Reiji Miyajima

Orphelin habitant chez son oncle, Yûshi Inaba rêve de prendre son indépendance, et il compte bien y arriver lors de son entrée en lycée puisqu'il en a choisi un qui possède un internat. Malheureusement, le bâtiment est détruit par un incendie juste avant la rentrée, et Inaba se rabat sur une chambre à petit prix qui cache bien des mystères...



J'avais bien apprécié l'initiative petit prix que Noeve GrafX avait eu sur le manga Coppelion, et lorsque j'ai vu que ma librairie habituelle avait refait un stock de leurs mangas, je me suis très facilement laissée tenter par ce nouveau manga, et ce malgré sa taille (25 tomes). L'absence de jaquette plastifiée peut dérouter au premier abord, mais la couverture est solide et cache quelques cases bonus sous ses rabats. Côté papier, il est un peu plus fin que chez d'autres éditeurs, mais reste de bonne qualité. Les dessins sont eux aussi très sympas, on retrouve des yokaï qui sont tous très différents, certains personnages sont très très beaux (comme Mme Akane) et un soin particulier a été apporté aux plats qui sont même détaillés à la fin.



Côté histoire, le résumé m'a tout de suite fait penser à ''Ma Revenante Bien Aimée'', avec ce mélange de fun et d'horrifique, et ce même si ''Elegant Yokaï Apartment Life'' a des moments drôles mais sans être une comédie aussi loufoque que ''Ma Revenante''. Ici, on se situe plutôt dans le slice of life, et j'avoue que ce premier tome m'a bien plu. Les personnages sont nombreux mais attachants, ils se découvrent petit à petit, et si certains sont assez légers, d'autres sont beaucoup plus dramatiques. Le manga oscille ainsi entre moments fun, attendrissants, très inspirés de la mythologie ou carrément flippants. C'est vraiment bien dosé, le résultat est top.



De son côté, le personnage de Inaba n'est pas un simple spectateur, et la maison va dévoiler une petite particularité très intéressante chez lui. J'ai beaucoup apprécié de suivre son histoire qui est bien remplie : vie scolaire, vie familiale, relations avec son meilleur amie, vie ''mystique'' la la maison... il est bien construit et attachant.



En bref, un manga que je suivrai !

De prime abord, j'avais peur de tomber sur un titre trop humoristique et même si c'est un genre que j'affectionne, j'ai trouvé au contraire un titre plutôt sombre.



Parce que non, vivre dans un monde de Yokai ce n'est pas juste avoir affaire à des gentils fantomes, non.

Et ce quotidien partagé avec Yushi nous révèle tous l'envers du décor d'une telle cohabitation pour un humain lambda, un humain avec sa vie et ses idées préconcues sur le sujet !



Et c'est ce qui m'a le plus séduit dans cette lecture, j'ai à chaque fois eu envie de savoir comment Yushi allait surmonter les évènements qui se dressaient devant lui.



Et pouvoir m'identifier à ses réactions, réalistes et sensées (pour une fois pas juste dans l'émerveillement) c'est la petite goute qui fait tout le charme de cette oeuvre !



A voir ce que cela donne sur la durée, car cette série se veut longue !

J'aime beaucoup les histoires de yôkais , les esprits japonais. Ce manga m'a plu grâce à cela. Les personnages sont tous intéressants , et l'histoire des personnages de Kuri et Shiro la chienne est triste. La réaction du personnage principal lorsqu'il découvre que l'immeuble où il vient d'emménager est peuplé par des humains et des esprits est drôle.

moi qui adore le folklore japonais et les yokai, je suis plus que servie avec ce titre !



Esprits, fantômes et yokai cohabitent ici plus ou moins en harmonie. On en découvre deja quelques uns dàns ce premier tome.



Qu'ils soient fantômes, humains ou indéterminés, les habitants de cet appartement singulier ont tôus un petit quelque chose d'intriguant.



Mis à part celui du héros, très classique, j'ai beaucoup aimé les charadesign des personnages !



C'est une lecture très douce, une tranche de vie fantastique où on découvre les habitants et les mystères d'un étrange bâtiment.



