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Critiques de Pierre Rosenberg (24)
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Le chat et la palette

Souvenir lointain, où avec mon ex-épouse, nous partagions une passion commune pour l'art et les chats. Nous nous amusions à repérer dans l’œuvre intégrale la place du chat, souvent insignifiante, dans un coin du tableau. La page en regard offrant un agrandissement de l'animal, plus conforme à notre désir.

Combien de fois, avons nous essayé de deviner de quel peintre, de quel œuvre, de quelle époque, il s'agissait, avant de découvrir l'animal.

Un livre que nous avons feuilleté je ne sais combien de fois, pour notre plus grand plaisir.

Un livre pour s'amuser ! Avec de très belles reproductions. Je ne me souviens plus des textes, hélas.



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Venise itinérance

Ce bel ouvrage d'art, constitué pour l'essentiel de magnifiques photos de Venise en hiver, quand les touristes ont cessé d'arpenter les rues et quand la brume donne un côté presque irréel aux canaux, commence par une introduction de Pierre Rosenberg, qui sent l'amour de Venise.



Rosenberg part de l'utilité des traghettis, ces espèces de gondoles publiques qui relient des embarcadères distants des ponts, pour dépeindre la Venise d'aujourd'hui : celle qui se vide de ses habitants - qui préfèrent habiter sur la "terre ferme" - , celle qui voit un patrimoine privé se murer ou tomber en ruine - alors que le mobilier a déjà été vendu par les générations précédentes.



Les photos de Jean-Baptiste Leroux font écho à cette présentation en dévoilant des vues de Venise un peu fantomatiques. Une autre façon de voir Venise, plus réaliste.



Évidemment le lecteur de Donna Leon imaginera le commissaire Guido Brunetti se déplacer dans ce "décor" extraordinaire, mais plus complexe que les clichés touristiques le laissent penser.



Dommage toutefois, que Leroux soit resté pour l'essentiel sur deux quartiers vénitiens : San Marco et San Paulo; tout en délaissant les grands classiques comme le pourtour de la place Saint Marc. A noter toutefois une série de vues intérieures très intéressantes du Palazzo Giustinian.







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Le chat et la palette

Encore un très chouette livre sur les chats dans l’art.

Celui-ci, « le chat et la palette » est co-réalisé par Ellisabeth-Foucart-Walter, conservateur en chef au département des Peintures du musée du Louvre et le non moins très érudit Pierre Rosenberg, Président Directeur du Louvre de 1994 à 2001, conservateur du département des peintures de 87 à 94, et s’est donné comme objectif de présenter « les chats dans l’art » tout comme le livre qui porte ce titre, de Stefano Zuffi, que je viens de terminer ; cependant si inévitablement quelques tableaux présentés leurs sont communs, ces deux livres diffèrent sur plusieurs points.



Tout d’abord, « le chat et la palette » ne s’intéresse qu’à la période qui va du XVe au XXe siècle, et s’est donné pour vocation de présenter les plus beaux chats peints depuis deux siècles en Occident, et de chercher à comprendre les raisons de leur présence dans les œuvres ; celui de Zuffi présente davantage une histoire du chat époque après époque, depuis l’Antiquité, Egypte et monde gréco-romain où il compte beaucoup dans l’histoire de ces pays.

Donc la démarche est quelque peu différente et ces deux livres ne font pas double-emploi, au contraire.



Après un important exposé illustré, de E.F-W, sur d’une part le chat dans la peinture religieuse, et d’autre part dans la peinture profane, sont présentées sur une deux pages, les œuvres choisies ; les auteurs les commentent et tentent, tour à tour, d’apporter leur éclairage quant à la signification de la présence du chat : que signifie la présence de ce chat dans l’Olympia de Manet, cet autre dans l’atelier de Courbet…? C’est fort intéressant, d’autant plus que certaines œuvres peu connues sont issues de collections privées qui ont rarement l’occasion d’être présentées.



J’ai beaucoup apprécié et beaucoup appris, avec ce livre fort intéressant et captivant, mais j’aimerais toutefois noter deux petites choses qui m’ont posé questions.



