Père Castor

Je suis super contente, parce que j’ai trouvé, pour cette année, un nouveau calendrier de l’avent tout à fait adapté à mes élèves. Grand album robuste, il contient des petites poches de carton. Dans chacune de ces cases, un conte du père castor, un conte pour chaque jour de l’avent.



Je n’ai pas pu m’empêcher de regarder les trois premiers jours : et d’après ce que j’ai découvert, on y trouve des contes classiques à lire et à relire, mais aussi les belles petites histoires du père Castor. C’est un vrai plaisir de découvrir ce qui se cache dans une case. J’ai vraiment l’impression de retrouver la magie de Noël !



Je me suis arrêtée au troisième mini album pour avoir le bonheur de découvrir le reste avec les enfants. Et je pourrai le faire découvrir à nouveau l’année prochaine.



J’ai vraiment hâte de l’exposer et de lire ces histoires !

Je compte l'offrir pour Pâques à ma fille. Elle adore vraiment l'école et par ailleurs nous aimons beaucoup les belles réalisations du Père Castor. C'est une anthologie thématique donc qui reprend les 13 histoires suivantes déjà publiées au fil des ans :



* 24 petites souris vont à l'école de Magdalena Guirao-Jullien, illustrations Nadia Bouchama

Les petites souris font leur rentée scolaire. La veille elles ont du mal à trouver le sommeil. Mais Maman Souris leur a préparé une surprise... une chansonnette d'encouragement : « En avant mes enfants, les petits comme les grands, l'école vous attend. »



* Anatole change d'école de Pierre Conran, illustrations Philippe Diemunsch

Les changements font toujours peur aux enfants et ils s'adaptent plus ou moins vite. C'est parce qu'il s'entend à merveille avec Nathalie qu'Anatole commencera à aimer sa nouvelle école.



* Rentrée sur l'île Vanille d'Agnès Berton-Martin, illustrations Sophie Mondésir

L'histoire de Vaïmiti qui fait elle aussi sa rentrée est très belle et touchante, mais je n'ai pas vraiment apprécié le graphisme. C'est coloré et lumineux, mais les traits des visages ne me semblent pas réussis.



* On a changé la maîtresse de Magdalena Guirao-Jullien, illustrations Maria Sole Macchia

Au poulailler ils ont eu la chance d'avoir une remplaçante (eh oui !) pour la maîtresse Poularde absente. C'est aussi l'occasion d'une remise en cause.



* Les lacets de Valentin, d'Emmanuel Bourdier, illustrations Madeleine Brunelet

Encore une rentée, cette fois-ci au CP. À nouveau, je trouve les illustrations de qualité « moyenne ».



* Une rentrée magique de Kochka, illustrations Claire Delvaux

Ici, c'est Axel, sa sœur aînée qui va rassurer Rita. Un bel hommage à la lecture.



* Ma maîtresse est une ogresse de Sylvie Poillevé, illustrations Laurent Richard

Thomas lui s'imagine que sa future maîtresse est une ogresse. Mais il découvrira, pour son plus grand bonheur qu'elle est une grande mangeuse de … chocolat ! « Mignon à croquer » !



* Garde à vous, les poux ! de Charlotte Moundlic, illustrations Fabrice Parme et mise en couleurs Véronique Dreher

Cela dédramatise avec beaucoup d'humour : « Adieu, bouclettes et autres frisettes, bonjour petits pois, haricots, cerises et abricots » !



* Loup ne sait pas compter de Nadine Brun-Cosme, illustrations Nathalie Choux

Ce matin-là, Loup est d'humeur joueuse, aussi une partie de cache-cache est lancée. Loup doit compter : « Un, deux, trois... ». Mais voilà, après trois, Loup ne sait pas ce qu'il y a . « Lapin, Cochon et même Vache sont bien trop occupés à se moquer de lui pour l'aider... ». C'est en répétant qu'on apprend.



* Un ami pour Antoine de Kochka, illustrations Claire Delvaux

La timidité pousse Antoine à la solitude y compris à l'école. Mais voilà que l'arrivée à l'école de Kishor, un petit nouveau qui ne parle pas encore le français, va tout changer. Très belles illustrations aussi.



*Le supplice des 24 bisous de Didier Dufresne, illustration Philippe Diemunsch

J'ai adoré Huguette et son bibliobus. Encore une belle histoire sur la lecture. Chut, ne « réveillez » pas les livres !



