Titouan et Zoé vous présentent leur ouvrage "Escales en Polynésie" aux éditions Au vent des îles. Entretien avec David Pigeret.
Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/2562221/titouan-lamazou-escales-en-polynesie
Page FB Au vent des îles : https://www.facebook.com/au.vent.des.iles.editions
Page Instagram Au vent des îles : https://www.instagram.com/auventdesiles/?hl=fr
Site internet de Titouan Lamazou : https://www.titouanlamazou.com/
Page FB de Titouan Lamazou : https://www.facebook.com/titouanlamazou
Page Instagram de Titouan Lamazou : https://www.instagram.com/titouanlamazou/?hl=fr
Note de musique : © mollat
Sous-titres générés automatiquement en français par YouTube.
Visitez le site : http://www.mollat.com/
Suivez la librairie mollat sur les réseaux sociaux :
Instagram : https://instagram.com/librairie_mollat/
Facebook : https://www.facebook.com/Librairie.mollat?ref=ts
Twitter : https://twitter.com/LibrairieMollat
Linkedin : https://www.linkedin.com/in/votre-libraire-mollat/
Soundcloud: https://soundcloud.com/librairie-mollat
Pinterest : https://www.pinterest.com/librairiemollat/
Vimeo : https://vimeo.com/mollat
+ Lire la suite
… J’entends les impératifs des entreprises, l’emploi, tout ça… Mais ne serait-il pas temps de changer de paradigme ? Ne pourrions-nous pas profiter de cette crise (Covid-19) pour nous poser ? Une civilisation qui produit hors-sol des choses dont personne n’a besoin et qui ne survit que par une frénésie de consommation en boucle, va dans le mur…
Nous sommes dans le mur !
[Voiles & Voiliers - Avril 2020]
Il nous faut regarder la vie d'après là où on est, et non pas de là où on vient.
" Durant vingt ans, j’ai sillonné la planète de port en port. Lorsque j’ai mis un terme à ma vie de navigateur professionnel, j’ai poursuivi cette itinérance selon un mode plus " terrestre " et culturel. Cette existence vagabonde m'a révélé à quel point les rencontres avec chaque individu à travers le monde m'importaient plus que la traversée des nations et de leurs frontières. J'ai constaté également que les personnes qui m'ont toujours le mieux inspiré lors de mes pérégrinations étaient des muses féminines...C'est ainsi qu'en 2002 j'effectuais un voyage exploratoire dans la Corne de l'Afrique pour valider un projet auquel je songeais depuis longtemps : un ouvrage consacré au monde en général à travers des portraits de femmes en particulier. "
Un jour un soldat m'a demandé pourquoi j'avais douze enfants. J'ai répondu que c'est pour la Palestine, pour qu'ils construisent notre nation même s'ils en tuent beaucoup. En réalité, j'ai peur que mes enfants n'aient jamais une vraie place pour vivre. Si les conditions de vie continuent à se dégrader, ils habiteront sous des tentes et élèveront des chèvres. Ce n'est pas un avenir pour les jeunes d'aujourd'hui. Je souhaiterais qu'il y ait la paix comme jadis. On pouvait aller en Israël. Nous invitions les israéliens à nos fêtes et à nos mariages. On vivait bien ensemble. (Sodkhiya, Palestine)
Pour moi, les hommes sont effrayés. C'est ce que je pense. Ils ont peur de faire face à la réalité. Les femmes sont beaucoup plus courageuses. C'est mon sentiment. ( Mama Rose, République démocratique du Congo)
S'il nous arrive parfois de douter qu'au ciel, un jour, nous aurons notre maison, le Bon Dieu, lui, sait que dans les Cyclades, il pourra toujours venir se reposer.Ici, les maisons, il en possède par milliers.
Et puis tout au bout, les marins d'eau douce se font hommes de mer.
non je ne suis pas belle....bon d'accord je suis belle ! j'étais belle. je suis vieille maintenant, à cause des talibans.
Kobra (veuve Hazara).
Hira, intouchable
Les hommes d'avant étaient mauvais, ceux d'aujourd'hui sont pires.
les enfants ont besoin de trois choses : d'éducation, de nourriture et d'amour. la moitié des enfants de Jakarta ne bénéficient d'aucune des trois.
Irma (activiste).