Thierry Gloris

Fin du diptyque commencé dans le tome précédent, orienté sur le vampirisme.

Notre personnage principal est tombé sous le charme du vampire et tous ses amis vont devoir faire feu de tout bois, pour l'aider à s'en sortir.

Il y a un petit « je ne sais quoi » de moins bien sur ce tome : l'équilibre subtil entre thriller et fantastique est rompu. L'aspect fantastique est priorisé, l'enquête policière passe au second plan. Du coup, le suspense retombe, et l'auteur n'a pas pu ménager notre envie qui était au top-niveau.

Cependant, les qualités de cette BD sont bien présentes : on se délecte du dessin, et du texte. On reste attaché aux personnages et on en redemande !

Encore très affectée par sa mésaventure vampirique, Flora a du mal à se remettre et le drame familial que lui annonce son père, la plonge dans un grand désarroi. Mais ce n'est sans compter ses proches et fidèles amis dont Hugo qui est aux petits soins pour elle et puis, rien de tel que le travail pour ne pas s'apitoyer sur son sort.

C'est à la demande du directeur de l'Opéra de Paris, que l'agence Aspic décroche une nouvelle enquête. Des événements fâcheux compromettent le « Faust », à charge donc, pour Flora et Hugo de trouver l'auteur des menaces et de protéger les employés.



J'ai bien aimé la version revisitée du « Fantôme de l'Opéra » et de faire de son auteur Gaston Leroux, un personnage à part entière est un joli clin d’œil mais les dessins détaillés et travaillés de Jacques Lamontagne m 'ont manqués.

Premier album avec changement d'illustrateur dans la série. Petit bilan sur ce point : les dessins sont plutôt réussis et l'ambiance initiale de la série est maintenue. Pour autant, les personnages me semblent un peu plus "plats" que sous la plume de Lamontagne dont le graphisme m'a toujours séduit. Laissons le temps au nouvel illustratreur de prendre pleinement ses marques.



A noter d'ailleurs l'hommage rendu à Jacques Lamontagne, devenu coiffeur pour dames dans cet album. Hommage rendu également à Gaston Leroux. Il est vrai que nos héros ont un côté un peu "Rouletabille".



Cette nouvelle enquête nous mène donc dans les coulisses de l'opéra (un classique du genre), après que notre héroïne ait surmonté une grave crise de neurasthénie et le décès de sa mère. Il faudra justement dans le tome suivant veiller à ne pas faire trop classique et à surprendre le lecteur avec quelques belles trouvailles comme les deux premiers tomes nous en avaient réservées. A suivre donc...

ô heureuse surprise, voici que parait le tome 5 d'Aspic, detectives de l'étrange.

C'est un véritable plaisir que de retrouver les personnages attachants de cette série mêlant avec bonheur fantastique, mystère et humour.

Ajoutons à cela que les dessins très expressifs d'Emmanuel Despujol, et les couleurs très lumineuses de Lorien Aureyre, rendent le lecture de cette Bd très agréable.

En bref, une série qui mériterait amplement une plus large audience..!

Voici enfin le retour de notre duo d’enquêteurs sur le paranormal…enfin duo c’est vite dit vu que Flora, après sa désagréable rencontre avec le vampire n’est plus que l’ombre d’elle-même et n’a plus goût à rien, au grand dam d’Hugo. La visite inopinée de son père venu lui annoncer sans cérémonie la mort de sa mère lui fait comme un électrochoc et la remet sur le chemin du surnaturel.

Ca tombe bien, il s’avère que suite à une série de crimes en son sein, l’Opéra de Paris a bien besoin de l’intervention de l’agence Aspic. Et c’est parti pour les interrogatoires et autres recherches d’indices dans une ambiance en huis clos aussi stressante qu’amusante.

Si Gloris assure toujours avec brio sa partie scénario, ménageant ses effets et maintenant le bon ton humoristique et fantastique de la série, la partie dessin a été confiée à Despujol. Si d’une manière générale il sait rester dans les traces de son prédécesseur, on perd un peu en détail du trait, surtout sur les plans les plus larges et j’ai trouvé que Flora était moins marquante que dans les précédents opus, mais rien qui n'empêche vraiment la transition de se passer sans soucis.