*Un carnaval formidable d'Odile Hellmann-Hurpoil, illustrations Madeleine Brunelet

Pour le carnaval de l'école, Hervé et Bastien se disputent le même déguisement de scaphandre. Cela aurait pu se finir assez mal pour Hervé.



* Les lettres de Biscotte Mulotte d'Anne-Marie Chapouton, illustrations Martine Bourre

Adorables échanges épistolaires entre une mulotte (mot que je viens d'apprendre) et des enfants. C'est mon histoire préférée de cette anthologie sur l'école.



Lu, validé, approuvé ! J'espère que ce cadeau plaira aussi à ma fille.

La maison d'édition des Albums du Père Castor a été fondée en 1931 au sein des éditions Flammarion où l'éditeur Paul Faucher avait conçu un projet éditorial pédagogique et esthétique s'adressant directement aux enfants.

Récemment, une de mes amies a publié dans notre groupe un article informant que les Albums du Père Castor venaient d'entrer au patrimoine mondial de l'Unesco et sont à présent inscrits dans le registre "Mémoires du monde".



J'ai été stupéfaite ! Comment se faisait-il que, moi qui ait grandit entourée de bouquins et qui a transmis ensuite à mon fils la passion de la lecture en lui constituant dès sa naissance une conséquente bibliothèque dont je lui ai lu tous les livres au coucher, soir après soir, semaine après semaine, mois après mois, et cela jusqu'à ses 7 ans... je ne connaisse pas les Albums du Père Castor ?

N'ayant plus le prétexte de faire la lecture à mon fils, aujourd'hui âgé de 33 ans, j'ai saisi l'opportunité de la validation du poste : un classique de la littérature jeunesse, du challenge lecture que nous faisons chaque année entre copains, pour combler cette lacune.



Ces petits contes destinés à de très jeunes enfants sont très bien conçus. Bien écrits, sans mièvrerie, avec juste ce qu'il faut d'imagination et d'intrigue pour laisser les petits en haleine mais sans jamais être effrayants. N'oublions pas que l'idée est aussi qu'ils fassent de beaux rêves et non qu'ils nous réveillent en hurlant d'épouvante à trois heures du matin. Celle qui a eu des terreurs nocturnes occasionnées par le gros méchant loup du Chaperon Rouge sait de quoi elle parle...

De plus, ces jolis contes sont étayés de nombreux dialogues qui nous offrent ce plaisir de conteur d'y mettre le ton et de rendre vivante la narration.

J'ai particulièrement aimé l'histoire "Un petit chacal très malin... un brahmane très bon et un tigre très bête" qui est issu d'un conte hindou et a ce petit parfum de sagesse des contes orientaux.



Ce charmant album va désormais rejoindre les autres livres d'enfant de la bibliothèque de mon fils et y attendre sagement mes futurs petits-enfants.

Transcription commentée des sept heures d’enregistrements d’entretiens autour de la lutte contre le chantier de la ligne Très Haute Tension (THT) Cotentin-Maine, avec ceux qui l’ont vécu de l’intérieur.

Informations techniques alternent avec présentation des principaux acteurs, associations et comités créés sur les trois départements concernés, la Manche, la Mayenne et l’Île-et-Vilaine, réunis aux sein de la coordination Stop THT, historique du mouvement, récits des manifestations et actions successives.

(...)

Ce genre de témoignage permet autant d’en conserver la mémoire que de nourrir d’autres luttes.



Compte rendu de lecture complet sur le blog :
Lien : https://bibliothequefahrenhe..

Un livre fantastique composé de 17 petites histoires pour enchanter les petits enfants avant d'aller dormir. Facile à lire, les dessins sont magnifiques et la couverture est très tentante. Je l'ai dévoré et je n'hésite pas à me replonger dans ces histoires. Même si à présent, je connais les contes par cœur, j'aime me rappeler ce que je ressentais quand je le lisais petite. Un vrai plaisir passé à la lecture de ce recueil, je le conseille fortement aux jeunes de 6-8 ans.



Je ne vais pas vous faire la critique de chaque conte, car ce serait trop long, mais je vous écris les 7 premières :



Le premier conte : Je veux ma maman !

Petit Écureuil, s'est perdu dans la forêt, alors qu'il courait comme un fou. Mais, alors, qu'il se sent seul, un jeune garçon, Paul, vient l'aider et le ramène chez lui. Il le nourrit, lui prépare un petit nid et lui donne même un nom : Frisson. Il l'a appelé comme ça, car il n'arrête pas de frissonner. Mais Frisson, frissonne car il veut retrouver sa maman, bien que Paul, lui ne l'aie pas compris. Puis, un jour la mère de Paul, l'emmène au zoo. Mais là-bas, il va très vite se perdre. Tout ce qu'il veut à présent c'est sa maman...



