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Citations de Tatiana de Rosnay (1551)


La mère d’Ornella me tapota la main...
Elle posa sa main rondelette sur mon épaule...
Elle me tapota gentiment l’épaule...
Zoé posa une main moite sur mon genou nu...
William déploya ses mains et secoua la tête...
Zoé mit la main dans mon sac...
William frottait ses mains l’une contre l’autre...
Elle se précipita vers moi et m’attrapa la main...
Zoé murmura en me pressant la main...
Zoé essuya frénétiquement mon visage avec ses mains...
Il serra les mains avec une élégance nonchalante...
Les deux hommes se tenaient toujours la main...
Édouard suivait, les mains dans les poches...
Michel, tu me prends par la main, et tu m’emportes...
J’aurais voulu lui prendre la main...
Je croisai les mains sur mon ventre, envahie de solitude...
Bertrand se tenait face à la fenêtre, les mains croisées dans le dos...
Zoé me prit la main et y déposa un long baiser...
Zoé, pour l’amour de Dieu, ne lâche pas la main de ta sœur...
Bertrand prit son courage à deux mains pour m’avouer qu'il aimait Amélie...
La forme de son crâne, sa façon de se tenir, ses mains...
Zoë était futée, elle m’avait pris la main dans le sac...
Dans ce magnifique printemps où la main de Neil était posée sur mon genou...
Je remarquai à nouveau à quel point ses mains étaient belles...
Il s’arrêta et passa la main dans ses cheveux...
Il avait dû lire sur mon visage car il posa sa main sur mon bras...
Je ne savais pas comment réagir, je posai la main sur son épaule...
Il finit par retirer ses mains, son visage apparut, beau et déchiré...
Je serrai fort sa main dans la mienne, je n’arrivais plus à le regarder dans les yeux...
Je fermai les miens et posai sa main contre ma joue....
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Comment expliquer à sa fille que le Mapes Hotel était le dernier lien qui l'attachait à Marilyn ?......
....Et maintenant, le théâtre de cette rencontre entre Marilyn et elle, le fier Mapes qui régnait sur le Reno de sa jeunesse, n'était plus qu'un tas de gravats
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Pauline en eut le souffle coupé. C'était bien elle. Celle qu'elle n'avait pas été capable de reconnaître, car dans la vraie vie, au petit matin, sans la moindre touche de maquillage Mrs Miller n'avait rien à voir avec ce qu'elle était à présent: cette blonde éclatante dans sa robe échancrée, qui se tenait d'une autre façon, qui parlait d'une autre façon, qui était tout simplement devenue quelqu'un d'autre_ une vedette de cinéma.
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Pauline mentit. Elle n'avait pas d'autre choix. Elle dit que oui, oui , bien sûr, elle avait compris. Mais elle n'avait rien compris du tout. Qui était la femme de la suite 614, cette créature lasse et perdue à la voix éteinte? Et pourquoi était-elle si importante aux yeux de Mildred?
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Et dans leur lit parfois. Je me laissais faire sans envie. Le sexe n’était plus pour moi qu’un passage obligé. Un acte mécanique et ennuyeux. Dans ce domaine aussi, quelque chose avait disparu. La passion. L’excitation. La chaleur. Disparues et envolées.
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Tu me dis souvent que j’ai besoin de gagner en confiance, de sortir de ma coquille, de me défaire de mes doutes, mais je ne sais pas comment m’y prendre, Billie. Je pense que je n’y arriverai pas. J’aimerais pouvoir être comme toi. Tu es si solide et confiante, tout ce que j’aspire à être. (Ne soupire pas en lisant cela, s’il te plaît !)
P213
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Non, Pauline. Je suis une actrice habituée à endosser des rôles. La personne extraordinaire, c’est vous. Sauf que vous ne le savez pas.
P200
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c’était un miroir impitoyable qu’il lui tendait : le portrait d’une femme trop émotive, trop nerveuse, incapable de trouver un équilibre intérieur et à qui le bonheur échappait sans cesse.
P110
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Son odieux mari puisait dans leur vie privée pour pondre ce satané scénario : elle y reconnaissait, mortifiée, ses propres phrases, ses fragilités les plus profondes, ses doutes dissimulés, et elle n’en pouvait plus. Il la pillait. Il pillait son être.
P108
