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Citations de Saïdeh Pakravan (63)


Comment est-ce que nous pouvons savoir comment les gens réagiront dans des circonstances données, de quoi les gens sont faits- dans quelle mesure ils peuvent être forts, faibles , honorables?
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Et puis il y a ce qu'on fait dans notre pays au nom de la religion et qui fait perdre tout respect pour quiconque mentionne les mots "musulman" ou "islam".
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Je regarde tous ces gens si importants, si occupés, chacun d'entre eux jurant que notre cher pays et notre cher islam sont tout ce qui compte et qu'ils n'hésiteraient pas à donner leur vie pour les protéger et les sauver, mais qui veut mourir ? Je sais que ce n'est pas mon cas.
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- Est-ce que les artistes ne sont pas supposés avoir des intuitions exceptionnelles et une capacité d'observation qui n'est pas donnée au commun des mortels ?
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--- C'est ça l'Iran, dit Djamchid. Un tissu de contradictions. Khomeini a bien essayé d'effacer notre histoire avant le septième siècle et la conquête arabe mais ça n'a pas marché, le peuple ne l'a pas accepté. Donc le régime a entrepris de glorifier le passé encore plus que le chah en son temps. Maintenant, on parle régulièrement des anciens rois de l'empire perse et on emmène les hôtes officiels visiter Persépolis. Incroyable ! p 352
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- Au cas où tu ne t'en serais pas rendu compte, je te rappellerais que les femmes ne sont pas toutes les mêmes. Il y a beaucoup de choses que les hommes pensent que les femmes aiment que les femmes n'aiment pas du tout ou pas toujours.
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"J'arrive", dit-il sur la radio. "Quoi de neuf ? "
"Rien qui vaille le déplacement", lui répondit le brigadier de l'accueil.
"Comment ça, rien ? Pas de putes dans le panier à salade, pas de bagarres, pas de violences conjugales? "
"Non, rien."
"C'est étrange", dit Simon.
Il ne se souvenait pas que ce soit jamais arrivé.
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Comme tous les anciens pays communistes qui étaient ''du peuple'', ou ''populaire'' ou ''démocratique'' ou autre, je trouve toujours suspect qu'on se croit obligé de définir quelque chose d'aussi simple que le nom d'un peuple.
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Vaut-il mieux supporter une vie difficile sous un régime que l’on méprise et rester dans son propre pays ou bien partir et passer le reste de sa vie à en garder la nostalgie et comparer sans fin le neuf avec le vieux trouvant toujours le neuf en deçà de ses attentes ?
(p110)
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Quoi qu'il en soit, ses souvenirs évoquaient un monde plus raffiné, où les gens étaient moins grossiers, moins vulgaires, moins bassement intéressés (...) Un monde plus beau où l'on avait une vie, pas un plan de carrière, où -home- voulait dire chez soi et non page d'accueil sur le web (...) (p.182-183)
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_ Tu m'aimes pas sentir que tu as du pouvoir ?
_ Je n'ai aucun pouvoir et ensuite je ne voudrais pas en avoir parce que je n'aime pas ce que le pouvoir fait aux gens .
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Est-ce vrai que les parents aiment leurs enfants pour toujours mais que les enfants ne les aiment en retour que quand il est trop tard ?
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Bien sûr, à l'époque du chah, j'étais loin d'être satisfait de la situation du pays. J'ai toujours trouvé toute répression,même celle , somme toute modérée, qu'il pratiquait- modérée en tout cas comparée à la brutalité du régime islamique-, superflue et donc totalement absurde. Mais au moins, à l'époque, nous étions en apparence civilisés et sur la route du progrès. Personne n'embêtait ma famille, personne ne disait aux gens comment s'habiller ou quoi boire. Mais deux ans après, la république islamique est arrivée, et avec elle l'obscurité s'est abattue sur l'Iran, avec le fanatisme pour lequel le monde entier est en train de payer.
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Moi je ne me convertirai pas, je dis. Pourquoi est ce que je passerai d’une foi qui me dit que tout ce qu’on fait est un péché à une autre qui dit la même chose ? S’il y a un enfer et un paradis, on ira dans l’un ou l’autre de toute façon, quel que soit notre religion et moi je dis qu’il n’y a rien de semblable et que tout s’arrête, quand on nous met dans le trou.
(p160)
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- Hossein djoun, il y a beaucoup de gens au monde qui ne croient pas en Dieu.
il est pronfondément choqué...

p. 436

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Oui, Le principe du désir relève presque du suspens car on se demande, alors qu'on envisage sa lecture du livre, où cette stratégie du désir peut bien mener à part le désastre.

Le principe du désir est un roman paradoxal où des personnages bien en chair et en os, de notre époque, se regardent, s'aiment et se haïssent sous l'égide de l'Amour.

Sarah Bly is me ! (mais plus important, Thaddeus Clark existe-t-il dans la vie?)
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Voir Thaddeus tous les jours ne suffit pas à Sarah, ne lui apprend pas tout ce qu'elle voudrait savoir sur lui. Il y a aussi ce brouillard entre eux, cette absence de communication réelle dont elle est entièrement responsable. Pour l'avoir à elle, accessible, toujours là, elle continue à se rabattre sur Google, mais une recherche Internet ne peut guère se substituer à une présence.
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Il n'y a pas que l'expérience qui compte. L'enthousiasme aussi est important, c'est lui qui permet de bâtir l'avenir
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La société des enfermés s'organisait comme la société des hommes libres. Dedans comme dehors, c'était la même course pour le pouvoir. (p. 128-129)
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C'était merveilleux de penser à quelqu'un...elle avait comparé les échanges inoffensifs qu'elle avait avec ses autres collègues et ceux qu'elle avait avec lui. (....) Mais elle se méfiait d'elle-même, craignant que les années de solitude ne lui fassent imaginer de la chimie là où elle n'existait pas (p.78)
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