliment.

— Et... ?

— Vous n’êtes pas vêtue convenablement pour ce travail.

— Votre secrétaire porte des escarpins, dis-je.

— La tenue de Mlle Harrison ne vous regarde pas.

— Et la mienne ne vous concerne en rien non plus.

— Certes, mais vous allez avoir du mal à gravir cette montagne avec vos chaussures.

— J’ai une combinaison et des Nike dans ma valise.

— Je crois que je n’aime pas beaucoup votre attitude, mademoiselle Blake.

— Et je suis certaine de détester la vôtre.
Commenter  J’apprécie          00
J'adore mes mecs, mais j'adore aussi mon boulot. Comment partage-t-on son existence entre tuer des gens et en aimer d'autres ? La seule solution que j'ai trouvée, c'est de tuer les méchants et d'aimer les gentils, en priant le ciel pour que les deux listes ne se recoupent jamais.
Commenter  J’apprécie          00
_Maintenant, je fais comment pour qu'Arnet me lâche les basques ?
Je secouai la tête.
-Je n'en ai pas la moindre idée.
-De toute ma vie, je n'ai compris qu'une seule femme, et elle a eu la bonté de m'épouser pour que je n'ai plus besoin d'en comprendre une autre, ajouta Zerbrowski.
Commenter  J’apprécie          00
-Tu pensais très fort à quelque chose, juste à l'instant, dit-il d'un air soupçonneux. C'était quoi ?
-Rien.
-Menteuse, les femmes ne pensent jamais à rien.
-Quand tu dis que tu ne penses à rien, je te crois.
-Mais je suis un homme. J'ai réellement la tête vide.
Commenter  J’apprécie          00
Le problème, c’est que je ne suis le prince ni la princesse de personne. Je ne suis que moi, et je n’ai pas d’armure, étincelante ou non. Je ne suis tout simplement pas un personnage de contes de fées, et je ne crois pas au bonheur éternel. Toute la question est de savoir si je crois au bonheur éphémère.
Commenter  J’apprécie          00
Il était trop parfait, convenait trop parfaitement à ce que j’avais besoin qu’il soit. Il devait forcément jouer la comédie, non ? Personne ne correspond parfaitement à ce dont vous avez besoin. Tout le monde finit par vous décevoir d’une façon ou d’une autre, pas vrai ?
Commenter  J’apprécie          00
[...] chaque fois qu'on utilise un pouvoir vampirique contre moi, il existe une certaine probabilité que je me l'approprie pour toujours. Je suis l'arme que les vampires ont créée, la Némésis parfaite que la Mère de Toutes Ténèbres, la Nuit incarnée, a forgée en m'attaquant assez fort et assez souvent avec les flammes de son pouvoir dément.
Commenter  J’apprécie          00
Nous nous embrassâmes parce que nous avions besoin de nous toucher, de nous persuader que nous n'étions pas en train de faire une belle connerie, ou, du moins, que nous la ferions ensemble. Parfois, l'amour n'a pas grand-chose à voir avec l'intelligence. Parfois, ça consiste juste à se planter de concert. Je déteste ces moments, mais j'ai fini par comprendre que l'amour véritable implique des tas de choix illogiques, de décisions potentiellement catastrophiques et que l'on prend quand même. Pourquoi ? Parce que l'amour véritable implique aussi l'espoir que, cette fois, les choses seront différentes. Et parfois elles le sont - voyez Jean-Claude et moi - mais pas toujours - voyez notre triumvirat avec Richard.
On ne conquiert pas le cœur de la belle dame en jouant la carte de la prudence. Celui du beau gosse non plus, j'imagine.
Vive l'espoir !
Commenter  J’apprécie          00
L'espace d'un instant, chacun de nous se remémora une chose terrible dont il avait été témoin, peu importe laquelle. Souvenirs différents, effet identique. [...]
Les flics, les médecins urgentistes, les pompiers, les ambulanciers... nous étions nombreux à ne pas avoir besoin de fantômes pour être hantés. La mémoire se débrouille très bien sans aide surnaturelle.
Commenter  J’apprécie          00
— Si je pensais vraiment que je devais devenir un meurtrier pour survivre, je préférerais ne pas survivre.
Commenter  J’apprécie          00
— C’est presque bon de savoir que cette histoire te flanque aussi les jetons. Je n’aime pas que tu aies peur, mais parfois, j’ai du mal à accepter que tu sois plus courageuse que moi. Est-ce que ça fait de moi un horrible macho ?
Je levai les yeux vers lui.
— Un macho, peut-être. Horrible, jamais.
Commenter  J’apprécie          00
— Tu sais que c’est très effrayant de t’aimer, parfois ?
Commenter  J’apprécie          00
-Tu peux me dire quand j’ai rencontré un homme pour la dernière fois ?
— Et John Burke ?
— À part lui.
Les crétins ne comptent pas
Commenter  J’apprécie          00
Mais sa beauté ne me donnait pas vraiment envie de le toucher. Elle me rappelait un tigre du Bengale que j’avais vu autrefois dans un zoo. Aussi haut qu’un poney, avec des yeux dorés et une fourrure orange, noir, crème et blanc nacré. À force de faire les cent pas,il avait creusé des sillons dans la terre battue de son enclos.
Je me souviens que mes doigts m’avaient démangé, tant j’avais envie de passer la main entre les barreaux pour le caresser. Il était si proche, si beau, si sauvage... Si tentant.
Je serrai mes genoux contre ma poitrine.
Le tigre m’aurait sans doute arraché la main et, pourtant, une partie de moi regrettait encore de ne pas l’avoir caressé.
Commenter  J’apprécie          00
Quelle est la distance de sécurité minimale entre une femme et un serpent aussi gros qu’un semi-remorque ?
Deux ou trois États ?
Commenter  J’apprécie          00
- L’argent n’a aucune importance !
- C’est l’avis de quelqu’un qui n’a jamais eu faim.
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Laurell K. Hamilton Voir plus

Quiz Voir plus

Connaissez-vous bien Anita Blake ???

Quel est le nom de famille d'Anita

Black
Smith
Blake
Summers

20 questions
90 lecteurs ont répondu
Thème : Laurell K. HamiltonCréer un quiz sur cet auteur

{* *}