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Critiques de Maria Dueñas (124)
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Demain à Santa Cecilia

María Dueñas nous promène entre la Californie, l'Espagne actuelle et aussi celle des années 50-60 pour nous offrir une belle histoire, complète. J'ai tout particulièrement aimé cette plongée dans l'Espagne des années 50-60 au côté d'un professeur américain, élève de Fontana, animé d'une passion dévorante pour ce pays.



Et puis, ses personnages sont très travaillés et attachants, on prend plaisir à les suivre et à les voir évoluer au fil des pages. C'est le genre de livre que j'aime beaucoup lire, qui présente la vie, les relations entre les gens de manière simple, vraisemblable et où les événements qu'ils traversent trouvent un écho dans notre vécu.
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L'espionne de Tanger

Texte original : El tiempo entre costuras.

Sous une trame shématique, nous découvrons plusieurs lectures parallèles, qui se convertissent en roman d'amour, roman historique et politique, d'apprentissage et d'espionnage.

Tout écrit avec une plume délicate bien que l'époque narrée (la guerre civile) est assez dure.

Très beau livre.
Lien : http://reveriesdelecteurs.sk..
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L'espionne de Tanger

Un roman gouleyant, qui nous fait découvrir notamment la Guerre civile espagnole sous un autre angle.
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Les trois filles du Capitán

Les familles ont traversé l’océan. Elles ont quitté un continent et débarqué sur un autre. Elles ont fui un pays et abordé un nouveau monde. Et pourtant dans les veines, circule toujours un air du pays. Une trace indélébile qui, dans les pires moments à venir, leur permet de tenir. Chez les espagnols, survit la musique, la danse et ce chant, ancien, mythique, comme seul langage, qui coule dans le regard langoureux, glisse sur le déhanchement des filles, file dans les engueulades et demeure entêtant. C’est une saga autour de trois sœurs, belles et renversantes, pauvres et malmenées. Les années 1930 sont difficiles, l’intégration délicate, le bonheur impossible. Se dévoile l’histoire de la communauté espagnole à New-York. Surgit ainsi, sous nos yeux, l’image d’une population fracturée qui préserve, malgré tout, ses vibrations sonores et lumineuses, qui rêve de beauté et de grandeur, et qui nous emporte, nous submerge comme un tango un soir de grand bal et vous fait voltiger dans un ciel éclatant d’espoirs.
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Demain à Santa Cecilia

Croisement deux histoires , deux époques



Aujourd'hui :

Blanca universitaire espagnole partie en Californie pour oublier, soigner son chagrin ( infidélité de son mari) où elle a postulé pour une mission temporaire classer des documents

Elle va croiser la route de Daniel



Hier :

Daniel universitaire américain part en Espagne pour approfondir ces connaissances



Je n'ai pas accroché, je me suis perdue dans l'histoire par trop de longueur
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L'espionne de Tanger

Une histoire rocambolesque et riche en péripétie, se déroulant entre l'Espagne et le Maroc. Une intrigue véritablement dans un décor qui est particulièrement propice à l'imagination ( le Maroc autour de 1930...). Pas étonnant d'ailleurs qu'une série ait été tournée sur la base de cet livre.

L'héroïne est attachante et le livre se lit avec un constant plaisir. Toutefois il ne faut pas en attendre plus qu'il ne paraît promettre car la résolution est banale. Et finalement une fois arrivé à la 687ème page on se dit que cette l'on pris du plaisir à le lire, mais dans un genre définitivement mineur.
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Les trois filles du Capitán

Les trois filles du Capitan de Maria Dueñas est un pavé d’un peu plus de 600 pages que j’ai eu du mal à terminer : je me suis ennuyée mais j’ai tenu jusqu’à la fin par respect pour les autres livres lus à l’auteure.



Ce livre raconte l’arrivée à New York vers 1935 de Mme Arenas et de ses trois filles. Elles débarquent depuis le Malaga natal afin de rejoindre leur mari et père, un éternel voyageur que les filles ont peu fréquenté.

Emilio Arenas rêve d’exploiter un bistrot de quartier servant des repas bon marché pour les compatriotes, très nombreux dans ce quartier et de se faire aider par sa famille.



Ainsi, l’écrivaine met en parallèle deux mondes : une Espagne arriérée et pauvre qui prépare déjà sa guerre mortifère et un Manhattan rutilant, opulent et très compétitif déjà en 1936.

Les trois soeurs Arenas ont le sang chaud des espagnoles et elles seront projetées dans un monde différent, vertigineux, multiculturel, mais un monde où tout est possible si on travaille avec ardeur, persévérance et bonne chance, en faisant les bonnes options.

