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Critiques de Willy Lambil (148)
Les Tuniques Bleues, tome 62 : Sallie

Et dire que j'avais acheté le premier tome des Tuniques (un chariot dans l'ouest) à sa sortie, histoire de voir, et que je viens de refermer le 62e.

Toujours aussi sympa cette série;. Sous l'humour, la culture. Cette fois c'est l'histoire Sallie, une chienne mascotte du 22e . On apprend également que le général Lee n'a jamais fait d'infidélité à son cheval 'Trveller" et même qu'il s'était entiché d'une poule.

Clin d'oeil, humour mais surtout authenticité. Comme quoi les enfants peuvent travailler leur culture générale à travers la bd.

La longévité de cette série peut aisément prouver sa qualité
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Les Tuniques Bleues, tome 13 : Les Bleus da..

Une femme chez les tuniques bleus...et voilà notre bon Chesterfield tout mielleux. A mon goût ce n'est pas la plus réussie de la série même si l'humour est toujours présent entre Blutch et son Sergent. L'histoire est trop prévisible et la touche féminine aurait pu être plus développée.
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Les Tuniques Bleues, tome 11 : Des Bleus en..

Outre le talent de Willy Lambil et Raoul Cauvin à nous faire rire et nous détendre à travers les aventures extraordinaires de nos héros, le caporal Blutch et le sergent Chesterfield, ce que j’apprécie particulièrement dans les tuniques bleues, c’est que pratiquement tous les albums sont inspirés de faits réels.



Ce tome met en scène habilement la photographie émergente de l’époque, au travers de ces terribles boites noires sur trépieds, mais ce n’est pas tout…



Cet album fait référence aussi aux premiers reporters de guerre, notamment en la personne de Mathew B. Brady, personnage ayant réellement existé et réellement mandaté par le président Lincoln.

Alexander Gardner, non présent dans l’album, a été aussi l’un des pionniers des reporters de guerre, en même temps que Brady.



Enfin cet opus décrit aussi une réalité traversant presque tous les ages, qui est l’ingratitude de notre société envers les simples soldats : les hauts gradés récoltant toujours les mérites au mépris des simples troufions. Les soldats seraient apparemment sans intérêts dans la hiérarchie militaire et ne mériteraient pas d’être décorés. Le sergent Chersterfield en sera victime dans l'album.



Pour en revenir à la BD, celle-ci est pleine de rebondissements, de bonnes mises en scène, et de terribles vannes et tirades. Le scénario est extrêmement bien construit et découpé, quoique peut-être parfois un peu trop rapide dans la succession des évènements.



Le dessin… rien à redire, toujours très caricatural et hilarant.

Un bel effet.



A noter la présence du personnage du Président Lincoln « Himself », personnage si rare dans les tuniques bleues et pourtant si réussi !



Mon seul regret : pourquoi n’y a-t-il pas eu une édition en noir et blanc de cet album. Cela aurai été très approprié.





Pour en revenir au personnage de Mathew B. Brady, je vous invite à suivre le lien suivant :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Mathew_Brad





Et Alexander Gardner :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Alexander_Gardner_%28photographe%29


Lien : http://www.7bd.fr/2014/10/le..
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Les Tuniques Bleues, tome 1 : Un chariot da..

Une BD amusante, sans plus.

Avec Blutch, Chesterfield en personnages centraux.

Dans ce tome, ils sont chargés d'amener un chariot de munition dans un fort. Puis ils le perdent, puis en récupérer un autre, pour finalement ....

En clair, ils ne sont pas très doués !
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Les Tuniques Bleues, tome 7 : Les Bleus de ..

Pour les amateurs de BD intéressés par la guerre de Sécession, cet album de la série « Les tuniques bleues » vaut vraiment le coup d’œil.



Le sergent Chesterfield et le caporal Blutch sont renvoyés de la cavalerie, l’un pour insubordination et l‘autre pour lâcheté. C’est l’occasion pour les auteurs de passer en revue les différents corps d'armée de l’Union. En effet, nos deux compères sont successivement mutés chez les fantassins, dans l’artillerie et à l’infirmerie. Cette dernière affectation montre une fois de plus l’esprit humaniste de la série (nordistes ou sudistes peu importe quand les hommes souffrent). Toutes ces péripéties pour arriver dans la marine. Chaque corps se considérant comme le plus « noble », cela donne lieu à des scènes assez cocasses (un marin en présence d'un cavalier : « ça sent le crottin de cheval ici... » etc.).



