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Citations de Nicolas Zeimet (145)


Le temps est une pourriture. Il vous prend tout, la jeunesse, l’innocence, l’insouciance. L’espoir.Tout ce qu’il vous laisse, ce sont les souvenirs.
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Le problème avec les mensonges, c'est qu'on finit toujours par les multiplier.
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Le destin n'est rien d'autre que la part de bonheur ou de malheur, le lot de fortune ou d'infortune, qui échoit à chacun à la naissance, et la vie distribue ses cartes au hasard.
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La vie était terrible, cruelle. L'enfance s'étirait en longueur au point qu'on la pensait éternelle, et d'un coup on en sortait et le temps nous filait entre les doigts.
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Le destin n’est rien d’autre que la part de bonheur ou de malheur, le lot de fortune ou d’infortune, qui échoit à chacun à la naissance, et la vie distribue ses cartes au hasard.
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Le bébé, ses fantômes :tout ceci n'était pas le fruit du hasard. Elle avait peu à peu acquis la certitude que l'enfant qu'elle portait, par une sorte de processus naturel, rejetait les secrets enfouis au fond d'elle pour se faire de la place.
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Le temps est une pourriture. Il vous prend tout, la jeunesse, l'innocence, l'insouciance. L'espoir. Tout ce qu'il vous laisse, ce sont les souvenirs.
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Le passé c'est du vent (...). Il ne repose sur rien. Tu veux un bon conseil ? Laisse-le là où il est. Tu ne t'en porteras que mieux.
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Une fois qu'on avait mis la tête dans le puits des souvenirs, le plus souvent on y tombait. Et le délicieux abandon qu'on pouvait ressentir pendant la chute pouvait parfois virer au vertige. Et à l'horreur.
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− Certes. Mais cela ne saurait en rien remettre en cause le diagnostic de mort encéphalique. En 2014, avec les moyens dont dispose la médecine, l'idée que des individus puissent être enterrés vivants ne me paraît pas plausible. En aucune façon. Et ce, pour une raison très simple : il s'écoule le plus souvent plusieurs jours entre la constatation de la mort et l'enterrement. Par conséquent...
− ... ça laisse au corps le temps de se réveiller, conclut Pierre, enchaînant aussitôt : Savez-vous de quand date la première observation d'un tel phénomène, docteur ?
− Trente-trois ans après Jésus-Christ ? suggéra Mireille Camus sans esquisser la moindre amorce de sourire.
Un silence s'ensuivit.
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Vous savez ce que j'aimerais ? Pouvoir lâcher la barre et dériver vers ces territoires lointains où plus rien ne compte que l'oubli. Alors, je me sentirais libéré d'un poids. Je n'éprouverais plus cette perpétuelle contrainte de la suite.
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- Ça va, Sam ?
- Pourquoi ça n'irai pas ?
Son ton était sec, d'une singulière froideur.
- Tu es sure ?
- Sûre. croix de bois, croix de fer, si je mens , je vais en enfer.
Elle y allait tout droit.
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Le sens de ma vie, c'est d'être ici. Alors non, la mort me fait pas peur. Pas la mienne en tous cas. Pour ce qui est de celle des autres, il m'arrive de me dire que je suis le plus grand froussard du monde.
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La nostalgie est délicieuse quand on n'en devient pas l'esclave, et je la laissai s'inviter comme une vieille amie.
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— On t'a dit de dégager, Butch ! fit Sherry. Y a la remise du trophée du Connard de l'année à l'hôtel de ville, je crois qu'ils t'attendent !
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Depuis le début de la soirée, le temps hémophile semblait leur couler entre les doigts.
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− Tu t'occupes de combien de gosses ?
Elle éclata de rire.
− Des gosses ? Y a pas de gosses dans ma vie en ce moment. Pas de chum.
Face à l'air perplexe qu'affichait Pierre, la jeune femme lui expliqua :
− Les « gosses », en québécois, c'est pas le... c'est pas le fruit de la procréation, c'est... l'outil de la procréation. Tsé.
Elle désigna l'entrejambe de Pierre.
− Hein ?
− Enfin, c'est les couilles, quoi ! pouffa Clarisse.
− Ah...
Il y eut un instant de flottement.
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- Le silence est le plus beau bijou d'une femme, déclara-t-il d'une voix lâche, assez fort pour qu'elle puisse l'entendre. Quel dommage qu'elle le porte rare.
- Idiot! Lança Felicity depuis la porte, qui se refermait déjà sur elle.
Ils éclatèrent de rire.
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" Je crois que si on ne s'occupe pas de son passé, un jour, c'est lui qui s'occupe de vous".
Joyce Carol Oates
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La voix de Boy George jaillit des enceintes.
En un éclair, je me retrouvai vingt-sept ans en arrière.
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