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Critiques de Yuji Iwahara (83)
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Dimension W, tome 6

Je savais fin du tome précédent que j'allais me régaler.. et c'est chose faite.



Tous les récupérateurs partent sur l'île de Pâques avec les deux princes africains. Tous pas tout à fait parce que Kyoma s'étant décidé a la dernière minute, il a demandé l'aide d'Albert pour gagner l'île.



Un épisode ou il y a des combats avec d'énormes robots et on apprend ce qu'il est arrivé aux habitants de l'île de Pâques.

C'est franchement très intéressant et très prenant. En effet plus on avance et plus on en découvre sur les rescapés de Grendel. C'est aussi l'occasion de savoir d'où vient N°4.



Certains graphiques sont de pures merveilles, même si d'un autre côté certaines planches font un peu brouillon, non pas par manque de qualité mais par un surplus d'informations.



Un tome ou je me suis juste régalée. Le seul hic c'est que ma bibliothèque n'a pas la suite.. du coup je vais essayer de les motiver afin qu'ils les achètent . Il me faudra donc un peu de patience pour poursuivre les aventures de Kyoma et Mira
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Dimension W, tome 5

Enfin !!! Il était temps que l'on en sache un peu plus sur Kyoma. On ne sait pas encore tout, mais un paravent de son passé est levé et donne pas mal d'explications sur son comportement. J'avoue que du coup on l'apprécie encore plus.



Un tome qui redonne un peu de pep's a la série. Déjà par la venue de nouveaux personnages assez mystérieux. Et qui laisse présager un concurrence entre les récupérateurs dans le prochain tome ce qui peut promettre de très bons moments au lecteur.



Les graphismes sont agréables.



Une grande envie de lire la suite assez rapidement
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Dimension W, tome 4

Il se passe des choses bizarres vers le barrage. Après le meutre de l'auteur vu dans le tome précédent , un nouveau meutre doit être élucidé. Si seulement c'était si facile. La dimension W s'en mèle et les choses ne sont pas réellement ce qu'elles sont.



Un tome assez dense ou il faut beaucoup de concentration pour suivre l'intrigue. Le scénario étant lui même assez compliqué les graphismes s'en ressentent.. et pourtant on reste dans un bon niveau qualitatif. Mais on en ressent un certains déséquilibre dans l'histoire.

J'ai également apprécié les petits détails qui font une grande différence. On retrouve avec plaisir certains personnages des tomes précédents mais sous une autre apparence.



Un tome ou je me suis a nouveau régalé mais je n'ai toujours aucune réponse quand au passé de notre récupérateur préféré.
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Dimension W, tome 3

Kyoma malgré sa répulsion des koils, travaille toujours en binome avec Mira.

Mary les convoque pour un nouveau job. mais une grand surprise les attend. C'est carrément new Tesla qui devient leur client. Ils doivent aller enqueter sur un endroit ou beaucoup de phénomènes paranormaux se produisent , mais surtout ils sont là pour élucider le "meurtre" d'un écricain.



Les graphismes sont toujours aussi bons et beaux. L'histoire est prenante et inquiétante à la fois. Le côté "humain" de Mira ressort énormément dans ce tome. On ressent fortement l'opposition entre l'humanité de Mira et la froideur de Kyoma.



Bien entendu le scénario est très bien travaillé et donne encore une fois envie de poursuivre l'aventure puisque beaucoup de choses restent sans réponses.



Mention spéciale (une fois de plus (encore !)) pour la jacquette qui avec son effet phosphorescent est juste une tuerie dans le noir. Celle-ci est encore plus belle que les deux précédentes.
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Dimension W, tome 1

2072 kyoma est récupérateur. C'est une sorte de mercenaire chargé de récupérer les coils (sorte de batterie d'énergie universelle) illégaux. Il est par ailleurs un des rares hommes à refuser toutes les nouvelles technologies.



Le hasard va lui faire croiser la route de Mira, femme-robot extrêmement rare et sophistiquée, orpheline d'un savant de génie. Ils vont alors former un duo improbable où chacun tente de supporter la présence de l'autre.



