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Critiques de Vincent Cuvellier (502)
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Émile et les autres

Emile, le retour. C'est toujours un bonheur de retrouver ce petit grincheux. Là il a décidé de ne pas jouer avec les autres, et il ne manquerait plus qu'on l'y oblige !

Un gros plus pour les illustrations, ambiance moyen-âge tout à fait réussies. On se croirait presque entré dans la tapisserie de Bayeux parfois (ouais, j'exagère peut-être juste un peu). Je dois avouer tout de même que je trouve cette "aventure" moins drôle que les précédentes. Mais bon, mes attentes sont élevées quand il s'agit d'Emile.
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Émile se déguise

Et bien quoi, Emile?



Le déguisement de tomate géante était très bien l'an passé!



Oui, très bien, comme tu le dis si bien "l'an passé? Et pourquoi pas l'année d'avant?".



Innovons donc.



Farfouillons, farfouillons, trouvons l'inspiration.



Que nous réserve la malle à malice?



Un déguisement de Batman? De chevalier? D'agent secret?



Non! Bien mieux! Emile a une idée géniale!



Emile se déguisera cette année en Monsieur Ferber!!!!



C'est le fin du fin du déguisement. Il va vous le prouver.



:

: Que dire de plus? La chronique précédente avec l'épisode de la chauve-souris résumait assez bien toute la fantaisie et l'humour qui rythme les petites aventures de ce petit garçon imaginatif, turbulent et délicieusement boudeur.



A chaque histoire, notre Emile se surpasse dans l'animation du quotidien, y mettant des couleurs et en général, on le comprend, les parents voient rouge.



Le texte de Vincent Cuvellier rivalise d'humour avec l'image offerte par Ronan Badel de cette imagination folle et sauvage de l'enfance. C'est fin, un brin absurde et bien vu.



Ces multiples interrogations, tribulations soumises à une voix off forte de raison qui est au bord de l'impatience par tant d'absurdité nous rappelle la belle époque de La Noiraude, grande inquiète des séries animées des années 80.
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L'abbé Pierre, le combat d'une vie

Vincent Cuvellier pour le scénario et Abdel de Bruxelles pour les dessins réalisent ici un exploit, en 72 pages ils nous racontent le parcours de l'exceptionnel Abbé Pierre , mais surtout le rendent accessible aux enfants, et ce qui ne gâche rien c'est qu'un euro pour chaque livre vendu est reversé à la Fondation de l'Abbé Pierre.



Henri Grouès né dans une famille bourgeoise catholique à Lyon en 1912. Son père, un homme très croyant et actif auprès des démunis le dimanche, a très certainement été à l'origine de sa vocation.

À l'âge de 19 ans, il devient "frère Philippe" chez les frères Capucins, il quittera l'ordre pour des raisons de santé et deviendra vicaire à Grenoble.



En 1943, une rencontre déterminante on le comprend en filigrane dans l'album, celle de Lucie Coutaz, il deviendra l'Abbé Pierre durant son action dans la résistance, il aidera des familles juives à quitter le pays, et des opposants dont le frère du Général de Gaulle.



1949 à Neuilly Plaisance, il achète une maison qui deviendra d'abord une auberge de Jeunesse puis le centre d'aide d'Emmaus tel qu'on le connaît, toujours avec Lucie Coutaz mais aussi avec Georges - le premier compagnon -, un ex-taulard qu'il recueille après une tentative de suicide. L'Abbé Pierre, cela a toujours été une vie de partage avec ceux qui n'ont rien. Avec eux il va essayer de trouver des solutions pour aider un maximum de monde, Emmaüs devient une communauté de chiffonniers, un mouvement qui lutte contre le mal-logement et accueille des sans-abris.



L'appel de l'hiver 54 est bien entendu évoqué, un grand mouvement de solidarité naît et la personnalité de l'Abbé Pierre s'affirme, grandit à l'international. Sans répit il se bagarre pour améliorer notre société, il inspire et rencontre Coluche. Jusqu'au bout il restera la personnalité la plus appréciée, il est toujours là et sa Fondation a encore malheureusement bien du travail aujourd'hui.



