Nicola Sirkis

Un livre très intéressant pour redécouvrir autrement et comprendre les chansons d'Indochine ainsi que se replonger dans l'histoire du groupe.

J'ai acheté ce recueil à la base, comme beaucoup surement, parce que je suis fan d'Indochine et parce que j'avais envie de découvrir ce que Nicola pouvait écrire, sans trop d'espoir.



Au final, très bonne surprise pour ces 13 nouvelles qui plairont aux amateurs d'humour sordide et d'ambiances étranges. Certaines sont vraiment géniales, comme China Daily (hilarante), l'Ascenseur sans Retour; émouvante comme Justine.



En quelques pages Nicola Sirkis parvient à prouver qu'il est capable d'écrire des histoires avec de vraies chutes, ce qui est essentiel pour des nouvelles.
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Vous l’aurez compris, je pense, il s’agit d’un livre essentiellement destiné aux fans car le contenu reste sans grand intérêt pour les autres !

J’espère que Nicola Sirkis nous a prévu un roman ou un recueil de nouvelles (en tout cas, quelque chose de plus conséquent !) dans les mois (années) à venir ; mais Les Petites notes du Meteor Tour sont, somme toute, une bonne mise en bouche avant l’arrivée du CD et DVD du Stade de France qui sortent le 17 janvier (et que j’ai déjà pré-commandés !)…


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Voilà près de 40 ans qu’Indochine nous enchante. Un rock d’après Johnny et presque en même temps que Téléphone, précurseur dans la création d’une musique sans batteur et d’un rock tourné vers la pop et le grunge, aujourd’hui vers l’électronique.



Avec émotion, Nicola Sirkis replonge dans ses souvenirs. Il est, à lui seul, la mémoire vivante d’Indochine. Et Rafaëlle Hirsch-Doran l’a bien compris. A eux deux, ils couchent sur papier l’histoire du groupe a l’origine de « l’Aventurier », « Trois nuits par semaine », « J’ai demandé à la lune », « La vie est belle » et récemment « Nos célébrations ».



Ce livre fait aussi la part belle aux intervenants, de la mère du chanteur à Brian Molko, en passant par ceux qui font et ont fait l’histoire d’Indochine. Une belle histoire mais aussi cruelle. On comprend alors les événements de la période sombre d’Indochine, de la baisse de popularité à la mort de Stéphane Sirkis, frère jumeau de Nicola.



Le récit est également parsemé d’archives visuelles (photos, costumes, fiches de studios), augmentant ainsi l’aspect biographique de ce formidable livre.

Loin de se reposer sur ses lauriers ou de partir en retraite, Indochine fourbit toujours de nouvelles chansons et prépare sa prochaine tournée. Le public lui en est naturellement reconnaissant et l’encourage toujours à innover, à prendre des risques. Bref, à être fidèle à tout ce qui a été proposé depuis quarante ans. Souvenez-vous, l’histoire a débuté en 1981. Un anniversaire qui vient d’être scellé !

Plusieurs mauvaises nouvelles très noire que nous à écrit ici Nicola Sirkis. Plusieurs mauvaises nouvelles intéressantes, comme suicidal Tendencies, Viêt-Nam Glam, Justine (à l'heure dite) ou encore Touch Gang. Plusieurs thèmes abordé ici comme le suicide, la drogue et bien d'autre. Déroutant de dire que j'ai aimé toutes ou à peu prés c'est mauvaises nouvelles tant les thèmes son noire. Je voulais découvrir la plume de Nicola Sirkis est je n'ai pas était déçu d'avoir lu ce livre.

Super livre, bien écrit et très intéressant.

On y découvre des petites anecdotes sur les textes du premier album au 11ème (La République des Meteors).

Il ne reste plus à espérer un prochain livre pour les derniers albums sortis.

Rien n'est réussi dans ce recueil: l'écriture est plate (avec une redondance d'auxiliaires), la narration descriptive et les effets de style tombent à l'eau. Le titre du recueil illustre bien l'ensemble de l'ouvrage.



J'aime le chanteur, pas le nouvelliste.

Un livre très intéressant et agréable à regarder, pour vivre ou revivre le Météor Tour dans son quotidien et aux côtés de Nicola Sirkis. J'ai aimé.

Dérangeant, déroutant, mais tellement intéressant !

Dérangeant, déroutant, mais tellement intéressant !