Première mission : tenter de récupérer les coils du "Loser" un batman excentrique qui signe d'une carte ses tentatives de vols...



Un manga futuriste qui dépend une civilisation où homme et robot fusionnent à divers degrés. L'action est principale dans ce premier tome même si l'on sent bien que l'énigme que constitue les deux personnages principaux ne peut que s'épaissir.

Un manga pour les amoureux de SF




Lien : http://cdilumiere.over-blog...
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Darker than black - Intégrale, tome 2

Cette seconde intégrale regroupe les troisième et quatrième tomes de la série, ce sont également les derniers. Il me tardait de reprendre là où je m'étais arrêtée, et je ne regrette pas car ce dernier volume est détonant.



Ça bougeait déjà pas mal dans les précédents, mais là c'est avec encore plus d'action que l'on suit les divers personnages. Les combats sont époustouflants, et c'est avec regret que l'on perd certains protagonistes.



Les passages d'un personnage à un autre, ou du présent au passé, sont également plus explicites.



Le dénouement, bien que prévisible, n'en est pas moins épatant.



Certains mystères demeurent sur les deux personnages principaux, le contractant BK-201 et l'agent Kirihama, mais j'imagine que certaines des réponses sont dans la série animée. Mais ça ne gêne en rien à la compréhension de l'histoire de cette série de mangas, qui paraît indépendante.



En résumé, j'ai beaucoup aimé cette petite série : une intrigue un peu banale mais bien construite ; des personnages un peu clichés et quasiment tous très beaux, mais bien campés et attachants pour certains ; beaucoup d'action et des combats spectaculaires.



Ça me démange maintenant de me procurer la série animée...
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Clevatess, tome 1

Dans un monde imaginaire... 13 héros du pays de Hiden se rendent dans une contrée lointaine pour tuer Clevatess du Clair de Lune, l'un des quatre rois-démons. S'ils réussissent à blesser le démon avec leurs épées, tous sont quand même décimés. Fou de rage, le démon se venge en attaquant Hidralt, la capitale du royaume de Hiden. Il veut savoir comment ces ridicules hominidés ont pu le blesser, et surtout, il veut en apprendre un peu plus sur eux avant de décider s'ils les exterminent tous ou pas. Une occasion lui est donnée lorsqu'un survivant lui confie un bébé. En l'élevant, Clevatess espère découvrir qui sont les hommes...



"Clevatess", avec ce premier volume, nous offre une entrée en matière rapide. le lieu, le contexte et les protagonistes sont en effet très clairement établis dès les premières pages. Pas de temps mort ici, l'action débute immédiatement dans un univers très riche et si l'on retrouve un schéma classique de fantasy avec d'un côté des démons et de l'autre les chevaliers héroïques, nous sommes bien ici dans un univers de dark fantasy. Les frontières entre le bien et le mal sont floues et malgré un certain humour, on déambule dans un univers violent et sombre où les démons justement ne sont pas forcément les plus féroces... En effet, l'auteur, en nous plongeant dans les pensées de Clevatess nous fait découvrir un démon qui pousse la réflexion, avec en face de lui des humains qui n'ont parfois plus grand chose à voir avec l'humanité justement. Les sévices physiques infligés au personnage d'Alicia, mais aussi ceux de Nell, la servante des brigands, ajoutent aussi à cette ambiance oppressante et parfois horrifique. L'aspect réaliste se dévoile également avec des considérations politiques et des luttes pour le pouvoir.



Mais c'est donc Clevatess qui mène la danse, observant dans un oeil froid et intéressé ces humains qui s'entretuent. Qui en sortira vivant ?



Avec un graphisme efficace accompagné de splendides aplats de noir, Yuji IWAHARA nous propose donc de suivre l'anti-héros par excellence, dans un univers de dark fantasy qui m'a bien séduite dans le genre.

Coup de coeur également pour la jolie couverture.





