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Critiques de Lucas Harari (91)
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La dernière rose de l'été

Du précédent album de Harari, je garde le souvenir d'un ambiance étrange. Et à nouveau pour ce deuxième album, l'auteur travaille encore une fois magnifiquement l'ambiance de ce récit, digne d'un film hitchcockien tant la situation, de banale devient étrange. Avec peu de texte, il laisse une grande part au suggestif et aux non-dits qui laissent planer le mystère.



Il faut cependant avouer que pour le reste la réalisation est très classique. Si on adopte le point de vue de Léo, aspirant écrivain, celui-ci n'est pas très observateur et un peu trop naïf. L'auteur joue de multiples fausses pistes mais sans bien tout expliquer à la fin. Et j'avoue une pointe de malaise pur cet antihéros qui s'entiche autant d'une jeune adolescente de 17 ans.



L'intrigue n'a au final rien de très surprenante et le dessin, dans le style de la ligne claire, fait la part belle aux architectures dont on sait Harari friand, oubliant un peu trop au passage l'expressivité des visages. Il use d'une colorisation riche et variée qui, à mon goût, manque de charme. Bref, encore une réussite sur l'ambiance mais pas grand chose au-delà.
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La dernière rose de l'été

Bande dessinée policière de très bonne facture. Déjà, au niveau de l’objet lui-même, c’est un dos toilé d’une taille impressionnante. Niveau scénario, un polar mâtiné de récit de vacances: un jeune homme qui rêve de devenir écrivain doit garder la villa de vacances de son cousin. L’atmosphère est réussie, pas révolutionnaire mais on plonge rapidement dans cette ambiance d’été, de fête.

Les dessins sont de qualité et colle parfaitement au récit.
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L'aimant

J’ai tellement aimé sa dernière rose de l’été que je me devais de lire l’aimant. Voici donc le tout premier album de Lucas Harari. Le style est là. Je retrouve les ingrédients qui m’ont marqué : ligne claire, couleurs marquantes, ambiance pesante, un personnage central qui cherche quelque chose, importance des bâtiments, un paysage omniprésent.

La montagne donc ici … on pourrait penser à un catalogue de vacances mais il n’en est rien. Car ces Alpes suisses semblent cacher de sombres secrets…. La présence de la légende, du mythe voire du fantastique dans cette histoire au départ si réaliste peut décontenancer … Et la fin maintient un certain doute.

Le plaisir de feuilleter, lire un si beau livre est bien là. Je reste impressionné par ce style, ces ambiances et j’attends de voir ce que va nous proposer Lucas Harari à l’avenir !

Pas un coup de cœur comme avec « La dernière rose de l’été » mais un très bel album quand même !

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La dernière rose de l'été

Chaque page est un plaisir des yeux... On s'arrête, on rêve. On prend le temps. On tourne lentement les pages. On aimerait que l'histoire, qui en soit est secondaire, ne s'arrête jamais pour rester dans ces lieux, dans ces atmosphères, dans cet univers. Le grand format de l'album permet à l'auteur de déployer son talent, déjà esquissé dans sa précédente et première bande dessinée.
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L'aimant

Je ne me serais probablement jamais penchée sur cette bande-dessinée - malgré cette jolie couverture intrigante - sans le prix en bulles de la médiathèque auquel je participe, parce que l'histoire ne m'intéressait pas particulièrement de prime abord. Mais je sais qu'il n'est pas bon de rester sur une idée reçue, et j'étais donc contente de pouvoir lire cet ouvrage.



Nous suivons Pierre, un français étudiant en architecture, qui se rend en Suisse, aux thermes de Vals, le sujet de sa thèse. En effet, il est obsédé par ce bâtiment (dont il ne cesse de dessiner les plans) et a envie de percer à jour le mystère qui l'entoure... Mais ces découvertes vont lui apporter des ennuis et la convoitise d'autrui...



J'ai été déroutée par cette histoire (qui, à priori, se base sur des faits réels) aux allures fantastiques et je n'ai pas accroché plus que ça. Je n'ai pas aimé le personnage principal, Pierre, dont nous ne comprenons pas vraiment les motivations ni l'origine de son obsession.



Au niveau des illustrations, elles m'ont fait parfois penser à Hergé (notamment avec les visages des personnages), et ce n'est pas le trait de crayon que j'apprécie le plus. Je reconnais néanmoins que les paysages étaient beaux et bien réalisés, mais le reste est trop épuré et linéaire pour moi.



