Robert Lawrence Stine

-Si je dis: Je suis belle, c'est à quel temps?

- Pour vous, c'est au passé, M'me.

Rentrée pour les enseignant.es cette semaine, avant leurs élèves ! Et leurs cancres...





Paul (12 ans) a appris à Harold, son perroquet : "Le prof est un crétin".Le jour de la rentrée, Harold le répète 100 fois, en plein cours.





Mlle Hamlet trébuche et accuse Paul de l'avoir fait tomber! Et voilà Paul dans un "Terrible internat"...

-"Mais pou..pourquoi me mettre en pris...je veux dire en pension?"





A 3 ans, Paul faisait de terribles cauchemars. -"Paul, les monstres n'existent !!" Soufflait sa maman.

Mais, Mme Maargh est un vrai monstre!

Peillon veut trouver 43 000 profs et envisage un recrutement en prison... ( comme Poutine!)





"Jamais, je n'avais vu une femme aussi grosse...avec des yeux globuleux... Ses lèvres retroussées laisaient voir de longues dents jaunes et luisantes."





"Elle me faisait penser à un chat qui découvre une souris " ...pieds nus énormes, qui claquaient sur le plancher. Ses ongles ressemblaient à de larges griffes noires."





Mme Maargh classe les élèves, en fonction de leurs résultats et le dernier de la liste est...

- Où est ton devoir de maths ?

- Il s'est suicidé, Madame, il avait trop de problèmes !

Sur le papier , le projet était prometteur, alléchant... Pensez donc : réunir 22 auteurs de Policiers/thrillers, leur proposer d'écrire en duo, une nouvelle , en y incorporant au moins un, de leurs personnages récurrents. Chacun devant composer avec l'univers de l'autre. Parfois les personnages n'habitant pas la même ville, il a fallu ruser, imaginer un prétexte qui tienne la route...

Sur les 22 auteurs réunis, J'en connaissais 11. (Et vraiment sur le bout des doigts : 3 ). Aussi quand j'ai vu l' association Ian Rankin/Peter James, je buvais du petit lait...

Mais j'ai été déçue, le format "nouvelle" a fait que je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire, je l'ai trouvée pâle par rapport à ce que ces deux auteurs sont capables de faire habituellement, chacun de leur côté...

D'ailleurs , je me suis copieusement ennuyée pour beaucoup.

Seuls Dennis Lehane /Michael Connely , puis Raymond Khoury et Linwood Barclay ont su m'alpaguer. Et leur façon de faire était identique : une petite phrase un peu décalée, balancée l'air de rien au début, un milieu avec du suspens, et en chute finale, une réplique qui claque et qui fait sourire, destinée à boucler l'histoire...

Oui, vraiment, ces quatre là ont "fait le job", comme on dit...

Reste que les droits de ce livre seront reversés à l' ITW (association des auteurs de thrillers) , qui , ainsi, pourra promouvoir de jeunes talents. Alors merci aux "vieux" talents de s'être prêtés à cet exercice pour que de jeunes écrivains puissent un jour devenir de vieux talents ...

Mon fils me tanne depuis plusieurs semaines pour que j'essaye Chair de Poule, il veut partager sa passion avec sa mère.

Et là grosse surprise, si j'avais pu découvrir cela pendant ma jeunesse, moi aussi j'aurais été très fan. Mais j'ai été biberonnée par la Comtesse de Ségur et Caroline Quine avant de me désintéresser petit à petit par la lecture, manquant ainsi des années de littérature. Peut-être que si j'avais croisé les couvertures de Robert L. Stine, je n'aurais pas eu ce temps mort.

Je comprends mieux pourquoi mon fils les dévore. C'est bien écrit, on a envie de connaître la fin, c'est sombre et celui-ci est particulièrement glauque (des monstres qui essayent de bouffer des gosses perdus dans une forêt). Alors évidemment, l'écriture est moins trash que ce que je lis, on est quand même dans le registre de la jeunesse. Mais je me mets au niveau de mon fils, et les chiens ne font pas des chats...

