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Critiques de Paul-Jacques Bonzon (97)
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La famille H.L.M., tome 4 : Vol au cirque

J’ai passé mon enfance au 5ème étage d’un HLM toulousain mais je ne connaissais pas cette série de l’auteur des « Six compagnons ».

La famille HLM est en réalité composée de Marco et de Bichette, frère et soeur, d’un petit cousin et du fils de la concierge de l’immeuble de Colombelle ville fictive de la région parisienne.

Parfois au pied de mon HLM, sur un grand près qui n’existe plus, s’arrêtaient aussi de petits cirques. Ici, la disparition d’un ours dressé va provoquer l’enquête de la famille en question.
Paul-Jacques Bonzon reprend ici la trame habituelle de ses autres romans, un adolescent dans la détresse va se voir secouru par ses jeunes héros.

L’auteur a eu surtout l’intelligence de décrire des familles moyennes (un enfant couche dans un vestibule faute de place, on ne peut payer les places du cirque par manque d’argent de poche), pour lesquelles solidarité , respect et entraide n’étaient pas de vains mots.
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L'éventail de Séville

J’ai retrouvé Pablo. J’ai retrouvé le personnage de fiction qui a marqué mon enfance. Je devais être en CE1 ou CE2 lorsqu’avec lui j’ai découvert Séville, Grenade, Malaga, les Canaries, Cadix, les Espagnols, leur parler, leur façon d’être. Et je me disais alors « un jour, j’irai à Séville pour retrouver Pablo ». Ce voyage, je l’ai accompli bien des années après et Séville m’a éblouie. Était-ce vraiment la ville elle-même qui m’a marquée ou bien les souvenirs de lecture et de Pablo que j’y ai perçus qui ont rendu ce voyage inoubliable ? Je ne sais pas, mais ce fut un voyage-bonheur.



Et pourtant l’histoire de Pablo est d’une infinie tristesse, mais d’une infinie pureté aussi. C’est celle d’un amour plus grand que tout et désintéressé. C’est un roman où les qualités humaines sont mises en avant, telles que la solidarité et l’entraide. Un roman jeunesse dans lequel les minots pouvaient puiser de belles leçons de vie.



Sous le soleil torride de Séville, Pablo, jeune orphelin, essaie de gagner sa vie en vendant de l’horchata (boisson) aux touristes et autres promeneurs. Sur la place, près de la fameuse Giralda, se trouve aussi Juanita qui, elle, vend des éventails andalous. Pablo est attirée par la petite marchande et essaie d’entrer en contact avec elle. Mais celle-ci semble plutôt inquiète de ce rapprochement. Elle finit pourtant à avouer à son nouvel ami que les gens chez qui elle vit et pour qui elle travaille ne sont pas ses parents, et qu’elle aimerait les retrouver.

Pablo, accompagné de son ami Lazarillo, vont alors tout faire pour retrouver la vraie famille de Juanita.

Et le lecteur embarquera avec eux pour une suite d’aventures mouvementées et riches de rencontres dans le sud de l’Espagne et jusqu’aux îles Canaries.



Ha les vide-greniers, de vrais trésors emplis de souvenirs ! Un livre que j’ai cherché pendant des années et enfin retrouvé :))

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Le jongleur à l'étoile

Je suis tombée sur cet ouvrage dans une boîte à livres. Comme il avait enchanté mon enfance, je l'ai relu avec plaisir.



J'y ai retrouvé Jehan, petit paysan du Moyen-Age, qui doit travailler durement aux champs.

J'ai retrouvé aussi ses amis : le nain bossu, qui charme les animaux de la forêt avec sa flûte, qu'il donnera à Jehan, Fleuric, le garçon robuste qui lui lui fait cadeau de trois souris blanches dressées à faire des tours, le musicien lépreux, qui a joué autrefois devant le roi, et qui offre une merveilleuse vielle à notre héros.



Ces rencontres façonneront son avenir, il deviendra un musicien renommé, profession qui conviendra à son physique gracile, illustré de manière charmante par Jeanne Hives.



Un orphelin retrouvera sa mère grâce à une tache de naissance. D'accord, c'est un cliché, mais cela ne m'a pas gênée dans ce roman pour enfants daté de 1965.



Beaucoup de bons sentiments, quelques descriptions un peu simples du Moyen-âge, et voilà ma jeunesse qui revient avec un sourire.
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Les six compagnons, tome 7 : Les six compag..

Peut-être plus que dans les premiers récits des aventures des six compagnons, on entre ici dans leur milieu familial.

C'est le Lyon des petits artisans, des employés, des chiffonniers qui nous est décrit. Les compagnons sont tous issus de ce cadre social. Fils de balayeuse, de tisserand, de boucher ils vivent dans de petits appartements.

