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Critiques de Maxe L`Hermenier (714)
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La Belle et la Bête, tome 1 (BD)

L'histoire de la Belle et la Bête revisitée en bande dessinée. Une bonne idée, l'intrigue est originale et est très différente d'autres versions plus connues. L'aventure est très sympa à suivre et donne envie d'être poursuivie ! Les dessins sont très plaisants également.
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L'homme qui a séduit le Soleil : 1661 quand M..

C’est par des chemins détournées que nous allons rencontrer Molière, car notre personnage principal est en fait un jeune garçon prénommé Gabriel qui ne rêve que d’une chose : travailler dans le monde du théâtre, être comédien.



Une rencontre inattendue



Tous les jours, Gabriel se rend au Pont-Neuf où il joue de courtes pièces improvisées afin de gagner son pain du jour. Ce qu’il ne sait pas encore, c’est que Molière l’observe, intéressé par son jeu de scène, sa façon d’être. Il va ainsi se présenter à un Gabriel complètement abasourdi qui ne croit pas à sa chance.



Mais le métier auquel aspire Gabriel cache de nombreuses difficultés sous les paillettes et les rires mondains....



lire la suite sur le blog !
Lien : http://glowmoonlight.unblog...
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Wakfu Heroes, Tome 2 : Percimol

La colère gronde au sein du village des Flaqueux!

Alors que le village est régulièrement attaqué par les Taures, des voix s'élèvent contre l'inaction pronée par le Chef du Village qui n'a d'yeux que pour la Grande Eau. A la tête de la révolte : Percimol, un petit flaqueux dont l'enfance a été bercée par la légende de l'Epouvantail qui protègerait le village. Mais comment vaincre ces terribles bovidés lorsqu'on est un flaqueux ?



Deuxième tome, toujours aussi magnifique au niveau des dessins (la qualité des dessins chez Ankama semble devenir une marque de fabrique dont nous ne pouvons que nous réjouir) et toujours aussi intéressant au niveau scénario.



Vivement le troisième volet !





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Wahkan (BD)

Cette BD est une vrai déception ! Pourtant elle partait super bien !



Nous sommes à Paris, lors de l'exposition universelle. Mais ce n'est pas le Paris que nous connaissons, c'est un Paris steampunk. Un meurtrier sévit dans les parages de la Tour Eiffel et une jeune femme appartenant à la police est chargée d'enquêter sur cette affaire, avec l'aide du nouveau stagiaire.



Cette histoire démarrait vraiment très bien. J'aimais beaucoup le côté steampunk de l'histoire. Nous avions aussi un personnage féminin assez atypique dans ce genre d'univers. Une jeune femme indépendante, forte, qui exerce un métier par facile et dans lequel les femmes sont rares (de ce que j'ai pu comprendre de l'univers). Il y a cette histoire de meurtrier en série. Non vraiment, ça partait bien.



Et puis, très rapidement, c'est devenu du grand n'importe quoi. Les personnages sont devenus de vraies caricatures. L'enquête se poursuivait mais tout était tiré par les cheveux. Les enquêteurs parvenaient à des déductions sans qu'on comprenne comment. Les indices tombaient comme des cheveux sur la soupe. Tout allait très vite, et on n'avait aucune explication. J'espérais que tout s'éclairerait à la fin, mais non absolument pas. On nous a rajouté une histoire de société secrète amérindienne. Mais on n'a vraiment eu aucune explication. Ou alors, vraiment, je ne les ai pas comprises.



Niveau dessins, ça remonte un peu le niveau. J'aime bien le style. Ce que j'aime dans le steampunk, c'est aussi cette grand liberté au niveau des décors, des costumes, de la technologie. Visuellement, c'est assez chouette. Mais ça n'a pas suffi à me faire apprécier cette BD.



Non, vraiment, je suis très déçue !
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N.É.O., tome 1 : La chute du soleil de fer (..

