Sans langue de bois, le chroniqueur y vilipende aussi l’héritage empoisonné de John A. MacDonald, la frénésie des pipelines, la destruction de l’environnement et notre amnésie collective. « Quel est ce monde, demande-t-il, où la création de la richesse s’appuie sur l’éradication de tout, au profit de l’émergence du rien ? »
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