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Citations de N.C. Bastian (129)


Ma liberté était un mirage enrobé de luxe pour en camoufler la fausseté.
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Cette nuit devait être celle de notre renaissance, de notre nouvelle vie. Cette nuit, j'ai tué la seule lumière qui éclairait mes ténèbres.
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– Regarde-moi dans les yeux, et dis-moi que tu ne penses plus à moi, m’ordonna-t-il. Qu’il n’y a que lui qui compte. Dis-le.
Tout ce que je sentais, c’était que cette colère que je contenais se transformait en quelque chose de plus sauvage encore. Je le détestais, c’était ce que je me répétais, mais mon traître de corps ne l’entendait pas de la même oreille, et réagissait d’une tout autre façon.
– Pourquoi tu ne me dis plus rien ? Maintenant que je te demande de parler, tu te tais ?
– Fous-moi la paix, Alex.
– Pas tant que le fin mot de l’histoire ne sera pas dit.
– Il n’y aura jamais de fin d’histoire.
– Eh bien… Pour une fois qu’on est d’accord sur quelque chose.
Je fronçai les sourcils, et me rendis compte trop tard que ma phrase pouvait avoir un double sens. Je secouai la tête et rectifiai.
– Tu ne comprends pas…
– Au contraire, me coupa-t-il. Je comprends parfaitement tout ce qu’il se passe dans ta tête. Maintenant, mens-moi en me regardant dans les yeux, et dis-moi que tu ne penses plus à moi.
Je secouai la tête et baissai le visage, fuyant son regard qui ne me permettait pas de réfléchir correctement.
– Je ne pense plus à toi.
Il me prit le visage dans les mains, et me força à le regarder dans les yeux. Bordel… Si seulement il n’était pas si sexy, peut-être que je serais plus convaincante !
– Dis-le-moi en me regardant droit dans les yeux.
– Je ne pense pas à toi, murmurai-je en sachant que je n’étais absolument pas crédible.
– Dis-moi que je ne compte pas, chuchota-t-il à son tour, son visage si près du mien que je pouvais compter le nombre de ses cils, recourbés naturellement.
– Tu ne comptes pas, soufflai-je si doucement que je ne m’entendis pas.
– Tu mens.
Il se rapprocha encore un peu, passa une main derrière ma nuque, l’autre glissa dans mon dos, et m’attira contre lui. J’avais presque oublié à quel point nos corps s’emboîtaient à la perfection.
– Non, je ne mens pas.
– Alors pourquoi tu ne me repousses pas ? Pourquoi ton souffle est-il si rapide ? Pourquoi tes pupilles sont tellement dilatées qu’on dirait que tu as pris de la drogue ? Pourquoi ton visage est-il tendu vers le mien, et que ta bouche n’attend
que mes lèvres ?
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Nos âmes s'emmêlaient, fusionnaient, et dansaient ensemble.
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J'étendis les jambes et , pour faire passer le temps, je lus Delirium, un livre dystopique, dans lequel l'amour est considéré comme une maladie. J'avais l'âme d'une romantique, aimant m'évader par le biais de mes livres, rencontrant sans cesse à travers le héros l'homme de ma vie. Ces choses-là n'arrivaient pas en vrai, alors je vivais le grand amour comme je le pouvais...
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Je me calai au fond du siège et pris conscience que, ce soir, une page s'était tournée. Pas forcément une page qui clôturait une histoire, mais un chapitre certainement. Je n'étais pas sûre de la direction dans laquelle ma vie allait aller, mais je savais que je ne pouvais plus revenir en arrière.
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Je voulais cet homme. Je le voulais tellement que j'étais incapable de le tenir à distance. De le protéger de mon amour. Et de moi-même.
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Fais attention, petite, tu avances sur un terrain miné et dangereux. Si tu penses que ta vie et ton cœur t'appartiennent, ce n'est qu'une illusion.
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- Du jour au lendemain, tu as jeté notre relation par la fenêtre. Tu m'as abandonné sans explication. Ca, c'est du réel. Tu sembles avoir le coeur brisé, mais tu ne connais pas l'état du mien. Parce qu'en un été, tu étais devenue mon monde, et puis un beau jour, plus rien. Alors tu as certainement des raisons de me détester - raisons que tu tiens absolument à garder secrètes -, mais moi, je te déteste parce que tu nous as abandonnés.
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Ce soir sonnerait nos retrouvailles, et aussi nos au revoir.
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Si cette nuit devait être la dernière que nous passions ensemble, je voulais profiter de chaque seconde.
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J'acquiesçai. J'avais peur. J'étais excitée. J'appréhendais. Un cocktail explosif de sentiments contradictoires.
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Peu importe le nombre d'années, on ne guérissait jamais de la blessure de son premier amour...
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– Quand tu ne me fais pas la guerre et que tu es en sécurité, je suis calme. C’est l’effet Kimi. Tu es mon tranquillisant. Et je te veux ici. Toujours
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Alors mes larmes silencieuses redoublèrent.
Je ne savais pas si je tombais amoureuse ou si je tombais en morceaux. Pour la première fois de ma vie, je me sentais véritablement aimée.
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Je voulais cet homme. Je le voulais tellement que j'étais incapable de le tenir à distance. De le protéger de mon amour. Et de moi-même.
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Quitte à mourir, je préférais que ce soit pour sa survie. Seule sa vie comptait vraiment. Je lui avais promis la liberté et je compris à regret que je lui avais menti...
Cette promesse, je ne pourrais pas la tenir.
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Evan ne saura jamais qui je suis vraiment; il ne saura jamais que je suis celle qui lui a volé sa mère avant de lui arracher la vie. Il ne saura pas que la personne qui l'aimait le plus au monde est aussi celle qui l'a détruit.
Mon égoïsme a coûté la vie de l'homme sans qui je ne suis plus vraiment moi.
Cette nuit devait être celle de notre renaissance, de notre nouvelle vie. Cette nuit, j'ai tué la seule lumière qui éclairait mes ténèbres.
Joyeux anniversaire, Lilas.
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Tu penses sincèrement que ce qui se dit sur toi ne m'atteint pas? Gaby... Je t'aime. Je déteste chaque mot déplacé qui peut être dit sur toi, mais je sais aussi que chacun de ces mots est totalement faux. Oui, je préférerais de loin qu'on s'attaque à moi. Je le vivrais beaucoup mieux, crois-moi, parce que je sais que si c'était moi, aucun d'enter eux n'arriverait à m'atteindre. Sauf qu'il s'agit de toi et que ça me touche aussi.
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L'amour est une guerre: parfois on gagne, parfois on perd. C'était lorsqu'on perdait qu'on réalisait combien le bonheur était précieux. Combien on n'avait pas assez profité de ce sentiment de paix, pas assez pris conscience de la chance qu'on avait.
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