Stéphane Servant

J'ai été deçu de ce livre . L'atmosphère que l'auteur met en place est super mais le gros point noir du livre sont les personnages , ils ne sont pas du tout attachant et Kid est très énervant . J'ai arrêté ma lecture à cause de ça

Chloée.C

Critique littéraire du roman "Sirius"

Ce roman est un livre futuriste, qui est d'ailleurs très bien. Il est bien écrit, avec un langage courant facile à comprendre. Il est assez long, moi, cela me plaît mais c'est en fonction des goûts. Ce roman futuriste raconte un futur un peu près le notre, avec un virus qui fait des ravages et les survivants deviennent fous. Les personnages principaux, Avril et Kid, sont gentils et chaleureux mais différents. Comme chaque roman, il y a aussi un côté fantastique, merveilleux. Ce livre m'a fait réfléchir à toutes les bêtises que fait l'Homme et ce livre en montre les conséquences (réchauffement climatique). Dans ce roman, il y a une atmosphère de danger permanent. L'évolution des deux personnages principaux est intéressante, surtout celle de Kid, le plus jeune d'entre eux. On a l'impression de retourner au Moyen Age, au temps où la plupart des gens étaient pauvres, travaillaient dur, et étaient très maigres. Les phrases ne sont pas très longues. Il y a un mélange homogène des dialogues et des descriptions, rendant le livre ni trop lent ni trop rapide.

Gros coup de cœur pour ce roman de style fiction ado

Je n'ai pas aimer le suspense à la fin du livre. J'ai aimé la moralité de l'histoire impliquant une égalité hommes/femmes.



Je n'ai pas trop aimé la fin où il y'a trop de

suspens, mais à par ça je l'ai beaucoup aimé car les

personnage était bien. L'histoire parle de fille

métamorphoser en chat et c'est bien décrit.

Il n’y a rien de plus perturbant, quand vous écrivez, de vous retrouver face à un ouvrage qui ressemble à vos propres écrits. Au fur et à mesure que j’avançais dans Le cœur des louves, mon trouble s’accentuait : le roman de Stéphane Servant résonnait fortement avec une nouvelle que j’ai écrit en 2012 et qui s’insérait dans un cycle que je n’ai jamais eu le courage de mener à bien, car je me rendais compte que cette histoire disait bien trop de choses sur moi, sur ce que je gardais bien enfoui au plus profond de mon être. Et voilà que je retrouvais des bribes de ce texte bien secret disséminées ci et là dans un roman, comme si Stéphane Servant et moi avions arpenté les mêmes chemins de l’imagination au moment où cette idée se promenait tranquillement. Alors bien sûr, nos deux histoires n’ont rien à voir l’une avec l’autre, mais il y a suffisamment d’éléments qui se rejoignent pour que je sois troublée. Mais cela ne m’a nullement empêché de savoir ce récit pour lui-même, et de l’aimer autant que j’ai aimé La langue des bêtes et Sirius !



Après des années d’errance, à voguer de maisons en appartements au gré des aventures et des ruptures de sa mère, écrivaine dépressive en panne d’écriture, Célia pose ses bagages dans la demeure de sa défunte grand-mère, cette maison qui l’accueillait chaque été durant son enfance. Mais les habitants de ce petit village perdu au cœur de la montagne sont loin de les accueillir avec le sourire : ici, on les hait autant qu’on les craint, on baisse la tête et on murmure sur leur passage. Seule Alice, son amie d’enfance, semble ravie de la revoir, et l’entraine nuit après nuit dans de folles cavalcades sauvages au cœur de la montagne, des peaux de louves comme seuls vêtements, des cris de louves comme seules paroles, des jeux de louves comme seule liberté. Sans le savoir, Célia marche sur les pas de Tina, sa grand-mère, cette femme que les villageois montraient du doigt mais chez qui ils venaient confier les maux des corps, des cœurs et des âmes. Le retour de Célia et de Catherine ravive les mémoires et déterrent les vieilles histoires. Mais « dans les histoires, il y a toujours une part de vérité » … et c’est peut-être dans ces vérités cachées que se cache le secret qui pèse silencieusement sur leur existence.



