T. J. Klune

C'est une nouvelle histoire de T.J Klune. Différente des autres, ici, c'est sombre, malsain, fascinant, dans un monde post-apocalyptique.

On suit Cavalo qui ne cesse de flirter avec la folie, de Chien, et de son ami robot.

Son quotidien change (En bien ? En mal ?) lorsqu'il rencontre Lucas, un cannibale. Une chose est sûre, les ennuis arrivent...

La relation entre Lucas et Cavalo est extra, j'adore la tension entre eux et le jeu de force... Je suis à nouveau séduite !

Malgré un style parfois déconcertant, T.J. Klune nous entraine dans une histoire post apocalyptique des plus originales. La rencontre improbable de deux êtres humains blessés par l'existence qui ont du mal à agir differament qu'en psychopathes asociaux - d'un chien possiblement télépathe et d'un robot qui rêve de devenir un véritable etre humain au coeur d'un monde dévaste ou la survie et l'enjeu principal. Un roman noir d'un pessimisme sombre ou mort et folie sont omniprésents. En filigrane pourtant se dessine, un soupçon d'espoir renforcé par et un humour inattendu et rafraichissant, on pense à Vic et Blood -un gars et son chien- qui aurait croisé Max "MAD"Rockatansky. Le récit est prenant, parfois dérangeant l'écriture est simple et direct mais, c'est une belle réussite à découvrir et à savourer.

Comme l'ont dit plusieurs commentaires, sûrement un des livres les plus sombre de TJ Klune. Il y a toujours une part de folies dans ces romans, mais là, c'est réellement le sujet. Ce roman post-apocalyptique raconte la rencontre entre Cavalo, un homme complètement brisé et sérieusement fou, dont la seule famille est un chien qui lui parle dans sa tête et un robot dont la programmation par aussi dans la folie, et c'est surtout l'histoire de sa rencontre avec un cannibale. Comme contexte de départ, on se pose là 😂, c'est vraiment un voyage dans leur folie à tous et dans leur lutte pour sauver une petite ville de l'Idaho des ambitions gargantuesque d'un homme encore plus dérangé. C'est l'histoire de la folie des hommes. Et c'était vraiment quelque chose, j'ai du mal à définir mes sentiments vis-à-vis de cette lecture si ce n'est que j'ai dû enchaîner les 2 tomes pour pouvoir rester saine d'esprit 🥺 toutes œuvres de TJ Klune sont pour moi des pépites et Absynthe l'est tout autant.

Malgré les apparences, il n’y a pas d’erreur dans le titre de ce livre qui est tiré d’un poème d’Edgar Allan Poe qui colle parfaitement à l’ambiance du récit.



L’action prend place dans le futur, dans un monde ravagé par ce qui a sans doute été un cataclysme nucléaire et dans lequel les rares occupants survivent du mieux qu’ils peuvent.

Regroupés dans des petites villes, ils évitent pourtant une zone, celle où les radiations font toujours muter les animaux et où les occupants sont des Dead Rabbits, des êtres violents, cruels et mêmes cannibales.



C’est là que Cavalo, qui vit en solitaire dans l’Institut Correctionnel Nord de l’Idaho, va faire un prisonnier, Lucas. Un jeune homme muet qui pourrait pourtant bien se montrer crucial pour le futur et sur qui tous ceux qui cherchent du pouvoir vont tenter de mettre la main.



C’est la rencontre de deux humains blessés, de deux êtres dont les abeilles brouillent les pensées et qui ont du mal à réfléchir autrement qu’en psychopathes.

C’est aussi le début d’une reconnaissance et de l’ouverture du monde de Cavalo, lui qui ne vivait jusque là qu’avec Bad Dog, son chien qui ne parle qu’à lui, et SIRS, un robot qui rêve de devenir humain et dont les protocoles de sécurité sont devenus défaillants depuis bien longtemps.



C’est un roman noir, très sombre, avec la mort qui guette à chaque page mais un tout petit brin d’espoir qui brille et un humour qui n’est jamais loin.