Un bon conseil d'accompagnement musical: http://bobd.over-blog.com/2016/09/les-fantomes-de-l-opera-aspic-whodunnit-a-l-opera-vs-that-darn-cat.html
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Nous retrouvons, dans ce cinquième tome, nos deux détectives de l’étrange, Hugo et Flora. Flora, suite à sa mésaventure avec un vampire, demeure très affectée psychologiquement au point d’en être complètement apathique. Heureusement, nos deux héros vont être embauchés par le directeur de l’Opéra de Paris afin de mener l’enquête sur la ou les personnes à l’origine des menaces envers la vedette du spectacle.

On retrouve dans ce tome ce qui fait le charme de la série : de belles illustrations, du mystère, du surnaturel et des échanges plein d’humour entre nos deux protagonistes. Il est cependant à noter que Flora reste un peu moins impertinente et rebelle que dans les autres tomes même si, au fil de l’histoire, elle retrouve sa verve. J’ai hâte de lire la suite de l’enquête qui, j’en suis certaine, saura se montrer à la hauteur de mes attentes.
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Le cinquième tome d'Aspic garde le cap. Toujours distrayant, avec des personnages sympathiques. Les deux complices sont complémentaires et nous entrainent dans une enquête dans les coulisses de l'Opéra de Paris et ses égouts.

On découvre une Flora apathique, encore marquée par l'épreuve de l'enquête précédente. Je la trouve un peu clichée et distante mais pas agaçante pour autant.

L'enquête est bien faite, prenante même si le suspense n'est pas à son comble. On découvre Paris par ses sous-sol et ses coulisses.

La fin nous laisse présager un prochain tome mystérieux qui nous fait saliver d'avance.

Les dessins, malgré le changement de dessinateur, sont très jolis, colorés, on reconnaît parfaitement les personnages. Hugo n'a presque pas changé. En fait on voit la différence surtout pour Flora, n'ayant pas relu les tomes précédents.

Un tome en demi-teinte puisque l’on prend toujours un réel plaisir à enquêter aux côtés de Flora et d’Hugo, un duo de choc complémentaire et drôle, dans des endroits mythiques et magnifiques, mais qui déçoit un peu puisque l’histoire tarde à réellement démarrer et s’arrête trop rapidement sans connaître encore le dénouement.
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On en apprend beaucoup plus dans ce tome sur la vie de Flora, la relation avec son père et la nouvelle de la mort de sa mère, qui va à la fois la bouleverser et la pousser à reprendre sa vie après l’apathie momentanée dans laquelle elle était confinée suite à la résolution de la dernière enquête de l’agence ASPIC. L’agence reprend du service et, suite à la requête du directeur de l’opéra de Paris, mène ses investigations au cœur de l’opéra où règne menaces et morts mystérieuses … La suite de ce « whodunnit » dans le tome 6!

Le tome 5 est le début d'un diptyque, qui va mener nos 2 compères sur une enquête qui se déroulera à l'opéra de Paris.

Suite à des situations étranges et à un meurtre, le directeur de l'opéra fait appel à eux. Car, même si la cantatrice est mise en danger, il n'est pas question de remettre en cause la première qui va avoir lieu bientôt.

Série distrayante et plus profonde qu'il n'y parait. Le duo Hugo Flora constitué depuis 4 albums fait face ici au spleen de la jeune femme, mordu par un charmant vampire lors de l'histoire précédente et qui a beaucoup de mal à s'en remettre. Hugo essaie de l'aider en lui dégottant une énigme dans les entrailles de l'opéra. Gaston Leroux y est pour beaucoup. C'est charmant, les personnages sont très sympathiques. A lire.

Avec ce tome 5, intitulé "Whodunit à l’Opéra", la série continue de transposer "Chapeau Melon et Bottes de cuir" du Londres des sixties au Paris de la Belle Epoque… ^^

Déjà très affectée par les événements du tome 4, Flora Vernet est touché par un drame familial… Ses amis font tout pour lui remonter le moral et elle finit par reprendre du poil de la bête : pour se remettre en selle, l’Agence Aspic doit résoudre une affaire de menaces de mort frappant la diva Olympe de Fiortakas (anagramme de la Castafiore ^^)…

Les interrogatoires vont bon train à l’Opéra Garnier, mais les suspects ne manquent pas

entre une cantatrice lesbienne, une doublure dominatrice, un ténor adepte du sado-maso, une accessoiriste qui multiplie les cachotteries et un directeur englué dans les problèmes d’argent…

C’est le journaliste Gaston Leroux qui les remet sur les rails en leur permettant de passer des sous-sols aux catacombes pour traquer le mystérieux fantôme de l’opéra !