LE livre du Central Tour, la tournée des 40 ans du groupe Indochine. Très belles photos de la tournée des stades mais aussi de la conception et des répétitions des concerts. 6 dates dans 5 villes. Le livre pour les fans d’Indochine, sublime ! Un très beau livre retraçant une tournée monumentale.

Dévoré en quelques jours, ce livre retrace la genèse et les explications des paroles de chansons du mythique groupe de rock français Indochine, par époque de création. Le tout est complémenté d'extraits authentiques des "carnets noirs" de Nicola Sirkis où ses mots se forment pour aboutir à ces chansons merveilleuses et intemporelles. Le leader et chanteur rencontre Agnès Michaud pour un jeu de questions-réponses autour de ces paroles qui prennent un nouveau sens pour certaines et se confirment pour d'autres. J'ai beaucoup apprécié redécouvrir ces vers et leurs inspirations, ainsi que l'histoire du groupe sous un nouvel angle. Nicola se livre (presque) sans tabous. On découvre alors sa sensibilité, ses failles qui laissent entrer la lumière et ses forces par ces mots poignants et percutants. Ca donne envie de réécouter toutes les chansons !



La plume d'Agnès Michaux qui accompagne l'interview est poétique et imagée à l'image de Nicola. Tous deux se sont bien trouvés et on ne peut espérer mieux pour mettre en valeur ces paroles. Petit bémol cependant (mais je vous aime quand même !), dans ce corps de texte, quelques coquilles, notamment d'accord de participes passés, demeurent... dommage pour un livre édité par une si grande maison d'édition !

J'ai lu ce livre étant fan du groupe Indochine comme beaucoup.

En tant que lectrice, en mettant mon fanatisme de côté, je déclare ne pas être déçue, c'est un véritable chef d'oeuvre littéraire.

Il n'est pas banale, les nouvelles sont toutes originales et racontent des histoires

Elles rapportent à la mort, à l'amour, à la sexualité, au suicide, au monde.. et bien plus encore.

La fin est souvent inattendue, les différents scénarios sont inspirés de la vie réelle parfois, où sont fantastiques.

L'originalité dans cette oeuvre est à son comble, et je tiens vraiment à solliciter sa lecture car à mes yeux, ce fut une lecture incroyable !

C'est un livre qu'il me plaisait de lire et relire quand j'étais ado. Chacune des nouvelles est vraiment différente de l'autre et toutes sont engagées. Celle de Justine est terrifiante de vérité. Celle sur le gang bang de puces est plutôt originale et nous force à lire entre les lignes. Mais ma préférée, de loin celle que j'ai le plus lue, c'est Suicidal Tendencies. Avec ses mots, avec sa poésie, qui lui est propre, malheureusement souvent critiquée à la négative, Nicola Sirkis arrive à nous faire avancer dans notre adolescence et SURTOUT, à ne jamais nous la faire oublier.

Nicola Sirkis

Admirateur ou non du groupe Indochine, on peut trouver de quoi se rassasier dans ce recueil, au moins de quoi s’évader. On n’est pas sur l’écriture du siècle, Sirkis est parolier, ses paroles sont hyper imagées voire incompréhensibles parfois, mais il a une certaine sensibilité artistique et culturelle qui transpire dans ce recueil. Au-delà des histoires ce sont surtout les décors, les cultures, les sujets et intrigues un peu décalés (originaux du coup) qui m’ont beaucoup plu et m’ont permis de m’envoler.

J’ai retrouvé cette ambiance si particulière des albums d’Indochine, j’ai vécu des histoires folles, drôles, noires et finalement, pleines de vie. Mais au-delà de cette expérience tout à fait personnelle due à mon passé musical avec l’auteur, j’ai retrouvé un vrai plaisir à lire ces nouvelles qui nous font voyager à travers le monde et l’imaginaire, à travers les genres aussi, puis les émotions les nouvelles allant du plus noir au plus fantaisiste, nouvelles toutes illustrées par Valérie Lenoir.



Mention spéciale aux nouvelles Viêt-Nam Glam, ma préférée, qui en quelques pages regroupe beaucoup de choses que j’aime trouver dans certains genres, ainsi qu’à Suicidal Tendencies qui m’a remué les tripes par sa noirceur mais aussi sa beauté.
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Une plongée dans les archives de l’un des groupes les plus populaires et les plus moqués du rock français, parce que trop inspiré, trop adolescent, trop premier degré, ce que l’ouvrage n’ignore pas. [...] Le livre retrace avec une impressionnante iconographie quarante ans d’une carrière hors du commun.
Lien : https://www.telerama.fr/livr..