C’est un premier tome que j’ai adoré découvrir, que ce soit pour l’écriture particulièrement ciselée de l’auteur, dont je lisais une oeuvre pour la première fois, qui a su me séduire, que pour l’univers mis en place et les personnages présentés.
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En ce mois d'Octobres j'ai décidé de commencer cette lecture, on retrouve très bien l'écriture de T.J Klune que j'ai encore une nouvelles fois adoré !



Les personnage son attachant à leurs façon, la folie des personnage et bien détaillé, l'univers est bien sombre et légèrement gore, je ne peux rien dire de plus oh risque de spoiler, mais c'est sûr que je lirai le tome 2 des que je l'aurais ! Pour retrouver notre petit groupe bien original ! (Cavalo, le Dead Rabbit, Bad Dog et le robot)



Seul hic pas assez d'action ! J'espère que le tome 2 ce rattrapera sur celà.

Alors là, c’est la bonne surprise de l’année : j’ai vraiment beaucoup aimé ! Le style du prologue est un peu déroutant (il fonctionne sûrement mieux en VO qu’en VF), mais une fois dedans, je me suis totalement laissé emporter !

« Le monde est mort. Voici l’histoire de ses restes... » Sur une terre irradiée qui tente de panser ses blessures, un homme du nom de Cavalo y survit, flanqué de son indéfectible compagnon, le chien Bad Dod, l’une des seules créatures avec qui il se sent encore capable de converser. Cavalo a tout perdu. Hanté par ses souvenirs, son esprit brisé lutte contre la folie, personnifiée par le bourdonnement incessant d’une nuée d’abeilles prête à l’engloutir au moindre faux pas. En s’aventurant trop loin dans les Deadlands lors d’une chasse, il croise la route d’un de ces psychopathes appartenant au groupe des Dead Rabbits, de dangereux cannibales que les quelques humains qui tentent de reconstruire la civilisation craignent plus que la fin inéluctable du monde. Conscient qu’il faudrait le tuer, l’empêcher de nuire à tout jamais, Cavalo prend néanmoins la décision de l’emmener à Cottonwood, où il pense que la population sera prête à le juger pour ses crimes. Sauf qu’une fois là-bas, rien ne se passe comme prévu. Le voilà obligé de fuir avec Bad Dog et Psycho (qu’il a baptisé ainsi vu que le jeune homme est muet et ne peut lui dire son nom) pour rejoindre son antre : une prison gardée par le robot SIRS qui attend son retour depuis plusieurs mois.

Je m’arrête là pour le résumé, mais autant dire que tous les persos de ce bouquin sont complètement fêlés. J’ai aimé Cavalo et le voir batailler contre la démence, j’ai adoré Bad Dog et leurs conversations, j’ai adoré SIRS, totalement allumé lui aussi. L’ambiance un peu psychotique est très bien rendue. J’avais un peu peur pour la romance du coup mais ça marche bien, rien de mièvre ou de cucul, au contraire, c’est un combat psychologique qui oppose Cavalo et Psycho jusqu’à la fin de ce tome 1. Je suis dégoûtée de ne pas avoir pris le 2e tome tout de suite – par prudence, hein, cela va sans dire – mais si j’avais su, je me serais jetée dessus tout de suite ! Autre bonne surprise : les illustrations ! En général je n’aime pas trop qu’on détourne mon attention du texte mais il y n’y en a pas trop et elles s’intègrent bien au récit. Bref, un petit coup de cœur, même si l’histoire n’est pas forcément originale, c’est bien fichu, rythmé, un peu cracra comme j’aime, bref, tout ce que j’attendais !

Après un premier tome déjà excellent, le niveau monte encore d'un cran pour ce deuxième volet où tous les personnages se retrouvent en danger et remettent en cause leurs certitudes.



Cavolo et Lucas doivent faire un choix, la ville de Cottenwood est en danger à cause du jeune homme et Patrick leur a donné un ultimatum.

Lucas doit revenir vers lui ou bien tout le monde mourra.

