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Critiques de Maëlle Fierpied (87)
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Galymède

Comme je l’ai aimé ce voyage!



Brillant d’inventivité, la plume de l’autrice nous embarque dans une aventure inattendue.



Bien décidée à prendre son destin en main, la fée blanche se rend en effet dans le royaume de Féérie. Un monde parallèle au nôtre où se côtoient elfes, orques, pixies et autres créatures magiques.



Avec une merveilleuse dextérité, l'autrice en dessine les contours au gré des réflexions et rencontres de Galymède. Son récit est rythmé, prenant et terriblement attrayant.



Le lecteur vibre au rythme des retournements de situation (et, ils sont nombreux 🙀).



L'héroïne m'a séduite par sa personnalité et sa force de caractère, ses compagnons de route par leur originalité (mention toute spéciale pour ce Grand mais plus si Méchant Loup).



Et cet humour délicat, omniprésent fait esquisser de larges sourires tout du long.


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L'école de Pan, tome 2 : Le défi Dédale

Deuxième tome de l’École de Pan ou on retrouve nos apprentis super héros, Félix, Bilal et Aglaé, dans une lutte contre l’Hydre. Esprit scolaire, à la manière des premiers Harry Potter, super école cachée pour mutants façon X-Men, petites jalousie entre élèves, on retrouve les recettes du genre, avec un graphisme simple et efficace, ce n’est pas vraiment nouveau, mais malgré quelques éléments piqués à droite à gauche, un véritable univers se crée et se confirme au fil des pages. C’est composé en plusieurs chapitres qui peuvent presque être lus indépendamment les uns des autres, l'enchaînement est parfois décousu, mais l’ensemble est très agréable, nos héros deviennent de plus en plus attachants, même les personnages de second rang comme Xander, Rebecca et Ambre prennent de l’ampleur. C’est une lecture plaisante et distrayante, dans la collection BD Kids qui propose un bel éventail de lectures vivantes et pleines d’énergies pour les jeunes lecteurs.
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L'école de PAN, tome 1 : Le cube mystérieux

Une école de super héros avec des élèves aux supers pouvoirs, isolée sur une île, avec des professeurs tout aussi étranges, c'est un thème déjà vu, cette bande dessinée semble surfer sur la mode, quelques idées piquées à droite à gauche, une pointe d'humour assez discrète, des rebondissements en pagaille et un graphisme dynamique… Cette lecture est assez distrayante et plaisante, mais ce n'est pas la meilleure dans le genre, je préfère le travail de Yomgui Dumont dans Chambre noire et surtout dans 109 rue des soupirs.
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La fille sans nom

J'ai adoré ce roman ! J'avais peur que ce soit trop "fantasy" avec un monde trop complexe où on se perd, mais c'est super bien fait en fait !

Les personnages sont hyper attachants et l'intrigue est top ! J'aimerais beaucoup lire un autre tome de cette histoire ahah
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La fille sans nom

Récemment, alors que je m’efforçais une fois de plus de remanier les étagères de mes bibliothèques dans l’espoir (vain) de libérer un petit peu d’espace pour les nouveaux et furturs arrivants (car je me connais, il y aura forcément des futurs arrivants), j’ai remarqué une chose fort surprenante … Quasiment tous les tomes de sagas que je possède (et ils sont nombreux, vu que j’aime les sagas) sont des « gros » pavés de plus de 400 pages, alors que l’écrasante majorité des one-shots sont relativement courts (250 pages maximum). On aurait pourtant pu imaginer que ce serait l’inverse : lorsque l’histoire toute entière doit tenir dans un seul et même livre, celui-ci devrait logiquement être plus long pour réussir à tout contenir, du début à la fin en passant par de multiples péripéties. Mais empiriquement, c’est tout de même ce que je constate : les tomes de sagas sont obèses et les one-shots sont faméliques. Autant vous dire que La fille sans nom détonne dans le paysage : il étale fièrement ses 500 pages et éclipse tous les autres petits livres qui l’entourent, comme pour hurler « lis-moi ! s’il te plait, lis-moi maintenant, regarde comme je suis beau et gros comparé aux autres ! ». Et comme je suis incapable de résister à l’appel d’un livre en détresse, j’ai fini par craquer, et ce brave ouvrage s’est retrouvé sur ma table de chevet, prêt à m’embarquer dans de grandes aventures …



