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Critiques de Walter Scott (156)
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Quentin Durward

Je n'avais de Quentin Durward qu'un vague souvenir, celui de mon père, me donnant ce livre à lire lorsque j’avais une dizaine d’années …

Souvenir de famille donc, souvenir historique :Louis XI si retors, cruel et rusé, comme indiqué dans les petits encadrés rectangulaires bleus des livres d’histoire de ma scolarité en primaire, avec son si célèbre adversaire Charles le Téméraire.

Ivanhoé du même auteur, je ne me souviens que du film et point du livre.

Cette aventure me fait penser à celle de Jean D’AILLON avec GUILLEM d’USSEL, si je ne m’abuse ou à celle plus récente de Nicolas LE FLOCH, ou pourquoi pas BERNIE GUNTHER.

Donc à chaque époque ces auteurs qui aiment mêler fiction et réalité historique, fiction entre personnages fictifs et personnages ayant existé.

J’avais aimé ce livre à l’époque, traduisant sans doute déjà ce même goût aujourd’hui.

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Ivanhoé

IVANHOÉ

Auteur : Walter Scott

Genre : Aventure/Moyen-Âge/ Retour de Richard Plantagenêt (Richard Coeur-de-Lion) en Angleterre.

Première Publication : 1820 : l’auteur avait commencé à écrire cet ouvrage en 1 819.

Premier Traducteur : Auguste Jean-Baptiste Defauconpret (avec un N avant le P, 1767-1843).

Dernier traducteur/Éditeur et préface avec annotation : Alain Jumeau.

Écriture : Police petit caractère (les annotations sont encore plus petites).

Pages : 732 avec notation et mini-biographie de l’auteur.

Édition : Livre de Poche (Alain Jumeau).



Résumé :

Tournois, combats, complots et amours.

Avec Ivanhoé, Walter Scott abandonne l’Écosse pour l’Angleterre du XIIe siècle, celle de la résistance des Saxons contre les Normands, leurs maîtres depuis la conquête de 1 066. Son héros s’y trouve pris dans l’entrelacs et les conflits des fidélités familiales, féodales, amoureuses.

Son père veut briser ses amours au nom d’une chimérique restauration de la royauté saxonne. Son roi et bienfaiteur, Richard Coeur-de-Lion, qu’il a accompagné à la croisade est à son retour menacé d’être dépossédé du trône par les intrigues de son frère Jean et de ses alliés. Ivanhoé doit défendre son roi, regagner son héritage, sa place dans sa famille et la belle Rowena. Il lui faut combattre sur tous les fronts, y compris celui de l’amour.



Mon avis personnel :

Je n’ai pas lu la seconde ancienne traduction, celle d’Alexandre Dumas Père qui c’était lui aussi intéressé à Ivanhoé, car, il avait écrit dans le même style que celui-ci : Robin des Bois. Non, je me suis plus intéressé à la première traduction, celle d’Auguste Jean-Baptiste Defauconpret, certainement le traducteur le plus proche de l’original.



Le nouveau traducteur est un historien ; il n’a pas trahi l’œuvre de Walter Scott ; il a simplement vérifié les dires historiques de son auteur original.

Est-ce une bonne traduction, vu qu’Alain Jumeau s’étendait plus sur les travaux d’écriture de Defauconpret que celle de Dumas auquel ces derniers plus faciles à lire, mais pas forcément dans l’originalité.



Bien sûr, je suis assez déçu du livre de Walter Scott, dont, j’ai une préférence pour ses écrits de son Écosse Natale (Les Warweley, Rob Roy et Quentin Duward).

Qu’est-ce qui m’a déçu ?

Le Héros, lui-même !

Le livre original de Scott, s’appelle bien Ivanhoé, seulement ce personnage littéraire, je le trouve assez fade, car sur 44 chapitres, le présumé héros est uniquement ou entièrement dans cinq ou six chapitres, le reste des autres chapitres sont contenus sur le Chevalier Noir, Locksley (Robin des bois), Cédric, le père d’Ivanhoé, Rebecca, Isaac de York, père de Rebecca, Brian De Guilbert, et Maurice de Bracy (mon personnage préféré du livre). Ce dernier qui paraissait le gros méchant du bouquin, est en réalité le seul qui se pose des questions sur sa loyauté. Pour moi de Bracy, est le personnage le mieux travaillé, peut-être aussi le plus intéressant, car il sait que l’Angleterre est perdu sans un vrai roi, comme bon Normand de façade ; il va décider de rejoindre à la fin du roman le Roi de France. Le personnage que je blâme le plus, est Brian Bois de Guilbert, un pauvre pantin de l’Ordre des templiers qui s’amourache d’une jeune guérisseuse juive, Rebecca qui en réalité le déteste. Sa fin est grotesque ; il meurt d’une profonde émotion qu’Ivanhoé blessé lors du dernier tournois disait - « Que c’était la vengeance de Dieu ».

