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Critiques de Murielle Levraud (20)
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Cavalcades romaines

Un, deux, trois, quatre.

Des quatre coins de l'Europe.

Un, deux, trois, quatre

Cavalcades !



Un Grec, Un Germain, Un Romain

Deux Gauloises.

Ah zut, ça ne fait plus quatre mais cinq !



Enfin, si on compte bien

y ' a tout de même quatre Romains.



Ils sont tous en balade

et là ça tombe très bien

pour la rime : Cavalcades !



On m'avait promis une odyssée, marrante, poilante, désopilante. Mais, j'en suis désolée, je n'ai pas vraiment ri. Alors, oui, cette histoire qui se passe au temps de la Rome antique n'est pas franchement académique et on sent bien que l'auteure emploie volontairement un ton enjoué et léger – qui se lit très bien d'ailleurs- mais j'ai le net sentiment d'être passée complètement à côté.

Il se peut que certains lecteurs s'amusent des comparaisons un peu décalées du genre «  Soudain furieuse et démontée, la mer s'agita comme un chat enfermé dans un sac. De partout les vagues donnaient des coups de patte, ça soufflait, ça crachait, de partout. » Euh … c'est pas très gentil d'enfermer les chats dans les sacs. Enfin, j'dis ça..j'dis rien..

Mis à part l'humour que je cherche encore, l 'idée de départ était sympathique mais c'est plutôt la narration qui n'a pas vraiment retenu mon attention.

C'est un peu comme si l'auteure s'était essayé à la caricature du monde romain mais sans trop forcer le trait. Du coup, le lecteur ne sait pas très bien s'il doit en rire ou pas...

J'avoue que cette lecture ne me laissera pas un souvenir impérissable.

Tant pis !

Mais comme je suis une fille très polie, je remercie évidemment Babelio et les éditions Julliard pour cet envoi. C'est toujours un plaisir de découvrir des livres qu'on ne lirait pas forcément en temps ordinaire !

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Le soir autour des maisons

Le village de La Garde est curieux, les habitants des maisons aussi même le soir !

Il y a l'énorme Brune-Olive qui cherche des araignées pour son fils Fifi, elle aime les choses claires et nettes mais son mari Roland est fasciné par le phénomène " ouverture/fermeture " et il finit toujours en prison; son amie et voisine Solange est une excellente cuisinière, bonne mère : elle a 2 enfants avec Paulet qui fréquente le club des " André " même si ce n'est pas son prénom, cultive en cachette des violettes ! A coté les autres voisins sont Diane et Romuald qui était parti car il ne supportait plus sa femme...mais aussi d'autres voisins qui se croisent, se recroisent et finissent par s'entrecroiser !

Brune-Olive en apprenant qu'elle va mourir va mettre en place un système innovant pour exister après son décès : elle écrit des lettres à tous ceux qu'elle aime avec les événements auxquels ils seront confrontés après son départ et, c'est Roland qui sera chargé de distribuer au fur et à mesure ce volumineux courrier ! Elle confie même son mari à Solange mais, elle n'avait pas imaginé que sa discrète amie tomberait dans les bras de Roland et, que la répartition des lettres serait perturbée comme les voisins de ce roman déjanté de 115 pages !

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Le soir autour des maisons

Dans un petit village quelconque, de magnifiques personnages, déjantés, caricaturaux, et merveilleusement poétiques jouent un Clochemerle qui serait revisité par Tim Burton

Du plaisir à l’état pur

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Le soir autour des maisons

Il y a des grands et gros livres avec des histoires énormes qui nous emportent comme des ouragans...et il y a des petits livres, avec des petites histoires, de petits gens dans un petit village qui nous effleurent comme un brise de printemps...

Une comédie, des situations étonnantes, presque surréalistes dans un petit monde naïf...dans lequel on se plait de vivre afin d'accompagner la grande et forte Brune-Olive dans sa dernière demeure...on reste alors comme des "Solanges"... En quête d'amour et d'une belle amitié perdue..
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N'allez pas croire qu'ailleurs l'herbe soit..

Impossible à résumer : j'ai juste adoré.
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N'allez pas croire qu'ailleurs l'herbe soit..