On y lit dans l’avertissement que le parti prix des auteurs avait été de choisir les plus beaux chats de l’histoire de la peinture, or il ne m’est pas apparu que ce soit le cas pour de nombreuses œuvre où le félin n’apparaît que de manière insignifiante ou à la dérobée et pas toujours dans ses plus beaux atours…



D’autre part, on lit aussi dans l’avertissement, que « chose curieuse, à notre connaissance les peintres n’ont jamais représenté un chat mort ».

Or il existe un tableau de Géricault, intitulé du reste sans détour, « le chat mort », superbe tableau d’ailleurs, et qui plus est se trouverait au Louvre… bizarre bizarre… (celui-ci figure du reste dans le livre de Zuffi).

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Chardin 1699-1779 : Catalogue de l'expositi..

« Il y a au Salon plusieurs petits tableaux de Chardin ; ils représentent presque tous des fruits avec les accessoires d’un repas. C’est la nature même ; les objets sont hors de la toile et d’une vérité à tromper les yeux. Celui qu’on voit en montant l’escalier mérite surtout l’attention. L’artiste a placé sur une table un vase de vieille porcelaine de la Chine, deux biscuits, un bocal rempli d’olives, une corbeille de fruits, deux verres à moitié pleins de vin, une bigarade avec un pâté. Pour regarder les tableaux des autres, il semble que j’aie besoin de me faire des yeux ; pour voir ceux de Chardin, je n’ai qu’à garder ceux que la nature m’a donnés et m’en bien servir. C’est que ce vase de porcelaine est de la porcelaine ; c’est que ces olives sont réellement séparées de l’œil par l’eau dans laquelle elles nagent ; c’est qu’il n’y a qu’à prendre ces biscuits et les manger, cette bigarade l’ouvrir et la presser, ce verre de vin et le boire, ces fruits et les peler, ce pâté et y mettre le couteau. C’est celui-ci qui entend l’harmonie des couleurs et des reflets. O Chardin ! Ce n’est pas du blanc, du rouge, du noir que tu broies sur ta palette : c’est la substance même des objets, c’est l’air et la lumière que tu prends à la pointe de ton pinceau et que tu attaches sur la toile. » (Denis Diderot, Salon de 1763, dans Salons).
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Nicolas Poussin : Les carnets de Chantilly

Livre présentant 25 oeuvres de Nicolas Poussin . Après une introduction situant le peintre dans son temps ,chaque oeuvre est présentée avec un abondant commentaire et souvent des reproductions de détails significatifs . La qualité des reproductions n'est pas optimale à mon goût par contre les commentaires sont très riches en information.
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Chardin : La nature silencieuse

. Dans la sympathique collection « Découvertes Gallimard » ce volume est consacré à un peintre aussi discret qu’admiré,Chardin. D’abord une partie biographique peu prolixe car l’homme n’a laissé que peu de traces écrites ( 1.De la difficulté de parler de Chardin) puis un panorama de la peinture au XVIIIème , en particulier les Salons (2.Chardin en son temps) , une analyse de l’œuvre (3.Chardin à l’œuvre) , les genres (scène de genre,portraits, natures mortes ), la technique (huile, pastel) et enfin une abondante partie documentaire (témoignages, commentaires, influences) . Ensemble très intéressant avec ses nombreuses illustrations même si j’ai noté quelques répétitions ..
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Nicolas Poussin : Les carnets de Chantilly

Parlons d’abord de la forme et félicitons les éditions Faton car, pour avoir récemment vu les dessins de Nicolas Poussin au musée Condé de Chantilly – en même temps qu’une exceptionnelle exposition organisée autour de son chef-d’œuvre, Le Massacre des Innocents –, les reproductions dans le présent volume sont très fidèles. On ne saurait en dire autant de certains catalogues d’expositions dont on serait tenté de croire qu’ils ont été laissés sous la pluie avant d’être commercialisés, tant les reproductions sont mauvaises !

Pierre Rosenberg, aux commandes de ce catalogue, a dû veiller au grain, armé de sa rigueur d’académicien et de son amour inconditionnel pour Nicolas Poussin. Sans oublier Nicole Garnier-Pelle, conservateur général du patrimoine, chargée du musée Condé.

