Sylvie Anne

Nous sommes dans les années 30, en Limousin, Alice , fille de fermiers aisés corréziens épouse le tout récent propriétaire de la source d'eau La Chateline , Paul Bersac , sûr de lui, arrogant , il se montre un compagnon peu disert , lointain , fuyant toujours parti à Limoges , s'occupant très peu de son entreprise d'embouteillage, seulement attentif à sa mère Marthe , qui se montre très intrusive ….

Au fil des mois , les relations se détériorent .



Est - ce vraiment la vie dont rêvait Alice ?



Est -il le brillant entrepreneur qu'il a voulu faire croire? .



Et surtout comment Alice peut -elle exister face au couple quasiment fusionnel que forment Paul et sa mère Marthe?

Ruses , dissimulations, menaces , froideur , intimidation , différence de classe sociale , mépris à peine déguisé , et comment peut s'affirmer une jeune femme sans expérience comme Alice dans ces années là ? .



Et pourtant Alice Bersac se rebellera …



Je n'ai pas aimé le côté complètement caricatural, sans finesse , ni analyse des personnages : d'un côté les méchants , d'un autre les bons ….



Une romance fade et sans saveur , une intrigue prévisible ….

Très déçue par ce roman du terroir, ni profondeur , ni complexité .



C'est le titre qui m'avait attiré à la médiathèque, je ne connais pas l'auteure .

Vite lu ,vite oublié.

Pourtant j'aime lire de temps en temps des romans du terroir entre deux ouvrages complexes .

Les récits de départ à vie pour une destination lointaine et inconnue, même si ces pauvres bougres n'avaient en somme pas grand choix, m'ont toujours fasciné. Depuis fort longtemps, j'ai un faible pour l'Argentine de la Pampa, de la Patagonie et des gauchos légendaires. Voilà donc 2 bonnes raisons pour m'attaquer au 2ème livre de Sylvie Anne, après son "Un horloger bien tranquille".



Sur ce pays d'Amérique latine, j'ai, au fil des années, lu une petite bibliothèque. Ne voulant pas vous ennuyer avec une plutôt longue liste, je me limite à quelques ouvrages. le dernier en date est d'Albert Londres "Le chemin de Buenos Aires" et peu avant de l'historienne Donna J. Guy "Sex and Danger in Buenos Aires : Prostitution, Family and Nation in Argentine". Séduit par le drame musical "Evita" d'Alan Parker de 1996 avec Madonna et Antonio Banderas, j'ai lu de Jean-Louis Febvre "Chronique de l'histoire d'Evita Perón", richement illustré, mais qui m'a laissé un peu sur ma faim. Aussi bien que sur cette "Cinderella del tango", (comme l'a baptisé Tomás Eloy Martinez) je vais lire prochainement sa biographie par Joanna Spencer "Eva Perón" de 2007.



Un des problèmes majeurs, au début du siècle dernier en Argentine, était qu'il y avait un peu trop de gauchos par rapport au nombre de femmes. Aussi bien que des proxénètes se sont lancés dans la "traite des Blanches" et comme la plupart de ces gentlemen étaient Parisiens, où se faisaient passer pour, bien qu'originaires d'un peu plus au sud d'Europe, on a affublé ces femmes du surnom de "Franchuchas".



Ceci n'était sûrement pas le cas d'Elise Cassagne, 22 ans en 1884, et originaire du département d'Aveyron en Occitanie, ni de sa nouvelle copine Lucie Deltour, qui rêve d'y devenir institutrice. Elise s'était décidée au voyage pour le Nouveau Monde contre l'avis de sa famille, tout en y perdant son petit fiancé Sylvain. La raison principale de son départ résulte de la promesse faite à son père avant qu'il ne meure de douleur de la perte de son vignoble, d'y créer un vignoble produisant un vin de la même qualité que celui de son Marcillac natal.

Le voyage en bateau, qui durait plus d'un mois jusqu'à Buenos Aires, plus un long périple en train 3e classe jusqu'à San Miguel, 500 km au sud de BA, ne ressemblait en rien au confort des vols directs actuels d'un peu plus de 13 heures.



