Sebastian Fitzek

Je vous avoue que je suis assez mitigée concernant ce roman. Globalement, j'ai bien aimé l'histoire et je l'ai lu assez vite (2 jours). J'ai beaucoup aimé suivre l'histoire d'une personne qui sait qu'elle va mourir et de son persécuteur.



Par contre, certains retournements de situation m'ont un peu perturbée et je ne voyais pas trop où voulait en venir l'auteur.



Autant je soupçonnais certaines personnes pendant ma lecture, et Sebastian Fitzek nous amenait bien à ces déductions, autant je n'ai pas vu venir la fin et les derniers retournements de situations, mais ça m'a laissé sur un sentiment mitigé. L'histoire était bien ficelée, mais je n'ai pas compris cette fin.



Bref, une chouette histoire haletante, mais je ne suis pas du tout convaincue par la fin.


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🤔 Mitigé

En trois mots : décryptage - meurtre - mémoire



« Un tueur en série avait affirmé un jour qu’il était facile de tuer quelqu’un. Vivre ensuite avec cet acte, en revanche, était difficile. On verra s’il a dit vrai. »



➡ J’ai parfois été perdue au fil de cette lecture malgré tout très dynamique et pleine de rebondissements… parfois un peu rocambolesques. L’ensemble n’était effectivement pas toujours vraisemblable.



➡ Malheureusement, cela ne m’a pas permis de m’attacher à la protagoniste, Hannah, ni de m’investir totalement dans l’histoire.



➡ Dommage car le thème original et bien documenté du décryptage des visages apportait un vrai plus au roman.



Merci aux éditions de l’Archipel pour ce service de presse numérique via NetGalley.

Thriller divertissant dans une ambiance confinée, j'ai bien aimé me sentir claustrophobe de cet avion ralliant d'une traite Buenos Aires à Berlin en compagnie de Mats, psychiatre aviophobe. N'aimant pas beaucoup moi-même l'enfermement éprouvé dans ces silos volants, j'ai trouvé les sensations, d'un réalisme déconcertant, plutôt bien décrites !



Le récit se déroule en deux endroits simultanément: une partie dans l'avion, l'autre sur la terre ferme avec Nele, la fille de Mats. Sur le point d'accoucher, celle-ci est enlevée dans le but de faire chanter Mats. S'ensuit donc une partie de ping-pong entre la vie des deux personnages et tout le beau monde entre eux...



Le rythme - calculé sur une durée de vol d'environ treize heures et des poussières - est bon et nous garde dans le feu de l'action. C'est une histoire qui se vit au présent, quasi à la minute près, pimenté de quelques rebondissements imprévus. Je dois avouer m'être fait un peu avoir, ce qui m'a plu !



Cela dit, j'ai préféré la partie qui se passait en plein ciel - peut-être à cause des éléments techniques et documentés sur l'aviation insérés dans le récit - même si les personnages sur terre sont plus nombreux. Ce que vit Nele ne m'a pas particulièrement émue et parfois le lien entre ciel et terre m'a paru un peu décalé, sans grand rapport ensemble...j'avais toujours hâte de revenir à Mats.



Il y a de ces livres que l'on prend plaisir à lire et à relire, pour des raisons diverses. Celui-ci, une fois le pot aux roses dévoilé, ne fait pas partie de cette catégorie. Toutefois, même si je ne relirais pas ce roman en particulier, j'irais de l'avant avec l'auteur car il a su capter mon attention dès les premières pages.

J'ai découvert Sebastian Fitzek en 2016 avec "Thérapie" que j'ai adoré. Deux ans plus tard, j'ai également adoré "Tu ne te souviendras pas".



S'en sont suivies quelques bonnes lectures.



L'année dernière, j'ai été déçu par "Le colis" et puis là, "Le somnambule" m'est tombé des mains ! Quelle déception ! J'ai détesté ce bouquin du début à la fin !



Mais pourquoi ai-je poursuivi ma lecture? Tout simplement parce que je pensais que Fitzek allait tout m'expliquer de manière rationnelle et que la fin serait une révélation ! Eh bien pas du tout ! Je ne suis absolument pas convaincu par les explications.