Pour être parfaitement honnête, je ne sais pas où commencer pour vous parler de ce roman : chaque mot qui me vient à l’esprit me semble affreusement terne en comparaison avec ce que je viens de lire. Car la première chose que vous devez savoir, c’est que Stéphane Servant manie les mots comme personne. Il y insuffle une poésie qui n’appartient qu’à lui. Une poésie faite de phrases courtes mais percutantes, de phrases simples mais efficaces. Une poésie faite de jeux de rythmes et de sonorités, de mots qui coulent et de mots qui buttent. De mots qui sont à leur juste place. Sans fioriture. Juste là où ils doivent être. Je me suis régalée de chaque phrase, j’ai savouré chaque paragraphe, j’ai dévoré chaque chapitre avec l’avidité des fins de famine. Il y a une telle urgence dans ce livre ! Il y a ce passé qui court après le présent, qui le rattrape, avec tous ses secrets et ses dangers. Et le lecteur est prisonnier de ces mots, de ces phrases, de cette histoire aussi belle que cruelle. Il ne peut plus s’en défaire, car cette histoire n’est pas seulement celle de Célia, Catherine et Tina, elle est bien plus celle de toute femme, de toute homme, de tout enfant qui découvre avec fracas l’horreur de la vie. Célia, c’est toi, c’est moi, c’est nous.



Car dans cette histoire, humanité et bestialité s’entremêlent, sans que l’on ne soit plus capable de distinguer où termine l’une et où commence l’autre. Car parfois, les hommes sont plus bestiaux que les bêtes, et les bêtes plus humaines que les hommes. Car « les bêtes les plus terrifiantes ne viennent pas la nuit. Elles n'ont ni griffes ni crocs. Elles vont sur deux jambes et elles ont tout de l'apparence d'un homme. ». Et c’est ce qui se cache au cœur de cette histoire : la violence qui se tapie dans le cœur des hommes, ces hommes qui cachent par leur violence toute leur faiblesse. Car « tu seras un homme mon fils » : un homme, ça ne pleure pas, ça cogne ; un homme, ça ne se laisse pas marcher sur les pieds, ça frappe ; un homme, ça ne se laisse pas humilier, ça tue. De tous les romans de Stéphane Servant que j’ai lu jusqu’à présent, celui-ci est indiscutablement le plus dur, le plus douloureux, le plus sombre. Et cela d’autant plus qu’il ne dissimule rien, qu’il n’atténue rien : l’horreur est là, bien cachée au plus profond des demeures, derrière le visage de l’homme le plus respecté du village, derrière la porte de l’église elle-même. Il y a cette rudesse, cette brutalité, qui plane sur cette histoire …



Mais il y a aussi la lumière. Il y a cette force qui anime Célia et qui vient briser cette chaine de de souffrance. Car Célia refuse de se plier au silence ancestral, refuse de rentrer dans le moule que les hommes imposent aux femmes. Alors elle se fait louve, se fait prédatrice pour ne plus être proie, chasseuse pour ne plus être victime. Elle quitte le manteau de l’enfance, quitte cette cape de servitude effacée pour s’affirmer comme seul guide de son existence. Ce livre, c’est aussi une véritable ode à la liberté, cette liberté d’être pleinement celle qu’elle veut être et non pas celle qu’on veut qu’elle soit, non pas celle que fut sa mère et sa grand-mère avant elle. Elle a besoin de comprendre ce qui leur est arrivée pour comprendre d’où elle vient, mais elle refuse de se laisser enfermer par ce passé qui n’est pas totalement le sien. Il y a dans ce livre la métamorphose de l’adolescente pleine de regrets et de questions en jeune femme pleine de certitudes sur ce qu’elle veut devenir. Et il y a la beauté de la nature, cette nature qui devient ici un personnage à part entière, tantôt mère bienveillante, tantôt bête sauvage, cette nature qui se fait le reflet de l’humanité, dans sa cruauté mais aussi dans sa bonté. Il y a cette force, cette puissance, cette flamme qui brule en chacun de nous et qui se dévoile dans ce livre.