Cela sera complètement raté pour cette famille orpheline de père car celui-ci périra 3 mois après leur arrivée, dans un accident portuaire.

Mère et filles essaieront de survivre mais elles iront d’échec en échec et ce, malgré une témérité certaine. En même temps qu’elles ne manifestent aucun désir de s’intégrer ni d’apprendre cette nouvelle langue. Elles ne pensent qu’à retourner à Malaga. Elles semblent si anachroniques dans cet endroit.

Ainsi, rien ne sera comme cela avait été rêvé, rien.



Une lecture laborieuse pour moi, interminable, intéressante par le côté documenté sur l’immigration espagnole à New York en 1935.

Actuellement on adapte le livre pour le cinema.
Lien : https://pasiondelalectura.wo..
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Soledad

Soledad est un roman d'aventure se déroulant au XIXe siècle, en Amérique latine. Mauro Larrea, un propriétaire de mines à México, parti de rien, se retrouvant ruiné suite à un mauvais placement. Pour sauver ce qui lui reste et préserver son avenir ainsi que celui de sa fille et son fils, il part pour Cuba. Un pari fera de lui le propriétaire de terres viticoles appartenant anciennement à la famille de Soledad Montalvo.

A travers cette histoire qui n'échappe pas à de nombreux clichés et lieux communs, l'auteure aborde l'histoire coloniale espagnole, la fougue et les rebondissements incessants des relations entre les locaux et les "conquistadors", et les débuts du commerce. Même si l'histoire est très attendue, c'est un roman plutôt divertissant.
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Demain à Santa Cecilia

Maria Duenas

Demain à Santa Cécilia

423 P.

J'ai lu son premier roman " L'espionne de Tanger". J'en garde un délicieux souvenir !

Je me suis plongée dans ce roman tout aussi délicieux :

1/ La couverture est très parlante. Que veut bien nous dire cette femme qui nous tourne le dos ?

2/ Notre héroïne quitte son pays l'Espagne pour rejoindre la Californie. Elle va nous décrire la vie de deux hommes et remonter le temps.

3/ Quelle joie ! Une femme écrivant sur la personnalité et le caractère de ces deux protagonistes. Tout est si bien décrit . La recherche historique et littéraire est méticuleuse.

4/ Mon vocabulaire s'est enrichi , il est tellement précis , .

Une saga longue mais tellement riche, je ne vous pas parle de la fin , le puzzle est fini.

QUATRIEME DE COUVERTURE:

A trente cinq ans , Blanca Perea s'est construit une existence qu'elle croit solide : un mariage qui dure depuis vingt cinq ans , deux grands fils bien dans leur peau et une carrière universitaire honorable. Mais son mari la quitte. Dévastée , elle n'a plus qu'une idée : fuir l'Espagne et ses souvenirs. Elle accepte un emploi temporaire à Santa Cécilia en Californie. Elle est chargée du classement des archives d'Andres Fontana , professeur réputé, mort en 1969.
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Les trois filles du Capitán

Une vraie saga familiale aux couleurs de l'Amérique dans les années 30 et quelle réussite !!

On retrouve ici trois sœurs : Victoria, Mona et Lisa; trois sœurs au tempérament différent qui vont apporter une vraie fraîcheur à ce roman.

Victoria: l’aînée, est la plus timide face à ce changement et à la découverte de cette société américaine; Mona: la cadette, est celle qui s'affirme le plus puis il y a Lisa: la plus jeune et la plus rêveuse, naïve.

Leur père Emilio, a souhaité les faire venir d'Espagne et c'était sans prévoir sa mort prématurée à leur arrivée. Toutes les trois vont se retrouver sur ce nouveau continent au code encore inconnu et vont devoir gérer El capitan : le bar restaurant crée par leur père.

C'est une magnifique fresque familiale, j'ai adoré les voir évoluer dans ce New York d'antan.

Leurs caractères bien trempés et leur envie d'indépendance en font des femmes fortes qui parviennent à s'imposer dans cet univers masculin et où les immigrants livrent un combat quotidien.

C'est qu'il leur faudra redoubler d'efforts pour parvenir à leur fin et c'est passionnant.



Trois drôles de dames qui nous captivent du début à la fin .

Je remercie les éditions Robert Laffont et Netgalley pour m'avoir fait découvrir ce roman que l'on dévore du début à la fin.
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Les trois filles du Capitán

J’ai passé un très bon roman en compagnie de ce roman, qui a réussi à aborder des thématiques très fortes, tout en offrant surprises et émotions.



