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Critiques de Pierre-Henry Gomont (293)
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Slava, tome 1 : Après la chute

Je découvre cet auteur. Ce qui m'a attirée c'est, avant tout, le cadre de l'histoire (la Russie) et l'époque (post-communiste).

Graphisme et couleurs valorisent certes l'intrigue. Mais si le texte introductif explique bien les intentions de l'auteur, les péripéties maffieuses des personnages sont pour moi seulement divertissantes. Je n'y ai pas appris grand chose.

Oui, les onomatopées sont "traduites" en alphabet cyrillique, oui les personnages sont bien caricaturés ou caricaturaux, oui l'humour ne manque pas mais... c'est tout.
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Slava, tome 1 : Après la chute

Voilà le tome 1 d’une trilogie qui s’annonce grandiose ! En tous cas moi, j’ai plongé dedans avec délectation et j’attends impatiemment la suite !



Ce qui m’a plu ?

Le contexte historique : une sorte de western, de ruée vers l’or dans la Russie après la chute de l’URSS… Ce roman graphique a été commencé par son auteur avant les récentes actualités et devient pourtant aussitôt la clé de lecture de la souffrance d’un peuple et d’une nation.

Clé de lecture toute en finesse et humour pour ne rien ajouter de dramatique à une situation qui l’est pour ce qu’elle est.



Le message philosophique et les paradoxes que l’on découvre dans ce 1er tome : Vouloir faire fortune en plein communisme, c’est osé et c’est le pari de Lavrine. Slava, lui, est un artiste aussi flegmatique qu’engagé. Il permet de poser la question du rôle de l’art dans un pays en ruine. “Assujetti aux petites causes politiques qu’il défend, l’artiste engagé a tout perdu une fois que sa cause est gagnée” paradoxe avec lequel l’auteur s’est plu à jouer. Que faire donc quand ce que l’on fait semble ne servir à rien ? Pierre-Henry Gomont a sa théorie et nous la livrera dans les prochains volumes !



Le trait graphique : des traits doux, une ambiance, des onomatopées en cyrillique parfaites pour l’immersion. Les personnages ont des postures criantes de vérité et en disent autant que les textes. Les images se mettent à bouger. Mention spéciale pour les monuments : l'architecture est une passion de l’auteur, et cela se voit immédiatement !



Ce tome 1 qui prend le temps de tout mettre en place est une vraie promesse pour la suite !
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Malaterre

Malaterre, c'est l'histoire d'un homme prénommé Gabriel, de sa naissance à sa mort. C'est aussi l'histoire d'un père raconté par son fils. Une vie dominée par une obsession, celle d'une terre à l'autre bout du monde.



L'histoire débute à la mort de Gabriel, et puis on plonge dans le passé pour revenir à ce moment fatidique et connaître la suite des événements.



Gabriel aura été un homme d'affaires peu reluisant, un mari et ex-mari affreux, un père absent et démissionnaire, mais au bout du compte, je ne crois pas que ses enfants auraient voulu d'une autre vie.



Une sage familiale triste et prenante, où on ne eut pas s'empêcher malgré tout d'éprouver de l'affection pour cette ordure de Gabriel !
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La Fuite du cerveau

J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans cette histoire. Je pense qu'il m'a fallut passer le cap de la moitié du livre pour enfin lui trouver un intérêt.

Tout d"abord je n'avais pas compris qui était Albert... Aussi je trouve que la remise en situation à la fin de la BD est un peu tardive.vje l'aurais préféré en préface.

Et mon avis sur les dessins est assez mitigé. Autant j'aime beaucoup les quelques paysages représentés de temps en temps en pleine page. Autant je n'accroche pas du tout sur les personnages.

Lecture en demi teinte donc
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Malaterre

Pierre-Henry Gomont semble s’attacher aux personnages hauts en couleurs, mais pas très reluisants. Gabriel est un pervers narcissique, égoïste et manipulateur, qui pense que tout le monde devrait le suivre dans ses rêves. Sa famille va subir ses excentricités, provoquant le divorce, et entraînant la manipulation de ses enfants. L’histoire s’attache aux détails des caractères, on démarre sur une biographie imaginaire, mais très vite, on va se centrer sur ses deux enfants aînés, Mathilde et Simon, qui finissent par tirer profit de cette situation. Mais là aussi, Pierre-Henry Gomont nous balade dans les ambiguïtés de chaque personnage, ce qui fait tout le sel de cette histoire. Le graphisme est vivant, coloré et brut, foisonnant et parfois brouillon, totalement en adéquation avec l’effervescence de la vie de Gabriel.