Ce choix à faire déchire les habitants, aucune aide n'est à attendre de l'extérieur et il faut qu'ils apprennent à devenir solidaires face à la menace grandissante des Dead Rabbits et des Deadlands qui s'étendent.



L'univers post apocalyptique s'étend vers Dworshak, ce mystérieux endroit dont Patrick cherche à prendre le contrôle et le rythme s’accélère avec de nombreux combats, plus seulement pour leur survie mais aussi pour empêcher cet homme de détruire le monde.



Les personnages sont toujours autant prenants, le roman tient sur leurs épaules, sur celles de Cavalo, qui s'ouvre peu à peu au contact de Lucas et qui se retrouve à assumer des responsabilités dont il ne voulait surtout pas, sur celles de Lucas, petit bonhomme qui a toujours connu l'horreur, mais également sur celles de SIRS, et je n'aurais jamais pensé m'attacher un jour autant à un robot.

Tout ce petit monde est constamment à la limite, on se demande tout le temps dans quel état se trouve leur santé mentale et si les abeilles qui hurlent dans leur tête n'ont pas gagné le combat.

Mais c'est ensemble qu'ils arrivent à s'en sortir, ensemble qu'ils arrivent à repousser leurs limites et à aller encore plus loin.



J'ai été très touchée par cette histoire qui a été un de mes plus gros coups de cœur de l'année 2017, avec son style si particulier qui m'a embarqué du début à la fin.



T.J. Klune avait à l’origine construit cette saga pour en faire quatre tomes, tout au long d'une année. On peut le sentir un peu dans la conclusion, avec cette idée qu'il existe encore d'autres dangers plus loin, mais l'histoire se termine ici, avec une fin dans la logique même de tout ce qui avait été écrit précédemment.

Et c'est juste parfait.
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Comme l'ont dit plusieurs commentaires, sûrement un des livres les plus sombre de TJ Klune. Il y a toujours une part de folies dans ces romans, mais là, c'est réellement le sujet. Ce roman post-apocalyptique raconte la rencontre entre Cavalo, un homme complètement brisé et sérieusement fou, dont la seule famille est un chien qui lui parle dans sa tête et un robot dont la programmation par aussi dans la folie, et c'est surtout l'histoire de sa rencontre avec un cannibale. Comme contexte de départ, on se pose là 😂, c'est vraiment un voyage dans leur folie à tous et dans leur lutte pour sauver une petite ville de l'Idaho des ambitions gargantuesque d'un homme encore plus dérangé. C'est l'histoire de la folie des hommes. Et c'était vraiment quelque chose, j'ai du mal à définir mes sentiments vis-à-vis de cette lecture si ce n'est que j'ai dû enchaîner les 2 tomes pour pouvoir rester saine d'esprit 🥺 toutes œuvres de TJ Klune sont pour moi des pépites et Absynthe l'est tout autant.

C'est le dernier tome de cette série, il conclut bien l'histoire, mais s'il venait à avoir une suite, je sauterais dessus.

Cette histoire est différente des autres œuvres de T.J Klune, c'est bien plus sombre.

Mais c'est d'une beauté ! C'est malsain, troublant, parfois sadique,... Il n'y a pas de bien ni de mal, juste la survit et la folie. avec un petit côté poétique. Cavalo et Lucas sont attachants, et leur relation ne cesse d'évoluer. C'est loin d'être rose, niais et autres et c'est quelque chose que j'ai adoré.

Un des meilleurs T.J Klune, et un de mes livres favoris. Pas pour les âmes sensibles...

C’est simple, j’ai adoré cette lecture ! Ce n’est pas un coup de cœur mais ce n’est vraiment pas passé loin.



Les 2 premiers chapitres m’ont laissé un peu dubitative, je pensais tomber dans quelque chose de cliché, mais passé ces quelques pages j’ai complètement été emporté.