J’ai tendance à me jeter à l’aveugle dans les romans historiques. Cependant, en ayant lu quelques uns depuis quelques années, j’ai l’habitude de retrouver une certaine trame, un peu classique. Et ici, j’ai eu la bonne surprise… d’être surprise ! Car au-delà de nous proposer un roman sur des jeunes femmes émigrées dans la grande New York des années 1930, elle offre de belles réflexions sur des thématiques comme le féminisme, l’émancipation, la liberté et la culture.



Maria Dueñas aborde le thème de l’émigration d’une manière qui m’a semblé très juste, abordant le déracinement qu’il entraine (notamment quand il est forcé) de manière très émouvante. Le personnage de Remedios, la mère de famille, m’a particulièrement ému, étant totalement perdu sur cette nouvelle terre, architecture, culture, rythme, sans aucun repaire. Son inaptitude à s’adapter en devient limite grotesque dans le récit, marquant ostensiblement la difficulté des émigrés à s’intégrer dans un nouveau pays.



Au-delà du thème de l’émigration, Maria Dueñas propose un roman résolument féministe. Les trois filles sont bien différentes les unes des autres, mais chacune cherche à s’épanouir et à s’émanciper en s’accrochant à la liberté nouvelle que cette terre leur offre. Entre amours, amitiés, désillusions, espoirs avortés, elles vont apprendre à vivre leurs rêves. J’ai adoré les suivre dans leur apprentissage de ce que ce pays avait à leur apprendre, le bon comme le mauvais. Découvrir New York, partie espagnole, était passionnant !



Maria Dueñas offre un roman très richement documenté, que ce soit sur l’architecture de la ville de l’époque, que sur les modalités d’émigration espagnole de l’époque, et les différentes organisations et associations existantes pour accompagner les exilés. J’ai été totalement embarquée dans l’ambiance folle de la ville, dans le réconfort que le voisinage pouvait apporter aux personnages, et dans le mélange de rêve et de violence que revêt la vie dans ce lieu.



Les trois filles du Capitán fut un très bon moment de lecture, riche en découvertes et en émotions : n’hésitez pas à vous pencher dessus !
Lien : https://matoutepetiteculture..
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Les trois filles du Capitán

A la fin des années 1930, le Captan Arenas, qui a passé sa vie éloigné de sa famille, demande à sa femme et ses 3 filles de quitter l'Espagne pour s'installer à New York et reprendre une cantine. C'est à contre cœur que toute cette famille le rejoint. A sa mort accidentelle, peu de temps après leur arrivée, se pose la question du retour. C’est une nonne marginale qui les convaint de rester à New York et leur propose de défendre au tribunal la demande d’indemnisations pour la mort de leur père à l’entreprise responsable. Mais cette affaire, elle la prend des mains d’un avocat rattaché à la mafia italienne.



Ces trois sœurs Victoria, Mona et Luz sont assez fougueuses et incontrôlables aux yeux de leur mère.  Les aspirations de chacune sont bien différentes comme leur caractère. Victoria l’ainée, la silencieuse et discrète, Mona l’ambitieuse qui essaie de prendre les rennes de l’affaire familiale et Luz, la benjamine, qui veut exploiter ses talents d’artiste quitte à être malmenée



J'ai adoré cette famille, les chamailleries des filles, cette mère un peu bougonne  qui espère marier ses filles mais qui a du mal à contenir leurs ambitions, leur personnalité et ce qu’elles veulent faire de la cantine laissée par leur père. 



L’auteure est une très bonne conteuse, les personnages sont très bien cadrés, bien trempés. J’ai aimé le New York décrit avec toutes ces différentes nationalités qui s’y démènent. J’ai été surprise par un finale haletant où tout s'accélère, les événements et les soeurs se déchainent.



Une lecture bien agréable en compagnie des sœurs Arenas.



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L'espionne de Tanger

Un magnifique roman ! C'est le deuxième livre que je lis de María Dueñas et je ne suis pas déçue.

J'ai un peu patienté avec les débuts de notre héroïne que je n'ai pas forcément trop appréciés mais ensuite c'était top. Une belle reconstruction de personne et un contexte historique Guerre civile espagnole puis Seconde Guerre Mondiale bien retranscrits. J'ai adoré qu'elle se transforme en espionne peu conventionnelle et l'épilogue est également sympathique laissant libre cours à l'imagination du lecteur

Je recommande vivement !
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Demain à Santa Cecilia

Un voyage entre le passé et le présent, des personnages qui ont en commun de quitter l'Espagne pour les États Unis, de manière plus ou moins durable. Des personnages qui essaient de se reconstruire après la perte d'un être cher. Des rencontres amicales, amoureuses. J'ai adoré ce livre plein de vie et d'optimisme qui nous fait voyager avec ses personnages. On ne s'ennuie pas, c'est très agréable à lire, très vite on n'a plus envie de s'arrêter car on veut en savoir plus sur les personnages, leurs quêtes, leurs secrets et leurs drames
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L'espionne de Tanger