Cette fois-ci, s’en était trop : excédée par les incessants déménagements que lui font subir ses parents, excédée par les innombrables règles et interdits qu’ils lui imposent, Camille a tout simplement décidée de mettre les vagues. La jeune fille sage et obéissante a donc quitté le domicile en pleine nuit, son sac à dos rempli de sucreries, d’un débardeur de rechange et d’un simulacre de trousse de secours. Elle marche sans avoir la moindre idée d’où elle veut aller : tout ce qu’elle veut, c’est s’éloigner quelques temps de ses parents, histoire de leur faire comprendre qu’elle n’est plus cette petite fille qui suit aveuglément sans se poser de questions, histoire de leur faire saisir qu’elle en a ras-le-bol d’être ainsi surprotégée, histoire de leur faire comprendre qu’elle aspire à un peu plus de liberté. C’est ainsi que, sans réfléchir, Camille se fait engager comme « garçon à tout faire » sur une drôle de péniche … Mais sans le savoir, en signant ce drôle de contrat avec son sang et en prononçant plusieurs fois son nom dans cette drôle de jarre, Camille vient de perdre sa liberté … et même son identité. Incapable de se souvenir de son nom, de sa vie, la jeune fille va se retrouver embarquée bien malgré elle dans un monde dont elle ignorait totalement l’existence. Un monde où la magie est aussi enchanteresse que cruelle.



Tout commence par une révolte adolescente : un ras-le-bol des règles et des interdits qui s’accumulent et qui empêchent de vivre une vie normale, le sentiment que les parents ne comprennent décidemment rien à rien et se désintéressent totalement de son bonheur … Une situation tellement ordinaire que le lecteur se sent immédiatement en empathie avec notre jeune héroïne, qui décide sur un coup de tête de fuguer en pleine nuit, sans but bien précis. Juste pour s’échapper un instant, quelques heures, quelques jours. Pour prouver, finalement, qu’elle existe, qu’elle n’est pas une petite chose malléable qu’on peut déplacer à sa guise, qu’elle ne supporte plus d’être trimbalée d’un bout du pays à l’autre sans même avoir la possibilité de se faire des amis, sans même avoir le droit d’aller un coup au cinéma comme n’importe quelle adolescente de son âge. Une entrée en matière qui manque peut-être d’originalité, mais qui a le mérite d’être efficace : sans elle, Camille n’aurait assurément jamais croisé le chemin de ce drôle de bateau qui accoste en pleine nuit et qui cherche un garçon à tout faire contre le gite et le couvert. Alors bien sûr, on peut trouver Camille fichtrement inconsciente, de s’embarquer ainsi sans rien connaitre de cet homme qui se prétend « mage » … mais il y a ce petit frisson de l’aventure qui fait qu’on a, nous aussi, drôlement envie d’en savoir plus !



Et ce qui devait arriver arriva : c’est un pacte avec le diable que notre pauvre héroïne, désormais privée de son identité même, vient de signer sans le savoir ! Et nous basculons immédiatement dans une autre ambiance, bien moins ordinaire : le fantastique a fait son irruption avec ses gros sabots. Un mage qui se révèle être un tyran sans pitié, des êtres mi-ogres mi-dragons au grand cœur derrière leurs airs féroces … On est à la fois effrayé pour notre petite jeune fille et émerveillé par ce nouveau monde et sa magie, qui s’offrent à nous progressivement, doucement mais sûrement. Alors que Camille, qui conserve envers et contre tout son gout pour la liberté et son mépris viscéral pour les interdits, s’efforce de trouver un moyen de se libérer de cette emprise magique, le lecteur sent son cœur qui s’emballe : c’est une quête à nulle autre pareille, que celle de retrouver qui on est ! On a envie de l’aider à se souvenir, de l’aider à renouer avec ce qu’elle est, ce petit quelque chose ineffable qui la rend parfaitement unique. Parce que c’est ça qui se cache derrière l’histoire de La fille sans nom : ce besoin existentiel de savoir qui on est, qui on est vraiment, profondément. On traverse toute une période où on a le sentiment de s’être perdu, égaré, de ne plus savoir ce qui fonde notre « moi intérieur », où on a aussi l’impression de n’être plus rien du tout, de n’être plus personne …