Alors, le thème, vu le titre, vous l'avez deviné, c'est "le somnambulisme", un sujet intéressant, mais l'auteur m'a complètement perdu pendant toute ma lecture.



Le héros, c'est Leo Nader qui est sujet à d'immenses crises de somnambulisme. Après avoir consulté un psychiatre, il se croit guéri, mais voilà qu'un matin il découvre que sa femme a été agressée pendant la nuit et qu'elle s'apprête à le quitter.



Est-ce lui qui est violent la nuit pendant ses crises de somnambulisme? Il n'en sait rien, mais veut en avoir le cœur net. Il achète donc une caméra qu'il se place sur le front avant de s'endormir. Il verra donc à quelles activités il s'adonne la nuit. Mais ce qu'il découvre lors du visionnement de l'enregistrement dépasse tout ce qu'il pouvait imaginer ! Et ça m'a dépassé complètement aussi !



Leo ne sait plus s'il dort ou s'il est éveillé et le lecteur non plus. Leo vit dans un appartement relié à tous les autres appartements de l'immeuble. Il y a des portes cachées, des escaliers, des couloirs, des labyrinthes, des caves,...



Rien de crédible dans ce bouquin. J'ai cru lire un "Chair de poule" dans lequel l'auteur essaye de faire peur au lecteur avant de lui donner une explication sur les faits vécus. Ce livre m'a aussi fait penser à celui de Chattam que j'ai détesté aussi : "Le signe", je pense.



A la fin du bouquin, Fitzek donne des explications sur le somnambulisme, parle même de ses propres nuits, mais ça ne 'ma toujours pas convaincu sur le déroulement des faits dans son bouquin.



Grosse déception. J'espère que l'auteur me réconciliera avec lui dans un autre roman, car j'en ai encore plusieurs dans ma PAL !



Il est rare que je ne mette qu'une étoile à un bouquin, mais là, j'ai vraiment détesté cette lecture !

Bonjour les babeliophiles petit retour sur ma dernière lecture de 318 pages sur ma liseuse..

Le thème qu' aborde Sébastien Fitzek dans son livre sont les expressions faciales (les petits gestes,mimique) qui pourraient nous trahir ou pas, sujet très intéressant pour ma part.

Par contre les deux premiers tiers du livre sont compliqués,complexes, j'ai eu du mal à tout comprendre et avec tout ca un piment d'invraisemblances. Mais bon j'ai voulu savoir ce qu'avait fait ou pas fait Hanna et j'ai bien fait car dans le dernier tiers une bombe qui a tué qui n'a pas tué la verite approche et alors que dire du dernier chapitre une mega-bombe celle là de fin je ne l'avais pas vu venir ni imaginé une seconde.

Maintenant je sais ce qu'il me reste à faire lire à nouveau cet auteur.

Toutefois, comme je le précise toujours, ceci est purement personnel.

Lecture rapide garantie. On est vite pris par cette prise d'otages dans une radio berlinoise et ce tête à tête entre les deux personnages à la dérive, mais positifs que sont la négociatrice et le preneur d'otages. Les ficelles sont grosses, certains passages absolument pas crédibles, mais il semblerait que l'importance ne soit pas là. Le tour de passe-passe doit être exécuté en vitesse avant que les lecteurs remettent en question ce qu'ils lisent.

Hannah Herbst lit les visages : elle décrypte les expressions faciales, notamment pour la police. Hannah est aussi atteinte d’un syndrome d’amnésie post-opératoire, et à l’instant où elle se réveille attachée dans un lit, elle ne se souvient de rien… L’homme qui l’a ligotée lui révèle progressivement ce qui l’a amenée là : elle a assassiné sa famille !!! Hannah va tenter de se libérer pour reconstituer ce qui s’est réellement passé…



Sebastian Fitzek m’a eue, encore une fois… Allez, peut-être moins que d’habitude, parce qu’on pressent asse vite ce qui a pu se passer, sans pour autant avoir de certitudes sur cette hypothèse vite formulée.