Léger, frais, bien écrit, Sira nous entraîne dans ses aventures, et on ne peut lui lâcher la main ! Couturière, espionne, amoureuse, libre, aventurière, je l'aurais bien suivi au delà de la dernière page. J'ai passé un excellent moment de lecture en compagnie de ce livre. Gracias Maria
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Sira, le retour à Tanger

La Seconde guerre mondiale est terminée. Sira, l’héroïne de L’Espionne de Tanger, suit son mari Marcus, qu’elle avait épousé en secret, à Jerusalem, où la tension politique monte à la veille de la proclamation de l’Etat d’Israël. Devenue tragiquement mère et veuve dans la même journée, elle part pour Londres où son passé la rattrape. Ses anciens correspondants, avec lesquels elle traitait lorsqu’elle épiait les épouses de nazis dans la Madrid franquiste, la persuadent d’accepter une mission de premier plan : il s’agit, dans l’intérêt de la couronne britannique, de cerner personnalité d’Eva Peron en voyage officiel en Espagne.

Bien que l’histoire soit assez convenue, il faut reconnaître à Maria Duenas un certain art de créer des univers riches et denses dans lesquels évoluent des personnages attachants dont les existences sont palpitantes à souhait. Il faut se laisser emporter sans hésitation par ce tourbillon d’événements, de caractères et de paysages car même si certains passages semblent quelque peu irréalistes, l’ensemble, fort bien documenté au demeurant, est tellement romantique.
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Les trois filles du Capitán

Un roman où dès le début j'ai eu envie d'en découvrir plus sur ces trois jeunes femmes et leur avenir.



Ce que j'ai aimé, c'est la petite histoire dans la grande histoire. En effet, en plus de suivre cette famille qui essaie à tout prix de s'en sortir avec des hauts et des bas, c'est aussi l'histoire de ces immigrés à New York dans les années 30. Comment se faire une place, comment tenter sa chance dans cette grande ville.



Les personnages bien que très différents, sont tous intéressants et leur description très réussie.



Des chapitres courts qui nous plongent dans l'histoire, on a hâte de tourner les pages... Addictif.



Une très belle découverte qui me donne envie d'en lire d'autres de cet auteur.
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Les trois filles du Capitán

Ce roman plonge le lecteur dans l’Amérique des années 1930. Suite au décès du père de la famille, les trois filles et leur mère, immigrées Espagnoles fraichement arrivées à New York, doivent prendre en main leur destin. Rentrer en Espagne ? tenter leur chance à New York ?



Le style d’écriture est fluide et agréable. Les descriptions, fidèles au New York de l’époque, plonge le lecteur dans l’ambiance. Les trois sœurs, au caractère bien différent, sont attachantes. J’aurais aimé que la personnalité de chaque personnage soit un peu plus complexe, pour donner du piment à l’histoire. En effet, on cerne assez rapidement dans le roman les principaux traits de caractère, ce qui rend certaines situations prévisibles et atténue l’effet de surprise.



Sans être un mes coups de cœur, les trois filles du capitan demeure un roman plaisant, à l’intrigue originale et bien documentée, et qui mérite d’être lu.
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Soledad

Espagnol de naissance et mineur de métier, Mauro Larrea a fait fortune dans les mines d’argent du Mexique avant de tout perdre. Il n’a d’autre choix que de quitter son pays d’adoption pour Cuba où il tente en vain de « se refaire », jusqu’à ce que, par un incroyable coup du destin, il se retrouve sans débourser un centime propriétaire d’un domaine viticole autrefois prospère à Jerez de la Frontera, dans le sud de l’Espagne. Il embarque pour l’Espagne bien décidé à revendre terres et maison au plus vite afin d’honorer ses dettes, mais les rencontres qu’il va faire et les secrets qu’il va découvrir vont en décider autrement.

Aventure, argent, amour, honneur, secrets, rivalités et remords sont au menu de ce roman pittoresque et étourdissant où les révélations éclairent chapitre après chapitre une histoire de famille sombre et passionnée. Maria Duenas nous livre un grand film qui nous emporte au loin, sans prétention, juste pour le plaisir de raconter une belle histoire.

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Sira, le retour à Tanger

Sira poursuit ses missions secrètes à travers l'Europe, un destin de femme exceptionnel pour ces années 1946-47. L'occasion de retrouver la belle plume de l'auteure, Maria Duenas, et ses connaissances biographiques qui enrichissent ce roman historique.
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