Le deuxième conte : Cachette secrète.

Léa est une jeune ourse qui se réfugie toujours dans sa cachette. c'est là, qu'elle va quand elle est triste, quand elle ne sait plus quoi faire, son endroit à elle. Son secret, son trésor caché, ici elle se sent bien, il y fait chaud et doux. Elle y va quand son frère et elle se chamaillent, quand son père la gronde et quand sa mère fait les gros yeux. Mais, sa famille souhaite la voir heureuse autre part que dans son endroit à elle. Pourront-il y arriver ?



Le troisième conte : La petite Nénuphare.

Nénuphare, est la plus petite grenouille de sa famille. Alors qu'ils partent tous ensemble en promenade, Nénuphare s'ennuie. Elle va donc, vers son papa pour lui demander de pêcher avec lui. Mais il lui répond qu'elle est trop petite. Elle va voir son frère, un peu plus loin, qui saute de cailloux en cailloux, elle obtient le même résultat. Fâchée, elle va vers sa sœur qui lui dit qu'elle est aussi trop petite pour jouer avec elle. Énervée, elle s'en va. Mais elle va vite regretter son choix...



Le quatrième conte : Le doudou perdu d'Océane.

Le matin, tous les enfants déposent leurs doudous dans une corbeille, mais la maîtresse, veut les habituer à les laisser chez eux. Elle dit donc à ses élèves que le lendemain si la corbeille est vide, une surprise les attendra. Mais la corbeille n'est pas vide le lendemain. Il reste le doudou d'Océane. Ses camarades de classes se moquent d'elle et lui disent de le jeter. Océane, pour ne pas paraitre bête, dépose son lapin dans une poubelle publique. Mais, Clara une autre jeune fille, a vu le lapin et l'a recueilli chez elle. Toute triste, Océane retourne avec sa maman reprendre son doudou dans la poubelle quand surprise... il n'y est plus.



Le cinquième conte : Duvet ne veut pas voler.

Duvet et Plume sont deux petits oisillons. Leur parents décident de leur donner leur première leçon de vol. Plume au bout de la deuxième tentative arrive à voler ! Mais on ne peut pas en dire autant de Duvet... Celui-ci refuse de quitter son nid, pas moyen de l'amadouer même quand on lui promet une surprise ou que papa gronde. Il serait temps, qu'il sache voler, car l'hiver arrive à grand pas, et la famille devra bientôt migrer vers le sud. Bien obligés, les parents de Duvet, abandonnent leur petit. Ils partent, donc avec Plume laissant Duvet seul face à la colère déchainée du froid mordant et de la pluie glacée. Notre petit oiseau pourra-t-il survivre à cet hiver dévastateur ?



Le sixième conte : Le gros chagrin de Bastien.

Bastien a un gros chagrin, un énorme chagrin qui le ronge de l'intérieur comme de l'extérieur. Sa maman est inquiète pour lui. Elle lui demande ce qu'il se passe, son fils lui répond que Hervé, son meilleur ami avait déchiré le bras de son Lapinou, parce qu'il ne voulait pas lui prêter. Elle lui recoud donc le bras, mais rien n'y fait : Bastien est encore triste. Il est triste car, son ami et lui sont fâchés et il n'aime pas ça. Sa maman va tout faire pour que son Bastien retrouve l'amitié perdue entre lui et Hervé, mais y arrivera-t-elle ?



Le septième conte : La petite dernière.

Mélanie, est toujours la dernière en tout : c'est la dernière de la famille, la dernière qui a appris à faire du vélo, la dernière à inventer le pire mensonge...Bref, elle n'en peut plus. Elle veut être la première au moins une fois dans quelque chose. Il y a toujours son frère ou sa sœur pour la dépasser, alors même quand elle fait une chose exceptionnelle ce n'est pas aussi fantastique, puisque ils l'ont déjà fait ! Elle veut un petit frère pour le martyriser, pour lui apprendre des choses, pour ne pas être la plus petite. Elle veut un bébé pour ne plus être le bébé. Alors elle le demande à ses parents et ceux-ci y pensent justement depuis un petit bout de temps. Mais là, elle se rend conte que si elle n'est plus la dernière elle ne pourra pas profiter des avantages d'être la plus jeune, qu'on ne l'appellera plus jamais " la lapinou", le "chouchou" ou même "le bout d'chou".