Je sais ce que vous vous dites. Le gus nous remet son histoire de lecture des titres dans le désordre pour la saga Chair de Poule à présent donc deux options. Soit il lui manque une case, soit il a des tendances bibliophiles peu orthodoxes. Même si je ne peux affirmer le contraire dans les deux cas, la raison de ce cafouillage est tout autre. La Doc’ du CDI n’avait pas le tome 1 en stock. Ouais je sais, encore cette fameuse Doc’. Elle est terrible j’vous dis.



Allons droit au but. Lire un Chair de Poule c’est un peu comme manger de temps en temps un bon p'tit Big Mac (teams Deluxe ou Triple Cheese également acceptées, les autres non ndlr) : on sait que ce n’est pas de la top qualité mais le plaisir est toujours au rendez-vous. Un vrai péché mignon quoi. Mais quelle nostalgie de se remémorer ces moments de lecture glaçants passés sous la couette à frissonner à la pâle lueur de la lampe torche à la pile usée jusqu’à la moelle (la plaie ces piles on n'en a jamais suffisamment en stock quand on en a besoin).



Eh bien 20 ans plus tard, sachez que les poils de la nuque continuent à se hérisser à la redécouverte de quelques passages habilement menés. Brrrrrr. Bon, du reste l'histoire tout comme la plume ne sont pas des plus étoffés ni des plus raffinés, on ne va pas se mentir. Mais en même temps, quand vous matez Scream vous ne vous attendez pas à un Scorsese on est d’accord ? Et vous savez que vous allez forcément hurler par moments « Mais bordel pourquoi tu fais ça t'es débile ou quoi ?!!! ». Eh bien ici c'est pareil.



Bref, Chair de Poule c’est parfait pour un petit instant de lecture sans prise de tête, pépouze dans le canap’, de préférence le soir dans une ambiance tamisée. S’il vous reste des lampes de poche aux piles usagées et que vous n’avez pas peur du ridicule vis-à-vis de votre tendre moitié (les mômes laissez-les en dehors de ça il en va de votre dignité de parent) tentez l’expérience sous la couette, à l’ancienne. Frissons garantis. Brrrrrr.

Quand j'étais plus jeune, j'aimais bien lire les Chair de Poule mais, dans mon souvenir, il y en a assez peu que j'ai découverts... Et j'ai acheté celui-ci il y a pas mal d'années, ayant l'idée d'entamer une collection (que je n'ai pas reprise depuis).



J'étais donc ravie de partir en Egypte, à la rencontre de Gabriel et de sa cousine Sari, dans les pyramides et les musées, à la recherche de momies... Seulement, le duo va vite se rendre compte qu'il pèse une malédiction...



À chaque fin de chapitre, ou presque, nous avons une cliffhanger. Ainsi, je me suis pas faite prier pour lire le chapitre suivant, voulant savoir ce qui se passait... D'autant plus que tout se lisait très rapidement, un peu trop peut-être pour des livres adressés aux enfants de 9-10 ans ?



C'était un vrai plaisir de retrouver l'univers Chair de Poule, bien que ça ne me fasse plus peur du tout aujourd'hui, et que j'ai trouvé le côté momies-pyramides qui se situe en Égypte un poil cliché.



Un roman sympathique, qui se lit tout seul, et qui permet pour les 25-30 ans de se replonger en enfance...

Attrapé en flânant entre les rayons de la médiathèque de ma ville, je me suis dis qu'un peu de littérature jeunesse ne pourrait me faire que du bien! De plus, je me suis laissée tenter par le titre et par la quatrième de couverture. Mais bon, au final, ce livre, bien qu'ayant réussi à me surprendre, ne m'a pas envoûtée outre mesure.



Jenny Jeffers est une adolescente qui vit seule avec sa mère. Etudiante au lycée (on ne sait pas en quelle classe exactement, donc ce qui peut que nous laisser présager qu'elle doit avoir environ seize ou dix-sept ans), Jenny ne dit pas non contre un peu d'argent de poche en faisant régulièrement du baby-baby-sitting. Ici, elle a trouvé une occasion qui ne se refuse pas. Deux soirs par semaine (le jeudi et le samedi) pour garder un petit garçon âgé de six ans, Donny Hagen. Le job idéal pourrait-on croire pour Jenny car Donny, quoique farceur, est un garçon adorable et en plus, cela lui permettra d'aider sa mère sur le plan financier et cette année au moins, elle pourra faire des cadeaux à Noël...Oui, mais,,,,



Bref, je ne vous en dis pas plus car je suppose que vous avez tous et toutes entendu des légendes urbaines au sujet des baby-sitters qui gardent des enfants, seuls, et ce, dans une grande maison à étage qui plus est.