En bref, vous l’aurez bien compris, une fois encore, je suis sous le charme, sous le choc. C’est une lecture coup de poing, coup de foudre, coup de cœur. Car dans ce livre, il y a ce cœur qui bat, celui de la liberté, celui de la vie, coute que coute. Il y a le passé qui façonne, le présent qui doute et l’avenir qui rêve. Il y a la nature sauvage qui se fait refuge. Il y a nos peurs et nos doutes, nos espoirs également. Car ce livre, il ne parle pas uniquement de Célia, il parle de chacun d’entre nous, car il est tellement facile de s’identifier à elle, tellement évident de voir notre vie se glisser dans celle de Célia. Il y a de la douleur dans ce livre, de la peine à n’en plus finir, mais il y a aussi tellement d’espérance, tellement de joie qui ne demande qu’à se libérer du carcan de nos craintes. C’est un livre qui nous invite à vivre, pleinement, purement et simplement, sans se laisser enfermer par les jugements et les envies des autres. Certaines histoires ne sont pas faites pour être racontées, mais pour être vécues, et Le cœur des louves en fait partie. Pour le savourer, pour l’apprécier, il faut se laisser aller, se laisser entrainer par cette histoire d’une grande beauté, d’une grande justesse et d’une grande délicatesse. Ce n’est peut-être pas le roman de Stéphane Servant le plus facile, mais c’est peut-être le plus puissant que j’ai lu de lui jusqu’à présent …
Lien : http://lesmotsetaientlivres...

Un livre boulversant et magnifique. L'auteur abborde énormément de sujets d'actualités multiples comme le sexisme, le viol, le rejet de ce qui ne nous ressemble pas, l'homophobie, le harcélement scolaire, les réseaux sociaux, les migrations, les dérives autoritaires, les extrémismes religieux, le militantisme, le chômage, la mort, la maladie... Bon j'ai pas tout cité mais il y en a trop ! Et tout cela dans une écriture fluide, à travers une intrigue simple mais prenante, et des personnages que je trouve magnifiques. Il y a beaucoup de beauté dans ce livre aux thèmes sombres. Il y a de l'espoir, de la vie. J'en ai pleuré.

Lisez-le !

Un petit moment très sympathique où on ne peut plus arrêté de tourner les pages !!

Un roman intrigant qui mêle action,suspense, émotion et qui aborde énormément de thèmes forts présents dans notre société actuelle.



Ce roman sous forme de témoignage fictif raconte l'histoire de Louise, une jeune adolescente de dix sept ans assistant à une transformatin affectant plusieurs adolescentes qui voient leur aspect et leur sens évoluer. Cependant, lorsque le phénomène s'étend et que Louise devient elle-même touchée par cette transformation,la société décide d'exclure les jeunes filles touchées âr cette transformation. Petit à petit, les autorités et la population s'engagent dans une lutte contre ces jeunes filles touchées. Mais,Louise et d'autres jeunes filles vont décider de réagir en s'assumant et en se révoltant contre l'oppression qui les vise.



J'ai beaucoup aimé ce roman, car plusieurs thèmes forts sont abordés comme la différence,l'excluision, le rôle des médias... Ce qui apporte de l'émotion à l'histoire et amène à la réflexion sur ces sujets.

Ce roman sous forme de témoignage fictif dans lequel l'héroïne principale Louise s'adresse directement aux lescteurs à certains passages permet de comprendre son point de vue sur les différents évènements au fil du roman et d'apporter un regard intérieur sur l'histoire.

Ce roman m'a aussi beaucoup plu car, il nous confronte à une réalité car, même si ce roman reste fictif,il reflète en partie la réalité dans laquelle nous vivons ce qui le rend plus intéréssant.

Cependant, j'a i trouvé certains passages prévisibles mais,celà n'a en rien changé mon avis sur ce livre.

Je conseille donc ce roman ) tous !