Arrivée à destination, la situation se présente mal à notre Aveyronnaise : le régisseur Henri Coste lui déclare qu'elle ne pourra rester sans contrat et elle n'arrive bizarrement pas à mettre la main sur son exemplaire. Heureusement que le colon modèle François Lunel lui met 5 hectares à sa disposition pour commencer un vignoble. Seulement, François est jeune et beau et Lucie tente de se l'accaparer, bien qu'il soit plus fasciné par la personnalité d'Elise. D'où rivalité, jalousie et querelles.



En fait, Sylvie Anne, très habilement, introduit de la sorte un élément romanesque, mais déstabilisateur, dans son récit, qui en stimule la lecture sans que ce soit "tiré par les cheveux" pour autant. Qu'il y ait eu dans ces colonies implantées au milieu de nulle part des tensions propres à toute communauté isolée et dans une certaine mesure artificielle, me paraît assez évident. Après tout, ce San Miguel, qui en est à ses primes débuts, avec entre baraquements et campements provisoires uniquement que 2 bâtisses en pierre (de Coste et du riche fermier Édouard Fontanier), forme un microcosme de bons et méchants, où en plus les sentiments sont exacerbés par les très longues heures de travail dur et ingrat et un hiver pas comparable à celui du midi de la France.



J'arrête mon résumé à la naissance de Joseph, le splendide bébé d'Elise (un souvenir de Sylviain qui a préféré rester en Occitanie), en juin 1885.

À vous de découvrir, chers ami(e)s, les manigances du faux-jeton Coste, l'arrivée de nouveaux colons, tels le jeune maréchal-ferrant Félix Borel, la belle intrigante Elena Henriquez, l'abbé Gaviot et le docteur Andrew. Et surtout pour apprendre... que deviendront le petit Argentin Joseph, sa mère Elise et ses amours ainsi que son vignoble ?



Cette histoire m'a rappelé un documentaire, vu il y a longtemps à la télé encore noir et blanc, d'un médecin de campagne qui par pitié avait procédé à un avortement et qui après être libéré de taule est parti avec son épouse et 8 rejetons direction Patagonie. Grâce à une Simone Veil le pauvre toubib n'aurait jamais été puni, mais il a eu sa revanche, malheureusement à titre posthume, lorsque sa grande-fille est devenue ambassadrice argentine dans un pays d'Europe occidentale.



"L'Appel de la Pampa" est une oeuvre sans grande prétention littéraire, mais qui est d'une lecture agréable, parce que Sylvie Anne a créé des personnages crédibles dans un "setting" historique et géographique correct. Leur interaction est captivante et vous réserve quelques heures plaisantes dans un décor fascinant.

Début XXe siècle, aux environs de Brive.



Apolline, une orpheline rebelle, est placée comme servante chez les Jourdan.

Cette famille semble cacher un secret qu'elle cherche à comprendre.



A l'époque, la servante n'est qu'un objet dont on se sert à son gré, qu'on déplace plus facilement qu'un meuble et dont on se débarrasse facilement, dès lors qu'elle outrepasse ses " droits ", mais quels droits.

L'épouse aussi est un objet, décoratif, certes, mais un objet. Son mari, c'est son maître. Elle lui doit obéissance et respect. Elle a intérêt à ne pas l'oublier, sinon, il lui en cuira.



Ce livre des Presses de la Cité ,Terres de France, est bien plus, me semble-t-il, qu'un simple roman du terroir.

J'ai été révoltée, une fois de plus, par le sort réservé aux plus humbles et aux femmes.

Le choix de Claire Sylvie Anne le 16/05/2018 Les Presses de la Cité

1935, une jeune femme se lasse de la vie parisienne qu'elle mène aux côtés son époux . Le couple s'entendait bien malgré la différence d'âge mais Pierre ne vit que pour sa carrière de banquier et semble ne prendre sa très jolie et jeune épouse que comme un faire-valoir. Claire veut un enfant, Pierre n'en veut pas, alors Claire prend sa valise et rentre chez sa mère à Brive. Très vite elle se retrouve hébergée par sa tante Léontine et décide d'assumer seule sa grossesse. N'oublions pas que nous sommes en 1935 , que pour une femme élever seule un enfant c'est être considérée comme une fille-mère avec toute l'opprobre qui va avec....

