Citations de Léonie Bischoff (137)
Les gens souffrent de leur folie parce qu'ils ne savent qu'en faire.
Les artistes y plongent, s'en parent comme d'un costume, y découvrent d'autres vies.
Ma morale n'existe que lorsque je suis confrontée à la peine de quelqu'un d'autre
Les gens souffrent de leur folie parce qu'ils ne savent qu'en faire.
Les artistes y plongent, s'en parent comme d'un costume, y découvrent d'autres vies.
Les malins gardent leur biens, les jobards se font avoir !
- On est au Kansas.
- Je suis au pays de la liberté !
Je suis libre !!!
- Je me suis rendu compte que je n'avais jamais pensé à ma chance d'être né libre.
- Les Indiens ? J'en ai jamais vu de ma vie !
- Pas étonnant ! Notre gouvernement les a fichus dehors, envoyés toujours plus loin vers l'ouest en leur racontant qu'il y avait là-bas des bonnes terres qui seraient à eux pour toujours...
Sauf que "pour toujours" dans l'esprit des Blancs et "pour toujours" dans celui des Indiens, ça ne veut pas dire la même chose.
Un homme n'a pas besoin de la bouteille quand il a un ami comme toi, Simon !
Miss Rogers dit que chacun a sa place dans ce monde. Il suffit de la trouver.
Je crois que chacun ici-bas a un talent, Simon Green...
Oh, j'aimais bien l'école, et Miss Rogers, l'institutrice.
Elle devait bien m'aimer aussi, vu qu'elle m'a fait refaire certaines classes deux fois !
Bureau-crassie. J'espère m'enfoncer assez loin dans l'Ouest pour ne plus jamais entendre parler du gouvernement.
Si je ne me crée pas un monde par moi-même, et pour moi-même, je mourrai étouffée par celui que les autres définissent pour moi.
- Je voudrais être bonne… Je ne veux rien détruire.
- Il faut détruire pour pouvoir créer.
Les gens souffrent de la folie parce qu'ils ne savent pas quoi en faire. Les artistes s'y plongent, s'en pare comme d'un costume et y découvre d'autres vies.
Que de beauté dans cet album ! Sa philosophie tout d'abord: 'chacun a son talent il suffit de le trouver". Mais aussi un plaidoyer très humain pour l'égalité et le respect de tous les êtres vivants. Une merveilleuse aventure humaine avec des rencontres qui font grandir l'esprit et le cœur! Avec subtilité , chaleur et même humour des sujets aussi profonds que le racisme et l'esclavage, l'exploitation,l'égalité homme/femme, le génocide fait aux indiens, sont traités de façon à être accessibles à tout âge.
Simon,qui pensait n'être que le simplet que sa famille désigne comme tel,va trouver son envol grâce à son institutrice qui croit en lui. Il part pour un très long voyage avec un troupeau de milles dindes afin de les vendre à Denver.
Le graphisme m'a immédiatement séduite, tout comme le petit Simon qui est irrésistible !
Miss Rogers dit que chacun a sa place dans ce monde. Il suffit de la trouver.
La vie seule ne peut satisfaire l'imagination.
Les gens souffrent de leur folie parce qu'ils ne savent qu'en faire.
Les artistes y plongent, s'en parent comme d'un costume, y découvrent d'autres vies.
Pour la première fois, je ne me sens pas étrangère. Je n’ai plus envie de fuir ou de me cacher. Je suis à ma place.
Chaque homme fait émerger en moi de nouvelles émotions, de nouvelles idées. Chaque relation fait naître une nouvelle Anaïs et un nouvel univers. Et chaque Anaïs existe uniquement pour celui qui l’a révélée, tout en inspirant toutes les autres.
Père. Nous avons pris l’habitude de nous voir. Nous nous racontons ces vingt ans qui nous ont séparés. Il est mon double diabolique. La caricature de tous mes défauts. Tissus de mensonges. Nécessité de jouer la comédie. Immense fierté. Quand je l’observe, je dégoutée par mes propres mensonges, et je réalise l’énormité de mon orgueil. Nous nous vantons de nos amours, de nos conquêtes. Sa nouvelle femme est exactement comme Hugo. Bonté parfaite. […] C’est pour ne pas devenir comme lui que j’ai essayé de vivre pour les autres. Il est fier de son tempérament cruel. Et je suis fière aussi… Mon côté Nin, comme di maman. Tout doit être grand, noble. Je ne le vois pas comme mon père, mais comme un homme au charme infini.