Néanmoins, voilà, il m’a eue : une écriture (et une traduction) efficace, passionnante, addictive, une construction qui pousse à tourner les pages, un suspense et des rebondissements qui tiennent en haleine jusqu’à la fin… Même si j’avoue que certains éléments m’ont semblé parfois tirés par les cheveux. En bref, du bon Fitzek !

Je remercie les éditions de l’Archipel et Netgalley pour cette lecture. #laLiseusedeVisages #NetgalleyFrance

J'essaye de collecter un peu tous les romans et livres qui parlent d'avion de près ou de loin, et celui-ci trainait dans ma PAL depuis un bon bout de temps.

Je ne suis pas vraiment adepte du genre thriller (je me suis arrêtée à quelques livres de Maxime Chattam que j'avais trouvés excellents au passage), mais celui-ci me tentait bien (parce que avion, si vous avez bien suivi).



Dès le début, le style est prenant et les pages se tournent toutes seules. Embarquement immédiat pour les péripéties de Mats !

En revanche, certains éléments de l'intrigue sont quand même bien tordus et j'ai failli décrocher (vous l'avez ?) à certains moments.



Autre point noir pour moi, ce sont les personnages que je n'ai pas trouvés attachants voire impersonnels ; j'avais l'impression de suivre leurs mésaventures de loin, sans attachement ni empathie. Seul le personnage de Feli est réussi pour moi.



La phobie de l'avion dont souffre Mats est exagérée à mes yeux, et en tout cas beaucoup trop mise en avant par rapport à ce qu'elle apporte réellement au récit...



Je n'ai pas non plus senti le huis clos angoissant qu'on m'avait vanté car le roman se déroule à la fois dans les airs et aussi sur terre, en suivant le point de vue des différents personnages. Rien de bien grave toutefois, cela dynamise l'histoire et la fait avancer.



Malgré une intrigue tirée par les cheveux (et quelques grosses ficelles), ce thriller répond aux attentes du genre, la tension et le suspense sont bien présents. Sans en garder un souvenir impérissable non plus, j'ai passé un bon moment de lecture.

L'auteur, le livre (400 pages, 2024, 2022 en VO) :

On avait déjà croisé l'allemand Sebastian Fitzek au rayon polars.

C'était il y a bien longtemps, dans un ou deux petits polars rapides, menés tambour battant, moitié thriller, moitié énigme psycho : Ne les crois pas et Therapie.

Le revoici entre nos mains avec La liseuse de visages.



On n'a pas trop aimé :

• On s'accroche aux accoudoirs du fauteuil pour un démarrage à cent à l'heure. Fitzek ne s'embarrasse ni de préliminaires ni d'explications : il plonge et son lecteur et son héroïne en pleine tourmente sans que ni l'un ni l'autre ne sache qui est vraiment qui. C'est tordu, abracadabrant, invraisemblable, mais ... mais c'est mené à toute vitesse et avouons qu'on est venu pour que Fitzek nous mette la cervelle à l'envers.

• Avec seulement trois ou quatre personnages l'auteur réussit à nous faire soupçonner au moins quatre ou cinq coupables ! le secret et le suspense seront maintenus jusque dans les toutes dernières pages avec des retournements de personnages et de situation aussi invraisemblables que le reste du bouquin !

Si on aime ce genre d'intrigues faciles, Fitzek fait le job, même si on pensait garder un meilleur souvenir de ses précédents ouvrages (mais c'était il y a longtemps : 2012).

• En marge de cette intrigue un peu too much, on apprécie l'approche de ces techniques de décryptage des expressions faciales, appelées également mimicologie. le roman s'appuie sur les échanges de l'auteur avec Dirk W. Eilert, spécialiste allemand du sujet.



L'intrigue :

Hannah Herbst est une sorte de profileuse qui "lit sur les visages" ce que l'on ne veut pas ou ne peut pas exprimer (c'est le décryptage d'expressions faciales, la mimicologie) : une peur, une agressivité, un mensonge, ...