Un roman joliment écrit , un cadre corrézien magnifique, des gentils, des escrocs, des gens biens d'autres non mais vraiment rien de bien original .

Un très grand merci aux Presses de la Cité pour leur générosité via NetGalley

#LeChoixDeClaire #NetGalleyFrance

L'histoire de cette jeune femme effacée qui finit par s'émanciper malgré un mari manipulateur et une belle-mère intrusive aurait pu être vraiment intéressante mais j'ai trouvé le récit manquait de subtilité. En effet, les personnages sont esquissés à grands traits, au point de paraître presque caricaturaux (notamment le mari et la belle-mère d'Alice, les deux méchants de l'histoire) et la "métamorphose" de l'héroïne m'a semblé trop rapide.



Le style de Sylvie Anne est plaisant, mais l'histoire n'est pas assez convaincante pour en faire une lecture vraiment agréable.
Lien : http://lecturesdestephanie.b..

La campagne corrézienne au début du XXe le travail est dur, le pain n'est jamais tout à fait assuré, les gens sont fermés et médisants, les relations sociales souvent fossilisées sur de vieilles histoires .



L'arrivée de la Couze, jeune fille, jeune femme (on est jeune tellement longtemps de nos jours et on était si vite adulte à l'époque) chez les Barial riches fermiers réveille le village. Elle est jeune, elle est belle, elle est pauvre, les yeux des hommes s'allument de désir à son passage elle est celle par qui le scandale arrive.



De vieilles histoires de désir, d'amour, d'envies traversent les relations de cette petite société. Marie la mère de Pierre et Joseph qui se pâment l'un et l'autre pour la belle Couze, cache depuis longtemps des secrets enfouis sous une haine et un isolement superbe qui ne vont pas la protéger éternellement, ses fils s'éveillant à la vie et cessant de lui obéir en tout et pour tout.



Un roman efficace qui repose sur les standards du genre et offre une lecture plaisante.
Lien : http://theetlivres.eklablog...

Je ne retiendrai pas la lecture de ce roman. je trouve l'histoire fade et la fin vraiment convenue. Mais bon, comme livre facile à lire....!

J'ai eu le plaisir de lire La choix de Claire de Sylvie Anne grâce à net galley et les éditions Les Presses De La Cité, que je remercie.

Aimant bien les romans de cette auteure, je me suis plongée dans celui-ci avec plaisir.

L'histoire débute en 1935.

Claire se sent incomprise de son mari Pierre, qui travaille trop et ne veut pas d'enfants. Elle décide de s'éloigner un peu, avant de se rendre compte.. qu'elle attend un bébé ! Pensant que son mari l'a remplacé, elle reste chez sa tante, dans un petit village, et va avoir à faire face aux ragots... aux très nombreux ragots ! Et oui, élever seule son enfant en 1935, sans avoir le mari près d'elle, ça fait jaser...

Arrivera t'elle à acquérir la liberté qu'elle souhaite tant ??

Le choix de Claire est un joli roman, même s'il est très classique.

L'histoire n'est pas originale mais c'est bien écrit.

Les personnages sont attachants, j'ai été étonnée par le comportement d'un des personnages. Ça, je ne l'avais pas vu venir !

J'ai beaucoup aimé Claire, une femme forte qui assume ses choix, ses envies, et surtout le fait de vouloir être libre. Elle n'est pas de son temps, et a des idées proches de celles des femmes actuelles.

Ce petit roman se lit rapidement, avec plaisir. Je ne suis pas sure d'en garder un grand souvenir, toutefois il est très sympathique pour les amateurs et amatrices de romans du terroir.

Je mets un joli quatre étoiles :)

un roman régionaliste intéressant, avec une jeune héroïne décidée mais qui connaîtra bien des obstacles et des tourments, à la sortie de la Grande Guerre

son père qui allait annoncer sa décision de lui léguer sa ganterie, s'effondre et meurt brutalement, sa mère semble effacée et mutique tout d'un coup, son frère que tout le monde croyait mort à la guerre reparaît dans des circonstances étranges ...