Dans sa quête, Camille va être soutenue par toute une panoplie de personnages, qu’on aimerait beaucoup avoir pour compagnons de route ! Les dogrons sont tellement attachants, derrière leur bestialité première : Camille a su voir plus loin que les apparences et les différences, elle a bien compris que l’essentiel, c’est ce qui se cache dans le cœur de ceux qui nous entoure. Belle leçon de tolérance et d’ouverte à l’autre, à celui qui n’est pas comme tout, à celui qui est rejeté de tous ... Jolo est tout simplement adorable : c’est un jeune homme que j’aimerai tellement avoir pour meilleur ami ou pour grand-frère, il est tellement prévenant, tellement apaisant. J’ai également beaucoup apprécié l’intrigue autour de la princesse enfermée dans le miroir, car elle nous invite à ne pas se laisser entrainer par les conflits « sempiternels », à ne pas se laisser entrainer par ce cercle vicieux de la violence, de la vengeance, nées de l’incompréhension et de la jalousie. En fait, c’est un livre qui invite à travailler main dans la main, qui rappelle qu’on a chacun nos forces et nos faiblesses et qu’ensembles, on est plus fort. Quand on cesse de se tirer dans les jambes, on peut avancer deux fois plus vite ou plus loin … Et on peut se sortir de toutes les épreuves. Alors oui, on peut dire que c’est trop facile, qu’ils se sortent bien trop aisément des situations les plus catastrophiques, et je ne peux pas le nier … mais vu que l’histoire doit s’achever en un seul volume, l’autrice a bien été obligée d’aller au plus rapide !



En bref, il me semble inutile d’en dire beaucoup plus : vous aurez sans doute compris que j’ai vraiment beaucoup aimé cheminer aux côtés de la jeune Camille … et que pour tout dire, je suis même profondément frustrée que l’histoire se soit terminée alors qu’il restait tant à découvrir ! Car l’autrice nous ouvre les portes d’un monde d’une richesse incroyable qu’on rêve désormais d’explorer plus en profondeur : on vient à peine de le découvrir qu’il faut déjà le quitter, on vient à peine de rencontrer vraiment les personnages qu’il faut déjà leur dire adieu, et c’est vraiment un crève-cœur ! Car oui, l’histoire est finie, ils ont vaincu le grand méchant (du moins, on peut dire cela comme ça, vous verrez que c’est à la fois plus complexe et plus … simple), mais tout ne fait en réalité que commencer ! Les mages et les sorciers vont-ils finir par se réconcilier ? Camille et son frère vont-ils réussir à retrouver les autres enfants sur Terre ? Leur père va-t-il mieux ? Et que devient Margoule, ainsi que l’explorateur et la princesse ? Tant de questions qui restent sans réponse … sauf si nous laissons nos rêves inventer cette suite qui manque terriblement. Car je pense que c’est vraiment ce que fait ce livre : nourrir notre imagination, faire resurgir cette âme d’enfant qui aime s’inventer mille et une histoires, qui se glisse sans difficulté dans ces univers magiques où tout semble possible … Alors, si vous avez envie de rêver, n’hésitez pas une seule seconde : La fille sans nom est le roman idéal !
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La fille sans nom

Je n’aurais sans doute jamais remarqué ce livre si une copinaute ne me l’avait pas proposé en lecture commune. Le titre me semblait sympa, de même que la couverture, du coup je me suis dit que je pouvais bien tenter. J’en ressors pas tout à fait déçue, mais pas convaincue non plus…

On rencontre la jeune Camille, 15 ans, au moment où elle fugue de chez ses parents pour une raison obscure, qu’on devine propre à l’adolescence mais qui n’est pas vraiment expliquée, en tout cas pas à ce moment-là, et semble dès lors tout à fait futile. Plus incroyable encore : avec ses cheveux courts et son manque de formes (à 15 ans, sérieusement ?), elle parvient à se faire engager comme garçon à tout faire sur une péniche qui passait justement par là, où elle signe une espèce de contrat de son sang… et bien sûr c’est normal ?! Certes, ça plonge ainsi, d’emblée, le lecteur dans un monde qui va devenir de plus en plus fantastique, à mesure qu’il se révèle à Camille, mais le point de départ est tellement invraisemblable ! Même mon gamin de presque 9 ans sait qu’il ne faut pas faire confiance aux inconnus… et alors, certainement pas signer quoi que ce soit avec son sang, c’est carrément surréaliste !