J'ai beaucoup aimé le dessin d'Abdel de Bruxelles tout en simplicité et douceur. C'est sobre comme l'était l'homme. Ce trait doux rend je pense la bd accessible à la jeunesse, important de continuer à transmettre ces belles valeurs.



Si cet album vous a plu et que vous voulez en savoir plus sur l'homme, je vous invite à voir le biopic récent avec Benjamin Lavernhe.



Ma note : 9/10


Lien : https://nathavh49.blogspot.c..
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L'abbé Pierre, le combat d'une vie

Henri Grouès naît en 1912 dans une famille bourgeoise catholique. Tous les dimanches, il voit son père venir en aide aux plus démunis. Il prononce ses vœux en 1931 puis se fait remarquer pour de nombreux actes de résistance pendant la guerre qui le baptise, pour la clandestinité, l'Abbé Pierre.



Cet album retrace chronologiquement par une succession de saynètes, les moments importants de la vie du créateur d'Emmaüs. Une vie effectivement tournée vers ceux qui n'ont rien, ceux qui sont à la rue, ceux qui souffrent.



Vincent Cuvellier trace ainsi le portrait d'un homme qui a dû se battre pour pouvoir aider: de l'idée de devenir chiffonnier pour rapporter de l'argent à Emmaüs à l'appel de l'hiver 54, de ses voyages pour développer la communauté dans le monde entier à son naufrage en 1963 en Argentine qui lui fait prendre conscience que Emmaüs doit vivre sans lui.



Abdel de Bruxelles, dont j'avais admiré le travail dans l'album 'Tanger sous la pluie", propose ici un dessin très doux, très "jeunesse" à cet album et le rend ici abordable à tous les publics lecteurs.



Cet album est une jolie façon de découvrir davantage la vie de l'Abbé Pierre. Le curieux que je suis aurait aimé en savoir encore plus mais ce livre est une porte d'entrée et un achat utile: Pour chaque exemplaire vendu, 1€ est reversé à la fondation Abbé Pierre.
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Tu parles, Charles !

Charles est différent, pas à la mode, pas très dégourdi et subit sans broncher les moqueries et brimades de ses camarades de classe... jusqu'au jour où suite à un accident il doit rester immobilisé chez lui et un de ses camarades du voisinage doit lui apporter ses devoirs... et découvre sa vie à la maison, couvé par des parents âgés...
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Le temps des Marguerite

Elles s'appellent toutes les deux Marguerite, ont 12 ans et vivent dans la même maison, dans la même rue à un siècle d'écart. L'une vit en 1910, l'autre en 2010. La petite Marguerite de 1910 vit avec ses parents, ses deux frères, sa soeur et la bonne et la petite Marguerite de 2010 est fille unique et vit avec ses parents.

A un siècle d'écart les deux Marguerite s'ennuient et décident toutes les deux d'explorer le grenier. Elles enfilent une vieille robe et s'enferment dans la même malle. Quand elles ressortent de la malle, elles ont changé de siècle.

Leurs découvertes respectives des règles morales et familiales en vigueur à chacune des deux époques et de leur nouvel environnement (sorties dans la rue et au parc) vont permettre aux jeunes lecteurs (à partir de 6-7 ans avec un adulte) de comparer les différences à un siècle d'écart. Les différences de langage et d'éducation entre les deux préadolescentes amènent à des situations cocasses.

Le roman graphique est bien présenté : sur le haut des pages nous suivons les deux Marguerite en 1910 et sur les pages du bas les Marguerite en 2010. Les couleurs sont chaudes en 1910 et froides en 2010.

Les illustrations sont agréables, le scénario est simple, en résumé une jolie petite leçon d'histoire. On regrettera sa longueur, la leçon est très courte.

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Émile veut une chauve-souris

J'adore ce livre.

Comme animal domestique, Emile veut une chauve-souris.

Sa maman avance des arguments "contre "et lui des arguments "pour".

Finalement, il va opter pour un autre animal et pas le moindre.

