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Citations de Lisa Voisard (22)


Le Torcol fourmilier a une apparence et un comportement proches de ceux d’un reptile. Les motifs de ses plumes ressemblent à des écailles, et lorsqu’il se sent menacé, il allonge son cou, le tord, et sort sa langue en sifflant !
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Le Cassenoix moucheté retrouve jusqu’à 80 % des cachettes où il a stocké des noix et des graines pendant l’automne. Les provisions qu’il ne retrouve pas germeront pour devenir de nouveaux arbres.
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Lisa Voisard
Le vanneau huppé:

Ce petit échassier niche dans les champs mais l'agriculture intensive détruit ses nids. Des associations qui luttent en faveur de la protection des oiseaux prennent des mesures pour protéger cette espèce, en encerclant les nids avec des clôtures et en se mettant d'accord avec les agriculteurs pour qu'ils les contournent.

(p. 198)
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extrait sur Helvetiq :

En Europe vivent de nombreuses espèces d'oiseaux, connues et moins connues. Avez-vous déjà rencontré le martin-pêcheur, par exemple ?

Ce petit pêcheur des rivières au physique exotique est un vrai coquet : il peut passer deux heures par jour à lisser ses plumes, perché dans les roseaux !
Il est surnommé la « flèche bleue » à cause de son plumage turquoise qui scintille de mille feux et de son vol rapide et direct, qu’il exécute d’un perchoir à l’autre.

Il possède un long bec en forme de pince, qui lui permet d’attraper les poissons les plus visqueux.
Depuis son repère, souvent une branche à moins de trois mètres du sol, il fixe la surface de l’eau afin de trouver son déjeuner. Lorsqu’il aperçoit un poisson savoureux, il fonce dessus les ailes rabattues en arrière, l’attrape dans son bec, puis retourne aussitôt sur sa branche. C’est là qu’il assommera sa proie d’un coup sec avant de l’avaler tout rond. (...)

Vous trouverez 29 autres portraits d'oiseaux et bien plus encore dans Ornithorama de Lisa Voisard
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La chevêche d'Athéna:

Elle fait son nid dans les cavités qu'elle trouve sur les vieux troncs des grands arbres fruitiers. Mais à cause de l'agriculture intensive, ces grands arbres sont remplacés par de plus petits, dont la production est plus rentable.
Des associations lancent des projets pour replanter de grands arbres et installent des nichoirs artificiels, en attendant que ces arbres vieilissent et recréent les cavités qu'elles aiment tant.

(p. 198)
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Au printemps, la nature se réveille, la sève monte à nouveau dans les branches, et les bourgeons s’ouvrent. De belles fleurs et de jeunes feuilles vert clair éclosent. Parfois, les arbres fleurissent avant l’apparition des feuilles, comme chez les abricotiers, les cerisiers, les frênes et les ormes.
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Le cèdre du Liban s’impose fièrement dans les parcs, avec ses grands plateaux de feuillage à la bonne odeur de résine. Ses aiguilles qu’il garde toute l’année sont disposées en rosettes.

Avant d’être un arbre décoratif et citadin, le cèdre du Liban est un montagnard. Symbole du Liban, il figure sur le drapeau national.
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En hiver chez les feuillus, la sève arrête de circuler et les feuilles tombent complètement. Ce processus est vital pour l’arbre, car l’eau qu’il contient risquerait de geler et de le faire mourir.
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En automne les jours raccourcissent et la lumière diminue, les feuilles des feuillus ne peuvent plus fabriquer de chlorophylle, le pigment vert qui permet la photosynthèse. Alors la couleur verte disparaît et laisse apparaître d’autres pigments, allant du jaune au rouge. Les feuilles meurent petit à petit avant de tomber par terre, où elles continueront de protéger l’arbre du froid en recouvrant ses racines.
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C’est en été que les feuilles absorbent le plus de lumière. Ce processus appelé « photosynthèse », apporte des nutriments indispensables qui sont ensuite transportés par la sève dans tout l’arbre. En été, les arbres doivent faire face aux grandes chaleurs en puisant beaucoup d’eau dans le sol grâce à leurs racines.
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Le Geai des chênes: le jardinier des forêts :

Le Geai des chênes est presque aussi grand qu'une corneille mais son plumage est plus coloré : son corps est brun-beige avec des reflets rosés et une partie de ses ailes est d'un bleu étincelant ! (...)