à vingt ans seulement, Lucie devra faire preuve d'un grand courage pour affronter son destin, reprendre la ganterie, prendre des décisions parfois difficiles ...

saura-t-elle relever tous ces défis ? connaîtra-t-elle enfin la réussite et le bonheur ?

Jura au 19ème siècle.



Antide, vieil ours mal léché, ne vit que pour ses horloges, il ne prête aucune attention à sa femme et encore moins à son fils. Son fils Jean, le "paresseux", ne s'intéresse nullement à son métier.



Antide, ce matin, est en colère après sa femme, elle est allée au marché et n'a pas réchauffé la soupe, et Jean, pourrait l'aider, mais il dort encore...



Tout en bougonnant, Antide, attise le feu, réchauffe la soupe, soudain, on frappe à la porte, qui vient le déranger à une heure si matinale ?



Les gendarmes...



Sa femme a été retrouvée morte, assassinée.



C'est une belle histoire, amour et haine se mêlent. Même notre vieil ours mal léché n'est pas vraiment antipathique.



Un seul bémol, la "chute", bizarre, un peu trop emberlificoté... Dommage.

Sylvie Anne. Ciel d’orage sur Donzenac.



Clotilde Chassagne vit à Donzenac avec son beau-père Louis et la bonne à tout faire, la domestique Léonie. Nous sommes aux alentours des années 1920-1925, dans le pays de Brive-la-Gaillarde. Avec beaucoup de volonté, de courage, que Clotilde a rouvert la fabrique de papier, reçue en héritage de son époux, Paul mort à la guerre en 1917. Elle a trouvé de la main-d’œuvre locale et a recruté Martin Savignac en temps que contremaître. Mais, en province, la jalousie est de mise. Et cette jeune femme, fort ambitieuse, hautaine, orgueilleuse trouvera des embûches sur sa route. Parviendra-t-elle à redorer le blason et faire revivre son usine sise sur le Maumont ? Malgré les turpitudes d’un de ses amants devenu contremaître dans l’usine familiale, Clotilde pourra-t-elle reprendre l’affaire en mains et cette entreprise permettra-t-elle à des familles de vivre de leur labeur, en province ?



Dans ce roman régional, Sylvie Anne ressuscite une petite usine de papier dans le contexte de l’après guerre. Une bonne description de la petite industrie locale et de ses employés. Il y a du sentiment, du romanesque, de l’aventure. Cependant ce roman est assez classique au point de vue trame romanesque, avec les vengeances, les envieux qui rodent près des nantis et ceux qui font preuve de mauvaise foi, les voleurs, les prédateurs. A vous de juger. Pour moi, c’est une histoire somme toute très classique de voleurs, de volés, de dissimulateurs, de vengeance, de convoitise….
Lien : https://lucette.dutour@orang..

Léon est feuillardier, et même s'il souffre d'une ancienne blessure au bras qui date de la guerre 14/18, rien ne l'empêche d'abattre beaucoup de travail et d'honorer ainsi de nombreuses commandes. Sa femme, Lucienne, l'a quitté un beau matin et s'en est allé s'installer à quelques kilomètres dans le village le plus porche. Il partage donc sa vie entre son travail d'artisan feuillardier, son chat, sa cabane dans la forêt, et le bar du village dans lequel il va se distraire régulièrement, et cela surtout depuis que le service y est assuré pas la belle Rose. Un jour, il reçoit un courrier du notaire de Saint-Yriex lui annonçant qu'il vient d'hériter d'une maison à Limoges.Cet héritage va bouleverser la vie de Léon, et pas seulement la sienne d'ailleurs..

Merci à Sylvie Anne qui m'a permis de découvrir le métier de feuillardier. Lecture très touchante.

Une histoire aux allures de conte de fée......

Ça se lit facilement, ça se lit vite....

C'est très romancé, mais j'ai passé un ( trop bref ) agréable moment avec ce livre.