S.I 2sirocco

L'œuvre est très intéressante car elle raconte une histoire vraie et permet de faire réaliser au public que même dans un pays dit démocratique, comme la France, la démocratie et l’humanité peuvent justement être mises de côté: en effet, elle fait découvrir au lecteur les coulisses du gouvernement et du peuple, et comment certaines décisions et certains jugements sont largement influencés par l’ignorance et la peur. Le livre donne au lecteur un point de vue original, celui d’une féline qui a du subir la discrimination, et lui permet d’avoir un véritable avis critique sur les deux camps. En plus de son aspect politique, l’histoire est palpitante car, comme vous vous en rendrez compte si vous lisez le livre, le vie de Louise est parsemée de rebondissements tout en restant fidèle aux “codes” de l’adolescence, et peut même donner une leçon d’humanité au lecteur.



Martin LABARTETTE, 3ème B

Cela parle de la mutation dont seules les filles sont atteintes pendant la période de la puberté. Elles vont se battre pour qu'on les accepte comme elles sont, des adolescentes en pleine puberté.

J'ai beaucoup aimé ce livre parce que je trouvais intéressant la réflexion de l'auteur. Cela change de ce que je lis actuellement. Je me suis beaucoup attachée aux personnages atteints de mutations.

Chloée.C

Critique littéraire du roman "Sirius"

Ce roman est un livre futuriste, qui est d'ailleurs très bien. Il est bien écrit, avec un langage courant facile à comprendre. Il est assez long, moi, cela me plaît mais c'est en fonction des goûts. Ce roman futuriste raconte un futur un peu près le notre, avec un virus qui fait des ravages et les survivants deviennent fous. Les personnages principaux, Avril et Kid, sont gentils et chaleureux mais différents. Comme chaque roman, il y a aussi un côté fantastique, merveilleux. Ce livre m'a fait réfléchir à toutes les bêtises que fait l'Homme et ce livre en montre les conséquences (réchauffement climatique). Dans ce roman, il y a une atmosphère de danger permanent. L'évolution des deux personnages principaux est intéressante, surtout celle de Kid, le plus jeune d'entre eux. On a l'impression de retourner au Moyen Age, au temps où la plupart des gens étaient pauvres, travaillaient dur, et étaient très maigres. Les phrases ne sont pas très longues. Il y a un mélange homogène des dialogues et des descriptions, rendant le livre ni trop lent ni trop rapide.

C’est avec beaucoup de curiosité que j’ai découvert la plume de Stephane Servant avec Félines aux éditions Rouergue.



Cette histoire que je pensais très originale à la lecture de son résumé c’est malheureusement avéré être une déception.

Déjà en terme d’originalité c’est un flop car j’ai retrouvé ici l’histoire de certains personnages de X-Men (que je lis depuis plus de 20 ans) comics ou films (c’est clairement un mélange de l’histoire de Malicia, Diablo, Mystique et Fauve) 😏



Alors oui, si vous n’êtes pas familier de l’histoire des mutants de chez Marvel ça passera certainement mieux.😅



Après, autre point dérangeant, c’est la multitude de thèmes abordés.

L’auteur en a tellement inclus que ça devient un récit four tout car aucun n’est suffisamment approfondi.😓

Et pourtant ils sont tous si important ! (notamment dans la littérature destinés aux ados)



Allez, je vous en cite quelques-uns :

Ségrégation, répression, racisme, violences policières, harcèlement, totalitarisme, extrémisme, terrorisme, résistance, la peur de la différence, l’homophobie, le féminisme, la puberté et le mal être face à son corps qui change et aux regards extérieurs, la nudité, la chasse aux sorcières….

Oui … tout cela dans 370 pages. 😔



Et enfin le personnage de Louise ... qu’il a été compliqué de s’attacher à cette adolescente à qui il a fallut un drame pour qu’elle change d’attitude face aux autres.



Bon vous l’aurez compris, je suis passée à côté de ce roman.

Lors de la Mutation chaque femme a peur. Découvrira-t-elle sur son corps des signes de pilosité qui vont la transformer en monstre, en félin ? le roman est construit de manière très originale : l'héroïne, narratrice, s'adresse à l'écrivain chargé de retranscrire ses propos.