L’histoire commence lorsque Paul passe la soirée dans le club dans lequel se produit son/sa meilleur(e) ami(e) Helena Handbasket, il assiste à son show lorsqu’il se sent observé, c’est alors qu’il croise le regard d’un homme dans la foule. Cet homme c’est Vince, il est à tomber et n’a d’yeux que pour Paul. D’abord surpris, Paul pense à une plaisanterie et essaie d’ignorer la personne. La soirée passe et rien n’arrive, mais lorsqu’il retourne travailler la semaine suivante, une surprise l’attend sous la forme d’un nouveau collègue, et quel collègue…



Il y a deux choses qui font la force de ce livre. Tout d’abord les personnages et puis le style de l’auteur.



Les personnages sont tous hauts en couleurs. Il y a bien évidemment Paul, que j’ai trouvé unique en son genre, avec un sens de l’humour prononcé, il n’a qu’un seul ami qui est tout son opposé, excentrique au plus haut point, ensuite il a un travail tout ce qu’il y a de plus banal, il mène une vie assez tranquille, il vit seul avec son chien, prénommé « roulettes », j’ai adoré la description de cet animal. Paul à surtout une famille extravagante, des parents qui acceptent parfaitement son homosexualité et qui sont parfois un peu trop libérés sur le sujet. Sans oublier la grand-mère, complètement fofolle qui parle sans filtre et qui possède un perroquet homophobe. Tous ces personnages atypiques sont complètement déjantés à leur façon et c’est ce qui les rend des plus attachants.



Ce que j’ai aimé dans cette histoire entre Paul et Vince, c’est que ce sont des personnages imparfaits. Paul est banal, il à quelques kilos en trop, il manque cruellement de confiance en lui, et Vince malgré son physique de rêve n’est malheureusement pas une lumière, il n’est pas très intelligent et il le sait, et se sent vulnérable face à ça.



A travers une histoire qui a juste l’air feel good, l’auteur aborde le thème de l’acceptation de soi. Comment s’accepter soi-même ? et comment faire confiance à l’autre, et croire que nos défauts ne sont pas une barrière ?



Comme je disais un peu plus haut, le style de l’auteur est un gros plus. J’ai adoré sa plume hilarante, complètement bourrée d’humour, j’ai rarement lu un livre qui m’a autant fait rire aux éclats. C’est le genre d’histoire qui fait beaucoup de bien au moral, et qui m’a fait passer un super moment de lecture.



En bref, je vous conseille de vous ruer sur ce livre. Même si c’est un petit pavé, on tourne les pages sans s’en rendre compte, c’est hyper addictif, et c’est surtout le remède anti-déprime parfait !
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Il y a des livres qui dès les premières lignes vous captivent tellement que vous savez qu’il vous sera impossible de les lâcher. Dis-moi que c’est réel en fait indéniablement parti.



Je l’avoue, j’ai eu envie de découvrir ce roman tout d’abord, car une de mes amies me l’a vivement recommandé. Je me suis alors lancée dans ma lecture dès que j’en ai eu la possibilité et je suis totalement fascinée par cette histoire.



Comment ne pas craquer pour ces personnages attachants ? Pour cet humour décapant ? Comment résister à l’écriture si addictive de TJ Klune qui vous retourne la tête et le cœur ? Et bien je vais vous dire c’est totalement inconcevable.



En débutant ce livre, vous vivrez des émotions intenses, bouleversantes voir éprouvantes. Vous vous sentirez tiraillé par vos sentiments et chamboulé par la façon dont l’auteur a façonné son récit. Vous tomberez sous le charme de Paul, cet homme comme vous et moi, qui casse totalement les stéréotypes du genre. Vous succomberez à son franc parlé, vous délecterez de son sarcasme et vous vous attendrirez devant ses doutes et ses névroses. Puis vous rencontrerez Vince et vous vous demanderez ce qu’il peut bien cacher, s’il est réellement celui qu’il prétend tant il parait trop beau pour être vrai. Vous apprendrez à connaître ces deux hommes et leurs vécus tout en vous passionnant pour leur relation haute en couleur.