On sent que la série à beaucoup de potentiel, même si je me demande ce qui va motiver le héros à rester y vivre. À mon avis, le tome 2 nous réserve une belle surprise ~

En me baladant dans les rayons, mon attention s'est portée sur ce titre. Pour avoir découvert quelques titres chez Noeve Grafx, je me suis surprise à me demander pourquoi je ne l'avais pas repéré plus tôt ☺ Mais ni une, ni deux, je me suis lancée dans la lecture et je dois dire qu'il est très surprenant dans le sens où on mêle une jeune femme timide avec un métier qui demande d'être directive !





En effet, Sumi est une timide maladive. Le moindre geste du quotidien prend des proportions énormes pour elle et lui demande beaucoup d'énergies. Si l'histoire choisit d'en parler de manière humoristique, je sais bien que cela ne l'est pas pour les personnes le vivant. Sans amis à qui parler, se confier, elle est assaillit par la solitude et cela m'a fait de la peine pour elle, car même dans les étapes qu'elle réussit, elle n'a personne avec qui le partager. Néanmoins, elle trouve beaucoup de force pour avancer ! Comme je le disais plus haut, son travail est totalement à l'opposer d'un quotidien aussi compliqué, car elle travaille pour une agence de petite amie. Assez déroutant pour nous, c'est pourtant répendu au Japon. La société exigeant une vie de concubinage assez tôt dans la vie pour preuve de réussite sociale, les jeunes n'ont pourtant pas le temps et les agences permettent de louer les services des jeunes femmes, pour passer du temps, présenter à l'entourage pour les "rassurer", etc. Le profil de Sumi attire les attentions, sa bouille mignonne et sa timidité font d'elle une charmante personne et présentable aux familles. Cependant, cette routine, cette vie manque de quelque chose pour Sumi et sa rencontre avec une camarade de l'agence, Chizuru, va réveiller en la jeune fille un désir de changer et ensemble, elles vont trouver par où commencer !



Sumi est un personnage très touchant et on a envie qu'elle arrive à aller jusqu'au bout de ses envies, de franchir les étapes et de trouver une vie "normale" et quand elle rencontre Chizuru, on note de suite les différences entre les jeunes femmes, mais au lieu de s'en servir contre elle, Chizuru va tout faire pour l'aider, voyant en elle, une jeune femme au fort potentiel de réussite.

Ce que j'ai également apprécié, c'est la concentration sur Sumi, sa façon de voir les choses. Je pense notamment à son travail, où le choix scénaristique s'est porté sur le manque de visage du jeune homme. Non pas un oubli, mais bien la retranscription du faut que pour Sumi, il n'est pas important dans sa vie, contrairement aux autres personnages. Un fossé entre le côté humain et le boulot en lui-même. Pourtant, on arrive à voir que ce jeune homme porte un grand intérêt à la jeune femme, renforcant l'idée d'une bulle autour de Sumi. J'ai vraiment hâte de voir l'évolution, surtout sur des détails comme ceci.

Ce premier tome nous met surtout en place toute ce décor, mais l'envie de continuer la lecture est présente ! Je vais donc surveiller de très près la sortie du tome 2 et compter sur moi pour en parler ici ☺
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’ai vu ce manga/anime passer partout dans les derniers mois… En général, quand j’entends trop parler de quelque chose, je préfère attendre avant de me lancer dedans. Et là, il était enfin temps, la hype se calmant petit à petit. J’ai hésité entre le manga et l’anime mais je vous avoue que la jolie couverture/édition que nous offre Noeve Grafx m’a fait craquer!



L’histoire me semble relativement classique : un jeune homme loue les services d’une jeune femme, se trouvant être élève dans la même université, et se retrouver coincé dans une situation où il ne peut plus se passer de cette « location ». Je me suis donc lancée dans la lecture sans grande conviction mais je me suis surprise à sourire plusieurs fois et même à rire. Kazuya est jeune, fougueux et surtout maladroit. Chizuru, quant à elle, est très belle mais très maligne et humaine.



