Citations de Nathalie Lebailly (43)
en le tirant par les pieds la sage-femmme s'exclama, d'une voix tonitruante:"c est un garcon!"
lucien de claude bourgeyx
"Elle le pleurerait sans doute pendant quelques temps, mais tout s'oublie. Elle l'oublierait. Dans mes bras. "
Fred Kassak, "Iceberg".
cette fille, je l'aime. c'est la mienne.
elle s'appelle Valentine et n'a que sept ans.
Irène s'étire sur sa chaise longue, entrouvre les yeux, bâille longuement et pouffe :
- Oh! pardon! Je n'ai pas mis ma main devant ma bouche. Elle me considère, mi-confuse, mi-railleuse.
- Quelle importance? dis-je.
- Pour vous, je suis sûre que ça en a.
- Mais non! On dirait que ça ne me...
Irène a tendance à me croire à cheval sur les convenances et très pudibond. Tant mieux! Parfait! Je n'aime pas que l'on me connaisse trop. Je préfère rester pour elle un iceberg : un cinquième visible et le reste immergé.
Fred Kassak - Iceberg
Il avait commencé à lire le roman quelques jours auparavant. Il l'abandonna à cause d'affaires urgentes et l'ouvrit de nouveau dans le train, en retournant à sa propriété. Il se laissait lentement intéresser par l'intrigue et le caractère des personnages. Ce soir-là, après avoir écrit une lettre à son fondé de pouvoirs et discuté avec l'intendant une question de métayage, il reprit sa lecture dans la tranquillité du studio, d'où la vue s'étendait sur le parc planté de chênes. Installé dans son fauteuil favori, le dos à la porte pour ne pas être dérangé par une irritante possibilité de dérangements divers, il laissait sa main gauche caresser de temps en temps le velours vert. Il se mit à lire les derniers chapitres. Sa mémoire retenait sans efforts les noms et l'apparence des héros. L'illusion romanesque le prit presque aussitôt. Il jouissait du plaisir presque pervers de s'éloigner petit à petit, ligne après ligne, de ce qui l'entourait, tout en demeurant conscient que sa tête reposait commodément sur le velours du dossier élevé, que les cigarettes restaient à portée de sa main et qu'au-delà des grandes fenêtres, le souffle du crépuscule semblait danser sous les chênes.
Julio Cortazar - Continuité des parcs
Comme d'habitude, Mme Klara emmena son petit garçon, cinq ans, au jardin public, au bord du fleuve. Il était environ trois heures. La saison n'était ni belle ni mauvaise, le soleil jouait à cache-cache et le vent soufflait de temps à autre, porté par le fleuve.
On ne pouvait pas dire non plus de cet enfant qu'il était beau, au contraire, il était plutôt pitoyable même, maigrichon, souffreteux, blafard, presque vert, au point que ses camarades de jeu, pour se moquer de lui, l'appelaient Laitue.
Dino Buzzati - Pauvre petit garçon
(l.53 à l.54) "Je considérai quelques temps cette fille en larmes sans savoir que faire pour l'aider."
(l.100 à l.101) "Je la contemple sans me gêner beaucoup. Grace à mes verres fumés , elle ne peut savoir si je la regarde ou non."
(l.271 à L.272) "Elle le berce. Elle lui murmure des mots mystérieux , qu'il comprend et qui l'apaisent."
Sa décision de tuer sa femme, il l'avait prise un peu après coup. Le mobile était simple : il la détestait. Mais c'est seulement après avoir pris la résolution de ne jamais aller en prison, de se suicider s'il était pris, que l'idée lui était venue : puisque de toutes façons il mourrait s'il était pris, il n'avait rien à perdre en laissant derrière lui une femme morte au lieu d'une femme en vie.
Et jamais il ne serait pris. Son départ, sa destination,, sa nouvelle identité, tout était prévu et fignolé, il n'avait négligé aucun détail. Il y travaillait depuis des mois.
J'ai aimé la nouvelle de Lucien. Mais je ne m'attendais pas à ce que ce soit un bébé.
La phrase qui ma plus dans la nouvelle Iceberg est:
Je apprécié la nouvelle pauvre petit garçon car pour moi ces la seule lecture qui quand je l'ai lu ma donné envie de la finir .
Je me lève en prenant son petit pot de crème glacée et me dirige vers les caisses. Je lui fais un clin d'oeil. Elle me regarde amusée. Je balise un peu. Je suis son preux chevzlier investi d'une mission impossible. Discrètement, je demande à la dame un nouveau sundae. C'est plus simple. C'est plus sûr. Je suis un preux chevalier prévoyant.
N. L. : Comment défendriez-vous la lecture auprès d'adolescents réfractaires ?
A. G.: Je ne sais pas. J'ai l'impression que l'adolescence est un âge si mouvementé que l'on n'a pas le temps de lire de toute façon... Comme si l'on était déjà bien occupé à écrire les premières phrases de sa propre vie... (désolée, cela ne doit pas arranger vos affaires que je dise ceci !) On ne peut pas forcer quelqu'un à lire mais on peut montrer l'exemple.
PAUVRE PETIT GARCON
Ce jour la le bambin surnommé Laitue avait un fusil tout neuf qui tirait des petites cartouches P.21
Oh ces enfants! quelles histoires ils font pour un rien !
s'exclama l'autre dame agacé en les quittant.Allons au revoir madame HitlerP.29
Nouvelles à chute je n'ai pas trop aimait car pour moi même si justement ces sont des nouvelle je l'ai et trouver trop courte , et se n'est pas le genre de lecture qui m'attire .
l y a certaine nouvelles que j ai pas aimer et d autre oui
continuité des parcs étais très difficile a comprendre au début
sinon les autre nouvelles son bien pour des personne qui aimes lire.
Je me lève en prenant son petit pot de crème glacée et me dirige vers les caisses. Je lui fais un clin d'oeil. Elle me regarde amusée. Je balise un peu. Je suis son preux chevzlier investi d'une mission impossible. Discrètement, je demande à la dame un nouveau sundae. C'est plus simple. C'est plus sûr. Je suis un preux chevalier prévoyant.