Pendant l'automne, il est occupé à faire des réserves de glands qui lui permettront de survivre l'hiver. Comme le Cassenoix moucheté, il transporte les glands - parfois jusqu'à dix - dans une poche sous son bec. Il les cache au sol entre les racines des arbres ou dans les fissures des troncs d'arbres. Sans le savoir, il participe ainsi aux développement de tout nouveaux chênes, car les glands qu'il ne retrouve pas, germent dans la terre. Ce comportement lui vaut le surnom de "jardinier des forêts".

(p.123)
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Les figuiers sont des arbres étonnants. Leurs fleurs sont dissimulées à l’intérieur des figues, elles ne sont pas visibles comme celles des autres arbres. La reproduction du figuier dépend exclusivement d’une petite guêpe : le blastophage. L’insecte pond dans les figues et en ressort couvert de pollen, qu’il véhicule ensuite dans une autre figue, fécondant ainsi les fleurs de cette dernière. En échange de ce service, le figuier offre à la guêpe le gîte et le couvert. Il arrive que les guêpes ne puissent pas ressortir des figues et y meurent. Heureusement, les figues possèdent des enzymes qui digèrent ces insectes malchanceux. Il est donc pratiquement impossible de retrouver une guêpe dans une figue que l’on mange.
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[À propos du Martin-pêcheur d'Europe]

Il possède un long bec en forme de pince, qui lui permet d’attraper les poissons les plus visqueux. Depuis son repère, souvent une branche à moins de trois mètres du sol, il fixe la surface de l’eau afin de trouver son déjeuner. Lorsqu’il aperçoit un poisson savoureux, il fonce dessus les ailes rabattues en arrière, l’attrape dans son bec, puis retourne aussitôt sur sa branche. C’est là qu’il assommera sa proie d’un coup sec avant de l’avaler tout rond.
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La chouette effraie : La chasseuse nocturne:

Egalement appelée "Effraie des clochers", cette reine de la nuit au visage en forme de coeur respire la grâce. pourtant elle apparaît souvent dans les histoires de fantômes et de sorcières, peut-être à cause de son cri qui donne la chair de poule et de sa silhouette blanche qui contraste avec la nuit.

Lorsqu'elle chasse la nuit dans les champs, sa vue, me^me puissante, ne lui suffit pas toujours: c'est son ouïe qui l'aide à atteindre sa proie, bien souvent un campagnol, un petit passereau ou une grenouille.

Elle fait son nid et élève ses petits dans de vieilles granges ou bâtisses, à l'abri des renards et des fouines.

(p.85)
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Le martin-pêcheur mâle offre un joli poisson à sa douce pour la séduire et lui prouver qu'il est capable de pêcher assez de poissons pour nourrir des petits très voraces.
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Un poisson pour cadeau :

Le martin-pêcheur mâle offre un joli poisson à sa douce pour la séduire et lui prouver qu'il est capable de pêcher assez de poissons pour nourrir des petits très voraces.

(p.50)
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Le Martin-pêcheur d'Europe: La flèche bleue :

Ce petit pêcheur des rivières au physique exotique est un vrai coquet : il peut passer deux heures par jour à lisser ses plumes, perché dans les roseaux ! Il est surnommé "l La flèche bleue" à cause de son plumage turquoise qui scintille de mille feux et de son vol rapide et direct, qu'il exécute d'un perchoir à l'autre.

(p.47)
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Infatigable !

Les pics peuvent donner environ 10 000 coups de bec par jour, et ce, sans se blesser ou avoir mal à la tête. Leur secret ? Des os spongieux dans le crâne qui permettent d'amortir les chocs.

(p.68)
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La mouette rieuse:

Elle disparaît progressivement de certains pays car les humains construisent de plus en plus sur leurs sites de nidification.
Aussi les goélands pillent leurs nids et volent leur nourriture.

(p. 198)
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L'hirondelle de fenêtre :

Pour façonner son nid, elle utilise de la boue qu'elle trouve sur des chemins de terre, mais ces derniers sont de plus en plus bétonnés. De plus, à cause, du réchauffement climatique, certains insectes disparaissent peu à peu, ce qui réduit ses chances de trouver à manger. Les nids sont également détruits par les humains qui ne veulent pas d'eux sous leur toit.

(p. 198)
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