Je peux le dire : je me suis régalée durant cette lecture. J’ai ri (énormément), eu la larme à l’œil (souvent), mais surtout je suis tombée amoureuse de cette histoire hors du commun. J’ai été touchée par Paul et Vince, par leurs appréhensions, par les moments épiques qu’il nous offre (je défie d’ailleurs quiconque de ne pas rire lors de la vision du bassin des hippopotames ou lors de la session GPS tueur), mais également par la myriade de personnages secondaires qui les entoure. Je suis totalement séduite par Sandy et la garce qu’il devient, je suis conquise par Matty, Larry et Nana la famille déjantée de Paul que j’ai eu envie d’adopter à mon tour. Pour finir, l’auteur a su conquérir mon cœur grâce à une dernière partie émouvante à souhait.



Dis-moi que c’est réel est un livre détonant, un livre qui regorge de hauts et de bas, mais toujours en gardant le bonheur de l’autre comme objectif principal. Il est très facile de s’identifier au couple Paul/Vince, car ce qu’ils vivent est authentique, sans faux semblants. Il nous donne une jolie leçon de vie, celle de lâcher prise et suivre son cœur.



Comme le dit si bien TJ Klune : c’est une chose d’aimer une personne, c’en est une autre de l’aimer malgré ses défauts. C’est sur cette magnifique phrase que je termine cette chronique avec un immense coup de cœur !
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TJ Klune est mon auteur MM préféré. Peu importe l’univers, le thème. J’aime sa plume, son humour décalé, les émotions qu’il arrive à nous transmettre. Je l’aime tout simplement. J’ai mis longtemps avant de me décider à chroniquer un de ces titres. Pourquoi ? Tout simplement car je ne pense pas être à la hauteur pour parler d’un de ces livres. Alors je me jette à l’eau avec une saga coup de coeur mais soyez indulgent !



Un titre que l’on peut qualifier d’ancien mais qui a été réédité. Et je suis heureuse car je préfère les nouvelles couvertures. Sur l’ancien, un des héros apparent était un acteur des Frères Scott alors cela me perturbait (Minute bla-bla). Bref !







Dans ce premier tome, haut en couleur, rencontrez le charmant Paul Auster. Un homme heureux, entouré par une famille certes délurée mais surtout aimante, des amis aux moeurs légères mais toujours présent. Il a un bon travail, une belle maison et un adorable chien que l’on peut considérer quelques fois comme le suppôt de Satan. C’est un homme raisonnable, et même s’il n’a pas vraiment confiance en lui, il est tout simplement heureux. Un regard et sa vie va être retournée par un jeune homme beau, sexy et sportif. Tout son contraire. Il ne croit pas au coup de foudre, il sent le coup monté. Quelles surprises lui réserve la vie ?



Ne me tuez pas, mais j’ai mis beaucoup de temps avant de commencer à lire ce titre. La couverture ou le résumé ? Je pense qu’à mes débuts de lectures MM, je n’étais pas prête à cet ovni. Mais une fois ouvert, le coup de foudre a résonné et depuis c’est une lecture doudou. Un roman qui me fait du bien, qui me fait rire et pleurer, qui me fait sourire et crier. Un roman que je recommande à tous par sa beauté, son excentricité et sa morale tellement douce.



J’ai déjà commencé le pavé sans avoir vraiment parlé de l’oeuvre. Je suis vraiment un boulot. Mais au fur et à mesure que j’appuie sur les touches, je vous avoue que je n’ai pas envie d’expliquer pour de choses sur cette histoire. Je n’ai pas envie de vous donner un seul petit bout de cette histoire mais que vous vous envoliez dans cette lecture avec pour seul but : ouvrir votre coeur.







Alors gardez seulement en tête que je suis amoureuse de chaque personnage : Paul et ses diarrhées verbales, Vince et son cerveau peu commun. Individuellement ou en couple, ils sont merveilleux. Mais aussi Sandy/Helena et Darren les meilleurs amis autoritaire mais protecteurs. Mais aussi et surtout la famille de Paul. Des repas de famille à pleurer de rire. Soyons honnêtes, on aimerait connaître une telle famille. Un environnement tellement magnifique, remplis d’amour.