Leurs parents travaillent durs et sont peu fortunés. 


Pour Noël, Tidou notre conteur, n'a qu'un pull que sa mère a tricoté en cachette et quelques papillotes, Géo son frère un bulldozer en plastique et voilà tout.

C'est aussi cette réalité sociale qui a fait le succès de la série car ses lecteurs n'étaient, bien souvent, pas plus riches que ses héros.

Pourtant, ces enfants sont élevés dans des valeurs d'altruisme, de générosité par leurs parents et leur maîtres. L'auteur, lui aussi, contribuait à une certaine édification non religieuse mais humaniste. Tout cela a, hélas, bien changé.
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Les six compagnons et la perruque rouge

Pérouges, destination incontournable de mes vacances d’été en région lyonnaise dans les années 60 avec la visite du musée automobile de Rochetaillée et les grottes de La Balme !

Dans cette petite cité médiévale merveilleusement conservée, plusieurs films furent tournés dont Les Trois Mousquetaires, Angélique et Mandrin, celui justement des grottes de La Balme.

Les 6 compagnons vont participer à un tournage mais là où ils sont, le mystère n’est pas loin.

Enfants malheureux, voleurs cruels et exploits du chien Kafy rien ne manque ici des ingrédients usuels de la série.
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Les Six Compagnons, tome 24 : Les Six Compa..

Après avoir lu un livre particulièrement éprouvant, j'avais besoin d'une lecture facile, une lecture doudou qui me ramène à mes années collège. Quoi de mieux qu'un livre de la collection bibliothèque verte avec les aventures de tidou, Kafi et les autres. J'avais un peu peur que cette fois, Kafi ne soit pas de la partie, mais ouf il participe bien à l'aventure. Par contre, mes yeux d'adulte avaient très vite deviné les coupables du mystère, ça me fait penser que c'est bien dommage de grandir parfois.
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Les Six Compagnons, tome 5 : Les Six Compag..

Cette nouvelle aventure des Six compagnons reprend tous les thèmes mis en place par Paul-Jacques Bonzon dès le premier livre : Jeune enfant dans la détresse, enquête des compagnons et intervention de leur chien Kafy.

Sur la trame de l’innocent accusé à tort, Bonzon a construit son roman indépendant de cette série « La croix d’or de Santa-Anna » qui se passe aussi en haute montagne et on peut aussi y rattacher "Les 6 compagnons au gouffre Marzal".

Pour que fonctionne l’aventure, quelques contraintes d’écriture s’imposent : que les 6 compagnons soient en groupe, hors activité scolaire, que leur chien fasse partie de l'histoire.

Ici, en classe de neige l’exercice était difficile. Aussi un dortoir manque-t-il de 6 places pour pour loger opportunément les compagnons à part de leur condisciples. Le chien ne pouvant partir en classe de neige échappe à Mady qui avait pour tâche de le garder et il suis le train qui pour qu'il puisse monter à bord va inopinément s’arrêter. Mady pour enquêter à Lyon va voir sa classe inondée par une fuite d’eau et se retrouvera donc libre de son temps…

Tous ces arrangements, trop voyants, trop évidents gâchent malheureusement cette aventure plus faible que les précédentes dans sa trame narrative.
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La croix d'or de Santa Anna

J’étais curieux de lire un roman de Paul-Jacques Bonzon qui ne soit pas un « Six compagnons ».

Eh bien, on retrouve ici les thématiques qui lui sont si chères : l’adolescence, des êtres isolés, incompris ou faussement accusés, un chien loup aussi qui va prendre une part très active dans l’action et des méchants qui n’hésiteront pas à être parfois très violents.

Mais on retrouve surtout ce culte de l’amitié, du courage et de l’abnégation lorsqu’il s’agit de rendre service ou de sauver cet ami.

Toutes valeurs autrefois transmises par des familles responsables, des catéchèses, enseignants et le scoutisme et qui tendent aujourd’hui à disparaître au point quel tel livre doit paraître stupide et niais maintenant.

Cette aventure alpestre n’est pas aussi sans un peu rappeler le célèbre « Belle et Sébastien », elle est en tout cas allègrement comptée et avec un sens réel du suspens et les pages filent sans ennuis jusqu’au dénouement final.
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Les six compagnons, tome 4 : Au bord du gou..

Il faut beaucoup de talent pour maintenir cet équilibre sensible entre d’une part tomber dans la niaiserie la plus complète ou basculer dans le réalisme total d’un roman policier pour adulte.

Paul-Jacques Bonzon avait cette maîtrise qui a fait tant remarquer ses « Six compagnons ».

La forme narrative choisie, celle de laisser la parole à Tidou, l’un des six, contribue à la sympathie que nous portons à ce groupe vecteur pour les plus âgés de tant de souvenirs d’enfance.