A travers l'histoire de l'héroïne, on découvre une société qui voit le changement apporté par la Mutation comme une atteinte à ses normes et qui décide de contrôler les Félines en attendant un pseudo-remède. Cette réorganisation va mettre en lumière les ennemi.es, les allié·es, les résistant·es à ce modèle de société. Evidemment la question du corps féminin, de la pilosité, de la norme, du contrôle est vraiment très actuel et original !

A lire, à lire, à lire de toute urgence !

La professeuse documentaliste

Une belle réflexion sur notre rapport à la Terre. Un conte moderne à travers un voyage et une quête mystérieuse. A dévorer !

Bon roman dans l ensemble pour ma part, mais loin du coup de cœur. Le livre se dévore grâce a la plume de l'auteur qui reste fluide et agréable mais aussi une histoire qui m'a tenu en haleine tout le long. Rien d'extraordinaire mais un bon livre qui détend.

L'histoire est bien trouvée, c'est une critique de la société qui nous montre avec justesse les injustices. Des filles qui se transforment en chat, et la société qui tente de les effacer : on reconnait notre monde ne t mps de crise, mais le message nous dit que tout peut s'arranger.

Quelles sont les causes de la mutation des adolescentes en félines ? Faut-il qu'elles aient été harcelées, battues, violées ou victimes d'homophobie ? Est-ce la pollution de l'usine voisine et d'autres complexes industriels dans les pays touchés en premiers ? Un grand mystère, dans une ambiance de Ku Klux Klan ou de Nazisme...

Dans ce roman, on plonge dans la vie de Louise, une ado qui cache des cicatrices sous des vêtements noirs suite à un grave accident de voiture. Elle assume sa différence jusqu'au jour où elle voit une pilosité abondante pousser sur tout son corps. Elle n'est pas la seule: de nombreuses filles du lycée sont aussi concernées. Elles sont alors montrées du doigt, insultées, puis rejetées violemment. C'est que le gouvernement est démuni face à cette mutation des gènes féminins. Ne sachant pas quoi faire, il propose de mettre les filles mutantes en quarantaine, mais c'est sans compter sur la solidarité de personnes sensées qui vont se battre pour un monde plus juste. Un roman qui a un écho tout particulier en cette période de pandémie.

Deux jeunes filles (19 et 25 ans) m'ont vivement conseillé de lire ce roman. Elles ne se connaissent pas et avaient toutes les deux le même avis : c'est génial !

J'ai commencé ce livre au début du confinement et pfiou... il ne cesse de me tomber des mains.

OUF ! Je viens enfin d'en finir. Oui d'en finir et non pas de le finir...

Le postulat de départ est pourtant hyper intéressant : la mutation, la peur et l'exclusion qui en découlent.

MAIS

D'une part tout est tellement "convenu" :

- L'histoire d'amour entre les deux qui ne devaient pas s'aimer.

- L'accident de voiture et la culpabilité.

- les bons mutants et les mauvais humains

ATTENTION spoil en perspective dans les lignes suivantes :

- les viols

- les grossesses

D'autre part le scenario est quand même assez léger :

- une improbable histoire d'amour entre une jeune ado de 17 ans et un employé d'un ministère qui permet le sauvetage d'une partie des Félines.

- le petit frère qui parle parfaitement après à peine 2 mois de séances d'orthophonie (alors que ses phrases étaient plutôt gratinée - c'était d'ailleurs assez mignon)

- une cachette dans une cabane dont on se demande bien pourquoi les méchants humains ne viennent pas y regarder à nouveau de plus près

Et j'en passe...

Une grosse déception, mais il y a du potentiel dans cette histoire ; d'ailleurs l'auteur Stéphane Servant a obtenu le Prix Polar en Série 2020.

Peut-être suis-je trop loin de l'adolescence pour apprécier pleinement ce bouquin ?

Même si j’ai trouvé que le roman manquait de subtilité et de mesure, et que certains points étaient redondants avec le roman précédent de l’auteur, je l’ai quand même apprécié. Il a le mérite de faire s’interroger sur le monde actuel, que ce soit sur notre rapport à notre propre image et à celle des autres, aux oppressions, ou au traitement de la différence.
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