Une Bande dessinée captivante ! Une histoire dystopique sur le thème déjà largement abordé des enfants survivants d’un univers sans adulte, qui sort un peu du lot, en proposant une intrigue dans laquelle les enfants rescapés forment deux clans : les sauvages, réfugiés dans la Tour Eiffel, et les privilégiés, vivant selon trois niveaux culturels, dans les sous- sols du musée du Louvre.



« Malheureusement, personne ne s'est aperçu qu'un poison s'était glissé dans l'air. Un poison inodore, incolore, indétectable, qui se mélangea à l'air. » Nos protagonistes sont orphelins. Ils ont poussé mystérieusement dans des espèces de clans très différents l’un de l’autre.



« - J'ai aussi besoin de toi pour autre chose, Bill. Il nous faudra une raison pour déclarer la guerre.

- Refuser de crever, ça ne suffit pas ? » Les « sauvages » du clan du tipi sont avant tout des chasseurs. Mais voilà que les animaux disparaissent à leur tour, mystérieusement empoisonnés. Qui les prive de nourriture ? Leurs soupçons désignent les habitant du clan du château…



« Je te retrouverai, Alixe.

Et même si nos deux camps décident de faire la guerre, on se retrouvera pour sauver la paix ! » Le brave Zyzo est envoyé en tant qu’éclaireur dans le château. Mais très vite, ses bons sentiments vont faire de lui un prisonnier, puis le nouvel ami de la reine, la généreuse Alixe. Mais leur bonne entente leur permettra-t-elle de faire régner la paix entre leur clan respectif ?



Au final, une histoire qui m’a captivée. J’ai beaucoup aimé les personnages, le dessin et l’intrigue. Je me demande comment va évoluer l’histoire…

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Un chant de Noël de Charles Dickens

Tout le monde connaît l’histoire d’Ebenezer Scrooge, un vieil homme d’affaires aigri, aussi avare d’argent que de sentiments, qui reçoit la visite de trois fantômes prêts à tout pour raviver la gentillesse et la générosité enfouies au fin fond de son cœur de pierre. Les Contes de Noël de Dickens regorgent d’histoires incontournables à lire durant la période de Noël et ne manquent pas, chaque année, de donner naissance à diverses adaptations aussi bien graphiques que cinématographiques. En effet, ce sont des récits qui continuent de plaire et de nous fasciner au fil des années car je pense qu’ils réveillent en chacun d’entre nous ce qu’il y a de meilleur et nous rappellent ô combien il est important de profiter de ses proches tant qu’ils sont à nos côtés.



Alors quand j’ai vu qu’il y avait une nouvelle adaptation en bande dessinée du conte « Un chant de Noël », qui plus est scénarisée par Maxe L’Hermenier – il faut savoir que j’avais eu un réel coup de cœur pour son adaptation du roman de Jean-Claude Mourlevat, La Rivière à l’envers –, je n’ai pu être que joie d’avoir l’opportunité de la découvrir grâce à Babelio et aux éditions Jungle, que je remercie chaudement pour leur envoi. Je ne vais pas réécrire un énième résumé de cette œuvre magistrale – il me semble que sa notoriété ne nécessite pas que je le fasse – mais je vais plutôt m’attarder sur l’interprétation que nous proposent L’Hermenier et Labourot.

Tout d’abord, j’ai lu le conte originel l’année dernière et je peux dire que l’écriture étoffée et délicieusement surannée de Charles Dickens est encore fraîchement gravée dans ma mémoire. C’est donc avec beaucoup de plaisir que j’ai redécouvert l’histoire avec une écriture ma foi plus contemporaine – dans le sens accessible – qui à mon sens pourra réconcilier les lecteurs fâchés avec la plume dickensienne.