C’est toujours aussi sympa, mais on ne va pas se mentir : graphiquement on perd au change avec le remplacement de Jacques Lamontagne par Emmanuel Despujol. Il est loin de démériter, et c’est tout à son honneur d’essayer de coller au style de son prédécesseur mais ce n’est pas facile de prendre en cours de route une série bien typée… Ici les dessins sont un peu fluctuants et/ou inégaux avec des cases comprenant de très jolis décors et d’autres plus basiques qui font un peu vides. A voir comment il va affiner son travail, parce qu’à plusieurs moment j’avais l’agréable impression de lire un comic d’Alan Davis !

Après sa rencontre avec le vampire lors de leur précédente enquête Flora n'est plus la même. Ne parle plus, n'a plus le gout à rien. Mais le décès de sa mère va être l'électrochoc qui lui permettra de se remettre en selle. Et voilà donc Flora et son fidèle acolyte Hugo sur une nouvelle enquête au sein de l'opéra de Paris.



Marchant en diptyque, c'est une nouvelle enquête qui se joue dans ce tome cinq. Et c'est avec plaisir que nous retrouvons notre duo atypique dans les coulisses de l'opéra jusque dans les égouts de Paris.

Un scénario plaisant à lire avec toujours une touche d'humour.

Niveau dessin Jacques Lamontagne cède sa place à Emmanuel Despujol. Et si on perd un peu de caractère, ce dernier ne démérite pas. Je trouve souvent le visage de Flora un peu trop lisse mais on arrive à bien reconnaitre les personnages. le trait arrive à faire passer les expressions.

Quel régal de replonger dans les aventures de ces deux héros atypiques..

J'avoue que les premières pages m'ont assez fait peur. J'ai eu la frousse que l'atmosphère des précédents tome n'ait disparu.

Mais non notre belle et séduisante Flora est égale a elle même.



Les auteurs après avoir revisité le thème de dracula s'attaque cette fois a Faust.

Mais c'est toujours pareil ces bd en diptyque sont d'une frustration abominable. Je me dis toujours qu'il faut que je les lise quand la série est finie, mais ma curiosité est plus forte... alors que pourtant je sais que je vais souffrir de ne pas avoir la fin.. mon côté maso sans doute.



Bref j'adore cette série et ce cinquième opus aussi.

Suite et fin de l'enquête à l'opéra de Paris.

Le mystère s'épaissit et devient paranormal. Autant dire qu'on ne lâche pas ce tome avant d'avoir le dernier mot. L'univers est toujours agréable mélangeant la Paris du 19ème siècle et mysticisme.

L'enquête ne laisse pas de temps mort. La résolution est insoupçonnable. Malheureusement je trouve que nous n'avons pas tous les éléments à la fin.

Flora et Hugo sont toujours aussi sympathiques et drôles. On retrouve avec eux une myriade de personnages différents.

Les dessins sont claires, efficaces et agréables.



On sait ce que va nous réserver le prochain diptyque. Qu'on lira avec plaisir.

Encore une jolie réussite que ce sixième album de la série "Aspic".



Les dessins et couleurs sont superbes, et c'est avec plaisir que nous retrouvons notre duo d'enquêteurs du paranormal formé par Flora et Hugo.



L'action se situe à l'opéra Garnier, où nous voyons évoluer un mystérieux criminel masqué se faisant appeler Méphistophélès, et un certain Gaston Leroux...



Ce que j'apprécie dans cette série, outre les qualités graphiques déjà évoquées, sont les références et les clins d'œil.

Tiens !? Ce notaire se nomme maitre Folasse, ce bouquiniste F Handor...



Les auteurs s'amusent avec nous au jeu du "Où l'avez vous vu, lu ou entendu" ?



Et...j'en redemande...