Pour le reste, comme dit plus haut, je suis assez mitigée. Certes, je le dis de suite car on me l’a reproché en d’autres occasions : je suis bien consciente que je ne fais pas partie du public-cible, clairement adolescent. Or, mon avis est bel et bien un ressenti d’adulte qui n’a plus les mêmes préoccupations que l’on peut avoir à 15-20 ans… et je ne vais pas prétendre les avoir encore !

Pour le positif, je soulignerai le monde que Camille découvre : ce fameux Éther, qui se superpose peu à peu à notre Terre qui est sa seule référence (tout comme celle du lecteur), est un monde vraiment bien construit, cohérent et crédible. Outre les humains, mages ou sorciers (il faut lire le livre pour découvrir en quoi ils sont différents ! ;) ), on y croise toute une série de créatures plus ou moins fantastiques, plus ou moins hostiles, qui deviendront des alliés, des amis même, ou qu’il faudra combattre pour sa liberté ou même pour sa vie. Tout se tient, les méchants sont vraiment méchants, les autres sont sympathiques sans devenir tout à fait attachants.



En revanche, pour le négatif, je n’ai jamais réussi à tout à fait accrocher à ce roman, mais j’ai mis du temps à comprendre ce qui provoquait ce sentiment persistant de ne pas réellement entrer dans l’histoire … Toutefois, peu à peu je crois avoir identifié ce qui me gênait : tout va beaucoup trop vite ! Il y a de (très) nombreux rebondissements qui font avancer une histoire par ailleurs assez linéaire. Mais aussi, à peine un problème surgit-il, et paf il est résolu ! Certes, il y a aussi l’un ou l’autre contretemps dans ces avancées, c’est assez difficile à expliquer sans divulgâcher, mais mon impression générale est qu’il n’y a que très peu de tension narrative : le lecteur n’est pas tenu en haleine, son cœur n’a pas le temps de battre avec les héros.



Pour ne donner qu’un exemple, déjà évoqué : Camille a fui de chez elle, elle dit qu’elle ne sait pas trop où aller pour sa première nuit et elle énumère les quelques possibilités toutes plus flippantes les unes que les autres, mais on n’a pas le temps de s’en inquiéter avec elle que, paf, cette péniche survient miraculeusement… et, en ni une ni deux, elle y va sans sourciller. Premier rebondissement, crédible certes, mais on a manqué le côté palpitant à peine et trop vite évoqué, et c’est ainsi tout le temps, je pourrais donner des tas d’autres exemples.



Tout cela donne un rythme indéniable à l’histoire, mais l’ambiance générale reste superficielle car tout semble trop « facile » d’une certaine façon. Ainsi, au final, cette précipitation nuit à l’histoire, car elle ne permet pas aux émotions de se développer pleinement. De la sorte, on n’a pas vraiment l’occasion de trembler avec les personnages, de se réjouir avec eux, ou même de ressentir les liens, notamment d’amitié, qui sont pourtant évoqués comme si tissant peu à peu entre les personnages… et ainsi on ne parvient pas à s’attacher à eux.



Peut-être cette précipitation est-elle due à un besoin (que je ne comprends pas vraiment) de mettre plein, plein, plein d’événements dans ce qui est actuellement un one-shot ? Je ne crois pas, pourtant, que ça aurait été ennuyant d’ajouter quelques phrases, quelques impressions ici ou là ; d’étoffer certaines scènes pour leur donner plus de profondeur… quitte à faire plusieurs volumes au total ? car, vraiment, l’histoire n’est pas déplaisante, et la fin actuelle du roman, si elle a résolu un certain nombre de choses, n’est pas non plus une réelle clôture de l’histoire, et plusieurs nouvelles portes ont été ouvertes… Je crois même que je me réjouirais de lire une suite, à condition alors que les personnages soient plus fouillés, le langage un peu plus visuel et les actions plus vibrantes.