J’ai retrouvé toute la magie de ma lecture au sein de cette adaptation. Les illustrations sont à couper le souffle et sont la parfaite représentation de ce que je m’imaginais de l’histoire. C’est drôle car je visualisais tout de la même manière : l’apparence des trois fantômes, les lieux et décors… Tout était extraordinairement identique à ma vision de l’histoire. Bien qu’il y ait moult indications physiques et spatiales dans le conte de Charles Dickens, il y a toujours une part d’inconnu laissant libre cours à notre imagination. Or j’avais presque l’impression que c’était ma version du conte qui était retranscrite dans cette bande dessinée, et j’ai trouvé ça incroyable. De même que j’ai retrouvé la même émotion que lors de ma lecture du conte. Les personnages me semblaient tellement familiers et je m’y suis attachée dès le départ. J’ai refermé cette bande dessinée avec un grand sourire aux lèvres, je ne manquerai pas de m’y replonger au Noël prochain car je l’ai vraiment beaucoup aimée.



Ce n’est pas facile de faire tenir un conte aussi dense, complexe et profond en une cinquantaine de pages, et pourtant ici c’est une très belle réussite. Pour conclure, cette adaptation est un bien joli hommage au célébrissime « Chant de Noël » de Dickens, plutôt très fidèle à l’original, sans pour autant en être le copié-collé, ce qui la rend d’autant plus remarquable.
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Fils de sorcières, tome 1

PIERRE BOTTERO. Il n'a fallu que ça pour que je l'emprunte. Sans réfléchir. Cet auteur, c'est toute mon enfance. Quelle a été ma peine quand j'ai appris son décès.. Cependant, je n'avais jamais lu son roman. Je ne peux donc pas faire de comparatif avec l'adaptation. Celle-ci est plutôt chouette à lire avec une ambiance très jeunesse mais dont le scénario m'a semblé bien simple. Le graphisme enfantin et ce scénario magique m'ont fait penser aux ambiances créées par Roald Dahl.
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La ferme des animaux (BD)

Maxe L'Hermenier & Thomas Labourot adaptent le très bon roman de George Orwell en bande-dessinée jeunesse.



De ce que je me souviens du roman d'Orwell, l'histoire est fidèle au texte. J'y ai retrouvé la même force de conviction, les mêmes émotions, la même structuration de la pensée. L'aspect graphique apporte un vrai plus au texte. Les dessins sont colorés, travaillés, expressifs, détaillés : tout ce que j'aime ! Mais leur vrai point fort c'est de rendre plus accessible ce superbe texte aux plus jeunes. Par les dessins comme par les mots, les auteurs ont su simplifier, sans dégrader, l'histoire de George Orwell et l'évolution autoritaire de la belle utopie du début.



En bonus, un dossier pédagogique sur le communisme et une sorte de fiche de lecture sont présents en fin d'ouvrage. J'avoue que je n'ai pas trouvé le dossier sur le communisme très convaincant. Un peu trop réducteur et orienté pour que ce soit vraiment pertinent. Mis à part cela, c'est une excellente adaptation en bande-dessinée.
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N.É.O., tome 1 : La chute du soleil de fer (..

J'avoue que j'étais au préalable très intriguée par le Roman jeunesse N.E.O. de Michel Bussi, qui avait été proposé lors de la masse critique d'octobre ou novembre dernier, si mes souvenirs sont bons. Cette idée de monde post-apocalyptique où des enfants sont livrés à eux-mêmes, scindés en deux camps, celui du Tipi (la Tour Eiffel) et le Château (Le Louvre), m'intriguait beaucoup. J'avais postulé pour le recevoir, je n'avais pas été sélectionnée mais je gardais ce titre dans un coin de la tête, on ne sait jamais si je croisais son chemin au détour d'un rayon de ma médiathèque.

Et voilà qu'il y a quelques semaines, je reçois un mail de Pierre dans le cadre d'une masse critique privilégiée, me demandant si cela m'intéresserait de lire et critiquer la BD issue de ce roman. Ni une, ni deux, même si je ne lis que très très rarement du graphique ou de la bande dessinée, j'ai accepté sans la moindre hésitation.