Ouvrir ce roman, c’est tomber amoureux d’un ensemble : de l’auteur et de sa plume, de ses personnages … Alors je vous le dis. Lisez cet auteur et accompagnez moi dans mon coup de foudre littéraire.
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Une vraie déception pour moi je n'es pas apprécié les deux personnages principaux l'un est bête et le deuxième très grossier. Pour ce qui est de la part humoristique c'est vraiment mauvais je n'ai rien trouvé de drôle je me suis forcée à le lire jusqu'au bout car vu le prix ça aurait été dommage de ne pas le finir mais mon avis reste le même un roman qui ne m'a pas plu du tout

Alors... Que dire de ce livre...

Il m'a fait mal au ventre, et fait pleurer de rire... Mon Dieu, mais je n'ai jamais lu un livre pareil, une blague bien pensée au minimum par paragraphe...

Paul montre un esprit de dérision exceptionnel. Les scènes s'enchainent et regorgent de pépites humoristiques parfaites.

Vince. Que dire de Vince... Il est tellement touchant. Fragile et mignon, sexy, tendre... Il est le beau gosse avec une faille énorme, une faille qui n'est pas souvent évoquée dans les romances, et qui, sur moi, à fait le job parfaitement.

Mon préféré des 2, c'est Vince, sans aucune hésitation.

Le seul bémol que je pourrais évoqué, c'est qu'à force d'accumuler les situations drôles, on en perd un peu la romance, et au bout d'un moment, j'ai eu envie de revenir dans le sérieux, chose que l'auteur fait, mais en gardant encore l'humour, et j'ai trouvé que les personnages méritaient une profondeur plus appuyée. Mais c'est un détail... Un très bon moment.

J'ai acheté l'intégral, et je compte bien m'atteler au tome 2, mais (jamais je n'aurais cru dire ça un jour), trop d'humour, ça épuise. J'attends d'être en forme pour pouvoir déguster le tome suivant.

Je n'ai, majoritairement, jamais été déçue d'un livre de cet auteur, seul le tome 1 du clan Bennet ne m'a pas plu et je n'étais arrêté là pour cette saga.



On retrouve ici, ce qui fait qu'on aime (ou pas) cet auteur : l'humour, les discours caustiques, ironiques, mordants.

Et des personnages qui sortent des romance MM. Il a déjà traité de l'asexualité, de l'autisme ou ce qui s'en rapproche et là on est sur l'apparence physique et sur qu'est l'intelligence.



Et d'ailleurs, le premier chapitre sur les clichés m'a fait rire jaune étant donné que la majorité des romans MM que je lis sont de ceux style ! Mais c'est de bonne guerre.



Paul, ne s'aime pas physiquement et cela engendre une perte de confiance en lui qui l'isole.



Malgré l'amour de ces proches, de Sandy son meilleur ami, il ne croit pas en lui et pourtant un beau gosse, le drague !



Vince est beau gosse mais pas futfut. Mais l'intelligence du cœur, ça compte !



Car, là où certains sont des cerveaux, ils oublient d'utiliser leur cœur, et Vince fait l'inverse. Il est gentil et finalement n'est-ce pas ça être intelligent ?



Voici donc ces deux hommes qui vont devoir se connaitre, Vince devons prouver à Paul : Que oui, tu es parfait !



Bien sûr à cela se rajoute des drames familiaux !



Dans "comment être une personne normale", je m'étais pris un fou rire avec la scène pour se connecter à internet et la conversation entre le personnage et la personne censée lui installer le net.



Dans celui-là, se sera la scène de l'hippopotame !



Le petit défaut ou plutôt ce qui m'a gêné, c'est leur façon de parler des femmes, je n'avais pas ce ressenti dans les autres livres. Peut-être que le fait que Sandy soit une drag-queen et Paul plus "cliché" que d'autres personnage des romans de T.J Klune, fait qu'il joue sur ça ? Je ne sais pas mais cela m'a un peu perturbée.