Donc, nos deux héros se retrouvent sur un voilier en bois qui ne pèse pas lourd face au « Davidley » un sous-marin sudiste. De même, le « Merrimac », un redoutable cuirassé de la Confédération ne fait qu’une bouchée des voiliers nordistes. Seul son homologue de l’Union, le « Monitor » peut faire jeu égal avec lui. Un terrible combat s’engage alors entre les deux cuirassés, des navires révolutionnaires pour l’époque. Au passage, le lecteur apprend que la flotte sudiste devait faire preuve d’ingéniosité technologique pour contrer la supériorité navale nordiste et ses moyens industriels importants.



Sinon, avec ses jolis dessins Lambil a trouvé son style. Ici, les différentes batailles navales sont particulièrement bien dessinées.



Voilà un album mouvementé, varié et drôle à choisir en priorité parmi les (trop) nombreux albums de la série.
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Les Tuniques Bleues, tome 20 : Black Face

Un album atypique le sujet du racisme y est traité sur un ton grave et intressant de mon point de vue
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Les Tuniques Bleues, tome 1 : Un chariot da..

souvenir de lecture...



D'abord affectés à Fort Bow (Un chariot dans l'Ouest, n° 1), Blutch et Chesterfield sont rapidement affectés au 22e de cavalerie du capitaine Stark (Du Nord au Sud, n° 2), alors que débute la guerre de Sécession. Ils serviront également dans l'artillerie, dans l'infanterie, comme aérostier (Les cavaliers du ciel, n° 8), dans la marine, sur le cuirassé Monitor et l'U.S.S. Kearsarge (respectivement dans Les bleus de la marine, n°7, et dans Duel dans la Manche, n° 37). D'ailleurs, nombre d'albums représentent des faits historiques en prenant le point de vue de nos héros pour les rapporter, notamment la bataille de Bull Run (n° 27), la traque de Quantrill (n° 36), ou les batailles de Grant (Qui veut la peau du général ?, n° 42, et suivants).



Mais leur principale affectation reste le 22e de cavalerie. Ils en sont généralement les seuls survivants, avec Stark, Blutch devant fréquemment sa vie à l'intelligence de sa monture Arabesque. Il en sont aussi les principaux recruteurs (Les bleus tournent cosaque, n° 12, Les cinq salopards, n° 21, Drummer Boy, n°31, Émeutes à New York, n° 45). Ils se chargent aussi de la remonte (Bronco Benny, n° 16, Des bleus et des bosses, n° 25).



Lorsqu'ils ne sont pas pourchassés comme hors-la-loi (Outlaw, n° 4, Les bleus en cavale, n° 41), ils passent leurs permissions à Fort Bow. Paradoxalement, il leur arrive également de poursuivre des déserteurs, sans grand succès (étonnamment!) dans Les déserteurs, n° 5, ou La Traque, n°50.



Ils ont beaucoup voyagé : au Mexique (El padre, n° 17), au Canada (L'or du Québec, n° 26), aux Pays-Bas (Duel dans la Manche, n° 37).



Ils ont participé à faire connaître la guerre en travaillant avec des photographes (Des bleus en noir et blanc, n° 11, Puppet's Blue, n° 39), à conserver le moral des troupes par le théâtre (Les bleus de la balle, n° 28), le cirque, sous le nom de Tim et Tom les frères siamois (Les bleus en cavale, n° 41).



On les trouve mêlés à des affaires d'espionnage (Les bleus dans la gadoue, n° 13, Le David, n° 19, La Rose de Bantry, n° 30, Les hommes de paille, n° 40, L'oreille de Lincoln, n° 44), ou de "travail" derrière les lignes ennemies (Et pour 1500 dollars de plus, n° 3, Rumberley, n° 15, Black Face, n° 20).

source : wikipédia
Lien : http://mazel-livres.blogspot..
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Les Tuniques Bleues, tome 1 : Un chariot da..

Dans ce premier tome de la série, le scénario est une vieille recette : des soldats contre des indiens qui cherchent chacun à leur tour à récupérer un chariot de munitions.



C’est l’occasion de découvrir les personnages et surtout le sergent Chesterfield et le caporal Blutch. L’un se veut plein de courage mais un peu balourd, l’autre est un poltron assumé. Leur duo fonctionne comme un vieux couple qui a du mal à se supporter mais ne peut pas vivre séparé. Tout du long, ils s’envoient des phrases bien senties et pleines d’humour.