J'ai fait le choix de ne pas lire le roman afin de ne pas comparer les deux oeuvres. Le risque étant bien évidemment qu'une BD ne puisse pas apporter toutes les réponses aux questions que je pourrais éventuellement me poser, le procédé d'écriture, voire de création, n'étant absolument pas le même, me retrouvant donc indubitablement frustrée par ma lecture. Ce qui peut être étoffé dans un roman ne pouvant pas l'être dans une oeuvre graphique.

Déjà, je vous rassure tout de suite, j'ai compris l'histoire. C'est une très bonne idée que de placer un plan simplifié de la ville de Paris ainsi que les descriptions sommaires de quelques personnages que nous retrouverons le long de l'oeuvre. Ensuite, la BD est suffisamment longue et les planches assez fournies et détaillées pour s'immerger dans l'intrigue, chose très importante selon mes critères. J'ai pris beaucoup de plaisir à suivre les enfants des deux camps, me prenant d'affection pour deux ou trois d'entre eux, et en trouvant d'autres assez troublants, ressemblant davantage à des adultes miniatures. J'avoue tout de même que la répartition entre les deux est assez inégale, j'ai pris davantage de plaisir à retrouver ce que qui se passait dans le Château qu'au sein du clan du Tipi.

Même s'il y a une fin à cette BD, on sent quand même qu'il ne s'agit que d'un tome 1 car plein de questions restent en suspens, le petit bémol que je pourrais alors émettre est cette fin de premier tome un peu trop précipitée selon moi.



S'agissant des dessins, je suis loin d'être une spécialiste mais je peux donner mon avis comme tout un chacun. Je les ai trouvés dans l'ensemble assez bien réalisés, plaisant à regarder, mais j'ai préféré la reconstitution des lieux aux personnages, ne trouvant pas leurs traits très harmonieux pour certains, alors que d'autres sont au contraire plutôt réussis. L'ensemble est cependant assez réaliste et j'ai trouvé le tout harmonieux voire même élégant. La palette de couleurs utilisée correspond très bien à l'ambiance de l'histoire.



Dernière chose, mais non des moindres: il y a une très grosse faute de conjugaison (participe passé) page 22, s'il vous plaît, rectifiez le tir!

(Il y en a peut-être d'autres mais celle-là m'a sauté aux yeux.)



En résumé, ce fut une lecture graphique plutôt plaisante et reposante qui pourrait plaire aux jeunes adolescents au vu des thèmes abordés et de l'âge des protagonistes. Je lirais avec plaisir le roman dont la BD est issue ainsi que la suite car, comme je le disais préalablement, j'ai quelques questions en tête après ma lecture et j'aimerais beaucoup avoir les réponses. Je ne suis pas le public visé (cela fait longtemps que je ne suis plus une ado moi-même et, en prime, je ne lis que de manière très très occasionnelle du graphique) mais je me suis rendue compte que cela m'avait finalement bien plu.



Un grand merci à Pierre de Babelio pour me l'avoir proposée dans le cadre d'une masse critique ainsi qu'aux éditions Jungle pour l'envoi.



Lu en mai 2021





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L'enfant Océan (BD)

Je n'aime pas particulièrement les bandes-dessinées mais celle-ci m'a transportée. Cette réécriture du Petit Poucet est une vraie pépite. Les dessins sont vraiment très beaux, les personnages sont très bien croqués. L'histoire est si belle, onirique et très touchante.

J'ai été conquise par l'histoire de Yann et de ses frères et de son envie de découvrir l'océan. Je vais vite lire le roman de Jean-Claude Mourlevat.



Challenge Multi-Défis 2021
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La rivière à l'envers, tome 2 : Hannah (BD)

Et voilà que je termine le second tome de cette adaptation BD et comme pour le roman, j'ai eu un petit pincement au coeur en tournant la dernière page. Un peu triste de quitter cette sublime histoire très joliment mise en images.

La colorisation a cet aspect onirique qui entoure l'ensemble de cette aventure. L'histoire d'Hannah est tout aussi remplie de merveilles que celle de Tomek. Du désert à la forêt, de la mer à la fameuse rivière Qjar. Le but ultime de cette quête étant quelque part occultée par les vies que traversent la jeune Hannah.

