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Citations de Louise Penny (911)



Mais hélas ! qu'il est amer de ne voir le bonheur que par les yeux d'autrui !
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Il est tellement plus réconfortant de constater le mal chez les autres; cela excuse nos mauvais comportements.
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Elle avait lu un passage de l'hommage d'Auden à Hermann Melville :

Le mal n'est jamais spectaculaire et toujours humain.
Il dort dans nos lits et mange à nos tables.
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Les larmes ne sont jamais que des souvenirs accablants qui, transformés en eau, s'écoulent...
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Nos vies sont comme des maisons. Certaines personnes sont autorisées à venir sur la pelouse, d’autres sur la galerie, d’autres encore à entrer dans le vestibule ou la cuisine. Non amis les plus proches sont invités à pénétrer plus loin dans notre maison, jusque dans le séjour.


— Et certains peuvent même venir dans la chambre à coucher…

(Flammarion Q, p. 164)
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La seule chose pire que de refuser le pardon...c'était de l'accorder sans être sincère.
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- Selon Oscar Wilde, la conscience morale et la lâcheté ne sont qu'une seule et même chose. Ce qui nous empêche de commettre des gestes horribles, ce n'est pas notre conscience, mais la possibilité de nous faire prendre. Je me demande si c'est vrai.
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....Elle avait oublié à quel point la neige pouvait être belle......Mais ici la neige était celle de son enfance : joyeuse, amusante, éclatante et immaculée. Plus il y en avait, mieux c'était. Elle était un jouet.
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Les tueurs sont des humains et chaque meurtre prend racine dans une émotion. Pervertie, sans aucun doute. Tordue et laide. Mais tout de même une émotion. Si forte qu’elle avait poussé un homme à créer un fantôme

(Flammarion Qc, p.190)
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Ça nous parait facile aujourd'hui, mais songez à la première personne qui a compris comment rendre en deux dimensions ce qui en avait trois.

Comment dessine-t-on le temps et l'espace ? Pourquoi se donner tant de peine ? ……
…… Les cartes leur donnaient la possibilité de maitriser leur environnement, pour la toute première fois. Elles indiquaient comment se déplacer sur le territoire.

Ça parait tout simple, mais, il y a des millénaires, cette activité exigeait sans doute le déploiement de trésors d’imagination et d’imagerie.
Quand on dessine une carte, on donne l’illusion de voir le monde d’en haut selon le point de vue d’un oiseau. D’un dieu.

Imaginez que vous soyez le premier à y avoir songé. À comprendre une perspective que vous n’avez jamais vue. Et à la représenter. C’est incroyable.
Et songez à l’avantage qu’un tel objet vous conférait ……

…… il comprenait mieux à présent le culte que vouait le maître tacticien aux cartes. À titre d’armes tactiques, elles étaient révolutionnaires, inégalables. Elles conféraient un avantage insurmontable.

Elles étaient donc bel et bien magiques.
Ils pouvaient planifier, élaborer des stratégies. Ils pouvaient voir l’avenir. Là où ils allaient. Et ce qu’ils y trouveraient. La tribu, la nation, la mission dotée des cartes les plus précises l’emportait.
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Tellement plus facile de crier que d'être raisonnable. Tellement plus facile d'humilier, de rabaisser et d'abuser de son autorité que de se montrer digne et courtois, même avec ceux qui ne l'étaient pas eux-mêmes.
Elle savait qu'il fallait beaucoup plus de courage pour etrz gentil que pour être cruel.
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Le crime était profondément humain, Gamache le savait. La cause et l'effet. La seule façon qu'il connaissait d'attraper un criminel, c'était d'établir une relation avec les humains concernés. Bavarder dans un café était la plus agréable façon de le faire. La plus désarmante aussi.
(p. 127)
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Les gens meurent petit bout par petit bout, en une série de petites morts. Ils perdent la vue, l'ouïe, leur autonomie. Ça, ce sont les morts physiques. Mais il y en a d'autres,moins évidentes, mais plus fatales. Ils perdent courage. Ils perdent espoir. Ils perdent confiance. Ils se désintéressent de tout. Et, finalement, ils se perdent eux-mêmes.
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On peut avoir l’impression qu’ils changent […] mais si vous étiez un sale type dans votre jeunesse, vous serez un trou de cul une fois adulte et vous mourrez frustré.

(Flammarion, p. 309)
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La vie est un choix. Du matin au soir, tous les jours. À qui on parle, où on s’assoit, ce qu’on dit, comment on le dit. Notre vie est définie par nos choix. C’est aussi simple et aussi complexe que cela. Et aussi fort.
(Flammarion Q, p. 90)
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Les cartes sont magiques .......
....... Elles sont devenues si banales que nous avons tendance à l'oublier. Elles nous transportent ailleurs. Elles illuminent notre univers.
Les premières cartes étaient celles des cieux, vous savez.
Ce que les anciens pouvaient voir. Là où habitaient leurs dieux. Toutes les cultures ont cartographié les étoiles.
Ensuite, elles ont baissé les yeux. Sur le monde qui les entourait.
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Il ressentait toujours un pincement au cœur en regardant les mains des nouveaux morts, imaginant tous les objets et les gens que ces mains avaient touchés. La nourriture, les visages, les poignées de porte. Tous les gestes qui avaient servi à signaler le plaisir ou la peine. Les plus poignantes étaient les mains des jeunes gens, qui n’allaient jamais écarter machinalement une boucle de cheveux gris de leurs propres yeux.
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Il y a quatre phrases qui mènent à la sagesse, qu'on apprend à dire, et à dire avec sincérité : "Je ne sais pas." "J'ai besoin d'aide." "Pardonnez-moi." "Je me suis trompé. "
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Il était quasi impossible de rester à la fois séduisant et au chaud pendant l'hiver québécois.
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"Je crois que la sagesse vient avec l'âge, la vie et la douleur.
Et le fait de savoir ce qui compte."
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