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Citations de Maya Banks (429)


J’ai dit beaucoup de choses, à l’époque, et depuis aucune femme ne m’avait fait douter de mes choix. Mais Mia. Elle est unique. Je ne peux pas vivre sans elle, Jace. Que ça te plaise ou non, je vais tout mettre en œuvre pour la reconquérir. J’ai besoin d’elle pour être heureux. Je veux prendre soin d’elle, m’assurer qu’elle ne manque jamais de rien. Ça va te paraître dingue, mais j’envisage d’avoir des enfants avec elle. À mon âge ! Je rêve d’avoir une petite fille qui lui ressemble. Je l’imagine déjà enceinte, le ventre arrondi par notre bébé, et ça me bouleverse complètement. Je vois mon avenir sous un jour nouveau, et c’est uniquement grâce à elle. Je n’avais jamais ressenti ça pour personne et je sais que je ne pourrai plus jamais le ressentir pour quelqu’un d’autre.
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— Une dernière chose, ajouta-t-il avant qu’elle ait retrouvé l’usage de la parole. Il ne s’agit pas de jouer des fantasmes, Jodie. Pour moi, c’est la réalité. Peut-être que vos fantasmes correspondent à ma réalité, auquel cas tout va bien tant que vous acceptez que votre fantasme se réalise pour de vrai, en acte. Ne vous engagez pas là-dedans si vous ne pensez pas pouvoir le supporter sur le long terme, parce que, je vous préviens, il n’y aura pas de temps mort. Il n’est pas question de se raconter des histoires pour pimenter notre vie sexuelle sans vraiment y croire. Est-ce que vous me comprenez ? Est-ce que vous vous sentez prête à entrer dans ma réalité de façon permanente ?
— À vrai dire, je ne suis pas sûre de comprendre. Je perçois bien la frontière entre fantasme et réalité. Par ailleurs, j’ai compris que, pour Michael, il ne s’agissait que d’un jeu et que ça ne me suffisait pas. En revanche, je ne sais pas exactement ce que moi, je veux. Alors, si je n’en suis pas certaine, comment pouvez-vous anticiper mes désirs ?
Il lui prit la main de nouveau, un grand sourire aux lèvres.
— Ça, justement, c’est ma responsabilité. Votre rôle est de soumettre votre volonté à la mienne de votre plein gré. À moi d’apprendre à vous connaître et à évaluer de quoi vous avez besoin et envie.
— Ça paraît trop beau pour être vrai, fit-elle remarquer. Vous prétendez que c’est du domaine du réel, mais ça me semble complètement fou.
— Ce n’est qu’en faisant le grand saut que vous comprendrez de quoi je parle, mais croyez-moi quand je vous assure qu’il ne s’agit pas d’un jeu futile. Vous en aurez vite la certitude ; je vous le garantis.
Elle hésita à dire oui sans attendre, à « faire le grand saut », pour reprendre son expression. Pourtant, elle ressentait le besoin d’y réfléchir posément, loin de ce regard séducteur et de cette voix hypnotique.
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-Si tu avais comme je t'aime! s'écria-t-il dans un souffle.Je ne mérite sans doute pas ta bonté,mais j'en ai besoin pour respirer.Tu illumines ma vie,Jodie, et je ne veux plus jamais retourner dans les ombres dont tu m'es tiré.
-Alors reste avec moi au soleil, loin des ombres,répliqua-t-elle doucement.
-Toujours.
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Il passa les deux mains dans ses cheveux et referma les poings tout en se penchant sur elle. Il commença à donner de longs coups de reins, enivré par un plaisir tel qu’il n’en avait jamais éprouvé.

Il avait pourtant connu beaucoup de femmes et ne l’avait pas caché à Jodie, mais elle était différente. Il n’aurait pas su définir exactement pourquoi, mais elle était à part ; elle le touchait d’une façon nouvelle et totalement inattendue. Il se surprenait à penser à long terme, à envisager une stabilité qui n’avait jamais eu sa place dans ses précédentes relations. Rien d’étonnant à cela, peut-être, étant donné qu’il avait partagé toutes ses conquêtes ou presque avec Jace.

Cela faisait des années qu’il ne s’était pas retrouvé seul avec une femme, mais cela lui paraissait tout naturel, à présent. Jodie était une évidence.