J’ai d’ailleurs une petite sensation de Love Hina en lisant ce manga, avec d’un côté des jeunes filles aux courbes très avantageuses et de l’autre, des hommes très novices et très curieux. En refermant ce premier tome, j’ai eu envie de lire la suite, de voir ce qu’il va se passer entre Chizuru et Kazuya! En effet, un événement va faire qu’ils ne pourront pas couper court à leur « relation professionnelle » si facilement et ma curiosité va clairement me faire acheter la suite!
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Un récit très humain qui peut émouvoir à travers les histoires des personnages. Des situations qui font réfléchir sur les relations humaines et notre rapport aux autres. Le dessin n’a rien de transcendant mais il reste tout de même réussi et rend justice au scénario. Une lecture prenante qui prend le temps de poser l’histoire. Après avoir lu ce tome, on a envie de déménager dans la maison des yokai pour profiter de l’atmosphère du lieu et partager des moments uniques avec ses habitants.
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C'était une lecture intéressante.

Tout d'abord, le prix attractif m'a donné envie d'acheter ce shonen...mais la longueur de la série (25 tomes) m'a freiné. Les quelques pages du début ont finalement eu raison de moi XD

L'intrigue de base me plaisait : un garçon qui cohabite avec des yokai, ça promettait un peu de fantastique et pas mal d'humour. Tout compte fait, c'est plutôt l'inverse. Ce n'est pas si drôle que ça, même s'il y a quelques passages qui font sourire. C'est surtout le côté surnaturel qui est mis en avant, et les interactions avec les différents personnages. Je m'attendais à un manga tranche de vie où le fait de partager le quotidien des yokai de la maison donnerait lieu à un tas de situations rigolotes et d'imbroglios pour le héros tout à fait normal. En fait, l'on avance vite dans le temps et Yushi s'adapte assez facilement à cette colocation. De plus, les derniers chapitres nous laissent pressentir qu'il n'est pas si banal que cela. J'imagine que cela va devenir un genre de medium également. Je trouve ça dommage, car ça réduira à néant le décalage avec les autres. L'accent est surtout mis sur les relations entre les gens, les émotions, la façon d'aborder la vie, tout cela à travers le regard de Yushi, qui est très touchant et rapidement accrocheur. Il y a quelques autres personnages sympathiques, comme Akira qui est immédiatement charismatique, Kuri dont l'histoire est émouvante, et même Ruriko est particulièrement intrigante.

C'est totalement différent de ce que j'espérais, mais c'était très agréable à lire tout de même. le cliffhanger de fin me pousse à enchaîner avec le second volume, et je me demande quelle évolution aura le scénario.



OK Tier.

On apprécie que le manga soit ici dans une très bonne phase, avec des dynamiques entre personnages bien construites et une mise de côté de l'humour graveleux qui nuit aussi bien au ton de l'œuvre qu'à son protagoniste.
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La maison d'édition propose une nouvelle collection pour les petits budgets, avec des séries dont les tomes sont à 3,95€. Une édition sans jaquette réversible mais avec couverture cartonnée et rabats, plus légère que les beaux formats qu'ils proposent habituellement mais très propre et agréable, autant esthétiquement parlant que pour le porte-monnaie.



Et j'ai commencé par la découverte de ce titre dont le résumé m'avait tape dans l'œil lors de son annonce. On découvre Yushi, un lycée qui emménage dans une pension certes très abordable mais également un peu particulière… puisque c'est un lieu de cohabitation entre humains et yokai !



On découvre donc avec lui les différents résidents et leurs coutumes, mais également les problèmes qu'ils peuvent rencontrer au quotidien. C'est frais, drôle et divertissant, exactement ce que j'attendais de ce titre !