Des chapitres courts avec une écriture fluide et légère mais je crois que ce qui m'a déçue, ce sont la réaction de certains des amis de Jenny, ce qui laisserait plutôt présumer que ces derniers ont douze ou treize ans et ne sont pas au lycée. Enfin, ce n'est qu'un léger détail alors je vous laisse découvrir cet ouvrage par vous-mêmes et me dire à votre tour ce que vous en avez pensé !

Suspense, actions, mystère et frayeurs sont les ingrédients de ce petit roman jeunesse.

4 amis pénètrent une maison sombre, effrayante et mystérieuse.

Dans cette demeure vivrait un être étrange dont toute la ville se méfie.

Mais ce qui va leur causer bien des peurs est un petit appareil étrange qui fait de curieuses photos.

Ainsi va leur destinée…

On est vraiment happée par l'histoire, on est effrayé à l'idée des malheurs qui guettent les personnages au détour d'un cliché.

Un roman haletant qui devrait plaire à la jeunesse de 7 à 77 ans.

Bof, bon, j'avais de meilleurs souvenirs que cela de cette collection que je lisais de temps à autre quand j'étais enfant. Comme quoi, les souvenirs peuvent parfois être trompeurs mais la bonne nouvelle est que cela signifie que j'ai mûrie (et heureusement) et que je m'attends à autre chose de la littérature dorénavant.

Certes, l'écriture est fluide et les chapitres sont courts (ce qui rend la lecture très appréciable et très rapide) mais je réserverai dorénavant ce genre de lecture au public auquel il s'adresse, à savoir les enfants. Je ne dis pas que je ne lirai plus jamais de littérature jeunesse (bien au contraire car certains ouvrages arrivent encore à me ravir) mais je crois que je vais abandonner la série "Chair de poule".



Ici, le lecteur se retrouve dans un collège où le jeune David Beamer, élève de 6ème, est le souffre-douleur de ses camarades en raison de sa petite taille. Bien que faisant parti du journal du collège, il est loin de s'attirer le respect de celles (puisque ce sont principalement des filles qui participent à la rédaction de ce journal) avec lesquelles il travaille. Pour n'en citer qu'une, Sandra, étant elle en classe de 4ème, ne se gêne d'ailleurs pas pour le lui faire comprendre. Aussi, lorsqu'il voit enfin arriver le moment de lui faire une farce, David ne s'en prive pas...Cependant, les choses ne vont pas tourner exactement comme il l'avait prévu...loin de là !



A découvrir par curiosité mais surtout à faire découvrir !

Après "Plus ne m'est rien" de 86, voici Chair de poule "Sous-sol interdit" de 96! On est à fond dans les vieux trucs, aujourd'hui ! C'est ouf à quelle point cette collection "chair de poule" était fascinante, anxiogène, crade (dans le bon sens du terme!), tout petit, ça nous impressionnait un max! Et on adorait ! Mais voilà, avec le recul, y'a rien d'exceptionnel. Enfin : autre temps, autre public, soyons indulgents!

Le père de la famille fait des expériences sur des plantes, celle-ci se révèlent peu amicales, et on part dans un délire confus de qui est qui. Evidemment, avec les enfants vous leur dites "ne va surtout pas ici" ... ils n'ont qu'une envie : y aller! Alors que le père leur avait formellement interdit... Ils se mettent en danger pour le besoin de l'histoire...

J'ai apprécié cette lecture sympathique et le clin d'oeil à la fin.

Idéal pour les 12 à 15 ans ; )...
Lien : https://vella.blog/

Quatre jeunes montent dans un vieux grenier au centre duquel trône un miroir.

Oh Miroir ! mon beau miroir dis nous que nous sommes les plus beaux !