Si vous cherchiez de la poésie pour égayer le métro-boulot-dodo grisâtre, vous aurez droit à une bouffée de verdure dès la première page. Murielle Levraud n’a pas pioché dans Zola pour planter le décor de son roman :



« Au sommet de la colline Saint-Adèle se dresse la vieille église Sainte-Adèle. On y accède par chemin caillouteux traversant une petite forêt d’arbres craintifs. S’ils avaient poussé ailleurs, on aurait parlé d’arbres confiants, mais sur la colline Saint-Adèle, parce qu’à son sommet se trouve la vieille église, menaçant de s’écrouler à tout moment, on dit arbres craintifs. (…) On n’a jamais vu un arbre s’enfuir, mais à Bassebourg, si on laissait le choix à ceux de cette colline, ils iraient pousser ailleurs et tout droit. »



Murielle Levraud a trempé le pinceau dans le pot de vert, la main sûre, pour faire le fond, puis dans le pot de mauve, de bleu ciel, de jaune,… pour les gros traits colorés de ses personnages. Non, ce n’est pas une bédé ou ce qu’on appelle un « livre d’artiste », mais un roman sur papier grisé et lettres noires dessus. Et pourtant, l’impression de couleurs, on l’a d’un bout à l’autre du récit.



Du récit, parlons-en. Mais pas trop, ce serait aussi compliqué que de raconter un rêve. C’est l’histoire de Judith, qui débarque à Bassebourg, engagée par Mme Brisepaille pour tenir l’hôtel « des gens perdus en se promenant sur la colline». En réalité, elle l’embauche pour être chef des futures majorettes, et dont la renommée devra contrer celle de l’équipe de foot locale menée par son (ex-)mari, M. Brisepaille, qui travaille en réalité dans l’élastique. Il faut dire aussi que Mme Brisepaille a le don de faire changer le ciel lorsqu’elle a une idée, et depuis quelque temps, le climat à Bassebourg est changeant…



En marge de l’histoire, on apprend aussi à connaitre Zabriel Arcosse, ancien chasseur de serpent devenu femme de chambre de l’hôtel de Mme Brisepaille, Madelein Kwa, la méchante, la sans-cœur défraichie, le Père Grossemiette, curé de la paroisse, Flaque, l’ami de M. Brisepaille (qui arbore de jolies chaussures mauves et une plante verte), le bibliothécaire qui classe Balzac par ordre alphabétique à AABCLZ.



L’histoire met un peu de temps à se mettre en place, une bonne centaine de pages sur… un peu plus de 200. La partie « plantons le décor loufoque et féerique » n’est pas désagréable, mais tellement longue et découpée en chapitres tellement semblables (longueur des chapitres, construction des phrases et rythmique) qu’on a un peu l’impression d’une écriture « bloguesque », davantage adaptée à une publication par épisodes qu’à la forme de roman. J’avoue avoir pensé à « faire une pause » au bout de 100 pages, ne voyant pas venir réellement de déroulement de l’intrigue. J’ai bien fait de continuer, j’ai eu ce que je voulais dans la deuxième moitié…



4 étoiles au total pour la poésie et la couleur de l’écriture, avec des bémols sur la longueur de la mise en place et la rythmique des phrases parfois téléphonée. Et coup de cœur pour le titre !
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N'allez pas croire qu'ailleurs l'herbe soit..

Oh oui ! ce livre est une petite merveille ...

Raffraichissant, loufoque ... pour moi, je le classe dans les 'à lire et à relire'.

Une magnifique réflexion sur les non-dits et leurs conséquences (désastreuses ?!). Il est comme un petit concentré de vie(s) dans une petit village bien farfelu aux habitants très ... originaux (si on n'y regarde pas de plus près !!! ).

 

J'aime :

- les humeurs de Mme Brisepaille

- le silence de Flaque

- le classement tarabiscotté du bibliothécaire

- la simplicité de M. Brisepaille

- la méchanceté-vengeance de Madeleine

- la curiosité mystique de Grossemiette

- ...

Mais c'est A VOUS DE JUGER !
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Cavalcades romaines

Un roman que j'ai eu du mal à lire et à finir. Le thème avait pourtant tout pour me plaire, l'Antiquité comme toile de fond, des esclaves, dans mon esprit des intrigues allaient se nouer.

J'ai trouvé la présentation de la situation assez bien faite et précise pour m'embarquer dans un premier temps, les chapitres présentaient les personnages avec des titres assez drôles parfois. Mais en réalité on se lasse vite du procédé et on ne sourit plus du titre que l'on trouve surfait.