Concernant le dessin, les personnages ont de bonnes têtes rigolotes qui les rendent très sympathiques. En résumé, c’est du pur divertissement et cela fonctionne parfaitement. Je vais poursuivre ma lecture de cette série.

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Les Tuniques Bleues, tome 1 : Un chariot da..

Le premier tome de la série et tout est déjà en place : le sergent Cornélius M. Chesterfield et le caporal Blutch déjà dans leur rôle et qui fonctionne bien.

Un récit purement humoristique assez chouette. De l'action rythmée par des gags et un scénario génial.

Bref, une lecture plaisante.
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Les Tuniques Bleues, tome 1 : Un chariot da..

C'est en 1981 que j'ai découvert "L es Tuniques bleues". Peut_être grâce au nom de son scénariste. Je suis immédiatement tombé dedans.

Dès le premier tome, tout est déjà en place. Les deux personnages du Sergent Cornélius M. Chesterfield et du caporal Blutch déjà dans leur rôle. Un peu Astérix et Obélix au temps des Bleus.

D'autres personnages récurrents suivront dans les prochains albums.

Cette album est en carton souple comme cela se faisait dans ces années-là.





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Les Tuniques Bleues, tome 62 : Sallie

À part les aspects historiques / véridiques qui servent de base à l’histoire (et qui sont plutôt étonnants et intéressants), le récit manque de rythme et d’intérêt.

Le sergent s’amourache d’un chien mais cela aurait été plus intéressant de développer ce lien (dans la même veine que l’album des bleus et des bosses)... Quant à Blutch qui se moque deux fois d’Arabesque, c’est plutôt absurde.
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Les tuniques bleues, tome 38 : Les planqués

Une histoire gentillette, encore une fois pas très recherchée mais on finit sur un Chesterfield qui fait son premier accouchement, un passage avec un peu d’humour et d’émotion. Avec une petite morale à la fin mais qu’il est loin l’époque des premiers albums des Tuniques Bleues !
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Les Tuniques Bleues, tome 55 : Indien, mon ..

Mes souvenirs des aventures de Butch et Chesterfield datent d'il y a très longtemps, du temps où j'étais abonné à Spirou. J'avais gardé le souvenir de chouettes BD, avec des dialogues bien sentis entre le caporal et le sergent, une habitude à commettre des gaffes et à se fourrer dans des situations impossibles.



Les souvenirs ne sont plus ce qu'ils étaient.



Les chevaux sont fatigués, l'armé en manque. Il faut aller en chercher au Texas, et donc traverser les territoires gardés par les Sudistes et aussi par les Comanches. C'est donc une mission risquée... pour nos deux compères qui vont aller chercher Plume d'Argent. Ils passent par le Fort où on a un gag avec la fille du Commandant dont Chesterfield est amoureux et qui est supposée être mariée à Blutch (cf. une autre aventure). C'est vaguement comique, mais c'est réchauffé. Un épisode chez les Sudistes plus tard, et on est bien au-delà de la moitié du tome quand ils sont chez les Comanches. Et il reviennent et basta...







Cauvin essaie de recycler de vieilles ficelles en espérant que le lecteur ne s'en rende pas compte. Pari perdu, Raoul! A moins que le lecteur en question ne soit frappé d'Alzheimer. Et à force de faire dans le réchauffé, cela attache au fond de la marmite.



Le dessin est OK, mais je doute que Lambil ait encore à poser le bout de sa mine de plomb dans l'histoire. Mention très bien, par contre, pour Leonardo qui met en couleur. C'est impeccable. Mais repeindre le Titanic ne l'empêche pas de sombrer.
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Les Tuniques Bleues, tome 1 : Un chariot da..

J'adore cette période de la guerre de sécession et cette petite virée historique en BD est pour moi un pure moment de plaisir, je ne m'en lasse pas. Les personnages sont drôles et attachants. Je vous recommande vivement ces ouvrages.
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Les Tuniques Bleues, tome 13 : Les Bleus da..

Les tuniques bleus c'est toujours aussi drôle j'ai adoré cette album avec toujours l'équipe le caporal Blutch et le sergent Cherstefield, deux soldats très bête et naïf mais toujours très amusant. Bref c'est un album très sympathique.
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Les Tuniques Bleues, tome 33 : Grumbler et ..

En juillet 1862, la législation fédérale interdit la bigamie. L'armée est chargée de l'appliquer en Utah, terre des Mormons. Blutch et Chesterfield ont donc droit à un intermède bienvenu dans la guerre de Sécession.