Un très bon, ensemble les contes étaient très intéressants. J'ai adoré !

L’éditeur décline son imagier du Père Castor en photos et propose ses illustrations dans une boîte en papier kraft. On propose deux images identiques de vingt-cinq animaux vivant dans les forêts européennes. Les oiseaux sont assez nombreux puisque l’on trouve là une aigle, un corbeau, un hibou, une hirondelle, une mésange, un merle, un pivert et une pie. Un serpent est proposé par l’intermédiaire de la vipère.



Chaque carte donne en minuscules une écriture cursive et une écriture en lettres d’imprimerie. Un livret propose divers jeux pour utiliser les cartes offertes et en particulier le mémo, le cherche et trouve, le jeu des ensembles, le jeu des devinettes. Par ailleurs chaque animal est présenté en une petite trentaine d’années.

On a là une adaptation du jeu du mistigri ou du pouilleux où il s’agit à la fois de faire des paires et de ne pas terminer avec en main une carte maudite. Ici le valet de pique est remplacé par un chasseur armé d’une pétoire ; il s’agit d’un personnage du conte "La grande panthère noire".



Outre cette carte, on a seize paires d’animaux. Ce sont des héros de contes du Père Castor : Michka (l’ourson), la plus mignonne des petites souris, le renard de Roule galette, le cheval bleu, la vache orange, la grande panthère noire, le lion de la famille Rataton, le petit chat perdu, le grand cerf, la poule rousse, Blancheline (un lapin), le chien d’Un gâteau 100 fois bon, Chante Pinson l’écureuil, Le tigre d’Un petit chacal très malin, L’écureuil de Chante pinson, Bravo tortue, Un petit chacal très malin. On peut être critique sur la façon dont on nomme les personnages dans le jeu.



Notons que l’enfant qui ne sait pas lire peut jouer à ce jeu puisque à la fois une couleur est caractéristique à chaque paire et que les dessins sont rigoureusement identiques. Une fois enlevée la carte de malchance, on pourra utiliser ces cartes pour un mémory.

Il s’agit de remettre en valeur, par un jeu de sept familles, sept contes édités par Flammarion, voire quelquefois par un autre éditeur. Ces histoires sont : "Vache Amélie", "Rataton", "Grand Cerf","Cheval bleu","Épaminondas", "Michka", "Petite souris", "Poule rousse". Pour ce dernier ouvrage, on a plusieurs récits homonymes, il est donc utile de préciser qu’il s’agit de celui où Renard a bien envie de manger la Poule rousse si grassouillette. C’est sans compter l’astuce de Tourterelle, qui a plus d’un tour dans son sac. Les auteurs sont ici Lida Durdikova et Étienne Morel.



On a cinq membres par famille, ceux-ci peuvent être des êtres vivants ou des objets. En fait on a toujours les mêmes personnages pour chaque famille, à savoir le héros, la maison, l’ami(e), le repas, l’objet. Ainsi avec "Épaminondas", on a respectivement dessiné Épaminondas, une hutte, la marraine, des galettes, une jarre.

Beau livre des éditions Père Castor Flammarion. 18 histoires, dites du soir, avec de belles illustrations pour chacune. Chaque histoire se lit vite (à peu près 5 min) et reprend des thèmes chers aux tout-petits. La présence des animaux dans "La petite souris qui a perdu une dent", " le loup de la tapisserie", " Histoire de bébé ours", " Le méchant loup du soir", "Drôle de nuit chez les ours", la peur du noir dans "Les petites lumières de la nuit", la peur de se laisser aller dans le sommeil dans "Je m'ennuie dans mon lit", " pas dodo", "le marchand de sable", "la sieste des mamans", "Bonne nuit Gaston"... sont autant de thèmes et d'histoires qui raviront vos enfants.

Pour autant, ce livre relate des petites histoires rapides, amusantes, efficaces, mais pas transcendantales non plus.

En définitive, je dirais que ce livre suit la lignée des traditionnelles bouquins de la série des Père Castor.

Les histoires du Père Castor sont des incontournables des lectures du soir. Mais je dois dire que ce recueil pour faire rêver les petits est mon préféré. Parce qu'il me fait rêver aussi...



Difficile de choisir nos histoires préférées car elles sont toutes superbes dans ce recueil.



Certaines sont pleines de poésie comme Célestin le ramasseur du petit matin, qui ramasse les chagrins. Ou comme Un bleu si bleu, qui ramène à l'essentiel.