Les enfants qui ne connaissent pas les chauve-souris sont très intéressés et il faut le dire, Emile est marrant.

A partir de 4 ans
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La fois où je suis devenu écrivain

Mon avis : Voila une très jolie autobiographie de Vincent Cuvellier à la fois courte et sincère, on découvre les hauts et les bas de cet écrivain maintenant reconnu. Encore un superbe roman des éditions du Rouergue rempli d’authenticité



Du coté de l'histoire : c'est l'histoire d'un garçon un peu paumé, déscolarisé, qui se révèle à tous par un concours d'écriture.

Lui qui est toujours l'un des derniers de la classe, remporte un jour le premier prix littéraire .

Ce prix n'est que le début de son périple, en effet ce n'est pas un début où tout lui sourit, non il va devoir affronter beaucoup d’obstacles pour être l'écrivain reconnu de maintenant.

À chaque page l'auteur nous rappelle que pour se construire, il faut du temps. Rien n'est jamais gagné d'avance. Ce prix littéraire, c'est ce qu'il lui fallait pour prendre confiance en lui et c'est ce qui va permettre à Vincent de tenir et de réussir.



Du coté de l’écriture : Elle est fluide, les mots sont pesés, j'ai vraiment passé un agréable moment de lecture avec ce jeune auteur, les pages défilent tantôt on y croit tantôt on y croit plus au rythme des aléas que rencontre Vincent Cuvellier, mais dans ce texte nous découvrons aussi un grand message d'espoir, pour tous les adolescents qui sont un peu perdus et qui ne savent pas comment aborder leur début de vie, ils vont découvrir qu'a force de ténacité et de confiance en soi et aux autres parfois et bien ils pourront réussir ce qu'ils entreprendront.



En conclusion : Un court roman rempli de sincérité, touchant et émouvant dans lequel on découvre un peu mieux cet auteur quarantenaire. Moi qui connais bien l'écriture de cet auteur à travers les livres plus jeunesse puisque j'ai lu la série: Émile à ma fille et que j'ai englouti le recueil d'histoires: Benjamin et ses copains, j'ai vraiment été ravie de découvrir cette autobiographie avec laquelle j'ai passé vraiment un excellent moment de lecture.
Lien : http://aupaysdelire.blogspot..
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Elisabeth sous les toits

1920. La petite Élisabeth débarque à Paris à la recherche ses parents. Avec un seul indice : une photo, et une adresse au dos. Elle trouve refuge dans une minuscule chambre sous les toits. Saura-t-elle retrouver ses parents et survivre seule à Paris ?



***



Retour dans le Paris de l'entre-deux-guerres avec ce sympathique roman jeunesse, qui nous entraîne à la suite d'une héroïne fantaisiste, une héroïne qui n'a pas froid aux yeux et ne se fie pas aux apparences. Une enfant qui a du caractère et ne s'en laisse pas conter ! Une petite fille qui garde espoir, toujours.



"Non, Élisabeth ne savait pas tenir une maison. Elle pensait que les maisons se tenaient toutes seules et qu'il valait mieux courir dehors toute la journée et toute la nuit."



Sur sa route, la petite Élisabeth va faire des rencontres, plus ou moins effrayantes, et même croiser quelques artistes célèbres de l'époque (Blaise Cendrars, Modigliani, Picasso...). Les personnages qu'elle croise sont atypiques, hauts en couleur, et derrière un abord parfois abrupt, souvent bien attachants. Derrière elle, le lecteur effectue une visite touristique de Paris, entre les beaux quartiers, les quais de la Seine, les Halles, la tour Eiffel, la Bastille et même la prison de la Santé.



Globalement, c'est une histoire assez mignonne, une petite enquête qui mêle l'humour, le mystère et une petite touche de fantastique avec les Schmollls, ces créatures qui se nourrissent des malheurs des gens. Les illustrations en noir et blanc de Guillaume Bianco sont parfaites pour aider le jeune lecteur à se représenter les lieux et les personnages.



Une chouette lecture pour ma part !