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Existence Zéro, tome 1 : Le réveil de Mélusine

♥C'est l'histoire de Mélusine une collégienne ayant des maux de tête lors des cours de Mr.B,un professeur de français ayant un caractère froid et strict.Lors d'un contrôle Mélusine tenta de tricher en utilisant son pouvoir de télékinésie,mais Mr.B la surprend pouvant utiliser le même le pouvoir que Mélusine ,elle se refuge donc chez l'infirmière ,mais une après midi,elle se fait- kidnappée par l'Université Invisible et perd ensuite la mémoire.♥

♣Que vas t'il se passer?

Que-ce-que c'est l'Université Invisible?♣

♦L'Univers du livre est un peu complexe et floue au début,mais au fil du temps on commence à prendre plaisir à lire et à comprendre les autres personnages et leurs histoires.♦



─Yassine.O
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Chroniques de l'Université invisible

La couverture toute noire avec des symboles et l'édition L'école des losirs m'a donné envie de le découvrir. Des enfants avec des dons de télépathie ou télkinésie qui vont dans une école loin de leurs parents, ça fait penser à quelque chose (suivez mon regard...). Sauf que là, on est loin du monde de magie d'une célèbre école dont le nom commence par P, après avoir fait la connaissance de trois nouveaux élèves, rebondissement et un peu plus tard, nouveau rebondissement. Ca manque un peu de rythme au début même si la présentation des trois jeunes est agréable à suivre. Il est question de vampires, d'un genre un peu différent de ce qu'on peut voir dans la littérature vampirique.

Les brusques revirements de situations, la narration un peu hachée, les changements de personnage coupent un peu l'ensemble mais l'histoire reste agréable à lire. A voir si une suite est disponible, pourquoi pas !
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La fille sans nom

La fille sans nom. J'ai bien aimé ce livre car il y a de la tension entre les personnage, du suspense. Et je me sens un peut comme elle avec mes parents angoissants, stressants et toujours sur mon dos. J'ai bien le côté un peut sombre au début des personnages on est plongé dans l'histoire pour pouvoir savoir comment est leur caractères. Et ce fameux Hélix est très surprenant, sombre au début puis maléfique et diabolique à la fin. J'ai direct accroché au livre.

Conseil :

Je vous le conseil si vous aimez les romans d'aventure, de suspense et de tension.

Je le note 4/5
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La fille sans nom

Une belle découverte très bien écrite et donc très agréable. On y rencontre Camille, qui s'embarque sur un drôle de bateau, dont le capitaine n'est autre qu'un mage. En échange de son acceptation à bord, Camille a donné son nom. Or, donner son nom c'est perdre son identité... Les malheurs ne font que commencer ! Ce roman mêle de nombreux ingrédients typiques de la fantasy, les créatures sont nombreuses et variées. Le thème de la sorcellerie est habilement mené entre lieux communs et belles nouveautés. Petite chose à savoir, qui en dit long sur le merveilleux de cette histoire : certaines scènes sont directement issues des rêves de l'auteure. J'espère vraiment qu'elle donnera une suite à ce petit bijou de littérature jeunesse.
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La fille sans nom

Le roman que j'ai étudié s'intitule "La fille sans nom". Je dirais que ce livre est du genre fantastique.

Camille est une jeune fille de 15 ans qui fugue pour échapper à ses parents. Embarquée à bord d'une péniche, elle découvre peu à peu un univers sombre, peuplé d'êtres effrayants. Comment échapper au Mage avec qui elle a signé un contrat maléfique ?

Ce livre m'a plu parce qu'il y a beaucoup de rebondissements et une héroïne qui nous montre son courage. J'ai trouvé que de mettre le narrateur à la première personne est intéressant parce qu'on ressent plus les émotions de Camille.