Si j’ai aimé cette lecture, il m’a tout de même manqué le petit brin de folie que j’avais adoré dans “La fuite du cerveau” paru récemment.
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La Fuite du cerveau

À partir d’une histoire vraie, celle du vol du cerveau d’Einstein à sa mort, Pierre-Henry Gomont extrapole un récit fantaisiste et foutraque, très joyeux, servi par un dessin bigrement dynamique.



1955. On s’attache au Dr Stolz, médecin légiste de seconde zone dans un hôpital et surtout occupé à conter fleurette à une charmante neurologue. Alors qu’il est chargé de l’autopsie d’Einstein, il est pris par une impulsion subite et délirante : il ne peut pas laisser le cerveau du père de la relativité finir en cendres sans qu’il ait livré tous ses secrets. Il vole donc cet organe ce qui va l’entraîner dans un road movie, obligé de fuir devant les poursuites du FBI et des journalistes qui se lancent à ses trousses.



Sans temps mort, drôle et avec moult rebondissements, le scénario nous entraine dans une histoire surprenante et inattendue, servie par un dessin vif. En faisant revivre un Albert Einstein lobotomisé, chapka sur la tête, Pierre-Henry Gomont a eu une idée de génie : il donne corps à un personnage attachant dont on aimerait connaître les moindres secrets. On s’identifie alors tout à fait à Stolz. Et en fil rouge, la question de l’émergence des idées. D’où viennent-elles ? Même dans le cerveau d’un génie, ce n’est pas si évident. Et quand l’âge s’en mêle, le corps et le cerveau entament leur lente déchéance.



Le seul reproche : la police utilisée qui ne facilite pas la lecture le soir.



Une comédie décalée et originale. À découvrir.
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La Fuite du cerveau

Pierre-Henry Gomont a du talent et de l’imagination. Cette BD ruisselle de trouvailles graphiques et scenaristiques. L’histoire s’inspire de faits et de personnages réels mais je n’ai pas accroché à l’ensemble, le scénario étant peut être un peu trop irréel pour moi. J’ai bien aimé le dessin, qui me rappelle celui de Christophe Blain et certaines cases sont très inspirées.
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Pereira prétend (BD)

J'ai bien aimé ce récit d'un journaliste portugais qui pendant la dictature de Salazar a commencé progressivement à ouvrir les yeux courageusement pour dénoncer des choses pas très démocratiques. Il y a bien sûr tout le contexte de la surveillance policière qui se fait via des informateurs comme la concierge de l'immeuble par exemple. On dit qu'il n'y a rien de pire qu'une vieille concierge acariâtre et dénonciatrice. Pereira prétend beaucoup de choses mais certaines vont paraître assez justes.



La vie de cet homme solitaire, obèse et veuf était plutôt triste. Elle va progressivement commencer à prendre un tout autre sens. J'aime bien les transformations des individus en quelque chose de meilleur même si le prix a payer peut-être assez lourd.



C'est un roman graphique d'une grande maturité qui nous prévient ce qu'a été la vie sous une dictature pour un petit pays qui a rejoint depuis l'Europe.
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Pereira prétend (BD)

Je lis très peu de BD, voire même pas du tout et pourtant je l'ai dévorée. Une fois commencée, je ne pouvais plus arrêter. Elle a suscité en moi un tel enthousiasme que j'ai maintenant envie de découvrir davantage ce genre.

Cette bande dessinée, même si pour moi cela va au-delà de l'image de la BD que j'aie, aborde de très nombreux thèmes. Tout d'abord, elle a un côté historique, cela se passe sous la dictature de Salazar au Portugal. Ensuite, elle traite du métier de journaliste, et en particulier du journalisme littéraire sous la censure. Il sera question de la position de certains écrivains à cette époque. La religion sera également abordée. Et enfin un peu de psychanalyse.

Et au milieu de tout cela, Pereira Prétend, tente de mener sa barque ou plutôt sa vie.

Tous ces thèmes sont très bien amenés et sonnent justes.

Les dessins sont remarquables, j'ai été impressionnée par les couleurs, les traits des visages et les paysages.

En somme, je la recommande chaudement!
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Slava, tome 1 : Après la chute

Il faut un peu de temps pour se faire au graphisme très dynamique, plein de trouvailles. Il faut un peu de temps pour s'intéresser au scénario, s'attacher aux personnages pas toujours très sympathiques, plutôt froids. Mais la deuxième partie de cette BD se lit d'une traite une fois l'histoire lancée, les caractères campés. Pierre-Henry Gomont nous mène encore une fois hors des sentiers battus avec grand talent. J'en serai pour la suite, d'autant que le cliffhanger de la fin élève encore le niveau de cynisme ambiant.
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Slava, tome 2 : Les Nouveaux Russes

Lavrine n'a plus donné signe de vie depuis son altercation avec Slava. Est-il mort ou vivant ? Les hommes de Troubetskoï lui étant tombé dessus à la fin du premier tome.