C'est une histoire somme toute intéressante que nous raconte Lucas Harari, mais qui m'a laissée un peu dubitative et qui ne m'a pas plu plus que ça.
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L'aimant

Ce roman graphique est pour moi un coup de cœur : il me semble être original par sa thématique, la qualité du dessin et le travail de la couleur. De plus, j'ai beaucoup aimé l'aspect labyrinthique que ce soit dans les dessins architecturaux où dans le traitement de la narration. Le rythme du récit est plutôt lent, l'enquête de Pierre parti en Suisse pour explorer les thermes de Vals avançant petit à petit. Ainsi, les dessins et le rythme permettent de donner à l'histoire son atmosphère mystérieuse. Cependant nous pouvons remarquer une accélération du récit avant le dénouement final qui m'a semblé arriver un peu vite et c'est dommage*.

*Je suis ici parfaitement d'accord avec etiba : "[...]Un scénario qui tourne court, en jouant trop la facilité du fantastique."
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L'aimant

Un graphisme un peu perturbant au début mais on s'y fait vite. Un résultat très intéressant qui vaut le détour.
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L'aimant

De beaux dessins. Une vraie ambiance. Très prenant sur le premier tiers, voire la moitié, puis un scénario qui tourne court, en jouant trop la facilité du fantastique. Dommage car de belles qualités.
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L'aimant

Pierre a abandonné sa thèse en architecture à la suite d’un problème de santé. Sa thèse portait sur les termes de Vals. Il décide néanmoins de se rendre à Vals persuadé qu’un mystère existe dans ces termes.



Difficile de savoir quoi penser de cette BD. Les illustrations sont particulières tant au niveau du graphisme que des couleurs. La structure des cases est très géométrique et cette particularité est intéressante. Cependant, j’ai trouvé que le scénario manquait de consistance et je crois être passée à côté de la fin. Dommage…

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L'aimant

Alors que je suis resté franchement hermétique à son opus La Dernière Rose de l'été, Lucas Harari m'a beaucoup plus happé avec sa première œuvre, "L'Aimant". Peut-être est-ce le froid qui me convient mieux que le chaud, mais en tout cas je me suis bien plus plongé bien plus facilement dans l'histoire et je me suis laissé porter par elle.



Le ton du polar m'a saisi à nouveau, l'auteur maitrisant clairement le déroulé pour nous maintenir dans un suspense jusqu'à comprendre le déroulé qui va se dévoiler à nous. En suivant Pierre, jeune homme visiblement perdu dans ses recherches et sa vie, nous allons découvrir ce bâtiment étrange dans lequel il va sembler se perdre progressivement. J'ai personnellement beaucoup aimé la façon dont le dessin exploite ce côté perdu dans un immense labyrinthe, bien représenté par ce bâtiment envahi d'eau qui semble irréel. Mélangé aux extérieurs enfouis sous la neige, ça donne un ensemble qui laisse planer le mystère et introduit rapidement une ambiance fantastique qui ne fera que se confirmer.



L'histoire est plutôt linéaire mais j'ai bien aimé, elle est plutôt simple dans le déroulé et les protagonistes sont peu nombreux, laissant comprendre assez rapidement la place que chacun occupera. Mais en même temps c'est chouette de se laisser porter par le ton du récit jusqu'à une résolution qui me convient, avec ce qu'il faut de fantastique et de part de mystère. Une lecture franchement plaisante, sans que je ne lui accorde plus que ça mais en même temps je n'en attendais pas plus non plus ! Donc une lecture agréable, le polar m'a bien plu et je dirais que c'est à lire. Indispensable, non, sans doute pas. Mais j'ai aimé.
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La dernière rose de l'été

C’est une très belle Bd



Les dessins sont très beaux, les couleurs simple très sympa



La 1ère de couverture m’avait attiré l’œil et je ne suis pas déçue.

Même si on connaît déjà la fin avant de tourner les dernières pages c’était une belle lecture.



C’est une bonne idée que d’aller surveiller la maison de son cousin dans le sud ☀☀☀
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La dernière rose de l'été

Après avoir adoré L'aimant et son atmosphère incroyable, le précédent roman graphique de l'auteur, j'étais curieux de découvrir celui-ci dont je ne savais rien, mais qui semblait prendre le contrepied de L'aimant.

On passe donc d'un huis-clos dans des teintes froides de nuits hivernales, à une intrigue à ciel ouvert dans la chaleur des jours d'été.