Elle était là, à genoux devant lui, soumise mais pas seulement. Elle désirait activement les mêmes choses que lui, tremblante d’excitation à l’idée d’essayer les scénarios qu’il avait imaginés. Elle était parfaite pour lui, cela ne faisait pas le moindre doute.
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 Si c’était mon collier que vous portiez, vous sauriez sans le moindre doute à qui vous appartenez, gronda-t-il. Surtout, vous ne regretteriez pas de vous être soumise à ma volonté et n’hésiteriez pas une seconde à avouer le nom de votre dom. Vous ne ressentiriez pas le besoin de prétendre que ce n’est qu’un bijou sans conséquence. Ça aurait du sens, Jodie. Ça donnerait tout son sens à votre vie, et vous n’en douteriez pas un seul instant.
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Et, de nouveau, il lui donna un baiser. Elle émit un petit gémissement quand leurs langues se mêlèrent, et il eut la sensation qu’il ne pourrait plus jamais se passer de ses baisers. Jamais il n’en serait rassasié. Il mourait de savourer chaque parcelle de son corps. De découvrir ses seins, les moindres replis de sa chair… Il voulait la posséder de toutes les façons imaginables. Jusqu’à ce qu’elle ne doute plus qu’elle lui appartenait et qu’il serait le dernier homme à lui faire l’amour.
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Réprimant un soupir, il prit une pile de dossiers et la posa devant elle.

— Je voudrais que vous étudiiez ces documents. Comme je vous l’ai dit tout à l’heure dans votre bureau, S&G Oil prévoit de restructurer une de ses raffineries. Les dirigeants veulent réduire les dépenses d’exploitation dans le but d’économiser cent millions de dollars. Ils cherchent donc un moyen de fusionner leurs équipes et, dans un premier temps, ils voudraient supprimer au moins trente postes et diminuer les dépenses superflues. En d’autres termes, ils veulent des solutions efficaces et c’est à nous de leur en apporter.

Kylie afficha une mine déconfite.

— Mais, Jensen, je n’y connais absolument rien en restructuration d’entreprises ! Ce n’est pas mon métier.

Il sourit de nouveau et elle marqua un temps d’hésitation, une expression exaspérée sur son visage. Son attitude la trahissait ; il ne la laissait pas insensible et cela ne faisait qu’augmenter son agacement, sans doute.
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Puis, comme si elle rassemblait son courage, elle redressa les épaules. Les yeux pleins de froideur, dénués de toute émotion, elle rejoignit Sam et tendit une main pour qu'il lui donne l'appareil.
—Laisse-moi lui parler, dit-elle à voix basse.
—Oui, Sam, renchérit Tomas, laisse-moi parler à ma nièce adorée.
D'un geste lent, Sam tendit le combiné à Sophie et vit son expression se durcir davantage lorsqu'elle le plaqua contre son oreille.
Sam se leva pour se mettre à ses côtés, mais elle se détourna. Quand il lui toucha l'épaule, elle tressaillit et, d'une secousse, ôta sa main.

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p107

s'il te plait Wade, je dois partir aussi loin que possible des gens que j'aime avant qu'il ne sot trop tard. Le temps m'est compté, si je ne pars pas très vite, il me retrouvera et tuera tous ceux que j'aime.
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Il commença à se déshabiller en traversant son appartement et s'arrêta sur le seuil de sa chambre.Il sourit de plus belle en apercevant Mia, pelotonnée sur son oreiller à lui, la couette jusque sous le menton, profondément endormie.
-Du calme, murmura-t-il doucement à l'intention de son membre déjà durci.Pas ce soir.Il réprima le violent de réveiller Mia en se glissant entre ses cuisses et, après s'être déshabillé en silence,il la rejoignit sous la couette.
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Ses yeux se couvrirent d’un voile blanc et son corps fut parcouru de spasmes. Elle se mit instinctivement en position fœtale ; la fragilité que trahissait ce mouvement frappa Caleb. Elle gémit légèrement, puis elle se mit à sangloter.

— Je vous en supplie ne me faites plus mal. S’il vous plaît, je vous en supplie. Je n’en peux plus. Si vous voulez me tuer, faites-le tout de suite. Mais cessez de me torturer.

Des frissons parcoururent le corps de Caleb tandis que la voix de Ramie, devenue quasi identique à celle de Tori, atteignait ses oreilles. Mon Dieu, était-il en train de voir ce que Tori était en train d’endurer à travers Ramie ?