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Elisabeth sous les toits

Au début du récit, j’ai eu un peu de mal à accrocher, car l’histoire commence sans introduction, et il a fallu quelques chapitres pour que je rentre totalement dans ma lecture. J’ai alors suivi la quête d’Elisabeth avce beaucoup d’attention.



La grande force de ce livre, c’est sa forme : il s’agit d’un beau roman relié, avec une très belle couverture et des chapitres ponctués d’illustrations de Guillaume Bianco, un illustrateur dont j’apprécie énormément le style.



Les dessins sont simples, les représentations des personnages collent très bien à l’image que s’en font les lecteurs, et apportent une véritable plus-value à l’histoire.



Le style de l’auteur, Vincent Cuvellier, m’a bloquée par moments, car il alterne entre du vocabulaire familier et du vocabulaire soutenu. Je pense que certaines tournures de phrases peuvent être complexes à comprendre pour des lecteurs de 9 ans, et l’alternance de registres risque de les empêcher d’entrer complètement dans leur lecture.



Ce roman est un bon compromis entre beau livre et roman jeunesse. Il plaira à tous les jeunes curieux qui aiment les belles choses, qui ont soif d’aventure, et qui n’ont pas peur des petites créatures qui rôdent dans l’immeuble d’Elisabeth !



Merci à la maison d’édition pour cette belle découverte !
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La fille du président, tome 1 : Premier tour

Pas facile d’être la fille du président, juste élu, de la République ! La jeune Emilienne se perd au palais de l’Elysée, sous le regard d’une galerie d’anciens présidents qui commentent ses passages. Elle y apprend, entre autre, que les chambres ont des présidents et les cabinets des chefs. Ses parents sont si occupés qu’une nurse est charger de s’occuper d’elle. Heureusement il y a Jean-Kevin, le fils d’un agent de la sécurité pour l’aider et la ramener à des jeux de son âge. Saura-t-elle déjouer le complot qui se trame contre son père ?

Les personnages de cette BD sont expressifs et croqués avec humour, les dialogues amusants, bien adaptés pour les 8/9 ans. A offrir, juste avant les présidentielles de ce printemps pour familiariser les jeunes enfants avec la vie politique.

Je pressens que je vais être obligée d’acheter le tome 2, quand il sortira, à mes petites filles !

Merci aux éditions Auzou et à Babelio pour ce Masse Critique jeunesse.

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La tête en vacances

C'est difficile de retourner en classe lorsqu'on a encore tous les beaux souvenirs de vacances qui flottent autour de nous.



Vincent Cuvellier et Anne Laval coopèrent afin de nous offrir un album au rythme poétique et enivrant, où la transition vacances/école se fait encore difficilement. Même la maîtresse a encore la tête un peu ailleurs, c'est pour vous dire...
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Émile et le joint de culasse

Le joint de culasse est une pièce qui plaît beaucoup à Emile et, franchement, ça sonne super bien. Complètement décalé, cet album d'Emile fait partie de ceux qui sont tordants. Cet enfant au caractère particulier sait être drôle.
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La cire moderne

A la mort de son oncle, Manu hérite du stock de cierges de sa société La cire moderne. « Un très beau patrimoine » selon le notaire qui n’inspire pourtant pas grand-chose au jeune homme, plus habitué à fumer des pétards qu’à fréquenter les églises. Accompagné de sa petite amie Sam et de Jordan, le frère lourdingue de cette dernière, Manu charge les cartons de cierges dans un combi Volkswagen et part faire le tour des paroisses pour écouler le stock, avec l’idée de s’offrir une fois sa tournée achevée des vacances au Maroc. Mais en chemin « l’héritier » est frappé par la foi. Il n’a rien vu venir et cette hôte inattendue va bouleverser ses projets et ses certitudes.



Un road trip atypique, d’abord léger, qui vire au cheminement spirituel avec un naturel désarmant. Manu, Sam et Jordan sont de touchants jeunes d’aujourd’hui. Nonchalants, je-men-foutistes, fêtards et prenant la vie comme elle vient sans se poser de questions. Leur trio fonctionne à merveille, c’est dynamique, drôle et surtout très réaliste. Les dialogues sonnent juste, la narration est fluide, portée par un dessin en noir et blanc et un découpage d’une parfaite lisibilité.