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Clevatess, tome 6

J’avais quelques appréhensions avec le virage « académie » pris par la série, le couperet est malheureusement tombé ici : j’ai moins aimé et j’ai trouvé cela inutilement compliqué pour combler un certain vide…



C’est vrai que je suis plus habituée à lire de la fantasy en roman et que j’ai toujours trouvé, sauf rares exceptions, que les auteurs d’autres médiums y réussissaient moins bien. Même si c’était classique, je pensais que Yuji Iwahara y réussissait plutôt bien dans sa première partie sombre et aventureuse. C’est moins le cas désormais. En voulant surfer sur la mode des Académies de magie, il tombe dans un The Ancient Magus Bride like qui ne me plaît pas où on suit des étudiants cachant tous un secret et affrontant des créatures sur le campus. Bof.



Pendant une longue partie de ma lecture, je me suis sentie perdue, ne comprenant pas les enjeux de tout cela après un premier arc plus riche et dense, avec de réels enjeux géopolitiques qui avaient pointé le bout de leur nez. J’ai eu l’impression d’un auteur surfant sur la mode, reprenant des topos un peu vides et se faisant plaisir avec des scènes tour à tour classes et mystérieuses, mais assez creuses quand on y regardait de près. Il a fallu les derniers chapitres pour que des éclaircissements commencent à apparaître mais cela ne m’a pas convaincue.



Cette fois la série prend le partie de s’intéresser de manière extrêmement lointaine et détournée au passé de ce monde et notamment aux Quatre démons fondateurs incarnant chacun un des points cardinaux. Mais pourquoi le faire dans le cadre d’une Académie ? C’est totalement saugrenu et inutile, à part pour rassembler en un même lieu des forces vives de différents états, mais j’en vois peu l’intérêt. Ça fait scène de crime un peu forcée à la Agatha Christie. Très peu pour moi.



Alors ça reste heureusement bien beau graphiquement, avec toujours ce noir profond dont je me réjouis. J’ai aussi aimé, en faisant abstraction de la moindre histoire, la façon dont certains élèves sont transformés contre leur gré en animaux et vivent à leurs hauteurs, le tout avec plein d’hallucinations bien anxiogènes. Ça rend très bien graphiquement, apportant une touche horrifique bienvenue. A l’opposé du spectre, même si ça n’apporte rien à ce stade, j’ai été contente d’avoir des nouvelles du charmant petit héritier que nous avons suivi dans le premier arc, et qui est adorable sous le trait de Yuji Iwahara qui dessine à merveille tout ce qui a trait à la magie, donnant un joli cachet aux pages.



Tome un peu de la discorde pour moi. Je pensais que l’auteur allait réussir à éviter les écueils des Académies-like, ce n’est malheureusement pas le cas. Un début trop flou, des explications quant au choix du lieu et de l’intrigue qui peinent à me convaincre. Reste heureusement un univers sombre qui me plaît, ainsi qu’une mise en scène graphique que j’adore. Mais j’attends bien plus de l’auteur, dont une vraie intrigue et réflexion géopolitique par la suite.
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Clevatess, tome 2

Avec sa couverture toujours du plus bel effet entre noirceur et rouge sang, Clevatess donne le ton d'un tome plein d'action où Alicia reçoit une belle mise en avant tandis que l'intrigue se complexifie à l'aide de nombreuses ramifications bienvenues.



Bien que j'aie beaucoup aimé le premier tome, je dois reconnaître avec le recul, qu'il était assez simple et linéaire au final. Yuji Iwahara répare cela avec un deuxième tome extrêmement dense qui nous emmène des tréfonds de la mine, dans les profondeurs d'un lac insondable, sur les routes, puis face à de nouveaux ennemis dévastateurs. C'est passionnant à suivre.