Peut-être que c’est moi qui commence à me lasser, ou qui ai trop laisser filer le temps au lieu d’enchaîner les 2 tomes du diptyque sur le tueur de l’Opéra…mes retrouvailles avec les détectives de l’étrange n’ont pas été tout à fait à la hauteur de mes attentes. Le paranormal et l’humour que j’apprécie bien dans cette série sont toujours là, mais ça m’a semblé plus mou, moins convaincant. Je suis peut-être moins sensible aux dessins d’Emmanuel Despujol qu’à ceux de Jacques Lamontagne.

Mais j’ai aimé la fin, et je continuerai sans doute la série, j’ai bien envie d’en savoir plus sur ce pourquoi la mère de Flora est devenue un esprit frappeur.

Fin du troisième diptyque des aventures de nos deux enquêteurs de choc.



Même si j'ai trouvé ce sixième tome un peu en dessous, sans doute parce que j'ai trouvé Hugo plus en retrait.

J'aime par contre toujours autant ces personnages avec leur caractère bien trempé. Et puis la touche d'humour et les petits clins d'œil bien placé.



Je pense que je ne vais pas tarder a attaquer à attaquer le tome 7 , parce que j'ai très envie d'en savoir plus sur la mort de la mère de Flora.. j'ai déjà une petite idée car je pense que son père cache un lourd secret.. mais lequel ?

Avec ce tome 6, intitulé "Rhapsodie fantomatique", la série continue de transposer "Chapeau Melon et Bottes de cuir" du Londres des sixties au Paris de la Belle Époque et nous sommes toujours dans un parodie du "Fantôme de l'Opéra" ^^

Assisté par le journaliste Leroux et le scientifique Letendre, le duo formé par la tourmentée Flora et l'insouciant Hugo poursuivent leurs investigations et s'ils penchent pour un esprit frappeur les autorités elles penchent comme d'habitude pour la vengeance des petites gens contre les grands... Les pistes et les fausses pistes se multiplient et tandis que l'inspecteur Nimber s'acharne sur le concierge, l'Agence Aspic pense avoir trouvé le coupable idéal en la personne de Marcus Polina un artiste raté de l'Antiquité : malgré quelques twists des familles, tout se finit donc en parodie de "Ghostbusters" avec l'affrontement d'Assurancetourix et de la Castafiore ! ^^

Le scénario de Thierry Gloris pétri de punchlines et de bons mots est toujours aussi sympathique, mais les dessins d'Emmanuel Despujol assisté aux couleurs d'Hélène Lenoble ne sont pas niveau (surtout comparé aux premiers artistes de la série).

Nouvelle affaire pour notre duo d’enquêteurs, version « Chapeau melon et bottes de cuir », dans le Paris de la belle époque et au milieu d’entités appartenant au monde des esprits.



Qui envoie des menaces de mort à la cantatrice Olympe de Fiortakas ? Qui a intérêt à lui faire fermer son bec, alors qu’elle chante bien ?



Qui se cache derrière le masque de Méphistophélès ? Les suspects ne manquent pas… Flora et Hugo ont de quoi faire fumer leurs méninges.



Une fois de plus, je me suis bien amusée lors de cette enquête à l’Opéra Garnier, où un journaliste, un certain journaliste Gaston Leroux, va les aider lors de leur descente dans les sous-sols, à la recherche de ce que l’on pourrait nommer "le fantôme de l’opéra".



C’est dans l’album 5 que l’on change de dessinateur et j’avoue que je préférais les dessins de Jacques Lamontagne à ceux d’Emmanuel Despujol…



Mais malgré tout, j’ai apprécié cette nouvelle enquête qui ne manquait pas d’humour, de peps, d’action et de suspects en tout genre, à tel point que j’étais bien incapable de trouver son identité, au fameux Méphistophélès, l’insaisissable.



Le fait de prendre deux albums par enquête permet aux auteurs d’aller plus dans les détails, de ne pas aller trop vite et de prendre le temps de développer leur récit, d’étoffer les personnages et de faire durer les investigations, sans que cela ne devienne jamais trop long ou ennuyant.



Encore un bon album, qui met de la joie lors de sa lecture, tant le duo composé de Flora et de Hugo est sympathique (et au moins, pas d’histoire d’amour !).