La scène que décrivait Ramie était horrible. Non seulement parce que sa sœur était, en ce moment même, en train de traverser la pire horreur imaginable, mais aussi parce que, visiblement, Ramie était en train de souffrir avec elle.
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—Tu étais l'appât. Ils attendaient que je vienne à toi. Je me suis tenue à distance aussi longtemps que j'ai pu. Seulement, je suis de plus en plus encombrée et de moins en moins leste. Sous peu, je serai sans défense. Alors je suis venue te rejoindre, avec la certitude que tu protégerais au moins ton enfant.
Sam leva la tête au plafond et ferma les yeux avec exaspération.
—Donc si tu as gardé tes distances, me cachant l'existence du bébé alors que vous étiez tous les deux en danger, c'était pour me protéger.
[spoiler]Un éclat de fureur traversa les prunelles de Sophie. Dans son regard se mêlaient colère, tristesse et angoisse douloureuse.
—Tu sais quoi ? Va te faire voir, lui cracha-t-elle au visage, avant de diriger sa furie contre ses frères : Allez tous vous faire voir.
Elle roula sur le côté et bouscula Donovan afin de se glisser hors du lit. Les jambes en coton, elle se serait effondrée si celui-ci ne s'était pas précipité pour la rattraper.
Elle refusa néanmoins son aide, dégageant vivement son bras. Sous le coup de la douleur, elle devint blême, et un voile sembla passer devant ses yeux bleus.
Sam traversa la pièce pour lui barrer la route. S'assurant de ne pas malmener son bras blessé, il attrapa la jeune femme par la taille et l'attira contre lui.
Elle tenta de le repousser, mais il tint bon.
—Prépare la piqûre, ordonna-t-il à Donovan.
—Non !
Elle se débattait avec une telle vigueur, qu'il finit par craindre qu'elle ne se fasse davantage mal.
—Sam, tu n'as pas le droit de m'obliger à rester. Ils vont me retrouver ! Tu es dingue ? Je comprends que tu te fiches de ce qui peut bien m'arriver, mais, je t'en supplie, pense au bébé. Ton enfant ![/spoiler]

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— Je jure n'avoir aucune idée de quelles bourses tu as pu jaillir ! s'emporta-t-il. On a dû te déposer devant le château alors que tu étais encore bébé ...
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Ah, femme ... je pense que je t'ai toujours aimée. Pour te dire la vérité, aujourd'hui il m'est impossible de me souvenir d'un temps où je ne t'aimais pas.
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« Un million de questions fusaient sous son crâne, mais elle ne voulait pas le harceler. Comme il l’avait dit lui-même, ils avaient largement le temps d’apprendre à se connaitre. Certes la plupart des couples prenaient cette peine avant de se lancer dans l’aspect sexuel de l’aventure, mais Gabe avait l’habitude de mener les choses à sa manière, et elle-même se fichait bien des conventions. Et puis ce n’était pas comme s’ils venaient de se rencontrer, Gabe faisait partie de sa vie depuis des années après tout.
Un long silence s’installa entre eux. Mia sentait le regard de Gabe peser sur elle, et elle-même ne pouvait s’empêcher de l’épier. En cela, ils devaient ressembler à deux adversaires se jaugeant avant de livrer bataille, sauf que Gabe n’était clairement pas aussi mal à l’aise qu’elle. Au contraire, il semblait parfaitement confiant, tel un prédateur sûr de capturer sa proie. »
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Wade Sterling. Bon dieu, il fallait qu'elle cesse de laisser entrer ce type dans ses pensées (...) il etait attiré par elle physiquement, aucun doute là dessus. A moins qu'il prenne plaisir à se faire jeter , comment savoir avec un homme pareil ? Mais il y avait un goufre entre le désir sexuel et l'intérêt qu'on portait à quelqu'un.
P117
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Alaric et Caelen se tenaient de part et d'autre des mariés. Quand le dernier des convives fut servi à leur table, Alaric se leva et réclama le silence. Puis il leva son gobelet en direction d'Ewan et de Mairin.
— À notre laird et à sa dame ! lança-t-il. Que leur mariage soit béni et leur apporte santé, prospérité et de nombreux fils !
— Et des filles... murmura Mairin, si bas qu'Ewan faillit ne pas l'entendre.
Il esquissa une moue amusée tandis qu'il écoutait les clameurs enthousiastes monter du clan.
Puis, il leva son gobelet à son tour et inclina la tête en direction d'Alaric.
— Et puissent nos filles être toutes aussi belles que leur mère !
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— Que complotez-vous tous les deux ? s'enquit Alaric, agacé.
Le fier guerrier les dévisageait d'un œil inquisiteur.
— Si j'avais voulu vous en informer, j'aurais parlé plus fort, rétorqua calmement la jeune fille.
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Le potentiel érotique était clairement très élevé dans cette pièce, qui ne manquait pas non plus de scènes choquantes. Pourtant, ses sens restaient étonnamment au repos. Elle observait la valse des corps, entendait les gémissements et les cris, dans une sorte de confusion muette.
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-Ma belle tigresse toute dorée,répéta-t-il dans un murmure grave.....
- Allez, enlève la robe dorée de ta tigresse et fais-lui l'amour jusqu'à ce qu'elle ronronne de plaisir.......
-Compte sur moi,ma douce.
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