Le rythme respecte bien celui du roman, sans brusqueries. Cette aventure coule telle la rivière, tout en fluidité et en douceur. Une magnifique adaptation BD qui donne envie de replonger dans le roman.
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La Rivière à l'envers, tome 1 : Tomek (BD)

D'après le roman de Jean-Claude Mourlevat.

Avec le tome 2, ce sont 2 récits qui se mêlent, s'entrecroisent, avant, autour de la rencontre entre Tomek et Hannah et après. Le point pivot : la quête de l'eau de la rivière Qjar, dont les propriétés sont exceptionnelles. Deux grandes aventures magiques en solitaire mais dont ils ne sont jamais vraiment seuls, à lire et à relire au coin du feu.



#passerine #boutique #eaumiraculeuse #voyages #fantastique
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La belle et la bête, tome 2

Ce tome 2 s'inscrit dans la parfaite lignée du premier. L'auteur prend quelques libertés sur la forme par rapport à l'oeuvre originale pour lui donner un ton résolument jeune, frais et tend à "détendre" l'atmosphère à travers quelques scènes décompléxées. L'on peut constater son penchant et son parti pris pour désamorcer le côté dramatique de l'histoire dans quelques cases où l'humour, limite potache, est bien présent. je regrette seulement que cet humour frise parfois le ridicule, ou l'exagérément infantilisant. Je regrette également le trait de Looky, ses visages et expressions très "manga" ne conviennent pas à ce genre de récit à mon goût. Mais je ne peux qu'admettre son talent si l'on admire ses graphismes dans leur ensemble. Les planches en pleine et double page sont magnifiques et montrent parfaitement toute l'étendue de son talent. De la même manière les illustrations de couvertures sont superbes, et donnent réellement envie de posséder ces bd.

Côté histoire, j'ai le plaisir de constater que Maxe L'Hermenier a su, malgré quelques libertés assumées, rester fidèle à l'oeuvre d'origine, en en gardant l'essence, les thèmes de l'amour et de la rédemption demeurant le centre et le moteur de son histoire. Le parti pris d'en faire une histoire résolument contemporaine ( cela se ressent surtout dans le langage et le vocabulaire) ne peut que plaire à un public jeune, curieux de se faire une idée juste d'une oeuvre qui a traversé les générations. Il a su, par son talent et sa personnalité, non seulement dépoussiérer mais également insuffler une véritable énergie et une âme nouvelle à cette histoire déjà amplement revisitée ou adaptée.
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L'Enfant Océan

J'ai lu L'enfant Océan pour aider des élèves de 6° à faire leurs devoirs... et je n'ai vraiment pas été déçue.

Un roman qui reprend la trame du Petit Poucet (7 frères s'enfuient en pleine nuit pour échapper à leurs parents), des chapitres courts qui présentent les points de vue de tous les protagonistes (les frères mais aussi les parents et les personnes rencontrées lors de ce voyage vers l'Océan, à part Yann, le héros muet), un héros très attachant et sensible qui a envie de liberté, une fratrie très soudée : j'ai vraiment apprécié cette lecture.
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L'Île du crâne, tome 1 : Groosham Grange (BD)

Le jeune David Eliot est renvoyé de son école très sélect, au grand dam de son père. Pour le punir, ce dernier décide de l'envoyer en pension à Groosham Grange, un établissement réputé très strict. En chemin, Eliot rencontre Jill et Jeffrey, avec qui il se lie d'amitié. Tous trois hallucinent en arrivant au collège... et ils ne sont pas au bout de leurs surprises...



***



Jolie adaptation du roman éponyme d'Anthony Horowitz, L'île du crâne est une #bdjeunesse sombre et entraînante. L'ambiance est glaciale et sombre à souhait ! Les professeurs sont pour le moins étranges, la nourriture est infecte, des créatures rôdent, et des élèves disparaissent en pleine nuit. On est plongé dans une atmosphère horrifique, le mystère règne, la tension monte de case en case.