Slava lui vit avec passion sa vie clandestine en compagnie de Nina au dépend d'Arkady son fiancé. Les tractations pour la vente de la mine continuent et suivent le plan imaginé par ce dernier…

Il est le tant attendu second tome de la trilogie tragi-comique de Pierre-Henry Gomont ! Tout comme le premier c'est une réussite, tout comme le premier la fin donne immédiatement envie de lire la suite !

C'est drôle, efficace, les personnages sont attachants.

J'espère rencontrer l'auteur au comic strip festival de Bruxelles début septembre pour discuter de ses albums et avoir une belle dédicace car il faut avouer qu'il dessine admirablement bien. La couverture de ce second tome est magnifique.

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Slava, tome 1 : Après la chute

Slava, du nom du personnage fictif qui peignait la révolution se voit aujourd'hui relégué au rang de peintre du dimanche. En 1990 après la chute du communisme, les Russes se divisent : d'un côté les patriotes nostalgiques de la période et de l'autre les libéraux qui comptent bien profiter des changements pour s'engraisser financièrement.



J'aime beaucoup les personnages représentatifs des différentes strates de la population post-soviétique. Slava suit le mouvement, il aimait sa Russie d'antan mais se laisse désormais vivre au rythme de la nouvelle ère auprès de son ami Lavrine un négociant/trafiquant hors-pair qui a la vente dans les tripes. Au cours de leur périple au fin fond du Causase, ils recontrent différents personnages comme Nina et son père, archétype type du Russe, certains près à tout pour sauver l'âme slave, d'autre préférant la spéculation pour s'enrichir sur le dos du peuple.

J'ai adoré les notes d'humour qui accompagnent le récit et qui mettent une pointe de légèreté à l'histoire.



Au départ réticente face aux illustrations, je me suis finalement accommodée de ces visages simples mais efficaces aux couleurs froides bien représentatives de l'environnement des pays de l'est. J'ai plus qu'adoré les visages quelque peu caricaturaux des oligarques, avec leurs traits voraces, qu'on sent prêt à tout pour voler leur propre pays et vendre leur âmes aux capitalistes.



J'ai adoré le prologue de l'auteur qui nous exprime les « pourquoi « de cette BD, qui nous livre ses sentiments envers l'histoire d'hier et d'aujourdui. Un auteur qui parle du peuple et des dommages causés par les dirigeants censés protéger et rendre un pays perenne.



♥ Cette bande-dessinée nous plonge avec brio dans l'ère post-soviétique. Adorant la culture russe, j'ai vraiment apprécié cette histoire, les illustrations de ces grandioses paysages, l'évocation de sa richesse, de son architecture et de son art même si je me suis parfois perdu dans la mise en forme (les descriptifs narratifs entre deux planches m'ont parfois perturbé dans ma lecture d'un point de vue visuel). On y découvre également ce que les communistes ont construit, le contraste entre l'avant, le pendant et l'après. Un premier tome réussit qui nous plonge facilement dans un pan de l'histoire pourtant complexe.
Lien : https://lacueilleusedelivres..
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Slava, tome 1 : Après la chute

J'ai apprécié cette Bd sur le thème du marché noir en Russie après la chute du mur de Berlin. On suit avec intérêt Slava, jeune peintre ayant abandonné sa vocation et Lavrine, homme sans scrupule qui pile tout ce qu'il peut pour le revendre. les dessins sont très réussis, l'histoire, certes classique, se suit très facilement et la fin de ce tome 1 donne déjà envie de lire la suite !
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Slava, tome 1 : Après la chute

Une BD passionnante sur une période trouble de la Russie et finalement assez méconnue quant au quotidien de la population lambda. Tout ce qu’on a pu fantasmer sur l’ère post-URSS prend vie avec la plume de l’auteur, avec beaucoup d’humour et de vivacité.

On suit donc l’histoire de Slava, Lavrine, Nina, mais aussi des mineurs à moitié oubliés qui tentent de s’en sortir par différents moyens dans un pays à la dérive.

Même après le rouleau compresseur soviétique, l’âme russe est toujours bien présente sans compromis, pas de demi-mesure. Nous avons les pilleurs consciencieux et méticuleux, l’artiste parjure, les oligarques qui font du travail soigné de salaud, les mineurs idéalistes qui ne veulent pas lâcher leur utopie, etc.

On se retrouve donc avec un groupe de personnages mal assortis mais l’on imagine à l’image d’une partie de la population.

Le dessin est très dynamique et nous plonge avec maestria dans cette ambiance très éloignée de ce que l’on peut connaitre. J’ai hâte de lire la suite !