Au début je n'aimais pas trop ce roman parce que j'ai trouvé que l'intrigue était assez longue.

Le ton du roman est parfois familier, spontané ou même ironique, j'ai trouvé ça drôle et surprenant. J'ai aussi trouvé l'histoire captivante.

Je conseille fortement ce livre pour ceux qui aiment l'aventure !
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La fille sans nom

L’écriture de Maëlle Fierpied est très soignée, chaque mot bien choisi et le vocabulaire recherché. C’est très agréable et aussi très stimulant.



Côté intrigue et aventure, j’ai vraiment aussi apprécié. C’est un subtil mélange de bien et de mal, de noir et de blanc. Rien n’est tranché et on joue sur deux tableaux tout du long. L’héroïne elle-même représente à elle seule cette dualité : humanité/animalité, Terre/Ether, réalité/magie, sensibilité/violence… Camille est un personnage complexe et passionnant.



C’est une grande quête, un combat aussi bien personnel que collectif. Camille va avancer, découvrir qui elle est, d’où elle vient en se battant pour une cause plus grande.



Et puis il y a des personnages très forts dans ce récit, notamment, Safre et Margoule, les deux Dogrons qui sont deux créatures très touchantes. Nées d’une croisement ogre et dragon, ils ne sont pas les monstres que leur apparence laisse imaginer. Leur présence est essentielle dans ce texte. Ils sont un soutien pour Camille, dès le départ.



Il y a aussi Eliphas, qui apporte un peu de légèreté. Désinvolte et débrouillard, il est aussi un sacré allié.



Et puis il y a Vaishali, le femme du miroir, Jolo, l'homme-corbeau et puis Siyah, la panthère…



Mais je ne vais pas tout vous dévoiler.



La fille sans nom est une formidable aventure en équilibre sur un fil qui pourtant bascule parfois dans l’ombre et à d'autres moments dans la lumière. La magie y tient une grande place. A travers le combat des mages et des sorciers, on découvre un monde parallèle époustouflant, Ether, où la violence est aussi présente que sur Terre.



Camille est une héroïne très étonnante et son histoire l’est toute autant.



La magie de ce roman, sans l’utilisation d’aucune rune, a vraiment opéré sur moi.



C’est une très belle surprise pour ce roman et un coup de coeur inattendu.
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L'école de Pan, tome 4 : Etranges créatures

se livre est bien
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L'école de PAN, tome 1 : Le cube mystérieux

jaime bien sa ouais
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J'ai suivi un nuage

J'ai adoré ce petit roman jeunesse qui aborde le thème de la bipolarité magnifiquement écrit avec une plume douce, subtile, et à la fois percutante. A mettre entre toutes les mains.
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Galymède : Fée blanche, ombre de Thym

J'ai apprécié cette lecture grâce à l'univers de Maëlle Fierpied. Un univers féérique dans lequel on croise, au fil de l'histoire, différents personnages de contes de fée. C'est assez amusant, d'autant plus que le livre n'est pas exempt d'humour.



Malgré une histoire sympathique, un style très agréable, l'univers féérique que j'affectionne, l'humour auquel j'ai adhéré, il m'a manqué quelque chose pour être réellement emballée. J'ai suivi les aventures de la petite fée blanche Galymède, mais pour moi l'intrigue était insuffisante. Il m'a manqué un brin de suspens, même si plusieurs questionnements étaient présents. Drôle de sensation. Peut-être n'était-ce pas le moment pour moi de le lire...



C'est un livre destiné aux adolescents, pourtant je trouve qu'il convient parfaitement aux adultes pour plusieurs raisons : le style de l'auteur, l'humour, les références littéraires et cinématographiques, ainsi que le vocabulaire employé. Il m'a fallu faire quelques petites pauses "dictionnaire". Ce n'est donc absolument pas un livre simpliste.



A lire donc, pour les personnes friandes des univers féériques. C'est tout de même une chouette lecture.
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La fille sans nom

Parce qu'elle se sent mal, pas à sa place, Camille fugue de chez elle. Prise pour un garçon, elle se fait embauchée sur une péniche dont le propriétaire n'est autre qu'un mage, qui lui vole sa mémoire pour la réduire en esclavage. Comment pourra-t-lui échapper alors qu'elle ne sait même plus qui elle est ?



