Citations de Louison Nielman (145)
Terminé le plein phare sur tout ce qu'ils font!
Vous doutez, et à juste titre, car vous n'êtes pas dans sa tête et n'êtes plus que partiellement dans sa vie. Encore désolée... Mais c'est la vérité...
Il n'a pas les mêmes objectifs et préoccupations que vous, soyez-en certain! Cela dit, avouez-le... vous aussi aimez bien avoir de la 4G, mais pour commander vos courses en ligne, vérifier vos comptes bancaires, réserver un restaurant, consulter les embouteillages: vous n'êtes pas sur la même planète.
Quand il avait trois ans, vous pratiquiez le rabâchage, eh bien... dites-vous qu'il redouble... mais comme il a plus de jargon et de répondant, prenez des tisanes à la camomille pour rester calme.
Vous avez très bien fait votre job de parent! Il vous dit simplement, à sa manière, qu'il est différent de vous et qu'il ne veut surtout pas être comme vous.
N'oubliez pas qu'il n'a ni votre âge ni votre vécu et encore bien des choses à apprendre. Sinon, il ne faut pas vous étonner qu'il vous traite de vieux et de nul quand vous êtes face aux nouvelles technologies, il utilise son point de vue et ses connaissances, pour une fois supérieures aux vôtres! Et toc!
C'est parce que vous tenez à lui que vous veillez sur lui.
Tout a commencé il y a plus de trois ans déjà. Martin s'en souvient si bien !
Il n'avait pas du tout senti qu'une espèce de tempête allait souffler sous son toit.
- Martin, on a une surprise pour toi ! ont annoncé ses parents.
Un nouveau camion de pompier ? Une séance de cinéma ?
Pas du tout !
- Tu vas avoir un petit frère, mon chéri ! se sont-ils exclamés.
Dans ma tête de jeune fille, palpite un corps de jeune femme.
Citation sélectionnée par Lylou, 5eB, pour les YummyBooks.
De toute façon, on veut toujours être comme on n'est pas.
Citation sélectionnée par Lylou, 5eB, pour les YummyBooks.
La danse les muscles et s'empare de mon corps que je voudrais encore filiforme, j'ai peur que l'adolescence crève ma peau.
Citation sélectionnée par Lylou, 5eB, pour les YummyBooks.
Les amis, la famille, sont comme les anges, nul besoin de les voir ni d'être devins pour savoir qu'ils pensent aux êtres chers.
Elle est papillon, alors que je suis encore prise au piège de ma chrysalide.
[...] mais je me raccroche à ce qu'elle m'a légué, ça m'aide lors des jours où mon cœur se serre face à la réalité de sa disparition.
Finalement certaines séparations augurent de belles retrouvailles, à moins qu'il ne s'agisse tout simplement d'une vraie rencontre.
Est-ce ce qu'elle a à apprendre de cet événement ? Manon a toujours eu besoin de donner du sens à ce qu'elle traverse. Elle croit au destin tracé. Cette rencontre devait peut-être tout simplement lui ouvrir les portes de sa future carrière, malgré la tristesse.
L’engrenage, la perte de contrôle, le ballet des doigts sur le tactile : le privé a basculé en mode public et ils ont partagé la photo d’une fille nue. Tout lui échappe. Il vient, sans le savoir, de briser quelque chose de précieux.
Le ménage n'est plus une affaire de femme.
Gabrielle s'installe, s'affranchissant des regards braqués sur elle.
Il lui avait promis ! page 65