D'autres ont une bien jolie morale, comme Le grand-père qui faisait fleurir les arbres qui fustige l'envie, ou Deux tigres en colère qui prône le partage.



D'autres content de belles aventures, comme Ivan et l'oie de Noël et Le dragon de Cracovie.



D'autres donnent envie de chanter comme La chaussure du géant et Le plus beau des trésors.



Des histoires tendres et poétiques, à lire et à relire sans modération !

Le mois de décembre vient à peine de commencer que déjà s’égrainent les jours et les heures avant l’arrivée du Père Noël. Cette période de l’année où irrévocablement nous nous laissons entraîner par la magie de Noël. Cette période de l’année, réelle ou fantasmé du feu de cheminée où Parents et enfants profitent de la paix du logis pour conter des histoires, tout en buvant un véritable chocolat chaud avec de bons petits gâteaux préparés le matin même.



Dans de telles conditions et expectatives, je ne peux pas faire autrement que de vous présenter Père Castor, Histoires de toujours, recueil de contes d’hier et du monde, de la maison d’édition du Père Castor qui depuis les années 30 a œuvrée à la création d’une littérature jeunesse.



En plus d’être le cadeau idéal pour les plus jeunes, c’est également une véritable madeleine de Proust, car, qui n’aura pas lu ou bien écouté les différentes histoires, que les plus jeunes pourront découvrir, dans cet ouvrage. Des classiques, mais toujours réédités, les textes originaux accompagnés des illustrations connus par des générations et des générations d’enfants, et cela, depuis les années 30.





Enfant des années 80’s, je me souviens avoir lu pour ne pas dire dévoré Roule Galette, histoire qui enthousiasme aujourd’hui mon garçon de deux ans et demie.



En feuilletant pour la première fois cet ouvrage, ce fut une véritable avalanche de souvenirs avec Poulerousse, la vache orange, Roule Galette, le cheval bleu ou bien encore Michka. Loin de me souvenir de l’ensemble des histoires, ce sont les illustrations qui me sont revenu en mémoire.



Les éditions Flammarion, regroupe ici quinze histoires de toujours dans une édition grand format avec un papier épais et de qualité accompagné d’une jolie reliure. Un ouvrage un peu rétro qui devrait plaire autant aux enfants qu’aux parents, avec des histoires qui traversent les époques avec toujours ce petit goût de nostalgie qui en fait, comme le nom du recueil l’indique des histoires de toujours.


Lien : http://www.bouquinovore.com/..

Acheté sous forme de petits livrets dans les années 70-80, ces images sont toujours utiles pour faire apprendre le vocabulaire aux tout-petits. Les dessins sont magnifiques mais malheureusement les représentations datent un peu. Si les animaux, les vis et les tenailles n'ont pas changé, les trains et même les fers à repasser ont passablement changé de "look"! Ce petit air "vintage" de l'imagier n'a cependant pas choqué le petit de deux ans avec lequel je l'ai feuilleté.

Le Père Castor, c’est un cador (hé hé ça rime ^^) dans le genre dealer de conte. Mon fils aime bien la série de dessin animé qui en a été tiré, et nous avons quelques contes du Père Castor.

Les Petites Histoires du Père Castor Pour Noël, est un joli recueil d’histoires bien différentes.

Différents par leur origine : il y a des histoires de chez nous, russe, africaines… Et puis différentes aussi par leur illustration, et par le ton. On fait un saut, d’univers en univers, toujours autour du Père Noël, avec de l’espièglerie, du rire, de l’émotion aussi un peu juste assez pour avoir envie de faire un câlin avec maman :) le genre d’émotion qui donne envie aux enfants de lire un peu plus encore !

La curiosité de mon fils a été attisée par la description de mondes différents du sien, et de traditions qu’il ne connaît pas forcément. C’est comme ça l’occasion de discuter un peu et de découvrir autre chose justement.

Bref, un chouette album, à lire et à relire !

Rien à dire, on n'a rien trouvé de mieux comme rituel du soir que de raconter des belles histoires. Le Père Castor nous en propose de bien jolies dans ce recueil qui parle de la nuit.



Nos préférées :

- Le géant va venir ce soir, pour la complicité avec papa

- Le loup de la tapisserie, pour la poésie

- Pas dodo !, miroir des plus petits

- Le marchand de sable, parce qu'on a toujours rêvé d'avoir un lit qui vole

- Le méchant loup du soir, parce que les apparences sont parfois trompeuses

- C'est mon nid, pour le côté arroseur arrosé

- La nouvelle chambre de Titou, parce que tout changement a toujours du bon.