Si l'on est dès le départ dans le fantastique, j'ai été étonnée par la deuxième partie de l'histoire, qui bascule dans une univers malgré tout très différent, mais très riche, lorsque Camille apprend qui elle est. Le lien avec sa panthère m'a plu particulièrement. J'aurais aimé que cette partie de l'histoire soit davantage développée. Malgré tout une histoire très prenante qui se lit d'une traite.
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Galymède : Fée blanche, ombre de Thym

Sous ses airs de jeune fille, Galymède cache un secret : quand la nuit tombe, de belles ailes blanches se déploient dans son dos et elle part à la recherche d’une petite fille à protéger afin de remplir son rôle de marraine. Seulement, dans notre monde rares sont ceux qui croient encore à l’imaginaire, à la magie et c’est ainsi que de nuit en nuit, le rôle de Galymède se réduit à peau de chagrin. La jeune Galymède se met alors à broyer du noir si bien que ce n’est pas seulement son humeur qui est affectée mais également son apparence : ses cheveux blancs et sa peau claire se modifient pour adopter des teintes plus foncées. La situation devient urgente pour Galymède : si elle se laisse aller ainsi elle risque de devenir une fée noire …



Il y a de très bons ingrédients dans ce roman et j’ai aimé me replonger dans un univers de féérie dans lequel je ne m’étais pas laissée aller depuis longtemps. C’est d’abord non sans quelque appréhension que j’ai commencé ma lecture… pour la poursuivre avec délice ! L’auteure, Maëlle Fierpied, nous envoûte dans cette quête initiatique où Galymède va devoir partir à la recherche du Vénérable Elfe-Chêne qui devrait pouvoir l’aider à déterminer ce qu’elle veut devenir. Accompagnée de son ami Grand et plus aussi méchant Loup, Galymède part en Féérie dans une quête qui la mènera plus loin que sa propre recherche d’identité.



Maëlle Fierpied connaît très bien l’univers de la féérie, suffisamment en tout cas pour parsemer son récit de références littéraires ou autre qui en donnent d’autant plus corps. J’ai eu l’impression d’y voir quelque fois un humour à la Donjon de Naheulbeuk (ce n’est peut-être qu’une interprétation de ma part mais j’ai trouvé que beaucoup de répliques décalées fusaient de la même manière). Malgré quelques longueurs ressenties vers le dernier tiers du livre je ne regrette pas ma lecture, loin de là, car ça a été une véritable surprise de découvrir dans quelle histoire le Vénérable Elfe-Chêne avait pu embarquer notre Galymède.
Lien : http://vivre-livres.blogspot..
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La fille sans nom

Camille n’en peut plus de ses parents et de l’ambiance chez elle. Une nuit elle fugue et elle se retrouve embarquée comme esclave sur la péniche d’un homme qui se révélera être un mage. Avec lui elle va quitter son monde pour rejoindre un monde parallèle empli de magie. Là lui seront révélées ses origines…

Un roman très inventif, prenant et aux personnages très attachants. Les décors sont bien décrits et on y est complètement transportés. Un très bon roman de fantasy à la superbe couverture. La fin laisse présager un éventuel tome 2.

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La fille sans nom

...On plonge tête la première dans la vie de notre jeune héroïne qui est attachante et pleine de courage, on la suit avec hâte dans ses péripéties, on tremble avec elle, on court, on rit, bref on vit ! Son chemin sera semé de rencontres plus insolites les unes que les autres, avec des créatures terrifiantes et d'autres à l'apparence humaine (ou pas). L'originalité de cet univers est le vrai point fort de l'histoire avec l'écriture de l'autrice qui est fluide et accessible dès 13 ans. Le nombre de pages est important mais le dynamisme de l'histoire nous fait avaler les chapitres à un rythme effréné. J'ai donc adoré ma lecture ! Je ne peux que vous conseiller de la découvrir également pour vous dépayser et surtout passer un super moment aux côtés de Camille, qui va vous en mettre pleins les yeux !
Lien : https://booksetboom.blogspot..
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