Dans une bourgade de l’État, Chesterfield tente de convaincre la communauté mormone du lieu d'appliquer la loi, pendant que Blutch s'intéresse à la famille du paysan Grumbler voisine, dont tous les enfants sont des catastrophes ambulantes, qui négligent la culture de la terre.

Le sergent Chesterfield à force de négocier avec les Mormons finit par se laisser convaincre par leur discours pacifique et envisage de quitter l'armée à la consternation de Blutch.

Cet album inverse donc les rôles de Blutch et de Chesterfield, Blutch se retrouvant à rappeler à son meilleur ami/ennemi son engagement dans l'armée. Blutch est d'ailleurs tellement sérieux dans cet album qu'il réussit aussi à remettre la très fainéante famille Grumbler au travail.

Pour ceux qui voudraient en savoir plus sur les rapports entre le pouvoir fédéral et la communauté mormone au moment de la guerre de Sécession, le thriller de Steve Berry l'Héritage occulté aborde la question en détail.

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Les Tuniques Bleues, tome 33 : Grumbler et ..

A nouveau un album loin des terrains de guerre. Voilà nos deux célèbres tuniques bleues en mission chez les mormons. Un retournement de situation assez inattendu, une famille de fermier complètement largué et un caporal pour régler la situation accompagneront votre lecture. Une BD agréable à lire .
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Les Tuniques Bleues, tome 28 : Les Bleus de..

Les tuniques bleues s'ennuient, et du coup il va falloir organiser un spectacle. Ce tome 28 est bourré de clichés mais cela rend l'album encore plus comique vu au second degré. Pauvre Sergent Chesterfield qui va en voir de toutes les couleurs.
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Les Tuniques Bleues, tome 11 : Des Bleus en..

Un bel album réussi, plein d'humour avec en bonus la venue du président sur les lieux de combats.
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Les Tuniques Bleues, tome 20 : Black Face

Les auteurs de la série « Les tuniques bleues » ont toujours observé une certaine neutralité envers les belligérants de la guerre de Sécession. A travers les personnages du sergent Chesterfield et du caporal Blutch, le regard porté sur l’ennemi confédéré est souvent plein de bienveillance. Dans le même temps, Cauvin et Lambil ne se privent pas de critiquer gentiment l’Union, histoire d’équilibrer la balance. Cette guerre civile est moche pour les deux camps.



« Black Face » met l’accent sur le sort peu enviable des noirs au sein même de l’Union. Bien sûr, comparés à leurs frères esclaves du sud, les noirs nordistes sont libres. Mais libres d’aller où on leur dit d’aller et pas ailleurs, libres à condition de respecter les blancs, de brosser leurs bottes, de creuser leurs latrines ou d’enfouir leurs morts et tout cela pour un salaire de misère, juste de quoi ne pas crever de faim…



Black Face, un soldat noir de l’Union, cantonné aux basses besognes comme beaucoup des siens, est envoyé chez l’ennemi dans le but de pousser les esclaves noirs du sud à se soulever contre les Confédérés. Comme l’Union a peu confiance dans ses soldats de couleur, il est escorté (et surveillé) par le sergent Chesterfield et le caporal Blutch pour mener à bien sa mission. Mais Black Face va au-delà de ce qui lui est demandé en s’attaquant aux civils propriétaires des plantations. Pire, lui et sa bande armée se retournent contre le camp yankee ! En fait, Black Face mène sa guerre contre les blancs quels qu’ils soient !



L’humour est toujours présent avec nos deux compères contraints une fois de plus de se déguiser en civils pour passer inaperçus derrière les lignes ennemies. Il faut les voir en médecins amenés au chevet d’un colonel confédéré pour le guérir, sur les supplications de sa fille…



Le plan imaginé par l’état-major de l’Union pour rendre les soldats de la Confédération responsables de l’issue tragique du siège contre les mutins n’est vraiment pas glorieux. Heureusement, c’est sans compter l’humanisme de nos deux protagonistes…



Cet album dégage pas mal d’émotions notamment avec les relations viriles mais finalement saines entre le sergent Chesterfield et Black Face. A ce sujet, on verserait presque une larme en lisant les deux dernières cases de l’album.



Une fois de plus, les dessins de Lambil, à la fois tout en rondeur (pour les deux héros) et réalistes, illustrent parfaitement la série.



« Black Face » est un album indispensable pour tout amateur des « Tuniques bleues » qui se respecte.
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