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Malaterre

Pour moi, c'est aussi un ouvrage sur les addictions, représenter le père avec un puissant jet de fumée et plutôt des flammes jaillissants de sa bouche dans chaque case , le lecteur en tombe malade au bout de qq pages !! , un réel malaise se dégage de cette BD, parce qu'on a tous connu ce genre de personne, attachante certes mais toxique ! Le style de dessin de l'auteur est exceptionnel, un minimum de trait et un maximum d'expression !
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La grande école

Un livre au grand format qui nous expose le quotidien d'un enfant et son père à travers le regard de ce dernier. On comprend au ton employé qu'il s'agit d'une famille monoparentale, séparée, et qu'il n'est donc pas en continue avec son enfant.

Le texte est émouvant, les dessins ressemblent à des croquis et donnent l'impression d'entrer dans l'intimité de cette famille.

Une jolie proposition à lire à son enfant blotti l'un contre l'autre.
Lien : http://boumabib.fr
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La Fuite du cerveau

Le professeur Albert est mort. Thomas Stolz, médecin légiste chargé de son autopsie, prend alors une initiative étonnante : lui extraire son cerveau, pour essayer de percer le secret de son génie. Sauf que le professeur Albert va suivre Stolz dans cette fuite éperdue.

Très libre adaptation de cette histoire vraie (et pourtant assez incroyable) du vol du cerveau d’Albert Einstein. J’avoue ne pas être vraiment rentré dans l’histoire et le style de l’auteur. Oui, il y a de l’humour, de belles trouvailles graphiques, et une histoire documentée. Mais je n’ai pas vraiment été conquis par ce ressort narratif consistant à voir Einstein se balader le crâne ouvert. Je ne me suis pas du tout attaché aux personnages, et le scénario aurait pu éviter quelques longueurs.
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Pereira prétend (BD)

Voilà un bel ouvrage, où le graphisme sert le récit. Une histoire intimiste d'un journaliste qui réalise petit à petit quel pleutre il est devenu, en se laissant aller tant physiquement que intellectuellement. Il est pourtant raffiné, subtile, mais malléable, un mouton. Dans le Portugal de l'entre deux guerres, la montée du fascisme ne tolère aucune dissidence, ses chroniques littéraires ne font pas de vagues, son auto censure va être bousculée par l'embauche d'un stagiaire beaucoup plus subversif. Le ton de cette BD est entre ironie et indolence, douce amère mais puissante. Une réussite!
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La grande école

Cette album sur les échanges papa et mouflet, ça sent le vécu, c'est certain.



Ce sont des tranches de vie partagées d'une page à l'autre où on reconnait le charme exquis de l'enfance dans la contradiction, dans sa logique candide, dans la répétition exédente des consignes, la fin des phrases pleine de malice et de non-sens, pour le plaisir, de rigoler, des jeux de mots.



Le duo nous amusera, avec ce père qui tentera souvent de communiquer, pour connaitre si la journée, les vacances, ce sont bien passées.

C'est un mystère que le petit ne sera pas toujours prêt à partager et on comprendra qu'il faudra le suivre à son rythme.

Il faudra creuser aussi, oui, surtout après la séparation que l'auteur Nicolas Mathieu arrivera à glisser dans les conversations.

C'est aussi un nouveau passage au moment de l'histoire, la rentrée en CP.

Le père devra un peu aussi laisser venir, accepter les réflexions et réactions spontanées, de la désarçonnante à la plus tendre.



" - C'est vrai qu'on a plus le droit de jouer au CP?

- Si,tu peux, mais seulement pendant la récré.

- C'est bizarre."

Le choix d'un format à l'italienne pour cet album à mi-chemin de la BD et du livre d'images est original.

Les illustrations de Pierre-Henri Gomont sont irrésistibles de tendresse, les scènes sont aussi d'une belle justesse et d'une délicatesse agréable.

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La Fuite du cerveau

Partant d'un fait réel : le vol du cerveau d'Einstein par le médecin responsable de son autopsie puis sa disparition pendant plusieurs années, l'auteur brode une histoire rocambolesque où Einstein vit toujours, avec le crane trépané, et vivra tant que son cerveau n'aura pas été incinéré comme le reste de son corps.



Le voilà donc en cavale avec le médecin voleur et une neurologue qui cherche à faire des analyses sur le fameux cerveau, le FBI à leurs trousses.



Je ne sais pas pourquoi mais je n'ai pas réussi à rentrer dans cette BD, pourtant le côté espiègle d'Einstein est entraînant, mais j'ai trouvé que l'on tournait un peu en rond, surtout dans la première partie.



Pourtant, c'est une BD qui va me rester en mémoire avec une belle richesse visuelle et j'ai passé un bon moment en sa compagnie mais il me reste un goût d'une petite déconvenue.
Lien : http://lesfanasdelivres.cana..
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