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Vidéos de Nathaniel Hawthorne (30)
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videos01 novembre 2023
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Prisonnière, le nouveau thriller de B.A. Paris, est disponible en librairie !

Amélie a toujours été une survivante. Elle a survécu à la disparition de ses parents alors qu'elle était encore une enfant, à Paris. Elle a survécu à Londres, seule et sans moyens. Et elle a réussi. Elle s'est fait des amies, elle s'est trouvé un job glamour dans les médias, et a accepté la demande en mariage d'un homme qui a tout du prince charmant, le milliardaire Ned Hawthorne.

Alors quand elle se fait brutalement kidnapper et qu'elle se retrouve seule, dans la chambre close d'une maison inconnue, elle compte bien se battre et survivre à cette nouvelle épreuve. Pour cela, il va lui falloir comprendre ce qui lui arrive. Comprendre qui sont ses ravisseurs, malgré leur mutisme et leurs cagoules. Comprendre les raisons de son enlèvement.

Et comprendre, surtout, pourquoi elle se sent plus en sécurité emprisonnée dans cette pièce lugubre que dans son mariage de rêve avec le mystérieux Ned.
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videos29 avril 2021
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En 1845, Samuel Long, jeune esclave noir d'une vingtaine d'années, réussit à s'enfuir de la plantation de son maître, en Virginie. Après avoir emprunté, le « chemin de fer souterrain » – maillage de personnes qui, depuis les États du Sud, aident les esclaves en fuite à rejoindre le Canada, il arrive au lac Walden et se lie avec le cercle des philosophes transcendantalistes : Henry David Thoreau, Ralph Waldo Emerson, Nathaniel Hawthorne, William Lloyd Garrison et bien d'autres. À leurs côtés, il va alors tenter de se (re)construire et d'apprivoiser sa nouvelle condition d'homme libre.

Mais cette rencontre est également la confrontation de deux mondes : celui de Samuel Long fait de souffrance et de révolte, et celui des intellectuels blancs qui, s'ils soutiennent l'abolition de l'esclavage, se retrouvent néanmoins enferrés dans leurs propres privilèges et contradictions. S'en dégagent des portraits étonnants, et surtout très sensibles, de Henry David Thoreau et de ses confrères, à travers le regard de Samuel.

À retrouver en librairie dès le 6 mai !
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ThibaultMarconnet04 septembre 2020
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Nathaniel Hawthorne : La lettre écarlate (France Culture / Samedi noir). Photographie : Nathaniel Hawthorne (1804-1864) - Crédits - Ann Ronan Picture Library - AFP. Diffusion sur France Culture le 3 février 2018. Boston, au temps des premiers colons puritains. Pour avoir mis au monde un enfant illégitime, une jeune femme est condamnée à porter sur son corsage une lettre écarlate la désignant comme femme adultère. Réalisation par Michel Sidoroff. Texte adapté de l’américain par Andréa Finck. Conseillère littéraire : Caroline Ouazana. « “La lettre écarlate” est publiée en 1850 mais l’histoire qu’elle raconte se déroule deux cents ans plus tôt, dans le Boston des premiers colons puritains.
Si la vie de Hawthorne ne ressemble plus à celle de ses ancêtres, celle des femmes a changé également. Elles ne se contentent plus d’être des épouses, elles travaillent désormais et, si elles ont la chance d’être nées dans des familles éclairées, elles étudient, débattent et manifestent leurs opinions concernant les droits des femmes et l’esclavage. En 1845, Margaret Fuller avait publié “Les femmes du dix-neuvième siècle” considéré comme le premier ouvrage féministe.
Hawthorne, lui, peine à faire éditer ses nouvelles, ce qui l’oblige à accepter un poste dans l’administration afin de subvenir aux besoins de sa famille. Le succès arrivera enfin à quarante-six ans grâce à “La lettre écarlate”, un roman à charge contre les puritains et leur intransigeance. Son héroïne, Hester Prynne, est une jeune femme condamnée pour avoir mis au monde un enfant illégitime. Sa condamnation à porter sur son corsage une lettre écarlate la désignant comme femme adultère fait certes d’elle une victime des lois de son époque, mais Hester Prynne n’a pas le comportement d’une victime. Alors que sa faute pourrait lui valoir une condamnation à mort, elle tient tête à ses juges en refusant de dénoncer le père de son enfant tout comme elle tiendra tête aux dignitaires de la ville en d’autres circonstances. En cela, elle n’est pas une femme représentative de l’époque du puritanisme. Sa force de caractère et son indépendance acquise par son travail font davantage penser aux femmes du dix-neuvième siècle. Certaines études évoquent d’ailleurs la possibilité que la personnalité de Margaret Fuller, qui avait eu un enfant hors mariage en Italie où elle avait été envoyée en 1846 en tant que correspondante étrangère par le New York Tribune, ait inspiré Hawthorne. Et selon lui, ce seraient des documents découverts dans les archives des douanes qui lui auraient donné l’idée de ce roman. Les deux ne sont pas incompatibles.
Nathaniel Hawthorne nous offre, avec “La lettre écarlate”, une magnifique héroïne qui, entre un mari dévoré par le désir de vengeance et un amant trop lâche pour accepter les conséquences de ses actes, est le seul personnage à s’en sortir la tête haute. »
Andréa Finck

Avec :
Philippe Weissert (Révérend Arthur Dimmesdale)
Aurore Paris (Hester Prynne)
Sandrine Le Berre (Pearl)
Marc-Henri Boisse (Roger Chillingworth)
Alain Rimoux (Gouverneur Bellingham)
Alain Macé (Révérend John Wilson)