Vincent Cuvellier aborde le sujet de la conversion loin de tout prosélytisme. Il parle de sexualité et de religion sans sombrer dans la caricature et épargne au lecteur des bondieuseries qui n’auraient pu qu’alourdir son propos. Sous le vernis de la légèreté apparaît au final une vraie profondeur de réflexion, c’est incontestablement la plus grande réussite de cet album inclassable.


Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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Émile est invisible

Emile se croit invisible.

C'est avec cet album que j'ai fait connaissance avec ce gamin que j'adore.

Néanmoins, ce n'est pas mon "Emile" préféré. Il est cent fois meilleur dans les autres histoires.
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Le roi des mouettes, la reine des chouettes

Assez dramatique et théâtrale, cette fable écologique dénonce la pollution perpétrée par les hommes. Les animaux de la décharge, devenus tout puissants tant les ordures envahissent tout, vont gagner la guerre contre les hommes. Ceux-ci chassés, démunis, vont vouloir se réfugier dans la forêt pour survivre. Mais les animaux de la forêt ne l'entendent pas ainsi : tout ce qui vient des hommes est mauvais... Oui, mais une petite chose va finalement les faire changer d'avis...

Heureusement ce récit assez sombre est ponctué d'un peu d'humour. Pour une prise de conscience salutaire.
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La fille verte

Cet album présente un texte copieux sur sa trentaine de pages consacrées à l’écrit, l’illustration occupe une douzaine de pleines pages et se glisse parfaitement dans un espace contenant du texte. Très dense, l’iconographie n’en est pas moins discrète par le choix de ces couleurs adoucies et le graphisme se veut assez classique par rapport au livre pour enfant dans ses formes mais original dans ses compositions (ce qui permet de surprendre à plusieurs reprises le lecteur).



Une enfant d’une douzaine d’années se sent grandir à un moment où elle perd aussi ses repères matériels (changement de lieu d’habitation et d’école). Le jardin commun de ce petit immeuble où elle loge va devenir son refuge et elle va nouer des relations privilégiées avec ceux qui y résident qu’ils soient animaux ou plantes. Parmi ces habitants un rôle particulier est réservé aux chats dont on connaît la large place dans des imaginaires variés.



Bien qu’adapté à un large lectorat de huit à douze ans, cet album sera à l’évidence ressenti très différemment selon les âges.


Lien : http://www.babelio.com/ajout..
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Émile fait la fête

Emile est terrible, Emile est exigent, Emile est excellent. Aujourd'hui Emile veut faire la fête : on fait tourner le pyjama au dessus de la tête, on fête son anniversaire 6 mois à l'avance, on invite personne parce que partager c'est nul, mais on réclame des cadeaux parce que les cadeaux c'est le meilleur dans les anniv'.

Bon c'est simple : si plus tard j'ai un fils, il sera comme Emile. Ou je le rend à la maternité. Non mais!
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L'histoire de Clara

Dans cette histoire, chaque chapitre est raconté par un personnage différent qui a joué un rôle dans la jeune vie de la petite Clara. Chacun, à sa manière, a contribué à la garder saine et sauve. Et elle a eu beaucoup de chance, cette petite Clara, de tomber sur ces personnes qui ont su garder humanité et courage malgré cette terrible guerre.

Un livre court, joliment illustré qui parle de la guerre et des illustres inconnus qui ont su faire le choix d'aider ceux qui en avaient besoin, à leurs risques et périls.
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Emile fait la politique

Émile s'intéresse à la politique. Ça tombe bien, c'est les élections présidentielles !



Vincent Cuvellier caricature la politique et les politiques a travers les yeux d'un enfant qui, mine de rien, a de sacrées réflexions. Il tombe parfois dans la facilité mais c'est globalement drôle. Peut-être plus pour les adultes que pour les enfants d'ailleurs.
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