Citations de Patrick Segal (28)
«Un malade est un coupable qui s'ignore.»
[ Patrick Segal ] - L'homme qui marchait dans sa tête
«C'est au-delà des mots que se font les vraies adhésions.»
[ Patrick Segal ] - L'homme qui marchait dans sa tête
«Quand il n'y a plus rien à dire, peut-être est-ce l'heure du sourire ?»
[ Patrick Segal ] - L'homme qui marchait dans sa tête
Quand il n'y a plus rien à dire, peut-être est-ce l'heure du sourire ?
Le malade ne guérit pas seulement de soins.
La vérité, elle, tue beaucoup plus qu'on ne le croit.
On est riche quand on choisit sa liberté.
Quand le ressort secret des volontés s'est détendu, il ne sert à rien de remonter les mécanismes.
On ne se débarrasse pas facilement de ses fantômes. Ce sont eux qui entretiennent notre vigilance.
À quoi sert la liberté quand on choisit de servir ?
C'est long le parcours d'un homme... Ça ne devrait jamais finir parce qu'on ne sait jamais ce que réserve le futur.
En réparant ce que le Créateur avait imaginé à la perfection, les chercheurs – et en particulier les généticiens – venaient de sauver l'homme du fatalisme. Cet immense pas fait par l'humanité défiait la mort et l'aurait rendue presque médiocre s'il n'y avait pas eu son terrible corollaire : celui de l'incroyable augmentation de la démographie. Seules la chaleur et les catastrophes naturelles arrivaient à faucher les survivants des maladies séculaires.
Les timbres, c'est ma vie, mon histoire et ma géographie.
la chance , c'est pas comme le facteur ça ne sonne qu'une fois. Mieux vaut ouvrir tout de suite même si l'on se trouve plus au chaud dans son lit.
Le monde avait beaucoup changé depuis que la télévision avait submergé le quotidien des hommes. La parole d'évangile était cathodique, la vérité câblée et l'amour à épisodes. Il avait imaginé que tout s'analysait sans avoir besoin de vérifier, de confronter, voire d'admettre les divergences.
Faut-il toujours être en pénitence pour comprendre le cœur de l'autre ? Faut-il pleurer de solitude pour se jurer de parler ?
ma méthode est simple. Afin de m'éviter la tentation de reculer, je dis tout haut ce que je vais faire je le calme partout: ainsi ai je pris vis à vis des autres comme un engagement d'honneur.
6 avril 1973
la balle, c'était il y a un an tout juste. Aujourd'hui, c'est l'avion. En ce jour d'anniversaire, je m'offre la Chine. En avion, et en fauteuil roulant.
Vivre c'était rire rire être heureux être heureux aimer la vie
On n'est jamais seul quand on est musicien. Ne vends ni ta terre ni ta guitare car sans elles tes doigts ne serreront que le vide. Laisse les gens des villes croire en leurs mirages. Tu vaux plus que cela car de ton corps placé en terre naîtra un arbre, et d'une planche, une guitare.
Ce qui nous est indispensable vous sera nécessaire. Anticipez, prévoyez le monde de demain qui n'aura plus peur de la maladie ni de la vieillesse, assumez vos parts d'incapacité. Nous sommes les pionniers de ce monde égoïste et nous ouvrirons des brèches avec nos roues, nos cannes blanches, nos bégaiements et notre envie de vivre. Construisons un monde différent, plus tolérant où l'on s'intéresse à nos richesses plutôt qu'à nos déficits.
Je viens sur ce site depuis quelque minutes à peine et j'ai fais quelques erreurs de manip. pardonnez moi.
Toutefois j'ai lu ce livre il y a de très nombreuses années. j'en ai encore le souvenir très vif.
Monsieur Ségal je vous ai connu lorsque vous passiez au secretariat général des DOM-TOM rencontrer Bernard Stasi dont j'étais la secretaire..
Je reste encore sur ce souvenir de force et d'emotions
s'exclure, se protéger, se vouloir différent, s'accepter assisté, c'est le renoncement, la vraie misère. Je refuse cette fin, je ne laisserai même pas s'approcher la sournoise tristesse.