Un roman du terroir comme je les aime...

Ravie de retrouver Sylvie Annne

Un bon roman du terroir comme j aime en lire de temps en temps

Le titre m a intrigué et en fermant le livre il est très explicite

Un forestier qui veut léguer ses biens à ses fils c est classique mais eux veulent tout autre chose alors que va t il se passer je vous laisse le découvrir

4e de couverture :



Au lendemain de la Grande Guerre, Anselme Peyrat, gantier à Jourgnac dans le Limousin, meurt brutalement. Dans son testament, il lègue la ganterie à sa fille, Lucie. Au café du village, les commérages vont bon train. A-t-on jamais vu une femme de vingt ans diriger un atelier ? Que sait-elle de l'art de fabriquer des gants ? Quelle autorité aura-t-elle sur les ouvriers ? Lucie se sent assez de piété filiale, de courage, d'intelligence pour compenser sa jeunesse et son inexpérience. Mais des fantômes resurgissent du passé remettant tout en cause. Sa mère la rejette. Seule, sans soutien, Lucie ne peut compter que sur elle-même pour prouver qu'elle est la digne héritière de son père et se forger un destin.

Un roman remplie de rebondissements, de secrets familiales et de jalousie.

Le 4e de couverture résume parfaitement l'histoire de ce roman très touchant :



" La disette c'est la mort qui passe, abattant les têtes comme on fauche le blé ou le sarrasin avec la régularité, la puissance de l'habitude. " Fin du XVIIIe siècle. Chez les Cantelou, on survit comme tant d'autres, face à la Terreur et à la famine. le père est saisonnier, la mère élève les enfants qui n'ont pas encore été pris par la " Familière ". Pour lui éviter une mort certaine, on envoie Michel, l'aîné, à Caen, dans une famille de boulangers, les Bellery, afin qu'il apprenne le métier du pain. Là, le jeune Michel se découvre une passion. Loin des siens et de leur souffrance quotidienne, son travail dans la boulangerie deviendra son seul salut... Un superbe et authentique roman de terroir au coeur du bocage normand.

Au décès de son père Paul décide de racheter avec son héritage la source d'eau de la Châteline. Paul ne sait pas gérer ses affaires, sa mère décide de le marier à Alice qui apportera en dot des terres agricoles. Paul retrouve son ancienne amie avec qui il a eu un enfant, il l'installe dans une maison, sans se préoccuper des dépenses. Il puise dans la caisse de sa société sans scrupule, et demande à Alice de vendre des terres pour renflouer l'usine. Alice sous l'emprise de Paul accepte jusqu'au jour où un ancien employé de Paul lui demande de faire attention. Alice découvre la double vie de son mari. Elle doit faire bonne mine devant sa belle mère et son mari, depuis son mariage elle se sent exclue de leur relation. Alice décide de reprendre son destin en main et de ne plus se laisse dicter ses actes.

Un roman sur le destin d'une femme qui cherche à s'émanciper.

Un bon roman du terroir qui nous permet de découvrir la vie des couvreurs. Un roman facile et très agréable à lire, bien écrit. Une histoire d'amour et de suspense. La vie d'une femme du début du 20e siècle qui n'a pas les deux pieds dans les mêmes sabots. Une vie rude et difficile s'offre à vous.

Une lecture du genre terroir comme je les aime

Le monde de la boulangerie en 1790 vous connaissez ,

Ce roman nous raconte la vie d’un jeune paysan de cette époque où rien n’est facile comme on sait.

Grace à son parrain et surtout à sa volonté ce jeune fils de métayer va-t-il réussir à réaliser son rêve posséder sa propre boulangerie.

J’ai aimé découvrir cette époque pleine de rebondissements aux odeurs de farine et de pains bien chauds.

Est ce mon cerveau qui est très réceptif en ce moment mais voici un roman que j ai beaucoup aimé?

Peu de lecteurs j ose espere que c est parceque ce livre est ancien

Comme souvent dans cette collection cette histoire se passe à la campagne j y est découvert le métier de gantier et bien sur il est question d heritage

Des les premières pages vous aurez envie de tourner les pages