Et autant le dire tout de suite, ça ne l'a pas du tout fait pour moi. Je n'ai rien retrouvé de ce qui m'avait tant fait aimé son précédent ouvrage.

Ce pseudo thriller estival s'avère au final de facture assez classique, sans rythme ni tension ni mystères, et dont la révélation finale se voit venir de loin.

Même l'ambiance est aux abonnées absents, alors qu'elle se faisait hypnotique et fascinante dans L'aimant, ce qui en faisait sa force.



Je suis également resté hermétique aux personnages, sans parler du personnage principal, ce protagoniste trentenaire qui passe son temps à reluquer sa voisine de 17 ans et tombe amoureux d'elle mais apparemment c'est OK parce que bon, elle a bientôt 18 ans quand même...



La dernière rose de l'été est donc bel et bien en tout point le contrepied de L'aimant, y compris par sa piètre qualité.
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La dernière rose de l'été

Petite déception pour ma part, sans doute parce que j'en attendais beaucoup de ce titre. Souvent présenté comme une oeuvre policière haletante, je ne m'y suis pas retrouvé.

Tant au scénario que dans les dessins ou je n'ai pas tant apprécié que l'auteur enlève les gouttières. Cela apporte de la confusion dans certaines cases à mon goût et surtout je me noie dans les pages et je n'ai pas l'envie de m'y plonger pour regarder chaque détail.

Le titre n'a pas fonctionné sur moi malheureusement.
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La dernière rose de l'été

Je mets la moyenne à cause du format hors-norme, de la qualité du papier, de la taille des vignettes en général, de quelques pages réussies au point de vue ambiance/couleur/lumière. Cet album est un objet-livre dont on tourne les pages avec la conscience de vivre une expérience qui implique les sens de la vue, du toucher et même de l'odorat (ca sent bon le bon papier épais), un moment de sensualité typiquement BD.

Oui mais...



Mais le problème c'est que ce beau contenant est plutôt vide. Ca donne envie, on caresse l'emballage, on l'admire un peu mais quand on a ouvert le paquet, farfouillé dans le cellophane ou le papier de soie, on est... gros-Jean-comme-devant.

Ca part plutôt bien, y a comme une ambiance un peu hitchcockienne dans les deux-trois premiers chapitres, et puis plus on avance et plus on se dit que la narration se prend les pieds dans le tapis, que les personnages sont eux aussi des coquilles vides, pour finalement constater, agacé, que la fin est plus bâclée que bouclée.

Du coup on prend le temps de devenir un peu critique sur le plan graphique aussi, en regrettant le manque de maîtrise quant au rendu des expressions sur les visages, avec leurs petits yeux trop souvent simples points ou petits traits, quand ils ne disparaissent pas purement et simplement derrière les verres des lunettes...

Pareil pour le rendu du mouvement, avec des silhouettes toujours un peu figées, d'autant plus raides que le trait de contour est trop systématiquement assez gras, sans grande nuance...



Bref, puisqu'on est dans le registre de la "ligne claire", on peut peut-être conclure par une référence aux grands précurseurs : selon moi, et même si je ne suis pas un inconditionnel d'Hergé (loin s'en faut !), je dois dire qu'il faisait mieux graphiquement !

Heureusement, j'ai découvert cet album grâce à ma chère bibliothèque. Si je l'avais acheté, j'aurais eu le sentiment d'avoir été le gogo d'un efficace illusionniste...

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La dernière rose de l'été

Léonard, jeune écrivain en devenir, travaille dans un lavomatique du 18ème arrondissement. L’irruption de Sylvain, un cousin perdu de vue, vient apporter un changement bienvenu dans ce quotidien sans attrait. Sylvain lui propose en effet d’aller surveiller les travaux en cours dans sa maison du bord de mer.

Arrivé sur les lieux, tandis que le voisin s’empresse de lui confier la chatte du propriétaire, Léo constate qu’il bénéficie d’un excellent aperçu de la demeure d’architecte en contrebas, où vit une belle jeune fille blonde. Au village, il apprend la disparition récente de deux adolescents. Il croise aussi une bande de jeunes venus se ravitailler en alcool, parmi lesquels sa voisine. C’est encore elle qu’il apercevra dans la maison d’à côté, un soir, alors qu’il est plongé dans la lecture de « Martin Eden » , violemment giflée par l’homme avec lequel elle se dispute.