C'est ainsi que les jeunes gens tentent de jouer avec le bel objet.

Mais à vouloir trop souvent passer à travers le miroir, ils provoquent des phénomènes inhabituels.

Un petit roman pour la jeunesse, sans prétention qui se lit bien et rapidement. Suspense, mystère, frissons sont présents pour le plus grand plaisir des lecteurs. On saute un pas dans le grand vide du reflet de notre propre jeunesse...

Quand j’étais môme, j’ai enjoy quasiment la série en entière, ce tome 36 est celui qui m’a le plus marqué, j’ai eu envie de le relire environ 15 ans plus tard, juste pour voir…



Ce monstre poilu au long cou, m’a longtemps terrifié ! Pour mes 28 ans, je voulais aller pique-niquer en forêt. Cabane et chamallow, plus lecture de Chair de poule (en particulier ce « jeux de monstre »). Hélas, ça n’a pas eu lieu.



R.L. Stine écrit très bien, rien à redire! La traduction est bonne aussi!;-), tout est mené tambour battant.



Ce livre s’adresse – dans l’idéal – aux 10 à 12 ans (l’âge de Joanna, personnage principal) mais pas seulement! Il est intéressant à lire pour n’importe quelle tranche d’âge! Mais les « vieux » comme moi le trouveront un peu court…



Le début était mieux que le milieu ;-).



C’est l’histoire de Joanna, Jack et Pat, ses frères jumeaux, qui doivent faire un genre de chat perché hyper compliqué avec des monstres qui portent les noms de Fleg (celui qui me faisait peur!), Spork, Gleeb…



Les règles sont compréhensibles que par l’un des camps, judicieuse métaphore de l’enfance et des règles de la vie encore inconnues.



« Il a touché le rocher, ça mérite une punition ! C’est la règle. »



« Mais on ne les connait pas, vos règles ! C’est injuste ! »



Bonne chose, le roman n’est « pas interminable »…

Voir un peu court, même !



Qu’est ce que ça m’a fait penser aux jeux de Perceval dans Kaamelott!



Finalement, sans vous spolier, je vous dirais que la fin est bien trouvée ;-).



Charlyy & Soren Phoenix;
Lien : https://charlyyphoenix.wordp..

Être à la traîne derrière ses parents, souffrir de la chaleur, manger du sable, avoir toujours soif et se sentir comme ces chameaux qui peuplent le désert, fatigué et mou, absorber la tonne d’informations rendues par les guides touristiques qui racontent les pyramides… Gabriel, douze ans, ronchonne. Passer des vacances de Noël en Égypte n’a pas le même attrait pour lui que pour ses parents. Et lorsque pour leurs affaires professionnelles, ceux-ci sont obligés de le confier à la garde d’oncle Ben, Gabriel peste encore plus ! Il va devoir cohabiter avec sa cousine Sari, la fille la plus pimbêche qu’il connaisse.



Oncle Ben est un éminent archéologue qui continue à faire de fabuleuses découvertes. Un peu fantasque et très pris par son travail, il propose à Gabriel de venir avec lui sur le lieu de ses fouilles. Leur dernière trouvaille est un tunnel inexploré qui pourrait être une galerie menant à la chambre funéraire du pharaon Khéops.

Accompagné de Sari (qui l’agace de plus en plus), Gabriel (surnommé Ga-Ga par sa tendre cousine) surmonte ses peurs et pénètre un décor tombal, secret, ténébreux, empreint de poussière et de mystères.



De vieilles légendes parlent des malédictions des pyramides, des momies qui se réveillent en colère, des sortilèges jetés sur les profanateurs… Gabriel y songe… surtout lorsqu’il croise le regard noir, perçant et menaçant d’un ouvrier de l’équipe, Ahmed… lorsqu’il se perd dans les dédales souterrains, poursuivi par une présence fantôme… et lorsqu’il se fait attaquer par une armada de scorpions.



« Stop ! pyramide hantée ! » Que vont rencontrer Gabriel et Sari ?