Bref, je ne peux donc que vous conseiller cette nouvelle série, qui se termine en 24 tomes au Japon et qui a déjà une adaptation animée sortie en 2017 ! ^^

Il y a encore bien à faire pour traiter le méli-mélo sentimental qu'est Rent-A-Girlfriend, confirmant que la série en a encore sous le coude.
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Elegant Yokai Apartment Life est une des nouveautés des éditions Noeve Grafx, maison d’édition que l’on commence à ne plus avoir besoin de présenter au vu des titres qu’ils sortent. Dont certains très attendus et réclamés par le lectorat francophone. Mais ils ont fait encore plus fort, en nous proposant une collection à petit prix qui rappelle le début du manga dans nos contrées, en effet, chaque tome de cette collection est à 3,95€ !

Et ce manga fait parti du trio de tête avec Hozuki le stoïque et Coppelion, qui inaugurent cette nouvelle collection XS. Ils ont pour le moment prévu 9 titres pour cette collection, et pour ma part, avec juste ce titre, je suis conquise par ces nouveautés. Alors oui, il n’y a pas de jaquette comme avec un manga classique, mais la maison d’édition ne sacrifie pas les bonus de couverture et les a insérés dans les intérieurs des couvertures, et nous propose un rabat qui rappelle le principe du manga. Je comprends que cela puisse ne pas plaire, mais je trouve que c’est un bon compromis pour proposer des titres assez longs à un petit prix, le lectorat aura plus de facilité à s’y lancer. Et, en effet, le manga ici est terminé au Japon, mais nous propose pas moins de 24 tomes !



Place au titre, après ma petite introduction sur le travail de Noeve Grafx que je voulais mettre en avant, malgré quelques retours mitigés que j’avais pu voir sur leur travail, qui reste de très bonne qualité comme ils savent nous le proposer depuis le début !

Ce manga est une adaptation d’un light novel terminé en 10 tomes, et que l’on doit à Kozuki Hinowa et Miyama Waka, deux mangakas qui étaient encore inconnus chez nous, et que l’on va pouvoir découvrir avec ce titre.

Si le cœur vous en dit, ou que vous avez la flemme de lire, vous pouvez vous tourner vers la version animé qui compte 26 épisodes, qui est une façon de se familiariser avec l’univers.



Pour parler rapidement de l’histoire, on fait la rencontre de notre protagoniste Yushi Inaba, un jeune homme qui va intégrer le lycée de son choix. Mais à cause de certains drames dans sa vie, il a dû vivre chez son oncle et sa tante, et pour ne plus être un fardeau pour eux, il décide de rejoindre l’internat de son lycée. Sauf que ça ne va pas se passer comme prévu, et il ne pourra pas rejoindre son internat avant six mois. Il part à la recherche d’un logement, et trouve une chambre dans une maison où il sera en colocation avec des humains, mais aussi avec des esprits !



L’idée de base est vraiment super intéressante et originale, le principe de la colocation entre des êtres humains et des esprits apporte son lot d’émotions positives mais aussi négatives à cet univers et à cette lecture. Surtout que j'apprécie la thématique de la colocation, qui permet à des inconnus de se rapprocher, d'échanger, et de créer des liens.

Le principe aussi me rappelle beaucoup le manga Le Pacte des Yokai ou Natsume Yuujinshou pour son animé, qui était en lien avec les yokais et qui était très doux dans son traitement. Une énergie assez similaire qui s'en dégage.

On est vraiment dans un premier tome très introductif où les mangakas nous présentent les personnages qui seront sûrement amenés à être revus de nombreuses fois. Mais ils ne s’en tiennent pas qu'à cela, ils vont aborder tout l’univers des exorcistes, du spirituel, mettre en avant les termes spécifiques. Ce qui va en faire une lecture un peu dense, et consistante, il faudra rester concentré pour ne rien louper.



