Susan Isaacs

Ma critique ne va pas être très objective car je n'ai pas réussi à entamer le second chapitre, quand bien même le premier m'a procuré quelques éclats de rire bien méchant.



Susan Isaacs dresse avec une ironie glaciale le triste tableau des milieux où les femmes sont réduites à des poupées gonflables et des machines à coudre, où le sexe se fait sans amour dans des décors sales et sordides, et où l'hypocrisie est reine.



Isaacs a un talent certain pour dresser une galerie de personnages tous plus détestables les uns que les autres, absolument aucun n'est attachant, et c'est justement pour ça que je n'ai pas réussi à entrer dans cet univers où l'on ne trouve aucun atome d'humanité.



Je n'ai pourtant rien contre la littérature trash, mais trop d'humour noir tue l'humour noir. Dans cet océan de saleté, il manque quelques roses sur le fumier.

Première lecture en 2002. C’est fou comme un livre peut devenir vintage ou « outdated » en si peu d’années.



Le mari quitte sa femme pour une plus jeune – un classique. Il est retrouvé mort dans la cuisine de son ex-femme – un peu moins classique. S’ensuit une course poursuite entre la police, qui est certaine que l’épouse éconduite est coupable, et l’épouse, qui se lance toute seule à la recherche de l’assassin.



On découvre plein de non-dits dans cette banlieue hyper-bourgeoise. Enfin on découvre surtout que tout le monde trompe tout le monde avec tout le monde. L’épouse n’hésite d’ailleurs pas à participer à ce petit jeu.



Milieu juif capitaliste stéréotypé ET réel. Voilà pourquoi je n’ai pas du tout envie de vivre aux Etats-Unis – beaucoup trop superficiel !

Judith Singer, une professeur d’histoire, s’intéresse à la disparition d’une femme dans une banlieue riche. Elle va proposer ses services au mari de la disparue. Celui-ci va refuser mais son père va engager Judith Singer pour mener l’enquête.



L’intrigue est assez longue à se mettre en route. Pendant un long moment j’ai vraiment eu l’impression que l’enquête faisait du sur place tant il se passait peu de choses, les interrogatoires de l’entourage font stagner l’action. Il y a un peu d’humour mais je n’ai pas eu mon comptant pour compenser l’intrigue un peu molle. 

Ce polar n'est pas tout récent, peut-être une quinzaine d'années mais il fait partie de ce que j'ai pu lire de meilleur dans le genre. L'auteur est abonnée aux best sellers aux Etats Unis mais peut-être un peu moins connue en France. En tout cas, si tous ses bouquins sont du même tonneau, je comprends les raisons de son succès... Le roman est bâti selon deux fils rouges et joue l'alternance entre les deux récits. De nos jours, une avocate, Lee White défend un homme accusé d'escroquer des femmes après les avoir séduites via des petites annonces de rencontres ; sa dernière conquête a été retrouvée morte et l'escroc se voit donc accusé non plus d'escroquerie mais de meurtre. Troublée, l'avocate peine à croire à sa culpabilité, malgré ses aveux et se lance donc dans sa propre enquête afin de mieux comprendre ses motivations à s'accuser d'un crime qu'il n'a pas commis. Au fil de ses découvertes, elle se trouve confrontée avec son passé...

Avec beaucoup de talent, Susan Isaacs concocte un suspense haletant et un univers que l'on a plaisir à suivre grâce notamment au personnage central de Lee / Lily, très bien campé et très attachant au fur et à mesure que se dévoile son background... Avec en prime, un happy end on ne peut plus hollywoodien.

Un riche producteur de cinéma est abattu au bord de sa piscine. Plusieurs coupables possibles : la vedette principale, le metteur en scène et le co-producteur de son film en cours, mais aussi son ex-femme. C'est sur cette dernière que convergent les soupçons. L'insepcteur chargé de l'enquête, vétéran du Vietnam, ex-drogué et ex-alcoolique, est tellement attiré sexuellement par cette dernière, que la description de ses fantasmes prennent presque la moitié du livre, au détriment de l'enquête malheureusement.

Une agréable lecture avec une intrigue bien menée. Rosie professeur d'anglais voit son univers bouleversé par la mort de son ex mari Ritchie venu mourir, quelle drôle d'idée, dans leur propre maison. La voilà accusée de meurtre et obligée de s'enfuir pour prouver son innocence. Une partie de cache cache débute alors avec la police et Rosie ne manque ni de ressources ni d'humour. Cette histoire c'est une quête de la vérité, une recherche sur elle même et sur sa vie, sur ce qu'elle croyait perdu et sur ce qu'elle croyait avoir. Une course contre la montre, une course pour la vie!

Encore un livre que j’ai eu du mal à lâcher. Lu il y a très longtemps, je me souviens juste que l’enquête ne tournait pas comme on aurait pu le penser et que les apparences étaient parfois trompeuses. Malgré les années passées, il a sa place sur l'étagère réservée aux livres qui m'ont fait vibrer, que j'ai eu du mal à lâcher et qui m'ont étonné dans leur fin.
Lien : http://the-cannibal-lecteur...

Un soir d'Halloween, Courtney Logan, paisible mère de famille, disparaît mystérieusement de sa maison de Long Island. Jusqu'à ce jour de printemps où le jardinier retrouve son cadavre dans la piscine, deux balles en pleine tête !





La police suspecte son mari, Greg Logan. Seule Judith Singer, professeur d'histoire de 54 ans en mal

d'action et férue de romans policier, ne croit pas en sa culpabilité. Certes, elle ne connaît pas Greg, mais son intuition ne la trompe jamais. Jadis, elle a déjà résolu une énigme de ce genre ; ce fut une aventure très excitante, surtout qu'elle a collaboré à l'époque avec son amant le policier et qu'elle va le retrouver là, vingt ans plus tard.





Alors, c'est décidé, Judith, engagé par le beau-père de la victime Fancy Phil le gangster, mènera l'enquête et interrogera tout l'entourage des Logan. De Wall Street à Sun Valley, le fantôme de Courtney risque de l'entraîner plus loin qu'elle ne l'aurait imaginé.





J’ai aimé le fait que Judith n’a aucun lien avec la police ou la justice. C’est comme si vous et moi menions l’enquête. Elle doit se débrouiller par ses propres moyens.



Le livre est plein d’humour, parfois cynique, l’écriture enjouée. Judith, c’est une espèce de Agatha raisin, légèrement moins gaffeuse (quoique…) mais restée quelque part adolescente.



L’histoire est intelligente, intéressante, les personnages farfelus et bien décrits.

Un roman policier de bonne facture, de lecture agréable, avec de bons rebondissements.

histoire de Lily White, avocate brillante au travers d'un procès d'un escroc qui va la manipuler : Bon moment

Ce livre ma plutôt plut car il nous montre comment ce passe la vie a Mayotte (changement de température , style de vie etc ...) , on vois qu'il y a un grand changement au niveau culturel par rapport à la France métropolitaine ,on peut plus ou moins se mettre a la place d'Hugo ( e personnage principale) qui lui vivait en France métropolitaine et qui a du déménager car ses parents parents ont été muté a Mayotte a cause de leur travail.

Pas la peine de lire ce livre ....rien pour le défendre ....