Un talent encore plus utile que le détecteur de mensonges quand on veut aider la police.

Mais elle souffre aussi de spectrophobie : la peur de se voir dans un miroir.

Est-ce la peur de découvrir des choses sur elle-même ?

Ce jour-là, Hannah se réveille totalement amnésique, gravement blessée, accusée en direct à la télé d'avoir sauvagement trucidé sa famille ... Il y a même une vidéo de ses propres aveux à la police ...

Oh la la, ça démarre très fort ! Qui donc est qui ? Hannah ne sait plus qui croire, ni à qui faire confiance, ... peut-être même pas à elle-même ...

La seule chose que le lecteur a très vite compris c'est qu'il ne fallait faire confiance à personne et certainement pas à Sebastian Fitzek qui semble bien décider à le secouer dans tous les sens !

Pour celles et ceux qui aiment se regarder dans le miroir.

Livre lu grâce à NetGalley et aux éditions de L'Archipel.
Lien : https://bmr-mam.blogspot.com..

Pas ma meilleure lecture. J'ai éprouvé beaucoup de difficulté à entrer dans l'intrigue, à m'attacher aux personnages et si je dois avouer que j'ai apprécier les révélations dans l'avion, pour ce qui est de la fille enceinte ce n'est pas vraiment le cas.



En bref ça se laisse lire mais je suis quand même passé à côté !



Belles lectures à tous.

J’avais commencé ma chronique, en présentant, comme je le fais habituellement, la situation initiale. J’ai supprimé mon texte, car je me suis aperçue qu’en agissant ainsi, je révélais des détails absents de la quatrième de couverture et qu’il était préférable de les découvrir en ouvrant le livre.



Aussi, je vais simplement vous présenter le personnage principal. Elle s’appelle Hannah Herbst et elle est experte en décryptage d’expressions faciales. Le moindre mouvement de vos sourcils la renseigne sur vos véritables pensées. Ses compétences sont un atout précieux pour la police. Cependant, elle souffre d’un syndrome rare : après une anesthésie, sa mémoire proche s’efface. Elle vient de subir une opération et elle ne se souvient pas qu’elle poursuivait un serial killer, ni que sa famille a été massacrée. Elle visionne une vidéo d’une femme s’accusant des meurtres. Or, c’est elle qui s’exprime dans l’enregistrement.



La liseuse de visages est un suspense au rythme endiablé, aux rebondissements machiavéliques et nos déductions pourraient être symbolisées par un « grand huit » : montée en pression, descente ahurissante, virages sensationnels et loopings à retourner le cerveau. Même les moments « calmes » sont à couper le souffle, car ils se concluent par un retournement oppressant et angoissant. Notre soulagement est de courte durée : nous enchaînons les erreurs d’interprétation. La tension psychologique est puissante. Chaque mot compte, chaque silence est menaçant et chaque révélation est bluffante. Chacune de nos certitudes est empreinte de méfiance et de peur. Dès que nous reprenons notre respiration, nos yeux s’écarquillent, l’air nous manque et l’angoisse nous rattrape. Notre confiance est malmenée, notre instinct a perdu tout repère et le final, que je n’avais pas anticipé, nous assomme. C’est un coup de cœur pour moi.



Au fait, comment se portent vos amygdales ?


Lien : https://valmyvoyoulit.com/20..

Chronique de Flingueuse : Le Chat Pitre de Sophie pour Collectif Polar

J'aime beaucoup les livres de Sebastian Fitzek et celui ci ne fait pas totalement exception.

Mais alors que nous raconte "La liseuse de visages" :

Hannah Herbst, experte en décryptage d'expressions faciales, collabore avec la police allemande pour démasquer les criminels. Alors qu'elle subit des pertes de mémoire depuis une opération, elle doit analyser les aveux filmés d'une femme qui aurait tué toute sa famille sauf son fils cadet, Paul. Sur la vidéo, Hannah reconnaît son propre visage.