Un peu trop gros comme argument. Le dernier chapitre m’a laissé complètement indifférent, le personnage Locksley disparaît vers l’avant-dernier chapitre sans aucune raison, (on entend plus parlé de lui), alors que celui-ci était visible que celui du soi-disant héros dans plus de vingt chapitres.



Le Livre de Scott se concentre uniquement sur Le Chevalier Noir dont ses surnoms sont Le Chevalier Feignant, puis Le Chevalier aux Cadenas. Qui est-ce mystérieux chevalier qui apparaît au troisième chapitre, jusqu’au dernier ? Un mystère que vous seul, vous découvrirez en lisant ce roman.



Un point de vue intéressant dans le livre Les Normands et les Saxons sont frères ennemis : Richard Plantagenêt et le Prince Jean ou Jean sans-Terre sont frères ; leur mère est Alienor d’Aquitaine, la Régente Mère de France…

On comprend mieux, maintenant pourquoi, le personnage d’Ivanhoé fut adapté une seule fois au cinéma à Hollywood dans les années cinquante avec les deux Taylor (Robert et Elizabeth, aucun lien parenté), et que le scénariste pour rendre solide son histoire devait se sentir obligé de tricher avec le livre de Scott en gardant uniquement le passage du héros du tournoi et du château en flamme, le reste pour donner une force au personnage central est une pure invention narrative pour le cinéma hollywoodien.
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Quentin Durward

Le roman de Walter Scott est un classique.Il narre les (més)aventures d'un jeune chevalier écossais au service du roi de France et plongé dans la guerre qui oppose ce dernier à Charles le Téméraire, duc de Bourgogne. Bien entendu, il succombe aux beaux yeux de la demoiselle de service et ferraille pour occire les méchants et faire respecter le bon droit.
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Ivanhoé

Un vrai roman du XIXe. Toutes les caractéristiques des œuvres de cette époque s'y retrouvent. Des hasards tout sauf subtils, des passions mortelles, la transposition des valeurs du XIXe à l'époque du Moyen Âge.



La lecture est simple est agréable. L'oeuvre a le mérite de poser des questions sociales, telles que l'antisémitisme, bien retransmises dans le contexte de l'époque mais qui restent marquées par les préjugés de la période romantique.



Un classique qui ne déçoit pas.
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La fiancée de Lammermoor

Je n'ai pas réussi à accrocher, trop noir, trop long et l'auteur nous dévoile la fin dès le début ...
Lien : http://chroniquesdunchatdebi..
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Le nain noir

Etant en panne de lecture, j'ai pioché dans la bibliothèque familiale pour en sortir un roman lu par ma fille à la demande de son professeur de français quand elle était en 2de.

Quel livre compliqué ! Il est parfois difficile de suivre l'intrigue avec toutes ces longueurs et ces personnages qui changent de nom...malgré l'introduction sensée nous préparer à la lecture.

Bref, même si j'ai réussi à aller jusqu'au bout, je ne vois pas l'intérêt de ce roman. Et je trouve ma fille bien courageuse d'avoir eu à l'étudier (je ne suis pas sûre qu'elle ait tout compris et qu'elle s'en souvienne encore !).

Curieux choix de ce professeur de lycée !

Je le remets à sa place dans la bibliothèque au cas où son frère doive l'étudier quand viendra son tour...tout en espérant que la liste soit différente.

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Ivanhoé

Il faudrait que je le relise avant d'ajouter une critique... Mais jeune, j'ai adoré ce livre chevaleresque.
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Ivanhoé

Il faudrait que je le relise avant d'ajouter une critique... Mais jeune, j'ai adoré ce livre chevaleresque.
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Quentin Durward

Encore un ouvrage qui a bercé ma jeunesse. Moins puissant qu'"Ivanhoé" dans mon esprit, mais si je devais les relire maintenant aurais-je le même avis ?

Le roman se déroule lors du conflit entre Charles le Téméraire et Louis XI.

Le jeune Quentin Durward, noble écossais, vient chercher fortune en France et s'enrôle dans la garde de Louis XI.

Et c'est parti pour les aventures chevaleresques.

Un très bon souvenir (je l'avais lu deux fois d'ailleurs) un peu attenué à l'époque par un sentiment persistant que l'esprit chevaleresque déclinait inexorablement, d'ou cette légère déception qui ferait, peut-être, tout le sel de cette lecture à mon âge

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Histoires de fantômes

Ce livre a été le premier ouvrage bilingue que j'aie eu l'occasion de lire et je dois dire que la mise en page m'a quelque peu surpris. Sur une page, le texte original en anglais et en gras, et sur la page d'en face, la traduction française en typographie habituelle. Certes, l'usage du « gras » permet de bien distinguer les deux langues, mais cela demande une gymnastique visuelle relativement désagréable. En dehors de cela, le texte anglais est accompagné de nombreux renvois de vocabulaire sur le modèle des notes de bas de page qui donnent soit un synonyme plus courant, soit une traduction française, et appuient utilement la lecture.