Ils sont, ici, guides au gouffre Marzal pour leurs vacances d’été et comme le mystère leur colle aux espadrilles, ils vont être dès leur arrivée confrontés à d’étranges rôdeurs nocturnes.

Comme pour les premiers opus, le rythme est soutenu et donne la plus belle part à la vaillance et au courage du chien Kafi.
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Les six compagnons, tome 3 : Les six compag..

Il paraît que les Six compagnons ont fait l'objet d'une réécriture qui simplifie et évite tout usage de temps de conjugaisons devenus étrangers aux enfants de nos époques. Cela ne m'étonnerait pas tant tout est nivelé par le bas aujourd'hui. J'ai malgré tout du mal à comprendre ce manque total de respect des ayants-droits pour l'oeuvre dont ils ont la responsabilité. le profit commande tout, hélas.

Même ce titre « Les six compagnons et l'étrange trafic » affadie celui des « Six compagnons et l'homme au gant ».

J'ai moi aussi été, dans les années soixante, un enfant soigné dans les hôpitaux de Lyon comme le petit Loulou, protagoniste bien malheureux de ce livre. Et ma famille d'accueil m'offrait pour patienter durant ma convalescence, les premiers épisodes des « Six compagnons » que je prends plaisir à relire aujourd'hui.

Autant pour son intrigue envoûtante que pour son atmosphère, ce roman est excellent.

Je retrouve ici ces vieux quartiers de Lyon aux immeubles gris, ses ruelles en pente. le milieu social de ces enfants est très modeste. Ce sont des fils d'ouvriers ou de petits commerçants. Loulou et sa famille s'entassent dans un tout petit appartement misérable, d'autres dans des immeubles voués à la démolition.

Construit sur des thématiques chères à Paul-Jacques Bonzon dont il faut redire tout le talent, on retrouve ici l'enfant isolé, malheureux, la vaillance du chien Kafi et le courage et l'audace des Compagnons, prêts à tout pour aider un de leur semblable dans la détresse.

Comme Bruno, le héros des « Particules élémentaires », j'ai beaucoup aimé cet épisode de la série des gones de la Croix-Rousse.
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Les six compagnons, tome 2 : Alerte au sabo..

En 1963, date de la sortie de cette seconde aventure des compagnons de la Croix-rousse, le site de recherche nucléaire de Marcoule a une importance primordiale pour la France.

L'extraction de plutonium indispensable à l'armement nucléaire du pays et l'étude des premiers réacteurs nucléaires ont commencé depuis 1956. C'est dire, en effet, si le site était sensible et fortement surveillé.

C'est dans ce contexte que se place cette histoire au suspens soutenu et où on a grand plaisir a retrouver nos compagnons et leur chien Kafi.
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Les Six Compagnons, tome 18 : Les Six compa..

Autre époque que celle de ces aventures des six compagnons.

Une cinquantaine d’années nous en sépare et tellement de choses ont changé. Les compagnons vont travailler durant leurs vacances pour aider financièrement un des leurs.

Et je me remémore ces étés des années 70 où, moi aussi, j’ai travaillé durement pour me faire un peu d’argent de poche.

Je me souviens aussi de cette région de Montélimar, traversée par la N7 avant la création de l’autoroute car je montais souvent vers Lyon y retrouver une partie de ma famille. La DS21 de mon oncle filait à 180 km/h lorsqu’on nous descendions vers Marseille. Sans air-bags, sans ceintures de sécurité. Quand on y songe, s’est assez effrayant aussi.

Ici, un nouvelle fois, l’aventure est au rendez-vous qui donne la part belle aux femmes et à Kafy, le magnifique chien-loup de la bande.
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La famille H.L.M., tome 9 : Quatre chats et..

Je l'avais lu dans mon enfance. Je l'ai relu à ma fille avec grand plaisir. Elle a adoré. L'histoire est intéressante et accessible même pour des enfants pas si grands ( ma fille a 7 ans). L'écriture est fluide et les chapitres rythment bien l'histoire.
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La famille H.L.M., tome 16 : Slalom sur la ..

Une découverte en boîte à livres très rafraîchissante !



Aujourd'hui, nommer "La famille HLM" une série type "Club des 5" ou "6 compagnons" peut faire sourire.



Mais au-delà d'une enquête très simpliste menée par 4 cousins et un jeune skieur intrépide, c'est aussi l'instantané d'une époque charnière pour la France : le début des années 1970 est porteur d'espoir, caractérisé par une foi en le progrès et la modernité à tout va.

Ainsi, nos jeunes héros se réjouissent et sont fiers d'habiter dans les tours toutes neuves d'une ville nouvelle de banlieue parisienne... Et s'émerveillent des équipements ultra modernes de Super Alp, une station de sports d'hiver construite de toutes pièces en haute altitude, et conçue pour devenir une usine à skieurs...