Oui j'aime beaucoup les livres de Sebastian Fitzek,  j'aime son écriture,

Ici j'aime le jeux de temporalités, on passe d'un personnage à un autre, le côté très addictif... dans ce thriller le côté psychologique est très présent, les interrogations aussi. Car notre auteur allemand est un maître des scénarios retors.

Pourtant, cette fois, pour moi, ... Il y a un peu trop d'histoires et de personnages qui se croisent. Et, à vouloir trop surprendre le lecteur, il est allé sur de nombreuses routes ,dont certaines n'avaient pas de fin.

Maintenant c'était une lecture très agréable, avec une fin......

merci NetGalley merci Éditions de l'Archipel pour ce thriller

#lecture #livre #thriller
Lien : https://collectifpolar.wordp..

Premier livre que je lis de l'auteur et c'est une bonne surprise.

Mais quel suspens ! Haletant du début à la fin. Aucun temps mort et des rebondissements à gogo. Une intrigue complexe, parfois surprenante, mais assez bien ficelée dans l'ensemble et qui, surtout, joue avec nos nerfs. Chacun des protagonistes pourrait bien se révéler être le coupable.

Par contre, je ne me suis pas vraiment attachée à Hannah ...



#Laliseusedevisages #NetGalleyFrance !

Depuis que j'ai découvert Sebastian Fitzek, il fait parti de ces auteurs dont je lis systématiquement les nouvelles sorties sans même regarder le résumé. Fitzek, hop, bibliothèque. Et autant vous dire que je ne regrette absolument pas ce choix après avoir tourné la dernière page de La liseuse de visages. Ce livre est totalement fou ! Fou et carrément addictif. Je l'ai d'ailleurs répété à mon mari un certain nombre de fois lorsque je mettais ma lecture en pause.



Le principe du personnage amnésique (Hannah) est hyper intéressant et, étrangement, je n'ai pas lu tant de livres que ça qui partent de ce postulat. C'est à la fois un parti pris risqué car, s'il n'est pas bien exploité, il peut embrouiller le lecteur, et très ingénieux car il permet de maintenir le suspense et nous induire en erreur au fil des déductions du personnage qui a perdu la mémoire. De plus, Fitzek introduit un second personnage qui, s'il a connaissance de certains faits (la vidéo enregistrée par Hannah), cherche également à découvrir la vérité, intrigué par les révélation de la femme. C'est donc un véritable chassé-croisé, une course contre la montre dans laquelle la vie d'Hannah est engagée.



Le prologue se déroule de nombreuses années avant les meurtres. Il est saisissant et il faudra au lecteur un certain temps avant de comprendre son importance. Le premier chapitre nous permet de rencontrer Hannah et son fils, Paul, alors âgé de 6 ans. Il est tout aussi intense que le prologue, plus choquant encore. Enfin, nous assistons, du point de vue du tueur, au massacre de la famille d'Hannah. Le ton est donné et le lecteur n'est pas au bout de ses surprises !



Le métier exercé par Hannah est original et très intéressant : elle décrypte le langage non verbal, interprète les micro-expressions et les gestes, ce qui lui permet, entre autre, de savoir si une personne ment. C'est un talent qu'il est agréable de découvrir. Il est assez impressionnant de voir les déductions qu'elle fait d'un geste ou d'un geste associé à une parole. Les personnages secondaires sont présents en arrière plan, ils interagissent avec elle, parfois à distance, et se dévoilent petit à petit. Ces inconnus, qui font pourtant partie de sa vie, prennent corps à mesure qu'elle se remémore certains souvenirs ou découvre les messages qu'elle s'est elle-même laissé.



Au milieu de tout ça, le lecteur tire ses propres conclusions, voit émerger des réponses qui semblent finalement ne pas être les bonnes. Puis, cette fin. Magistral retournement de situation. Et cette seconde fin qui, finalement, confirme des soupçons qu'on aurait pu avoir et renvoie toute l'horreur de la situation. Cette fin qui nous laisse impuissant et démuni. Soufflé.