Concernant les nouvelles rassemblées dans ce recueil, si j'ai apprécié découvrir celle de Walter Scott (l'ambiance était particulièrement bien rendue) et si j'ai frissonné en lisant celle de Bram Stoker (une maison avec trop de mauvais souvenirs et des rats, que demander de plus ?), je dois avouer que j'ai été déçu par celle de Washington Irving. Ayant vu Sleepy Hollow de Tim Burton, je reconnais que je m'attendais à quelque chose de plus fort, de plus prenant, voire de terrifiant, mais, au final, je trouve qu'elle détonne un peu.



Cela dit, c'est un style d'ouvrage intéressant car il permet de mettre en parallèle un même passage dans deux langues différentes et, ainsi, apprécier sinon effleurer la lecture d'un livre en langue originale. Les trois nouvelles rassemblées ici permettent aux débutants dans le genre de l'horreur d'avoir un bon échantillon de ce qui les attend en lisant ce type d'ouvrages et, aux plus érudits qui ne sont pas forcément très à l'aise avec l'anglais, de découvrir leurs auteurs préférés sous un format inédit.
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La fiancée de Lammermoor

Point de folle passion à la Claire et Jamie dans ce classique écossais 😆 mais je n’en attendais pas autant. Walter Scott a dicté ce récit alors qu’il était empreint de vives douleurs et alité. Il fut le premier surpris du résultat final••

Il nous livre ici un récit « d’amour et de mort » des plus Shakespearien entre Edgar Ravenswood dont la famille a été déposédée de ses biens et Lucie Ashton, fille du Garde des Sceaux d’Ecosse responsable de cette situation. •



Alors, oui, le récit est lent , beaucoup de descriptions et de dialogues et il faut attendre la moitié du roman pour que l’histoire d’amour commence réellement mais j’ai tout de même passer un bon moment de lecture. Un classique du genre avec une pointe de surnatuel et un personnage haut en couleur sous les traits du serviteur Caleb. J’ai trouvé cependant qu’il manquait de l’intensité dans les sentiments amoureux des héros. Pour terminer, une bonne préface de Charles Chassé où l’on apprend que l’auteur s’est inspiré de faits réels!


Lien : https://www.instagram.com/ma..
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La fiancée de Lammermoor

Avant de débuter la lecture la préface nous donne des informations sur l'auteur. On apprend que Walter Scot à une grave maladie qui l'affaiblit énormément mais qui arrive à dicter son récit à des scribes. Il fait face à d'horribles souffrances mais continue sans s'arrêter de dicter les aventures de la Fiancée de Lammermoor. Il en va même être étonné...



Deux familles de nobles gens ne s'entendent plus à cause des histoires du passé. Deux clans bien distinct et pourtant qui vont se réunirent pour arranger la perte conséquente des deniers d'une famille. Lucy et son père, par une mésaventure va faire la connaissance de Sir Ravenswood qui leur sauve la vie.

A ce moment rien ne dit que ce sont des anciennes familles rivales et que Lucy et Ravenswood vont être charmés l'un par l'autre. Le père de Lucy n'y voit pas de réels inconvénients mais son épouse, Lady Ashton n'est pas du tout du même avis.

Alors s'enclenche une petite guerre entre les familles...



Livre digne d'une pièce de théâtre et pour lequel j'ai eu beaucoup de mal à le lire. Il m'a prit beaucoup de temps même en ayant survoler quelques passages. Je n'ai pas trouvé de réel suspense.
Lien : https://masatgieraa.blogspot..
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Histoires de fantômes

Ce fut un bon moyen de lire me faire lire en anglais, je veux dire un lire qui ne fut pas imposé par l'école ou ma licence d'anglais. J'ai trouvé l'idée pas mal une page en français et une page en anglais comme ça si on comprend pas on peut toujours aller vérifier et puis le vocabulaire difficile est vraiment bien expliqué. Les nouvelles sont bien, enfin j'ai une grand préférence pour Bram Stocker car les autres sont trop longues et le niveau est très élevé.
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Ivanhoé

Un très bel ouvrage
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Ivanhoé

Synopsis: Cédric veut rendre sa souveraineté au peuple saxon par le jeu des alliances, après avoir renié son fils qu'il accuse d'allégeance à l'ennemi.



Avis: C'est une lecture agréable avec quelques bonnes surprises. Le personnage éponyme n'est pas le centre de l'histoire, celle-ci insistant sur l'opposition entre les camps saxon et normand, et accessoirement sur le Juif Isaac d'York.
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Ivanhoé

Probablement le premier roman historique que j'ai lu après l'avoir vu au cinéma . Un beau souvenir de ma jeunesse.
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