Comme expliqué précédemment, notre protagoniste Yushi devait se trouver un nouveau logement en urgence, et son choix par dépit si l’on peut dire se tourne vers cette maison. Dès son entrée, on va pouvoir rencontrer de nombreux personnages humains et esprits, mais il y en a tellement que c’est un peu trop surtout pour un tome 1. Je me suis retrouvée un peu perdue entre tous ses personnages humains d’une part, entre la famille de Yushi et ses nouveaux locataires où on en compte déjà quatre, ça en fait pas mal. Mais il faut aussi rajouter les esprits, alors là, c’est un peu plus simple, parce qu’ils ont des physiques vraiment différents des êtres humains, mais les mangakas nous en présentent pas mal. Certains auront de l’importance plus que d’autres comme Kuri que l’on retrouvera plus tard dans le tome. Une des choses qui m’a un peu chiffonné avec cette lecture, c’est que parfois, j’ai eu du mal à différencier les esprits des humains, certains ont une vraie apparence humaine, et c’est tel que si les personnages ne nous l’avaient pas spécifié, on aurait pu les prendre pour des humains, et Yushi est dans la même situation que nous, ce qui est très intéressant.



Notre protagoniste va jongler entre sa vie de lycéen (pas trop mise en avant), et sa vie en colocation qui apporte son lot de surprises et de rebondissements. On est dans un tranche de vie, un titre qui prend son temps dans son développement, mais ici, on passe du début de sa colocation à trois mois plus tard en un chapitre presque… Je trouve ça dommage que ça saute autant dans le temps, on loupe sûrement quelques passages et interactions intéressants entre les personnages, qui auraient pu nous les rendre plus attachants. En effet, je suis ressortie de ce tome sans avoir vraiment été touchés et attachés à eux. Sauf, petite exception pour le personnage de Kuri que l’on découvre surtout à la fin, on a droit à son histoire, et j’ai vraiment été touché et émue. C’est tellement triste de voir ça, et j’ai eu de la peine pour ce petit bonhomme, et c’est surtout lui qui fait remonter la note de ce premier tome.



Je suis ressortie de cette lecture avec des questions classiques, mais surtout je me suis demandée comment ça fonctionne pour voir les esprits. Yushi ne semble pas énormément perturbé par ses apparitions, et il semble les voir. Ce qui est assez troublant c’est que les personnes de cette colocation peuvent les voir, logique sur un point, ils sont quasiment tous mediums ou exorcistes, alors que les personnes extérieures ne semblent pas pouvoir les voir. De plus, Yushi va faire un petit miracle, que je vous laisse découvrir, et encore une fois, pas beaucoup de question ou de troubles venant des personnages alentours. Je me questionne vraiment sur ce travail, parce qu’il n’y a pas beaucoup de réponses, ou de logique à ce qu’il se passe. Cela mis à part, j’ai tout de même envie de lire la suite.

Elegant Yokai Apartment Life se présente comme une vraie bonne surprise au fil de ce premier volume emballant. S'il est souvent un régal de se plonger encore et encore dans les univers liés aux yôkai, celui proposé par Hinowa Kôzuki et Waka Miyama trouve déjà un charme qui lui est propre grâce à son cadre très bien installé, à ses émotions pouvant être très variées, et à sa galerie de personnages qui promet déjà d'être truculente.
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C'est donc un cinquième tome presque étrange qui nous est offert. Agaçant dans sa dimension quiproquo sur-exagérée, il trouve un certain équilibre par ses relations entre personnages plus maîtrisées et touchantes [...].
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J'ai retrouvé avec plaisir les personnages que j'avais découverts il y a des années grâce à l'animé.



Je ne me souviens que vaguement de l'histoire mais il me semble que le manga suit de façon assez fidèle le déroulé des premiers épisodes de l'animé. J'ignore ceci dit lequel du manga ou de l'animé fut créé en premier !



Un titre tranche de vie avec de gentils yokai et des personnages attachants, parfait pour se détendre.



J'en profite pour saluer le format plutôt qualitatif de la nouvelle collection XS de Noeve Grafx. Pour 3,95€ c'est une réussite !