Je ne garde qu'un vague souvenir (positif) du roman que j'ai lu il y a bien longtemps, je ne peux donc pas dire si l'adaptation est très fidèle ou non. Quoi qu'il en soit, j'ai apprécié cette petite lecture, qui serait parfaite pour Halloween. Les illustrations de Clément Lefebvre nous plongent parfaitement dans cette atmosphère inquiétante, la colorisation notamment est très réussie.



Côté personnages, on a ici un jeune héros un peu rebelle, secondé par une jeune fills tout aussi réfractaire à l'autorité. Deux ados au caractère bien trempé, qui devraient plaire aux lecteurs !



En bref : une bande dessinée intrigante, un peu spooky, pleine de mystère !



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L'Île du crâne, tome 1 : Groosham Grange (BD)

Je n'ai pas lu le roman. D'ailleurs, je ne connaissais même pas son existence, honte à moi. Alors que je cherchais des livres pour ma classe sur le thème d'halloween, j'avoue avoir été attirée par la couverture : elle est vraiment splendide. La préface m'intrigue et m'incite à faire quelques recherches.... la comparaison avec le sorcier le plus célèbre, plagiat ou pas, après tout, je m'en moque un peu. C'est parti pour la lecture. J'adore les illustrations. L'intrigue captive: je suis séduite. J'ai hâte de découvrir le tome 2... pourvu que ce ne soit pas trop long.... en attendant la sortie, je me plongerai peut-être dans le roman.
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N.É.O., tome 1 : La chute du soleil de fer (..

La chute du soleil de fer (2021) est le premier tome de NÉO, bande dessinée de Maxe L'Hermenier (scénario) et Djet (dessin) d'après le roman jeunesse (2020) de Michel Bussi. Dans un monde où les adultes ont disparu, deux bandes rivales survivent tant bien que mal à Paris. Ceux du château (le Louvre), privilégiés et ceux du tipi (la Tour Eiffel), livrés à eux mêmes. Un premier tome bien ficelé et plaisant, servi par des dessins efficaces.
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La ferme des animaux (BD)

Cet album adapte le roman éponyme de Georges Orwell en bande dessinée. Ce dernier a écrit et publié en 1945, cette fable animalière, satire de la révolution russe et du régime soviétique. Je ne sais pas à qui s'adresse cette bande dessinée mais je ne pense pas que ce soit conseillé pour les enfants. Je trouve les pages à la fin très orientées et non nécessaires.
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N.É.O., tome 1 : La chute du soleil de fer (..

Cadeau offert à ma fille, c'est toute la famille qui s'est jetée sur cet album. Peut-être du déjà vu, par certains côtés, comme la série "Seuls", cependant j'ai trouvé les personnages plus profond, plus travaillé. J'ai apprécié l'atmosphère qui se dégage de cette histoire post apocalyptique. Ce premier album laisse des mystères en suspend qu'il conviendra d'éclaircir.
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L'enfant Océan (BD)

Il est des rêves ... il est des cauchemars.

On peut rêver de voir l'océan ... on peut vivre dans des conditions abjectes et misérables.

Il est des contes qui finissent bien ... il est des contes qui ne s'achèvent pas vraiment.

On lit une histoire, on commence par être triste, on finit par « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants » ... on peut lire une histoire où chacun de nous choisit sa fin selon son humeur.

Le Petit Poucet revisité... un décor d'aujourd'hui... des acteurs que l'on croise tous les jours au coin de la rue.

Une mise en image graphique qui nous évoque des paysages parfois terrifiants, d'autres fois évocateurs de l'océan reposant

Et des personnages parfois sympathiques, d'autres fois rébarbatifs destinés à nous faire peur.

Les couleurs accompagnent le dessin avec bienveillance et régalent notre imagination.

Une bien belle adaptation qui me donne envie de découvrir l'œuvre original de Jean-Claude Mourlevat, une belle occasion de rattraper ma méconnaissance de son univers.
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