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3.45/5 (sur 880 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : New Haven, Connecticut , le 26/04/1970
Biographie :

Lisa Unger, née Miscione, est une romancière.

Originaire du Connecticut, elle a passé une partie de son enfance en Hollande et en Grande-Bretagne avant que sa famille ne revienne dans le New Jersey.

Diplômée à l'Université New School for Social Research, elle a passé un certain nombre d'années à travailler dans l’édition à New York.

Lisa Miscione publie, de 2002 à 2005, quatre romans sous son nom personnel. Ces romans sont réédités, aux États-Unis, en 2011 et 2012, sous le nom d'auteur de Lisa Unger, du nom de son mari Jeff Unger, artiste-peintre.

Tous ses romans ultérieurs sont parus sous le nom de Lisa Unger.

En tête des listes de best-sellers aux États-Unis, traduit dans dix-sept langues, son premier roman, "Cours, ma jolie" ( Beautiful Lies, 2006), a connu un immense succès international.

"Black Out" (Mémoire trouble), son septième roman, est choisi comme "le super livre de l'année 2008", grâce à ce livre Lisa remporte une médaille d'argent.

Elle vit en Floride avec son mari et sa fille.

Son oeuvre est reconnue au niveau mondial, étant traduite dans plus de vingt-cinq langues.
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6 oct. 2021 Lisa Unger joins Carol to talk about her new novel, LAST GIRL GHOSTED, which is her 19th book.


Citations et extraits (298) Voir plus Ajouter une citation
Parfois, lorsqu'elle observait la courbure des hanches de sa fille, sa peau de lait, ses cheveux de lin doré, elle avait peur. Elle avait envie de l'envelopper dans un linge et de la cacher au monde; elle mourait d'envie de burkas, de couvents et de lois somptuaires. Comment protéger un être aussi ravissant ? Comment éloigner les mains malpropres du monde de quelqu'un d'aussi désirable ? On ne pouvait pas. C'était la triste vérité. Tout ce qu'on pouvait faire, c'était lui apprendre à se protéger.
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La pauvreté n'est pas un concept abstrait et, parfois, certains personnes n'ont tout simplement pas les moyens financiers et effectifs d'élever un enfant.
Comment pourrait-on reprocher à quelqu'un de ne pas savoir donner ce dont il a été lui même privé ?
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Je suis douée d'une extraordinaire capacité à cloisonner mes émotions. D'aucuns appellent ça du déni ; je crois quant à moi qu'il faut un certain talent pour pouvoir mettre de côté ce qui nous déplaît afin de passer à autre chose.
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Tout le monde déteste les femmes qui ne souhaitent pas donner naissance à un deuxième enfant, comme si, d'une certaine façon, elles cherchaient à se dérober de leur impératif biologique. J'aime mon fils, plus que ma propre vie. Mais j'aime encore plus l'enfant que je ne porterai pas. J'aime cet enfant beaucoup trop pour l'intégrer à cette famille dont les gènes sont empoisonnés.
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J'ai repensé à Gregg. Il n'avait plus jamais été pareil depuis la disparition d'Elizabeth. Même aujourd'hui, il était plus maigre et respirait beaucoup moins la joie de vivre qu'auparavent. Quand la tragédie nous touche, elle estompe les couleurs, elle ôte l'éclat. On sait tous, bien sûr, que le monde tend à la destruction, que tout dépérit et s'effondre. Mais on s'imagine toujours qu'on a largement le temps avant que ça arrive. Quand quelqu'un qu'on aime vient soudainement à mourir, de la façon la plus tragique qui soit, on aperçoit alors la courbure de la terre. On a toujours su qu'elle était ronde, cette sphère sous contrôle qui flotte dans l'espace. Mais quand on voit l'un de ses contours se dessiner à l'horizon, ça change vos perspectives sur tout le reste.
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En me prénommant Ophelia, ma mère voulait se faire passer pour une littéraire. Elle ne se rendait pas compte que c'était tout simplement tragique. Mais sans doute ne comprenait-elle pas le concept de tragédie, de la même manière que les gens nés riches n'ont pas conscience de l'être et ne savent même pas qu'il est possible de vivre différemment. Elle trouvait ce prénom joli, il lui faisait penser à une fleur. Elle savait qu'il provenait d'un texte célèbre - une pièce, un roman, elle n'aurait pas été capable de le dire. Je présume que je devais m'estimer heureuse, puisqu'elle avait également envisagé de m'appeler Lolita ou Gypsy Rose. Ophelia possédait au moins une certaine dignité.
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L'esprit n'est pas capable de gèrer des émotions dévastatrices telles que la détresse et la terreur pendant des périodes prolongées, aussi doit-il s'accorder des pauses.
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Lisa Unger
À quoi bon mentir ? Quel intérêt à en rajouter sur le papier si c’était pour décevoir dans la réalité ?
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Avec l'âge, la passion s'était émoussée. Je suis devenue plus réservée et j'ai perdu de mon intransigeance. Je me suis mise à éviter les grandes discussions politiques que j'avais tellement aimées. Désormais, les disputes religieuses, morales, existentielles me mettaient mal à l'aise. Il y avait tellement d'avis différents et tellement de gens sûrs de leur fait. Au fil du temps, j'en suis venue à me dire que le monde était d'une complexité impossible à démêler, que les divergences étaient souvent inconciliables, et j'ai perdu le goût de batailler.
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Si on vous laisse seul avec vos pensées dans une pièce inhospitalière, sans rien pour distraire l'attention, c'est pour vous forcer à réfléchir. A vous demander pourquoi vous vous retrouvez là, ce que vous savez ou ce que vous avez fait. Et aussi ce que eux peuvent bien savoir. Le but est de vous mettre dans un tel état d'inquiétude ou d'angoisse que, au moment où ils reviendront vous voir, vous ressentiez le besoin de vous confesser.
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