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Tout le pouvoir des écrivains résidait dans cette force et ce mystère : donner à leurs lecteurs la sensation de partager un moment clef avec eux, de les faire pénétrer dans une intimité, dans un ailleurs.
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Pauline avait conscience qu’elle n’était qu’un être ordinaire aspirée dans l’orbite d’une actrice qui, elle, n’avait rien d’ordinaire, mais elle faisait le lit de cette actrice chaque jour, elle rangeait ses vêtements, ses escarpins, elle touchait les objets du quotidien que Marilyn Monroe effleurait, elle aussi – son peigne, sa brosse à dents, son flacon de Chanel n°5, ses boucles d’oreilles, ses piluliers -, car être femme de chambre, c’était précisément cela : faire intrusion sans le vouloir dans l’intimité d’autrui, voir le contenu des corbeilles à papier, remarquer les titres des libres, lire les premières phrases des cartes, lettres et petits mots qui trainent.
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Dominique possédait ce don, constata intérieurement Candice, et pas pour la première fois, d'embarquer ses interlocuteurs dans un autre monde, rien qu'avec le pouvoir de suggestion de sa voix.Candice se trouvait transportée rue de Bruxelles, dans la dernière demeure de l'écrivain ; elle y était : elle sentait l'odeur d'encaustique de ce grand escalier, les plats préparés en cuisine, elle voyait la lumière du jour éclairer la cour intérieure et les vitraux (...) La dernière phrase d'Emile Zola fut celle-ci : Nous irons mieux demain...
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Le samedi suivant, Candice passa rendre visite à sa mère avec Timothée. Faustine vivait toujours dans l'appartement familial, rue Raymond-Losserand, dans le quatorzième arrondissement, au coin de la rue d'Alésia. La jeune femme y retournait avec un chagrin mâtiné de nostalgie, et il lui semblait que le sillage de son père flottait dans les pièces ; la plupart de ses effets personnels étaient encore là : sa boîte à cigares, son jeu d'échecs, sa guitare acoustique. Lorsqu'elle pénétrait dans le logement, Candice flairait immanquablement (ou était-ce son imagination ?) l'odeur de l'eau de toilette citronnée italienne que portait son père, Acqua di Parma.
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Je suis une actrice habituée à endosser des rôles. La personne extraordinaire, c'est vous. Sauf que vous ne le savez pas.
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C'était la mode hollywoodienne, en ces temps-là, d'avaler un somnifère ou deux pour mieux s'endormir, et des stimulants pour se réveiller, le tout sur fond d'alcool, et Marilyn en était devenue dépendante. Personne n'avait pris soin de la star; personne n'avait veillé sur elle. Jour après jour, on apaisait son mal-être en lui distribuant des cachets comme si c'étaient des confiseries, sans le moindre scrupule, ainsi qu'elle avait vu Paula Strasberg le faire de ses propres yeux.
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Sa vie entière, Colombe l'a distribuée aux autres comme une galette des Rois à l'Épiphanie.
À présent, elle se garde une part, celle qui contient la fève. Est-ce de l'égoïsme que de se réserver un jardin secret?

(p. 141 - Éd. Le Livre de Poche )
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Pourquoi Stéphane n'était-il pas plus souvent là ? Il pourrait s'occuper davantage des garçons. À leur âge, ils avaient besoin de I'autorité d'un père, de quelqu'un pour les « tenir ». Pourquoi Stéphane ne pensait-il qu'à son travail ? Les histoires de devoirs, d'école, le concernaient peu. C'était à la mère de s'occuper de tout ça. Lui, il gagnait de l'argent. C'était le chef de famille. Et comme il avait bien réussi, qu'ils ne manquaient de rien, Colombe se taisait.

(p. 29 - Éd. Le Livre de Poche)
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- Je suis sûre qu'ils me cachent quelque chose. Je veux savoir quoi.
- Soyez prudente, Julia (...) On ne joue pas impunément avec la boîte de Pandore. Parfois, il vaut mieux qu'elle reste fermée. Parfois, il vaut mieux ne rien savoir.
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Je n’ai jamais frappé mes enfants. Ni personne d’ailleurs. Est-ce que cela fait de moi une meilleure personne ? 
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Pourquoi nous attachons-nous tant aux maisons ? Pourquoi est-ce si douloureux d’en abandonner une ?
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