Quand j'ai vu que le tome 3 de "Rent a girlfriend" de Reji Miyajima était sorti chez @noevegrafx , je l'ai vite acheté en numérique d'autant que le second tome s'achevait sur un cliffhanger. Alors, ce tome 3 ne m'a pas plu à 100% parce que je n'aime pas beaucoup le ecchi (donc le passage où Chizuru se baigne nue avec la grand-mère... je comprends bien que c'est là pour le fan service mais bon...) et parce que de manière générale, Chizuru Mizuhara est un personnage qui ne me convainc pas totalement (trop vénale 😅🤣). Mais Kazuya le boulet conscient de l'être, naïf mais sensible, est un antihéros paradoxalement attachant (que d'autres lecteurs ou lectrices pourront trouver tête à claques, ça dépend...). En tout cas, arrive à la fin de ce tome 3 un nouveau personnage féminin qui possède précisément tout ce qui manque selon moi à Chizuru, donc son intégration au casting ❤ m'a tout de suite plu. Je suis sûre que comme l'héroïne est Chizuru, Kazuya partira avec elle à la fin de la série (et à la suite de très nombreux volumes). Il n'empêche que d'emblée, dans ce harem manga, je préfère Ruka Sarashina (mais si elle était apparue la première, la série serait beaucoup plus courte) au caractère bien trempé et qui a tout de suite relancé mon intérêt. Suite au prochain numéro. 🌞😇
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#rentagirlfriend est décidément une série fort sympathique, un harem manga qui parvient à ne pas s'enliser dans la répétition. On comprend finalement très vite que Kazuya est amoureux de Chizuru Mizuhara et que ce sympathique antihéros aura bien du mal à conquérir le cœur de sa belle. Mais les autres jeunes filles et membres du casting ne sont pas en reste comme Ruka Sarashina. D'habitude, je n'aime pas les triangles amoureux. Mais ici, Ruka est un personnage si original, à la personnalité si bien définie que j'en suis vite venue à la préférer à Chizuru... sauf que justement, Chizuru reste l'héroïne de la série. Or Ruka a des traits de caractère et un passé qui font qu'elle s'avère bien plus qu'un simple personnage secondaire et qu'elle occupe vite le devant du décor. Les péripéties sont très bien amenées. On ne s'ennuie jamais en lisant cette série qui ne se contente pas d'accumuler les gags mais déroule un scénario bien construit et se révèle une bonne surprise au fil des volumes. Certains personnages sont mis de côté pendant quelques chapitres, mais on sait qu'on les retrouvera plus tard : Reiji Miyajima prend son temps, ce n'est pas l'imagination qui lui manque et son sympathique loser a une personnalité attachante qui fait qu'on le suit avec plaisir dans ses aventures sentimentales.