Voilà un recueil dont nous avons du mal à nous séparer car nous aimons relire ces histoires régulièrement, comme des madeleines de Proust. Et pourtant, maintenant, ma fille a 10 ans...

Ah ! Les histoires du Père Castor sont indémodables et plaisent à toutes les générations. C'est la marque des bonnes histoires.



Parmi les histoires les plus "usées" par de multiples lectures, on trouve :

- Le gros bobo d'Adèle, qui rend courageux

- Le gros chagrin de Bastien, pour apprendre à demander pardon

- Un ami pour Antoine, pour apprendre à accueillir les différences

- Le doudou perdu d'Océane, parce qu'on a le droit de grandir à son rythme

- Victor Tropetit, parce que même les petits peuvent être des héros

- Fanny veut être grande, pour faire grandir les parents aussi !



À tous les petits qui veulent devenir grands, et à tous les grands qui aiment rester petits !

Un doux (au sens propre et figuré!) petit recueil de contes autour du thème de Noël.

Les histoires sont variées et chaleureuses, certaines plutôt dans l'humour, d'autres plutôt tendres... On voyage aussi: Polynésie, Russie, jungle africaine...

La cible d'âge est assez variée d'un conte à l'autre, on peut donc espérer "ressortir" le livre à Noël pendant plusieurs années. Ou le garder à portée de main d'ailleurs, après tout, on peut préparer Noël en toute saison.



Toutes les histoires sont très joliment illustrées, dans des styles très différents (mention spéciale à Nicolas Duffaut pour "Ivan et l'oie de Noël" et Feodor Rojanovsky pour "Mischka")



Bref, un vrai beau moment à partager avec son enfant (ou, bon, pour retomber en enfance tout seul...)

Le Père Castor invite souvent des animaux dans ses histoires. Ils ont tant à nous apprendre. On a adoré en particulier :



- Maxime Loupiot, parce qu'il revendique le droit d'être un loup délicat

- L'enfant et le dauphin, pour la poésie et le dépaysement

- Un petit chacal très malin, qui met en valeur la réflexion plutôt que la force

- Sauvée par les animaux, parce que l'union fait la force

- Garde à vous les poux parce que c'est chouette de changer d' angle de vue.



Encore un recueil plein de bons moments à partager avant le coucher !

Magique Père Castor et ses histoires sur l'amitié !



On a aimé en particulier :

- l'ode à la différence de Joselito

- l'auberge espagnole de Brise Cabane

- le dépaysement de La grande ourse d'Ikomo

- la poésie de L'ours vagabond

- l'ingéniosité de Poulerousse et sa copine



À lire et à relire sans modération, pour les petits et aussi, les moins petits.

Ah !! Le Père Castor !! Que de bons moments partagés avec ma fille !

Dans ce recueil pour faire rire les petits, on a adoré :



- La poésie du Petit carnet d'Archibald

- Le bon sens de La maison toute de travers

- Le réconfort de Ma maîtresse est une ogresse

- Voir les papas logés à la même enseigne que les enfants dans Hubert et les haricots verts

- La coquetterie du Père Noël dans Chic, le père Noël

- La bêtise du renard dans Pas bêtes, les poulettes !



À lire et à relire sans modération !

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Dans cette très jolie boîte kraft ce n'est pas moins de 10 jeux qui sont réunis pour le bonheur des petits et des plus grands.



50 cartes esprit cartes de nomenclature Montessori.



Mémo, cherche et trouve, jeu des ensembles, lecture et écriture... et bien d'autres encore.



Cette boîte de jeux peut aussi bien être utilisée à la maison qu’en classe maternelle.

En fonction de l’âge de l’enfant, de 2 à 6 ans, on choisit parmi les 10 jeux le plus adapté au moment et à l’envie.



La boîte contient un livret avec les règles des 10 jeux proposés.

L'enfant découvrira la nature, la lecture, inventera des histoires, essaiera de résoudre des devinettes...

Les utilisations sont nombreuses et variées mais toujours le bonheur de découvrir la nature et ses merveilles.



50 superbes cartes photos de fleurs, arbres, feuilles... Une belle bouffée de nature.



En classe, en IEF ou pour le simple plaisir du jeu à la maison, un très beau coffret à (s')offrir.
Lien : https://demoisellesdechatill..