Le présent ouvrage recense toutes les œuvres – peintes et dessinées – de Poussin, conservées au domaine de Chantilly et acquises, pour la plupart – sauf Acis et Galatée –, par le duc d’Aumale qui, tel Napoléon – c’est d’ailleurs le père du duc, le roi Louis-Philippe, qui fit revenir les cendres de ce dernier à Paris ! –, aurait pu s’exclamer : « Quel roman que ma vie ! » Et, geste de grand prince, il légua le domaine et ses collections à l’Institut de France.

Aumale, contrairement à nous autres pauvres mortels, jouissait d’une fortune considérable, qu’il employa donc à la restauration du considérable et très abîmé domaine de Chantilly, dont il avait hérité, et à l’achat d’œuvres majeures – en grande partie durant son exil après la révolution de 1848 – depuis les peintures jusqu’aux livres, dont Les Très Riches Heures du duc de Berry, splendeur réalisée par les frères de Limbourg.

Les collections de Chantilly sont proprement exceptionnelles : Botticelli, Delacroix, Fra Angelico, Géricault, Mignard, Murillo, Raphaël, Van Dyck, Watteau, etc., et bien entendu Nicolas Poussin, plus grand peintre français du XVIIe siècle, qui choisit de vivre à Rome, où il décéda, en 1665.

« Poussin est un peintre difficile. Il a mis, comme on dit, la barre très haut. Ses tableaux ne se livrent pas au premier regard. Pour les comprendre, pour les aimer, il faut leur consacrer du temps », explique fort justement Pierre Rosenberg. Mais une fois le Rubicon franchi, c’est un voyage fabuleux entre l’Antiquité et sa mythologie, et la Bible, deux thèmes essentiels de l’œuvre du peintre.

En recensant le fonds Nicolas Poussin de Chantilly, Pierre Rosenberg relate l’origine de chaque pièce, dont on peut voir que pas mal sont passées de mains en mains, et nous livre des informations importantes sur l’œuvre proprement dite. On apprend ainsi que les attributions au maître de certains dessins n’ont pas toujours été évidentes et sont, aujourd’hui encore, sujettes à caution.

On découvre aussi l’importance donnée au dessin par le peintre, à l’instar d’un Raphaël. Ainsi, le Mars et Vénus, où la déesse de l’amour, dans le plus simple appareil, est exécutée avec grâce et aisance. Ailleurs, une simple esquisse nous donne à voir le sujet comme par magie : Le Retour d’Égypte, et surtout : La Vierge, l’Enfant et saint Joseph avec l’Annonce faite aux bergers.

Petit reproche – il en faut bien un ! –, il eût été judicieux de traduire la Feuille d’études où Poussin y a rédigé un texte en italien, tout le monde ne maîtrisant pas la langue de Dante, particulièrement dans un livre écrit en français !

(Bis repetita, un grand merci à Babelio et, évidemment aux éditions Faton pour le présent ouvrage. Enfin, toute ma gratitude va au duc d’Aumale. Qu’il soit remercié pour m’avoir maintes fois procuré ce bonheur de vivre l’art à Chantilly !)

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Du dessin au tableau

On ne présente plus Pierre Rosenberg. Son excellent ouvrage sur les dessins de 5 grands peintres nous ouvre les yeux sur la place qu'occupe cet art dans le processus créatif de beaucoup d'artistes. Si l'on comprend pourquoi il est difficile pour les musées d'exposer côte à côte les dessins d'un artiste et le tableau auquel ils se rapportent, on peut tout de même regretter que les expositions provisoires sur la peinture ne mettent pas suffisamment en regard de celle-ci des chef-d'œuvres d'art graphique qui s'y rapportent, lorsque cela est possible. Encore trop peu de musées prennent le parti d'organiser des expositions de dessins de grands artistes : c'est dommage tant est vrai le fait que certains d'entre eux préféraient leurs dessins à leurs tableaux. ce fut le cas de Watteau.
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La force du dessin

Ce post pour vous inciter à lire ce livre issu d'une exposition, même si vous n'avez pas eu l'occasion de la voir!