Ce premier tome de la collection Chair de Poule est un bon souvenir qui me renvoie à l’époque où je lisais des histoires à mes garçons, le soir. Parfois, ils aimaient s’endormir sur des images assez éloignées de l’univers de Souricette et Winnie l’Ourson. Ils grandissaient, ils étaient au CP, ils voulaient un peu frissonner (sans trop avoir peur). « La malédiction de la momie » est un bon tremplin. La lecture est facile, avec de l’humour et du suspens. L’archéologie, les pyramides, l’aventure, une certaine indépendance, le livre offre aux jeunes lecteurs ce qu’ils désirent… une part de leurs rêves.

Un livre à recommander !

Gabriel va visiter des pyramides au Caire avec ses parents. Quand ils rentrent à l'hôtel, ils apprennent qu'un rendez-vous pour leur travail a été avancé d'une semaine, et qu'ils doivent aller à Alexandrie. Gabriel a le choix entre rester avec son oncle ou partir avec ses parents, il choisit de rester. Il attend tout seul à l'hôtel que son oncle et sa cousine viennent le rejoindre. Une heure après, il entend la porte de sa chambre s'ouvrir et voit une momie entrer...





J'ai aimé, parce qu'il y a plein de mystères et de surprises, mais ça ne fait pas peur. C'est les mêmes personnages que La colère de la momie. J'ai plein d'autres "Chair de poule" à lire, j'espère qu'ils feront plus peur que les deux que j'ai lus pour l'instant.

C'est mon ami Babelio FrancoMickey (merci à lui !) qui m'a convaincue de me lancer dans la lecture d'un des (nombreux) tomes de Chair de poule de R.L. Stine. J'ai choisi de lire le tome 47, L'école hantée. Rapport à mon métier certainement… Eh bien voilà qui fut une découverte sympathique !



Je connais Chair de poule depuis longtemps puisque mes soeurs et moi regardions la série qui passait sur France 2 vers la fin des années 1990. Je me souviens de tous ces épisodes avec des pantins et des miroirs diaboliques, des appareils photo, des machines à écrire et des maisons hantés, sans parler de ces multiples personnages inquiétants. Je me souviens aussi qu'une ou deux fois, j'ai vraiment eu peur (il ne m'en faut pas beaucoup, c'est vrai…). Alors je n'ai pas eu peur en lisant L'école hantée (et je ne me souviens pas non plus avoir vu son adaptation dans un des épisodes de la série) mais j'ai trouvé l'histoire assez intéressante : un collège qui recèle un secret assez terrible lié à un appareil photo (tiens, tiens). Et c'est le petit nouveau, Tommy Frazer, qui s'y colle. Non seulement il doit gérer l'organisation du bal de l'école mais il va aussi faire quelques découvertes aussi étranges que terrifiantes. Eh oui, il entend des voix qui appellent au secours et, comme par hasard, en se perdant dans l'immense collège qu'il ne connaît pas encore très bien, il va tomber sur un terrible secret qui est, évidemment, assez mal caché. Bien sûr, l'histoire est un peu cousue de fil blanc, tout se passe très rapidement et certaines choses sont assez prévisibles. Mais ça se lit vite et bien et c'est sympathique. Je me suis même surprise à m'inquiéter un peu pour le héros et son nouvel ami vers la fin du livre.



Un roman sympa et assez intéressant donc, qu'on peut en plus conseiller aux enfants de 10 ans et plus car ils pourront, eux, s'identifier assez facilement aux héros du même âge. J'imagine déjà mes élèves de sixième (certains d'entre eux ont une imagination et une créativité exceptionnelles) se creuser la tête pour trouver les secrets que pourraient recéler notre collège…

Addictif et excellent .

Au delà des 11 nouvelles qui composent cet ouvrage , ce livre permet de découvrir des auteurs et des personnages récurents.

J'ai trouvé que ce n'était pas une anthologie de plus ,mais une vraie mine d'informations pour les amateurs de thrillers.

Alors autant j'adore Chair de Poule parce que ce sont des souvenirs d'enfance, de bons moments passés, des lectures qui me faisaient parfois carrément flipper... Alors que finalement, il n'y a pas de "monstres" et d'événements surnaturels, cela provient juste de l'imagination des enfants qui les vivent.



Mais j'ai trouvé cette histoire plutôt mauvaise, même pour un livre pour les enfants d'environ huit ans.



