Olivier Chambon : La mort expliquée aux enfants
Il y a un modèle "quantique" de la conscience en rapport avec ce que la physique quantique nous apprend de l'univers.
C'est-à-dire que tout notre univers se comporte comme une conscience produisant la matière.
Dans le modèle des sciences quantiques, il faut croire pour voir, parce que l'attitude de l'observateur va modifier le déroulement des faits observés.
L'intention, la croyance, modifie la manifestation matérielle.
Selon les spécialistes de la physique quantique, la Conscience appartiendrait à un « Réel primaire, originel, fondamental », une dimension au-delà de l’espace-temps, contenant toute l’information passée, présente, future, et dont serait issu l’Univers tel que nous le connaissons. Il n’y aurait qu’une seule Conscience et notre individualité ne serait qu’une sorte de « point de condensation » momentané de celle-ci. Cette Conscience absolue serait « pure » et devient « modifiée » lors de son imprégnation dans la matière, lors de l’individuation avec tout ce que cela comporte de mental, d’ego, etc. En ce sens tout état de conscience humain, même et surtout ce que l’on appelle l’« état ordinaire de conscience », est en fait un « état modifié de conscience (EMC) », vis-à-vis de cette Conscience originelle.
Il y a trois types de NDE négatives : il y a les NDE au contenu identique à celui d’une NDE positive, sauf que la personne a peur de ce qu’elle découvre et le rejette, elle n’en perçoit pas le côté positif. Il y a des NDE négatives où les personnes ne veulent pas perdre le contrôle ni se laisser aller. Elles ne se rendent pas compte que c’est elles qui créent la dimension négative de leur NDE en y opposant une résistance : elles combattent leurs propres fantômes, en quelque sorte. Une troisième expérience de NDE négative concerne ceux qui se sentent en prise avec des motifs géométriques impersonnels qui semblent froids ou qui sont mis en relation avec un vide, une sorte de rien, extrêmement angoissant. Souvent les gens perçoivent que les fibres géométriques semblent sourire de manière ironique et se sentent agressés, mais heureusement, parfois l’expérience se transforme en NDE positive et ils vivent alors une expérience d’amour et de bienveillance.
« S'il vous plaît, réveillons-nous tous ensemble de notre endormissement social et de nos conditionnements éducatifs. Réveillons-nous de la torpeur spirituelle imposée par le modèle matérialiste. Les données sont là et les témoignages sont là ; tout concorde : il y a bien une conscience qui persiste après la mort et qui est indépendante du corps. Lisez les livres, regardez les reportages, écoutez les témoignages et vous verrez que le score est de 100 contre 0 pour le modèle “survie” contre le modèle “anéantissement”. Plus nous serons nombreux à le savoir, plus le modèle matérialiste s'effondra de lui-même comme un château de cartes ; un jour tout le monde se rendra compte que le modèle matérialiste est une usurpation, une prise de pouvoir, concernant les connaissances sur la conscience. »
Pour en revenir à Pamela Reynolds (le cas le plus célèbre et le plus impeccable à ce jour, scientifiquement parlant), le corps a été vidé d’une partie de son sang et réfrigéré à 17°C ; le cœur ne battait plus et le cerveau reflétait un électroencéphalogramme plat, insensible à toute stimulation externe. Le tout pendant une bonne demi-heure ! Malgré cet état de mort clinique, sa conscience a continué de fonctionner et même avec une plus grande clarté que durant son état de veille ordinaire. Elle a pu percevoir des évènements qui s’étaient réellement déroulés dans la salle d’opération lors de sa sortie hors du corps. Pamela Reynolds a vécu tous les stades classiques de la NDE (rencontre de personnes décédées et d’un « être de lumière ») et cela a complètement transformé sa vie durant les années qui suivirent. Dans ce cas-là, pour la médecine, cette personne était bien cliniquement morte et en même temps, sa conscience a vécu des évènements avec une grande lucidité, une clarté d’esprit, des capacités de perception et de raisonnement aiguisées, une mémorisation très nette, alors que son cerveau ne fonctionnait plus.
Un autre cas de figure existe dans le domaine juridique lors d’un crime où il n’y a pas de témoins directs et où n’existent que des « preuves indirectes » (traces d’ADN sur place, empreintes digitales…) incriminant une personne. Eh bien, ces preuves indirectes peuvent être jugées suffisantes pour aller jusqu’à condamner à la prison à perpétuité un individu, même en l’absence de preuves directes… Or, nous, nous disposons d’un grand nombre de ces preuves indirectes pour dire que la conscience survit après la mort du corps ! Mais très peu de scientifiques en tirent des conclusions, car ils ont trop peur d’être exclus de la communauté scientifique. Ils seraient en fait exclus d’une « communauté de croyances matérialistes », mais pas de la science en tant que méthode, à mon sens.
« On ne ramènera jamais les manifestations de notre âme aux propriétés brutes des appareils nerveux pas plus qu’on ne comprendra de suaves mélodies par les seules propriétés du bois ou des cordes du violon nécessaire pour les exprimer. »
Claude Bernard
Développer un soin régulier à soi-même au travers du corps comme une discipline dédiée à notre bien-être est un rituel en honneur de notre beauté intérieure. Cela nous permet d’entamer un doux retour vers notre cohérence intrinsèque, au cœur de laquelle notre vulnérabilité peut aussi être notre plus grande force. Baromètre de nos états d’être, l’amour pour nous-mêmes va nous ancrer comme un bateau, même lorsqu’il est pris dans la tempête. Et quand il rayonne, cet amour irrigue tout notre être.
Selon Rick Doblin " l'humanité est engagée dans une course entre la catastrophe et la conscience. La renaissance psychédélique est là pour aider la conscience à triompher."
Quant au fait que les personnes apprécient mieux le toucher quand il est affectueux, c'est également le signe d'une amélioration de la régulation affective : les humains sont faits pour aimer le contact physique, le fait de ne pas l'aimer est généralement le signe de manques précoces, retrouver cette capacité est en soi thérapeutique.