En écrivant cet avis, presque une semaine après avoir terminé La liseuse de visages, je suis encore marquée par ce dénouement. Légèrement mal à l'aise et surtout en train de me repasser tout le film des évènements à la lueur des dernières révélations. Pour moi ce livre est un coup de génie de Fitzek qui explore les tréfonds, ô combien mystérieux, du cerveau et de la mémoire.
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Dès le début le style est très addictif et j’ai eu limite l’impression d’être en train de regarder une série.

L’histoire se déroule presque en une seule nuit ce qui apporte un vrai rythme et une tension palpable. Il n’y a pas un moment de répit et je l’ai dévoré. J’ai été surprise jusqu’à la toute fin.

Seul petit bémol, l’héroïne Hannah est un peu trop « surhumaine » par moments.

▫️

J’ai passé un excellent moment de lecture avec ce thriller haletant et plein de rebondissements !

Auteur que je ne connaissais pas. J'ai beaucoup aimé, bonne intrigue jusqu'à la fin. L'histoire se passe sur un bateau ou disparait des personnes (mères et enfants).

Martin embarque pour découvrir ce qui est arrivée à sa femme et son fils.

Mais il n'y a pas qu'eux, plusieurs histoires s'imbriquent et nous transportent dans la vie de chacun des personnages.

Premier coup de coeur de l'année 2024 !



Hanna Herbst est experte en décryptage d’expressions faciales. Ne serait-ce ça, j’ai trouvé l’idée originale.

A la suite d’une opération chirurgicale, elle a perdu la mémoire, du fait de son allergie à l’anesthésie. Seulement une affaire des plus urgentes est à résoudre, le meurtre d’une famille entière avouée par la mère de famille. Mais cette femme a le même visage que Hannah…



Ça part dans tous les sens, sans pour autant en perdre le fil et ce pour mon plus grand plaisir. Je n’y ai trouvé aucun temps mort, et que de rebondissements. L’intrigue est addictive, bien menée, et nous balade jusqu’à la fin. Aux côtés d’Hannah, on analyse tout, on doute de tout, on se demande sincèrement quel retournement de situation l’auteur va nous proposer. Et quand enfin une réponse pourrait nous être donné… c’est la douche froide pour notre personnage principal.



Concernant les autres personnages, je les ai trouvé fabuleux également et l’auteur a su les créer de façon à ce qu’ils nous surprennent tout du long. Donc forcément avec une intrigue entrainante et des protagonistes qui nous font sensation : je me suis prise au jeu et j’ai adoré ma lecture.



La cerise sur le gâteau : Cette fin aux multiples facettes! Surprise! Encore une fois, l’auteur a voulu nous surprendre et ne dis pas son dernier mot rapidement, de façon à nous provoquer une dernière ligne des plus scotchante!



En conclusion : Un livre plein de péripéties qui vous fera passer un moment à cent à l’heure! Mon premier Sebastian Fitzek, mais certainement pas le dernier!

Robert, célèbre avocat, a rendez vous avec une ancienne maitresse dans un ancien site industriel où elle vient accompagnée de Simon, 10 ans, atteint d'une tumeur au cerveau et persuadé d'avoir assassiné un homme ici 15 ans plus tôt … D'autres événements bizarres (dont un très personnel) ont lieu et Robert se décide donc à aider Simon. Je n'ai pas vraiment accroché, alors que j'avais bien aimé les 2 premiers.

La plongée dans le milieu pédophile berlinois m'a vraiment gêné et me semblait hors sujet, je n'ai pas trop accroché aux personnages même si sur la fin j'ai trouvé que les relations Robert/Simon devenaient intéressantes.

Hannah Herbst est experte en décryptage d’expressions faciales. Elle va analyser une vidéo où une femme avoue les crimes de sa famille. Seul problème, c’est son visage qu’elle voit.

Un peu déçu pour un livre de Sébastian Fitzek. Les ficelles sont un peu grosses mais ça reste un bon moment de détente quand même. La fin vient rattraper les lacunes de l’histoire.

#laliseusedevisages #NetGalleyFrance