Jane et Michael sont tracassé·e·s parce que leur père, le docteur Brouwer, fait de drôles d'expériences dans son laboratoire où les enfants ont l'interdiction absolue d'aller. Au fur et à mesure que les jours passent, le comportement de leur père change de plus en plus...



Même si l'idée de base - un scientifique qui mène des expériences sur des plantes et qui deviendrait lui-même un végétal - est intéressante, je l'ai trouvée tirée par les cheveux. Je haussais les sourcils à plusieurs reprises, et j'ai gloussé de rire à la toute fin du livre, que j'ai trouvée assez ridicule.



C'était une lecture sympathique malgré tout, mais si absurde que je n'ai pas accroché.

Le roman est intéressant. R.L. Stine nous fait voyager jusqu’en Egypte et nous propose l’exploration d’une pyramide.

J’ai trouvé le thème bien approfondi dans l’ensemble surtout que beaucoup d’adolescents aiment l’Egypte et les momies.

Par contre, selon moi ce roman est assez « soft » par rapport à d’autres que j’ai trouvés beaucoup plus effrayants…

Je m’attendais vraiment à ce que la momie ait une place beaucoup plus importante.



L’histoire est bien tournée, l’auteur nous fait vraiment partagé le quotidien d’un archéologue et de chercheurs passionnés et cherchant à transmettre leur savoir. C’est vraiment cela que j’ai apprécié dans ce roman.

Les idées s’enchaînent doucement sans trop de retournements de situation.

Les descriptions sont parfois un peu sommaires. J’aurais vraiment aimé avoir plus de détails concernant l’intérieur des pyramides. Malgré tout, cela donnera sûrement envie aux enfants ou aux adolescents d’aller visiter une pyramide en Egypte.



Le retournement de situation est bien trouvé et on ne s’en doutait vraiment pas ! L’auteur arrive une nouvelle fois à surprendre ses lecteurs.

La fin est intéressante et peut donner envie de créer une petite suite à ceux qui le souhaitent.

En résumé même si j’ai été un peu déçue par ce roman je pense sincèrement que le thème des pyramides est bien approfondi.


Lien : http://fais-moi-peur.blogspo..

Je lis les quelques Chair de Poule achetés à droite à gauche que je n'ai jamais lus, sans énormément d'enthousiasme parce que la lecture n'est pas du tout la même lorsqu'on est adulte.



Dans cette histoire, nous rencontrons Chloé et son petit frère Christopher qui partent en vacances en famille. Seulement, suite à un accident, les enfants se retrouvent sans leurs parents. En partant à leur recherche, Chloé et Christopher tombent sur un camp de vacances pour le moins singulier : un camp sportif où les participant•es veulent à tout prix gagner et qui s'appelle le camp Gelatino... Chloé et son frère se retrouvent dans ce camp au nom étrange...



Je m'attendais à un tout autre récit, qui se déroulerait dans une colonie plus classique qu'un camp sportif, mais j'ai bien aimé cette idée originale. Les moniteur•ices - tout comme les participant•es - semblent en vouloir aux perdant•es et, surtout, l'entêtement à gagner rend l'ambiance particulièrement inquiétante pour Chloé...



J'ai été assez surprise des révélations qui ont été faites, qui arrivent assez tardivement dans l'histoire. L'idée était assez originale et m'a amusée. Cependant, la tension n'est pas la même que dans les autres romans de la saga : elle est peu présente pendant une partie du récit, ce qui est dommage.

Une initiative de l'ITW, l'association internationale des auteurs de thrillers. Sur le modèle d'autres associations d'écrivains, l'ITW s'est créée avec des règles spécifiques. Les adhérents ne payent pas de cotisations mais contribuent à des recueils de nouvelles dont les droits vont à l'association qui peut ainsi agir pour le bénéfice de ses adhérents et aider de jeunes talents.

Toujours à la recherche d'idées nouvelles et iconoclastes, l'association a promu cette idée de batailles d'auteurs via leurs héros ou personnages cultes.