Les commères : Pascale Caemerbeke, Cécile Arnaud, Stéphanie Lebbé, Nathalie Kanoui, Macha Kouznetsova

Pascal Bekkar (Brackett, le directeur de la prison)
Laurent Lederer (Le badaud)
Bastien Bouillon (Le bedeau)
Stéphane Szestak (Le gardien de prison)
Johann Proust (Le capitaine)
Didier Merigou (Le serviteur du gouverneur Bellingham)

Et les voix de :

Marianna Granci, Laurine Bauby, Emilie Pierson, Pauline Caupenne, Elodie Vincent, Olivia Forest, Marison Adrianasolo, Myrèn Astrée

Bruitage : Bertrand Amiel. Prise de son, montage, mixage : Olivier Dupré et Pierre Henry. Assistante à la réalisation : Manon Dubus

Source : France Culture
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ThibaultMarconnet04 septembre 2020
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Nathaniel Hawthorne : Maître Brown fils (France Culture / Samedi noir). Diffusion sur France Culture le 30 septembre 2017. Photographie : Nathaniel Hawthorne (1804-1864) • Crédits : Ann Ronan Picture Library - AFP. Pour la 1ère fois dans l’histoire de l’Amérique, Hawthorne, à l’image de son double, Maître Brown fils, nomme la « tache de sang » sur laquelle son histoire et sa mythologie se fondent : génocide des Indiens ; dévoiement de la religion à travers un fanatisme puritain aussi diabolique que le Diable. Adaptation d’Hélène Frappat. D’après la traduction de Muriel Zagha. Une réalisation de Michel Sidoroff. Conseillère littéraire : Caroline Ouazana. « Nathaniel Hawthorne est né Hathorne en 1804 en Nouvelle-Angleterre, à Salem, et c’est à l’âge de vingt ans, pour renier ses ancêtres puritains, coupables d’avoir participé à la chasse aux sorcières (son grand-père fut l’un des juges au procès des « sorcières de Salem » en 1692), qu’il ajoute la lettre W à son nom. Tout est dit, dans ce geste sublime de libération par la lettre : il contient déjà le destin d’Hester Prynne, héroïne de “La Lettre écarlate” (1850), condamnée par sa communauté puritaine à porter sur sa poitrine la lettre A, pour Adultère. Dans son « nid de hibou », sa maison aux murs rouges, Nathaniel Hawthorne entreprit d’écrire le véritable Ancien Testament de la littérature américaine, c’est-à-dire la matrice dans laquelle ses héritiers (Herman Melville, Henry James, Stephen King…), ne cesseront de se reconnaître et de puiser force et inspiration. Personne n’a égalé la densité visionnaire et poétique de ses contes, qui rapatrient l’enfer sur terre, et font des femmes les premières proies d’un système patriarcal se masquant derrière le « voile noir » du puritanisme pour asservir les plus faibles à une pure logique marchande, donc duplice, de domination. L’écrivain selon Hawthorne demeure pour moi aujourd’hui cette figure humble de héros sans armes autre que le langage qu’il s’invente, de poète réfugié dans les bois, d’observateur spectral d’un pays rejetant ses crimes sur les « bannis » possédant, tel Maître Brown fils, le don de voir le vrai Diable : l’hypocrisie puritaine. Comme le filmera, un siècle et demi plus tard, le cinéaste John Carpenter, “Maître Brown fils” nous apprend que le mal que le pouvoir américain n’a eu de cesse de prétendre identifier à l’extérieur, naît et croît en réalité dans le cœur de chaque être humain. Le mal — comme la fuite, comme la liberté, comme l’art — sont une possibilité qui s’offre à chaque instant à tout être humain, universellement. » Hélène Frappat

Avec :

Bernard Gabay (William Malvin)
Geoffroy Lidvan (Maître Brown fils)
Hélène Chevallier (Foi Brown)
Alain Macé (Le Révérend Lowell)
Franck Kronovsek (Le Diacre Gookin)
Bernard Bouillon (Le Diable)
Mauricette Gourdon (Dame Cloyse)
Pauline Ziadé (Ann et Mary)

Et les voix de Céline Schaeffer, Émilie Pierson, Janice Zadrozynski, Sophie Bourel, Cécile Arnaud, Olivier Ruidavet, Didier Mérigou, Xavier Bazin et Léo Reynaud

Bruitages : Bertrand Amiel et Élodie Fiat. Prise de son, montage et mixage : Cédric Chatelus et Victoria Aspert. Assistante à la réalisation : Léa Racine

“Maître Brown fils” de Nathaniel Hawthorne figure dans le recueil “Contes et récits”, publié chez Actes Sud

Source : France Culture
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videos01 septembre 2017
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Antoine Traisnel, auteur d'un monumental HAWTHORNE aux Editions Aux forges de Vulcain, répond à trois questions sur cet auteur emblématique de l'Amérique.

Le livre est disponible ici:
http://www.auxforgesdevulcain.fr/collections/sciences/hawthorne/
videos01 septembre 2017
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Antoine Traisnel, auteur d'un monumental HAWTHORNE aux Editions Aux forges de Vulcain, répond à trois questions sur cet auteur emblématique de l'Amérique.

Le livre est disponible ici:
http://www.auxforgesdevulcain.fr/collections/sciences/hawthorne/
videos01 septembre 2017
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Antoine Traisnel, auteur d'un monumental HAWTHORNE aux Editions Aux forges de Vulcain, répond à trois questions sur cet auteur emblématique de l'Amérique.

Le livre est disponible ici:
http://www.auxforgesdevulcain.fr/collections/sciences/hawthorne/





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