Citations de Napoléon Bonaparte (109)
Dans les révolutions, il y a deux sortes de gens : ceux qui les font et ceux qui en profitent.
J'ai battu l'ennemi. Kilmaine t'enverra la copie de la relation. Je suis mort de fatigue. Je te prie de partir tout de suite pour te rendre à Vérone ; j'ai besoin de toi, car je vois que je vais être bien malade.
Je te donne mille baisers. Je suis au lit.
Bonaparte
Un art simple et tout d'éxécution
Soldats, je suis content de vous !
Austerlitz 2 décembre 1805.
Je sais, quand il le faut, quitter la peau du lion pour prendre celle du renard.
Le mensonge passe , la vérité reste .
Sachez écouter, et soyez sûr que le silence produit souvent le même effet que la science.
Il n'y a que deux puissances au monde: le sabre et l'esprit. J'entends par l'esprit les institutions civiles et religieuses. A la longue, le sabre est toujours battu par l'esprit.
Cité par Las Cases dans le Mémorial de Sainte-Hélène de Napoléon Bonaparte
Puisque le peuple mange tous les jours, il doit lui être permis de travailler tous les jours.
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On ne doit ni contraindre ni poursuivre les travers qui ne sont pas nuisibles.
Votre rage de tout régulariser perd tout. Pourquoi ne pas suivre la nature des choses, surtout dans un si vaste empire ?
Le pouvoir absolu n'a pas besoin de mentir, il se tait. Le gouvernement responsable, obligé de parler, déguise et ment effrontément.
Dans le système du pouvoir absolu, il suffit d'une volonté pour détruire un abus ; dans le système des assemblées il en faut cinq cents.
Quant à la légitimité des monarchies héréditaires, c'est une grande question inabordable de nos jours ; mais le pour et le contre, si on la pouvait agiter, y brilleraient également.
Toute indulgence pour les coupables annonce une connivence.
Il y a en France trop d'influence centrale ; je voudrais moins de force à Paris et plus dans chaque localité.
On est brave que pour les autres.
« Il faut, à la guerre, profiter de toutes les occasions, car la fortune est femme ; si vous la manquez aujourd’hui,
ne vous attendez pas à la retrouver demain. »
La perversité est toujours individuelle, jamais collective.
Le cœur d'un homme d'État doit être dans sa tête.