On trouve dans ce recueil des trésors d'imagination pour faire se rencontrer des personnages qui ne se seraient jamais rencontrés dans la vraie vie ou du moins dans l'environnement que leur auteur leur autorise. Harry Bosch d'habitude cantonné à LA par Michael Connelly se déplace à Boston et rencontre Patrick Kenzie le privé de Dennis Lehanne

"Patrick composa le 911, mais avant d'appuyer sur le bouton « Appel », il tendit la main à Bosch. 

— Si jamais je viens à L.A. 

Bosch lui serra la main. 

— Marrant. Je ne vous imagine pas à L.A. 

— Et je ne vous imagine pas ailleurs que là-bas, répondit Patrick. Pourtant, vous êtes ici. Prenez soin de vous, Harry. 

— Vous aussi. Et merci… pour ça, dit Bosch en posant les yeux sur Paisley, qui allait au minimum finir aux soins intensifs."

Dans ces combats singuliers, les auteurs se lachent et font dire ou faire à leur héros des choses qu'ils n'auraient jamais imaginé dans une histoire type ou la routine est souvent primordiale pour l'histoire.

Dans chacune de ces histoires les personnages prennent un coup de jeune et jouent les iconoclastes pour notre plus grand plaisir.

Du concentré, loin des histoires parfois convenues qui lassent le lecteur ou du moins ne le surprennent plus.

Pareil pour Roy Grace et John Rebus de James et Rankin, l'Ecossais et l'Anglais se retrouvent autour d'un meurtre vieux de 50 ans :

"Roy Grace l'approuva d'un signe de tête. 

Ils venaient de villes différentes, de cultures différentes, et ils étaient de générations différentes, mais il savait qu'il partageait au moins une chose avec John Rebus – le plaisir toujours renouvelé de clore une affaire."

On se prend au jeu surtout quand les détectives décident de s'affranchir des règles qu'ils sont supposés respecter.

Paul Madriani est le protagoniste de douze romans de Steve Martini, ancien journaliste et avocat californien. Linda Fairstein, de son côté, a été procureure pendant trente ans avant de diriger l'Unité des crimes sexuels du Parquet de Manhattan. La procureure Alexandra Cooper est sa création.

Ces défenseursdu droit et de la procédure décident de passer outre les règles pour coincer e coupable qui s'est joué d'eux :

"Rashid parcourut en vitesse les manchettes en tentant d'absorber le choc. Il eut une montée d'adrénaline en réalisant le sort qui l'attendait au vu des mots qu'il avait sous les yeux : « contrefaçons », « dictateur nord-coréen », « acheteurs crédules », « escroquerie », « meurtre », mais tout cela n'était déjà plus son souci. Car à cet instant, l'homme qui se faisait appeler Samir Rashid comprit que jamais il ne quitterait la Corée du Nord en vie. 

La justice peut prendre bien des formes, même les plus inattendues."



11 histoires qui se lisent comme du petit lait !

Je vais m'intéresser de plus près aux recueils publiés par l'ITW, un moyen de découvrir de nouveaux auteurs mais aussi de découvrir les faces cachées d'auteurs connus et respectés.

Merci David Baldacci.
Lien : https://camalonga.wordpress...

Une maison de briques rouge, aux volets noirs et à la cour assombrie par l’épais feuillage d’arbres tordus; Une maison étrange, qui paraît presque vivante... C’est le décors délicieusement envoûtant de ce roman «chair de poule », cette série jeunesse fantastique/thriller que ma fille adore.

Je dis thriller car on est pas encore vraiment dans l’horreur. Mais c’est une porte d’entrée en douceur dans l’univers de la dark littérature et honnêtement, même à quarante ans, j’ai aimé l’atmosphère frissonnante de cette terrifiante maison, dans laquelle tout les habitants du petit village de Tombstone semblent avoir déjà vécu… Simple hasard ? Anna et son frère Jimmy, que leur récent emménagement à Tombstone ne réjouissent guère, réussiront-ils à percer le mystère de cette bâtisse qui paraît hantée ? Suspens…

Un chouette roman pour jouer à se faire peur et apprivoiser gentiment ce «mauvais genre » littéraire;

C’est, en tout cas, le préféré de Mathilde, 11 ans, qui me l’a gentiment prêté et vous le recommande vivement !