Autre fait qui m'a gêné, c'est que lors d'une aventure, la catastrophe naturelle qui se déroule pendant un chapitre, je n'ai pas bien compris ce qui se déroulait, les mots grecs ou latins sont intéressants et donnent un esprit antique au roman, mais à force de ne pas nommer les choses pour le lecteur, cela devient confus. En analysant un peu mon expérience de lecture, je me rends compte que justement parce que les aventures sont peu nombreuses, je me suis ennuyée, on est un peu trop dans le contemplatif, dans les pensées des personnages.

Je trouvais l'idée originale de placer un peu d'humour et de fantaisie dans un roman historique, le concept change, il y a quelques belles réussites mais d'autres superflues ou que je n'ai pas comprises.

Je suis perplexe, faut-il être un peu plus initié pour comprendre et profiter pleinement de ce roman ou se laisser aller pour accepter les touches légères d'humour, et comprendre ce recul des personnages avec leur situation ? A tester.
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Le soir autour des maisons

un petit livre charmant qui nous plonge dans un monde quelque peu farfelu, où chaque personnage est particulier, drôle, et atypique, des personnages à la Barbara Constantine, c’est la première réflexion qui m’est venue.



Toute cette petite histoire ressemble à s’y tromper à un vaudeville, dans lequel on se plonge avec plaisir, sans pourtant pouffer de rire, nos zygomatiques ne restent pas indifférents à cette comédie légère et agréable.



Le climat chaleureux nous retient autour de ces maisons, et on aurait bien souhaiter lire quelques lettres de Brune-Olive, je dois dire qu’elle a eu une sacrée idée d’être encore vivante à sa façon sans l’être. Brune-Olive est le personnage fort du livre, fort en caractère également, mais pourtant attachante, j’ai bien aimé ses façons sans manière comme à la piscine de s’assurer que le maître nageur sache bien nager ! Elle n’a pas tort, ils sont toujours haut perchés sur leur chaise, on se demande à quand remonte leur dernier bain ? Et ces petites saynètes s’enchaînent à merveille tout le long de l’histoire, donnant du ressort et du panache au roman.



La lecture fut plaisante et c’est sans vous ménager que je vous conseille de le lire , un jour pourquoi pas une nuit sous les étoiles comme ce couple qui lors de leur première nuit dans leur maison, a préféré la passer sous le ciel étoilé, la fin rattrape le début du livre et la boucle est fermée bien que la tentation est bien tangible de reprendre la lecture pour une nouvelle représentation.



Extrait sur les mots qui a retenu toute mon attention et mon admiration à cette peinture scripturale, joli paysage dans lequel je me balade souvent avec plaisir, je m’y perds aussi très souvent mais qu’importe c’est un pays où l’on y revient avec bonheur.



Mais ici c’est l’auteure qui nous offre ce bonheur en toute simplicité et tendresse, poésie et humour, un vrai cocktail de réussite


Lien : http://lesmotsdepascale.cana..
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Cavalcades romaines

J'ai eu beaucoup de mal à finir ce roman.

Vendu (dernière de couverture) comme une odyssée hilarante, je n'ai finalement que peu souri. Certes l'odyssée est présente, mais on est loin des périples de Marco Polo ou de Colomb... Pas de grand (s) retournement (s) de situation (s), on ne frémit pas pour l'existence de l'un ou l'autre.. Une petite bluette téléphonée (tout les oppose et elle le déteste...Que va t'il se passer??)...Les personnages sont peu développés alors qu'entre 2 Gauloises, un Grec, un Germain et un Romain déguisé, il y aurait eu tant de possibilités de confrontation de culture...

Non, sincèrement, je me suis ennuyé.
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N'allez pas croire qu'ailleurs l'herbe soit..

"N'allez pas croire qu'ailleurs l'herbe soit plus verte..." est un ovni. Difficilement racontable parce qu'à part.

C'est un livre insolite, déjanté, barré même, qui fait du bien pour peu que l'on ait un tant soit peut conservé son âme d'enfant.

Ce n'est pas un incontournable cependant, autant être honnête, mais si jamais le hasard le pose sur votre route n'hésitez pas à l'ouvrir, vous serez surpris.
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N'allez pas croire qu'ailleurs l'herbe soit..

La quatrième de couverture nous présente l'auteur comme "la descendante directe de Raymond Queneau, de Boris Vian et de Jacques Prévert" (rien que ça !) et nous annonce un roman "désopilant et jubilatoire".



Je dois vraiment être un triste personnage car j'ai abandonné ce roman à la 58ème page. Je trouve cette histoire ennuyeuse à mourir et le style de l'auteur plutôt pauvre.