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Humour, romance et quiproquos sont toujours au menu de "Rent a girlfriend" avec son antihéros sympathique, Kazuya, amoureux de sa petite copine de location, Chizuru Ichinose. C'est un peu là que le bât blesse dans cette série : là où dans "the quintessential quintuplets" ou dans le webtoon "le harem de l'impératrice", par exemple, on s'amuse à deviner avec qui le personnage principal va finalement se marier, il n'y a pas vraiment de suspense dans "rent a girlfriend". On a l'impression que la fille parfaite est Chizuru Ichinose, et c'est encore accentué par le bonus ajouté par le mangaka à la fin de ce tome 5 où il ne parle que de deux personnages, le bon à rien, Kazuya, qu'il explique avoir créé a son image... et Chizuru. Il conclut : "j'espère que vous continuerez à suivre l'histoire de ces deux personnages". 😕 Sauf que ce n'est pas un shojo ! C'est un harem manga avec plus de deux personnages ! Il y a Ruka Sarashina qui est vraiment amoureuse du héros, qui ne lui demande pas d'argent, mais tout ce tome 5 nous montre pourquoi ce n'est pas possible et pourquoi ça sera Chizuru Ichinose. 🤔 Chizuru est d'ailleurs un personnage supportable, et la dynamique comique entre les personnages fonctionne bien, hormis ce suspense tué dans l'œuf, parce que tout est fait pour que le lecteur préfère Chizuru, la voie comme la dame de coeur de Kazuya qui va faire du bon à rien un parfait mari. L'amour courtois, pourquoi pas ? Mais ça a le défaut de ne pas mettre les prétendantes à égalité.
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Un quatrième tome qui confirme tout le joli potentiel de Rent-A-Girlfriend, une comédie romantique centrée sur de jeunes adultes ponctuée d'un casting pétillant, de situations abracadabrantesques et d'un véritable dynamise. Même quand il fait dans le classique, le récit de Reiji Miyajima sait se montrer efficace.
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Rent-a-Girlfriend est l’une de ces comédies romantiques qui remportent un franc succès au Japon, et peu à peu dans le reste du monde. Portée par une adaptation animée haute en couleur et en moments comiques, le titre de Reiji MIYAJIMA en est déjà à son 22ème tome au Japon. De plus, un spin-off centré sur l’un des personnages principaux a récemment fait son apparition dans les librairies nippones. En France, ce sont les éditions Noeve Grafx qui publient la série principale depuis le début de l’année. Dans ce récit se déroulant dans un cadre scolaire, nous suivons Kazuya Konoshita, un étudiant plutôt banal qui vient de se faire briser le cœur par sa petite amie, qui a décidé d’aller voir ailleurs. Effondré, se sentant seul et vraiment minable, le jeune homme décide d’installer et d’utiliser une application consistant à louer une nouvelle copine pour se sentir mieux. C’est ainsi qu’il tombe sur Chizuri Mizuhara, une jeune fille qui, à première vue, a tout pour lui plaire. Bon, comme les histoires d’amour dans les comédies romantiques n’ont rient de traditionnel, on sait pertinemment que Rent-a-Girlfriend ma faire appel à trois points centraux du genre, dans plus de la moitié des cas: du fan service, des quiproquos, et une tranche de vie à l’apparence classique. Dans ce récit, nous nous suivons des étudiants majeurs, ouvrant la possibilité d’installer des situations plus matures. C’est là où la »location d’une petite amie » Apparaît moins dérangeante que si cela c’était, par exemple, passé au lycée. Bon, moralement c’est toujours un peu glauque selon moi, mais si la »petite amie » en question est ok pour faire cela, alors c’est ok pour moi aussi. Kazuya est un héros de Shonen masculin classique avec une personnalité qui s’enflammer parfois un peu trop vite, et un certain manque de maturité par moments. Toutefois, il colle au genre, alors on peut faire abstraction du fait qu’il peut agacer. Assez vite même. En dehors, de cela les situations et le décalage entre les deux protagonistes fonctionnent, même si je ne me suis attachée à aucun d’eux. Pour le personnage masculin, cela s’explique par le fait que les vraies figures principales de l’histoire imaginée par MIYAJIMA, ce sont les femmes. Ces dernières ne sont pas forcément attachantes, ni sympathiques, ou même intéressantes, mais au moins elles s’affirment. Le côté fan service ou ecchi peut parfois déranger, tout comme l’humour qui a eu de la peine à me convaincre. Ce n’est pas mauvais, mais je pense être passée à côté. Bon, on ne peut pas être réceptif à tous, ok, mais j’en attendais un peu plus concernant Rent-a-Girlfriend. Est-ce que je le recommanderai quand même ? Oui, en assurant qu’il faut passer outre le concept du dating moralement particulier et du personnage masculin principal qui peut vite énerver. Le dessin de MIYAJIMA est précis, dynamique et typé Shonen. On voit que le mangaka a eu le temps de se trouver une pâte graphique grâce à sa précédente série fleuve, AKB49 – Renai Kinshi Jourei. Le travail d’édition et bon, tout comme la traduction de Rodolphe Gicquel (Shaman King, Gintama, Gleipnir, Cigarette and Cherry, Undead Unluck, etc). En conclusion, Rent-a-Girlfriend est une comédie romantique au concept intéressant et permettant d’inclure de bons moments de quiproquos et d’humour. Toutefois, je n’ai pas accroché. Est-ce que le titre est mauvais ? Non, mais ce n’est pas une série que je souhaite suivre, car je n’ai pas apprécié le personnage masculin, et le caractère de certaines des héroïnes m’a vite fatigué. Dans tous les cas, si vous êtes friands de ce genre de lecture, Rent-a-Girlfriend fait partie de ceux à suivre, au même titre que Love Hina.
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