Après j'hésite à enchaîner le volume 2 par pour l'histoire (j'ai envie de découvrir Sandy derrière Héléna) mais la façon qu'il a d'écrire ces roman est très particulier et si on les lit à la suite, peut-être répétitif, je vais voir …

T. J. Klune est un auteur pour le moins surprenant. Je l'avais découvert avec Comme devenir une personne normal (que j'avais beaucoup aimé malgré les intense moment de gêne que j'ai ressenti en lisant Gustavo Tiberius faire n'importe quoi). Puis avec Comment être une star de cinéma (qui n'était pas mal non plus).

J'ai moins accroché à cette série qui est encore moins sérieuse.

Les personnages sont drôle et j'adore les voir s'emballer et raconter n'importe quoi, Paul et Sandy particulièrement. Mais parfois j'ai trouvé ça presque trop. Il y a des situations que je trouve un peu trop ridicule. Et j'ai moins accroché à Vince qu'à Paul.

Mais dans l'ensemble ça reste une bonne lecture.

Pourquoi lire ce livre? Parce qu'il est drôle, crû et drôle.

Cette histoire d'amour entre un homme pas terrible physiquement- c'est lui le narrateur, donc il a tendance à se déprécier - et un canon pas très fut' fut' est à pleurer de rire, ce qui m'est vraiment arrivé lorsque Paul essaie de convaincre ce qu'il croit être une infirmière de le laisser aller voir Vince à l'hôpital. Comme Bear de la série L'Ours, la Loutre et le Moustique, ce personnage parle avant de réfléchir et nous emmène très très loin. Trop loin aussi parfois.

La rencontre entre Paul et un hippopotame est à conserver dans les annales du rire.

Un livre pour lutter contre la morosité.

Un livre bourré d’humour mais qui m’a vite gonflée. Je m’explique : le livre est écrit à la première personne selon le point de vue de Paul. Il dit tout ce qu’il pense et ses pensées sont complètement déjantées. Jusque là, pas de problème. Mais je trouve que c’est trop déjanté au point que s’en ai presque absurde. Au début, ça m’a fait rire, à la longue, je me suis ennuyée et je voulais finir ce livre au plus vite pour passer au suivant. J’ai même stoppé ma lecture pour lire autre chose avant de reprendre ce livre. Et puis je savais que c’était un livre M/M mais c’est exagéré quand Paul parle de lui au féminin. Que son ami Sandy le fasse quand il est en Queen, je comprends, mais pour Paul, j’ai trouvé ça nul. Et les parents de Paul, je les ai trouvé vulgaires : qu’ils soient pas prudes et libérés sexuellement c’est une chose, mais il y a des choses qui ne devraient pas sortir de la bouche de parents devant leur enfant.

Je n’ai pas accroché avec les personnages du livre en général, sauf Vince dont j’ai adoré le cadeau qu’il a fait pour l’anniversaire de Paul. Pour moi, une lecture pas indispensable.

J'étais plié de rire pendant une grande partie du roman, faut il avoir l'esprit particulièrement mal tourné ? Un mec pas sûr de lui, un peu enrobé et qui dit n'importe quoi comme ça lui vient mentalement, cela amenant à des situations invraisemblables, dont tombe amoureux un mec super canon, un peu limité intellectuellement mais qui sait ce qu'il veut … quel programme ! surtout que le meilleur ami est une drag-queen bien déjantée, sans oublier le chien à 2 pattes avec des roulettes, le perroquet homophobe et une famille invraisemblable … un régal !

Une romance feeling good unique dans son genre ! Soit on aime soit on n'aime pas. Moi c'est simple, j'ai tout simplement adoré. J'ai passé un pur moment de folie ! La magie Klune a encore opérée. J'ai été littéralement conquise... Je dirai même que j'ai été Freddie Prize Juniorisée et j'en redemande encore !
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