Enfin, le jour où il vient de retrouver son chat mystérieusement mort, Léo voit l’inspecteur Beloeil se présenter à sa porte dans le cadre de l’enquête mené sur les deux jeunes disparus. L’inspecteur l’interroge sur ses voisins, le père et sa fille, Rose. Peu de temps après, Léo fait enfin la connaissance de celle-ci, avant d’être introduit auprès de sa bande de potes.

Fasciné par Rose, jeune personne au tempérament ombrageux, le romantique Léo va vouloir voler à son secours lorsqu’elle sera en difficulté, sans tenir compte du danger de sa situation …



Dans cet album au format et à la pagination généreuses, les choses se mettent en place à leur rythme, en distillant petit à petit quelques éléments assez inquiétants pour perturber une atmosphère estivale faussement tranquille et retenir l’attention du lecteur, tandis que le récit glisse dans le mystère et la tragédie.

J’ai adoré le graphisme au look un peu rétro de cet album à la mise en page dynamique, avec des cadrages cinématographiques au point que les planches peuvent souvent se passer de texte car les images font la narration. Les couleurs, joliment saturées, sont omniprésentes, s’affichant aussi en pleines pages, jaunes à l’ouverture du livre, puis déclinées à volonté à l’orée de chaque nouveau chapitre. Mon enthousiasme pour cette BD à la bande son jazzy est cependant tempéré par la petite déception éprouvée à la fin, le dénouement ne m’ayant que partiellement convaincue. Une réserve qui ne m’empêche pas de ranger ce chouette album dans mon coin des préférés.
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L'aimant

Après avoir lu "la dernière rose de l'été" je me suis lancé dans un autre récit de l'auteur. À nouveau l'histoire donne envie de tourner les pages une à une. Les paysages suisses sont superbes et l'intrigue passionnante. Le seul défaut à mon sens ce sont les fins ouvertes des deux récits. C'est clairement une volontée de l'auteur mais je trouve que cela laisse un goût de trop peu
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L'aimant

J'ai adoré cette bande dessinée : les couleurs, les dessins, l'histoire. Tout.

C'est l'histoire d'un étudiant en architecture qui décide de reprendre sa thèse inachevée sur les thermes de Zunthor en Suisse et qui entreprend un voyage inattendu 🏔

.

Ce récit est super intrigant, il mêle légende et réalité au point qu'il en devient fascinant. Ca parle d'architecture, de légendes, de mystère et de surnaturel.

La fin est tout aussi intrigante. Ça nous laisse en haleine tout au long de l'histoire 🪨

.

Personnellement, l'univers m'a un peu fait pensé à Kubrick dans son film Shining qui abordent les sujets de la folie, de lieux qui prennent vie, d'hallucinations visuelles. J'ai adoré 🌨
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La dernière rose de l'été

Je découvre cet auteur, formidable dessinateur dont les dessins et les couleurs m’ont subjugué. Le scénario et le découpage graphique prennent le temps de nous emporter. La lecture est aussi passionnante qu’aisée. Je pense toutefois que j’attendais plus de la fin de l’histoire.
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L'aimant

L'Aimant, Lucas Harari, Éditions Sarbacane



***



Si vous allez aux Thermes de Vals, dans le canton des Grisons, en Suisse, méfiez-vous ! C’est, en tous cas, ce que Lucas Harari, laisse entendre dans sa toute première BD de toute beauté graphique, dans une succession de tons froids et de lignes épurées, tourmentée par un rouge franc.



L’Aimant met en scène un étudiant en architecture qui a consacré sa thèse aux Thermes de Vals, une création du grand architecte Peter Zumthor. Ce bâtiment, une construction à l’esthétique géométrique et minérale, niché au coeur de la montagne, le fascine tant qu’il décide de s’y rendre. C’est là que toute la force d’attraction de l’édifice — surnaturelle (?), on commence à le soupçonner — s’exerce sur lui. Et en un tour de main, ce qui était au départ une sorte de voyage d’étude glisse à la manière d’un thriller vers une intrigue magnétique qui fait frémir.
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L'aimant

Un bel objet que cette BD « L’aimant » : un grand format avec des planches de qualité.

Une enquête mystérieuse dans les thermes de Vals et leur architecture.

Pierre, un jeune étudiant en architecture est obsédé par ces thermes qui semblent receler un mystère.

Entre mysticisme et enquête policière, nous sommes happés dans cette histoire bien trouble.

Lucas Harari, dont le coup de crayon me fait penser à Hergé, nous captive même si le dénouement de l’histoire pourra décevoir certains lecteurs.

Une belle lecture pour un beau livre.

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