Bref la conclusion avant le commentaire: remettons un peu d'ordre!

En tout premier lieu, mieux vaut apprécier le dessin, sa sobriété (par des moyens réduits par rapport à la peinture), sa capacité d'expression...Une fois cette étape franchie, le format du livre (important, dans toutes ses dimensions) permet notamment d'avoir des reproductions de taille suffisante pour apprécier la plupart des dessins dans des conditions proches de celles d'une exposition "personnelle".

Mais surtout il s'agit d'un "voyage organisé" dans le monde du dessin, à travers les siècles, à travers les médias (papier coloré ou non, pierre noire, conté, fusain, lavis: une richesse que l'on ne soupçonne pas quand on lit le mot dessin).

Et comme guide, rien moins qu'un grand collectionneur et connaisseur.

Un petit regret: une grande partie des notices est dédié aux incertitudes de datation ou quant au modèles; sûrement important pour un collectionneur, moins pour un "lecteur -regardeur"
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Nicolas Poussin : Les carnets de Chantilly

Cet ouvrage recense les oeuvres de Poussin conservées au domaine de Chantilly qui ont été principalement acquises par le Duc D’Aumale. Ce dernier a le droit à quelques pages pour expliquer sa passion pour le peintre ainsi que sa collection. Puis, cette édition nous fait un portrait de Nicolas Poussin, peintre dont les oeuvres sont peu nombreuses mais dont la perception est parfois délicate. L’ambition de l’artiste est résumé avec ces mots : peindre à l’aide de ses seuls pinceaux ce que d’autres – la Bible, Ovide, le Tasse – nous disent avec des mots. Dans une troisième partie, nous découvrons les tableaux et dessins de Poussin avec pour chacun une explication et la provenance faite par Pierre Rosenberg. Les quelques lignes explicatives sont suffisantes et ne nous abreuvent pas de détails sans importance. On peut s’apercevoir au fil des pages que certaines oeuvres sont attribuées à Poussin mais sans réelle unanimité, comme par exemple L’Annonciation. On apprend aussi qu’il y a deux Enlèvements des Sabines: celui exposé au Louvre mais aussi, celui que je ne connaissais pas, exposé à New York… Je suis impressionnée par la qualité et le détail des dessins reproduits. Je ne citerai que ses paysages (pages 62 et 63), les têtes de Méduse et Apollon (page 66 et 67), proues de navires (page 43). On ne peut qu’apprécier le coup de crayon de Nicolas Poussin.



Ce livre des éditions Faton est très intéressant. Son format « passe-partout » est appréciable et n’enlève rien à ce qui est présenté. Les explications sont claires et compréhensibles de tous (même aux non initiés). Je pense m’acheter les deux premiers carnets de Chantilly déjà parus : Pierre-Paul Prud’Hon et bellini, Michel-Ange, Le Parmesan, car ce sont de beaux livres d’art.



Je remercie Babélio ainsi que les Editions Faton pour la découverte de ce livre lors d’une masse Critique.
Lien : https://mapetitebibliotheque..
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Question de style : Dessins XVIIe-XIXe siècles

Bon livre sur une belle série de dessins. J'ai aimé la manière dont ce livre a été créé. chaque dessin est décrit analysée. On apprends beaucoup sur les techniques de dessins et leurs auteurs. les auteurs évoquent leur compréhension de l'oeuvre et comment elle s'inscrit dans le travail de l'artiste. utile à toute personne aimant le dessin.
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Poussin :

Bon découverte Gallimard sur Nicolas Poussin, le peintre français du XVIIème siècle.



Le livre est organisé différemment des autres livres de cette collection. Les auteurs s'attaquent s'abord à la biographie complète du peintre avant d'aborder les thématiques de ses tableaux dans les chapitres suivants (religieux, classiques, littéraire et allégoriques et enfin les paysages). Cela fonctionne bien. En outre, la lecture en est agréable. Que demander de plus, peut être des reproductions de meilleures qualité.

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Georges de La Tour : Catalogue complet des ..