Mis en avant par mes bibliothécaires dans une sélection de livres sensés être drôles ou loufoques ; ayant très envie d'une lecture légère, je me suis dis pourquoi pas. J'aurais pourtant bien du me douter en voyant cette couverture rose (édition grand format) qui n'a rien à envier aux romans de chick lit, que je n'étais pas la cible visée.



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Le soir autour des maisons

J'ai adoré =)

J'ai adoré Brune-Olive et sa troupe d'écolier qui lui cherche une araignée unique en échange d'un goûter

J'ai adoré Solange, qui paraît si sage et qui pourtant fait une bêtise

J'ai adoré Paulet, qui est inscrit au club des André alors qu'il ne s'appelle pas André

Et bien d'autre encore



Ce livre est rempli d'humour et de tendresse, je me suis attachée à tous les personnages, j'aimerais encore lire les histoires du village de La Garde =)
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Le soir autour des maisons

Je me suis régalé. Il est écrit en 4ème de couverture : "dans la droite lignée de Vian et de Queneau". J'ai trouvé effectivement des similitudes avec certains romans de Queneau (notamment Les fleurs bleues). Beaucoup d'humour, d'imagination, de poésie, de trouvailles d'écriture rigolotes et farfelues. Des personnages tendres, attachants et drôles. Alors, certes, tout n'y est pas vraisemblable, mais point de réel à chercher ici, et c'est ce qui fait , en plus du reste, le charme de cette fable.
Lien : http://lyvres.over-blog.com/..
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Le soir autour des maisons

Brune -Olive veut aider son fils entomologiste à trouver une araignée rare. Dans son quartier elle charme tous ses voisins. Pour laisser une trace après son décès elle décide d'écrire des centaines de lettres pour chaque événement de la vie. Vous passerez un bon moment avec tous ses personnages plein de simplicité.
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N'allez pas croire qu'ailleurs l'herbe soit..

En voilà une histoire bien décalée pour se vider l'esprit ! Quand je lis, je me plais à imaginer l'histoire mise en scène...Et bien là, j'ai eu la sensation d'être plongée dans un univers entre Zazie dans le métro, les films de Tati et Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain ! Beaucoup d'humour et de tendresse dans ce roman.

Judith débarque dans un village après avoir été recrutée sur un CV bidon pour un job qui n'est qu'une façade. Autour d'elle gravite tout un petit monde déjanté où chacun joue de l'autre sans oser s'avouer la réalité...

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Le soir autour des maisons

Un livre court, léger, à peine divertissant...tant les situations sont -à mon sens- un peu trop loufoques, voire tirées par les cheveux.

A prendre au second degré pour -éventuellement- en percevoir une certaine poésie ?

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Cavalcades romaines

Inventif, original et non dénue d'humour... Agréable à lire. Toutefois un peu déçu par le manque de consistance de l'histoire. Quelques anachronismes qui auraient pu être plus assumés pour que cela soit plus efficace. A mon sens, l'idée est bonne mais pas assez explorée, voire poussée.

On passe un très bon moment tout de même.
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N'allez pas croire qu'ailleurs l'herbe soit..

Un livre acheté tout à fait par hasard... Je n'en avais jamais entendu parler, l'auteure inconnue au bataillon. Juste le titre qui a attiré mon œil et surtout ma curiosité.



Avec un titre pareil on peut s'attendre à pas mal de choses, par exemple une sorte de tirade philosophique ou de petit conte moralisateur. J'ai été surprise de trouver une petite histoire pleine de simplicité, même si un peu loufoque et parfois tirée par les cheveux. On y rencontre tout un tas de personnages, tous attachants, même les pas gentils, qui évoluent dans un patelin qui semble coupé du reste du monde, livré à ses bizarreries et à ses mystères.



On ne peut pas vraiment parler de suspense, mais ce qui est sûr c'est que les petites aventures des habitants de Bassebourg nous emmènent de surprise en surprise...



À dévorer sans chercher à comprendre, juste en se laissant porter par une douce folie...
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Le soir autour des maisons

si j'avais bien aimé son permier roman, j'ai trouvé ce second un peu plus poussif : l'auteure ne va pas au bout du canulard des lettres (elles se mélangent et puis c'est tout), ni au bout de la relation Solange-Roland.



Un roman léger à lire le soir, autour des maisons, sous la lune un soir d'été, pour se rafraîchir et passer un bon moment.


Lien : http://motamots.canalblog.co..
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