Néanmoins, une lecture distrayante et bien menée.
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La ballerine de Majorque

Ce livre là m’accompagne depuis plusieurs décennies. Je l’ai lu quand j’étais petite et que je dévorais les histoires des bibliothèques Rose, Verte ainsi que Rouge & Or. Et c’est l’un des rares que j’ai toujours gardés dans MA bibliothèque, sur l’étagère aux vieux souvenirs. Il m’arrive de le sortir de son rayonnage et de le parcourir, avec attendrissement.

C’est que bien que s’adressant à un jeune public, il est bien fait ce livre. Et je me souviens qu’il m’a beaucoup fait rêver autrefois. Alors non, l’histoire de la danse, le combat de l’héroïne pour devenir danseuse, ça ne m’a jamais fait fantasmer. Non, moi je rêvais d’aller tous les jours au marché avec mon âne ! D’ailleurs si je me souviens bien (et même si je n’ai jamais eu d’âne), c’est à cause de ce roman qu’à l’époque je suis allée chaque mois au marché aux puces. Pas pour acheter : pour vendre. Eh oui, c’était une autre époque. Une pré-ado pouvait passer un samedi matin à tenir seule un étal au marché aux puces. Passons.

Je me souviens aussi avoir été un peu amoureuse du courageux Miguel (en plus, j’ai toujours eu un faible pour les personnages tragiques). Mais surtout, ce livre m’a fait rêver pendant des années de l’Espagne, décrite ici dans tous ses détails de façon totalement immersive. On ressent la brûlure du soleil, on entend les rires et les voix aiguës, on parcourt les ruelles étroites de Valence et on admire les avenues de Madrid. On voit se côtoyer richesse et pauvreté. On sent même l’odeur de la friture. Roman jeune public OK, mais cochant toutes les cases du cahier des charges qu’on demande à un roman.
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L'éventail de Séville

Une très belle histoire d'amitié ou amour, qui semblerait fade peut-être aux enfants d'aujourd'hui. Il faut se souvenir qu'elle a été écrite il y a plus de cinquante ans, avant que la classe moyenne française n'aille en masse passer ses vacances sur la Costa Brava, à une époque où l'Espagne souffrait sous une dictature militaire impitoyable rétrograde, où l'Andalousie était bien loin, et où le nom-même de Séville était exotique.

Quant à l'horchata, que vend le jeune marchand ambulant Pablo (qui rafraîchit même quand il fait très chaud, dit le livre, je me souviens de ce détail), il m'a fallu longtemps pour comprendre que c'était de l'orgeat.

C'était mélo ? Oui, mais ça glorifiait l'amitié. Harry Potter ne fait pas cela.
Lien : https://www.edilivre.com/app..
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J'irai à Nagasaki

Une très belle histoire d'amitié, qui semblerait fade peut-être aux enfants d'aujourd'hui. Il faut se souvenir qu'elle a été écrite il y a plus de cinquante ans, à une époque où le Japon était bien loin, sa défaite très proche et où le nom de Nagasaki résonnait de façon dramatique.

Du même auteur dans la même collection et à la même époque, j'avais lu une histoire de marchand ambulant d'horchata quelque part en Andalousie, dont j'ai oublié le titre. Quelqu'un se souvient-il ?
Lien : https://www.edilivre.com/app..
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La ballerine de Majorque

Le second livre sans image de ma petite enfance (après Fifi Brindacier), il me donnait envie d'apprendre à danser ( stupide illusion ) , de porter des espadrilles (cela n'existait pas dans ma région) , et bien sûr d'avoir un âne (je réfléchis encore à la questions plus de 6 décennies plus tard, lol). Un bibliothèque rose bien "genré" petites-filles, mais bon, sans stupidités ni mièvrerie: à garder dans une liste: faire aimer la lecture ...
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L'éventail de Séville

L'éventail de Séville, Ma mère m'achetait toujours des livres qui me plaisaient beaucoup. Ce qui m'avait subjuguée c'est la détermination de ce jeune garçon, je devais avoir sept ou huit ans et je comprenais mal son histoire d'amour. La tristesse du récit me faisait peur.
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La famille H.L.M., tome 9 : Quatre chats et..

Retour dans les lectures d'enfance pour une case du challenge Jeux en foli...téraire ... eh bien, adulte, je trouve que j'avais raison d'aimer cette famille H.L.M : une aventure pleine d'humanité et de surprises, avec des références historiques (les quatre chats ont des noms de rois) qui me parait avoir bien traversé le temps... même s'il n'y avait pas de téléphones et que les grands immeubles H.L.M sont le symbole d'un confort moderne. Le quatuor d'aventuriers, une fille et trois garçons plus âgés, est traité à égalité, c'est très agréable.
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