La collection "Fleurons de l'art" chez Bordas était particulièrement intéressante: ces monographies permettaient d'avoir sous les yeux tous les tableaux (je dis bien TOUS) d'un certain nombre de peintres célèbres. Ces livres présentaient des reproductions très soignées (quoique de petit format), accompagnées de commentaires pertinents sur leur origine. De plus, leur prix était très abordable. J'ai dans ma bibliothèque plusieurs volumes de cette collection.

Si je choisis de privilégier le volume consacré à Georges de la Tour, c'est parce que j'aime particulièrement ce peintre d'abord méconnu, qui a enfin obtenu ce qu'il méritait: l'admiration générale. L'un des auteurs du livre n'est autre que le critique d'art P. Rosenberg. Il consacre l'essentiel de ses commentaires sur l'histoire des tableaux présentés, notamment sur leur attribution - parfois tardive - à Georges de la Tour; ces textes sont utiles aux étudiants en histoire de l'art. Par contre, l'auteur ne fait pas d'analyse des oeuvres présentées.



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Dictionnaire amoureux du Louvre

Amoureux du Louvre, c'est sûr ! il connait son musée comme sa poche et sous toutes les coutures, en ayant milité aussi pour la création du grand Louvre - "vous vous rendez compte, au Louvre, il n'y a même pas une cafeteria digne de ce nom "(Pierre Rosenberg, 1981) .

Le seul directeur du Louvre que je connaisse capable de vous donner en minutes chrono le temps nécessaire pour aller de son bureau de président jusqu'à la salle où sont exposées les 4 saisons de Poussin !

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Dictionnaire amoureux du Louvre

Un bel ouvrage, que j’ai apprécié pour la plume claire de Rosenberg, son érudition et sa façon de nous faire visiter le palais comme si nous étions ses hôtes. S'il fallait faire des reproches, je dirais qu'on sent le spécialiste en peinture derrière l'ex-directeur. Et que la vitrine des arts premiers au Louvre n'est pas forcément une mauvaise chose (il est quand même aberrant que l'emblème du quai Branly y soit exposé, certes). Mais l'on gagnerait certainement une place folle en exposant tout cela dans un musée qui lui est dédié.
Lien : http://pralinerie.blogspot.f..
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Venise itinérance

» Préfacé par Pierre Rosenberg , un ensemble de superbes photos d’une Venise un peu atypique : sous le ciel gris , ou à la tombée de la nuit. Juste ce qu’il faut pour , encore une fois , crever d’envie de repartir vers la lagune et sa reine.!
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Chardin 1699-1779 : Catalogue de l'expositi..

Comme tous le livres de la collection Découvertes Gallimard,

cet exemplaire sur le peintre Chardin est clair, richement illustré et fort explicatif sur l'évolution du peintre et de son art.



Le livre est concis, mais on y trouve l'essentiel pour se documenter et en apprendre un maximum.



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Nicolas Poussin : Les carnets de Chantilly

Livre interessant sur les dessins de Poussin mais j'ai toutefois été un peu déçu car ce livre n'est pas à la hauteur d'un autre de la collection Bellini, Michel-Ange, Le Parmesan. L'épanouissement du dessin à la Renaissance qui m'avait passionné.



Attention. on apprend de ce livre mais j'aurais voulu en savoir plus sur ce qui caractérise Poussin en tant que dessinateur. Quelle est sa ou ses spécificités.



Il est bien écrit et les reproductions sont superbes. Il dévoie toute une variété du travail de l'artiste sur du papier de qualité.

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Chardin 1699-1779 : Catalogue de l'expositi..

Excellent livre de la collection Découverte Gallimard sur Chardin. Le livre est didactique, bien organisé, bien documenté et explique parfaitement l'organisation du monde de la peinture de l'époque. Il est aussi richement illustré.

Les auteurs nous présente le peintre et son œuvre avec talent. Ils parviennent à nous communiquer la sensibilité et la beauté de ces natures mortes délicates. Ils nous donnent envie d'aller admirer ses œuvres de Visu et de nous renseigner encore plus sur son art.

Excellent livre!
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Chardin 1699-1779 : Catalogue de l'expositi..

Préface de Pierre Rosenberg
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