J'aime beaucoup la façon dont l'auteur continue de développer son récit autour de l'observation de l'humanité par le démon Clevatess d'un côté et autour de ce que celle-ci peut faire de plus sombre en se battant l'une contre l'autre sans cesse. Alicia est au coeur de cela. Héroïne sur le papier, elle est surtout pétrie d'un désir de vengeance qu'elle transcende grâce à sa passion pour les épées et l'aide de la veuve et de l'orphelin. Mais l'auteur revient aux bases avec elle ici, rappelant qu'elle est ce qu'elle est grâce à son père lui-même chevalier qui a été occis de la pire des façons.



L'univers de Clevatess est donc sombre et le demeure malgré les quelques lueurs d'espoir glissées de-ci de-là avec le petit bébé d'un côté et le sauvetage de sa nourrice de l'autre. Cependant, on est très vite rattrapé par ce qui représente un conflit d'ampleur entre les humains et la façon dont ceux-ci ont détourné la magie, qu'ils appellent "arts obscurs" afin d'avoir une arme supplémentaire sur les champs de bataille et de juste conquérir et conquérir encore. C'est assez manichéen en soit mais la façon dont cette violence et cette noirceur sont amenées dans l'histoire et gravées dans les pages avec le style trop pop de l'auteur rendent cela passionnant !



Même s'il y a moins de compositions marquantes que dans le premier tome, je me régale du trait très noir de l'auteur, qui puise une belle inspiration dans le bestiaire fantastique à coup de créature marine effrayante, de troll impressionnant et de familier au maître mystérieux. C'est super bien dosé et très bien posé pour relancer à chaque fois le récit dans une nouvelle direction, le tout avec un trait affirmé et marqué.



Le virage que continue à prendre la série, en refocalisant le récit sur les humains et les conflits qui les opposent, permet de vraiment donner une autre ampleur à celle-ci. J'apprécie ce que l'auteur fait pour composer une histoire autour de Clevatess et des humains qui l'accompagnent. Hiden n'est pas juste un bébé mais un héritier avec un gros potentiel de magie. Alicia n'est pas juste une héroïne mais une fille en quête de vengeance. C'est sombre, très sombre, et on en vient presque à se demande si ce n'est pas la créature obscure qui va apporter de la lumière. Surprenant !
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Clevatess, tome 1

Quand on me propose une nouvelle série dans un univers de Dark Fantasy, vu mon amour du genre, je ne peux qu'avoir envie de m'y plonger. Quand en plus l'auteur a déjà une certaine réputation de noirceur comme Yuji Iwahara, auteur du Roi des ronces, je me dis que ça ne peut que rendre la chose immersive et spéciale. Ce fut effectivement le cas.









Le mangaka est donc connu sur le sol français, il est arrivé au milieu des années 2000 chez Soleil avec son titre emblématique Le roi des ronces, qui dû rencontrer un certain succès puisque furent ensuite publiés chez différents éditeurs dans la décennie qui suivie : Nekoten chez Asuka, Le monde de Misaki et L'oeil du loup chez Delcourt, Dimension W et Darker than black chez Ki-Oon. Sa production oscille entre histoires mignonnes au premier regard mais riche en regard critique sur notre société et histoires volontairement sombres avec ce même regard. Qu'il soit dans un univers réaliste ou fantastique, l'auteur a donc sa patte, une patte engagée et souvent meurtrie qu'il nous fait partager à travers un dessin très marqué.







C'est ce dessin que j'ai remarqué en premier dans sa nouvelle oeuvre, Clevatess, dont je vais vous parler présentement. En effet, après une couverture et des premières pages en couleur à la colorisation très marquée Yuki Iwahara avec ses grands aplats et ses ombres restreintes, on entre ensuite dans ce que je préfère de lui ses pages en noir et blanc très noires. J'adore son style très sobre, où les ombres grises et autres trames sont très peu présentes. J'adore son style où le noir est très sombre et très présent. Cela donne une touche très américaine, très comics, à ses planches malgré la rondeur de son trait typique des mangas. Il attache également une grande importance aux décors et autres arrières-plans quand ils sont présents qui permettent avec l'ambiance générale une vraie immersion dans ce monde classique de dark fantasy médiévale qu'il propose.



Comme beaucoup de ses contemporains japonais, quand Yuji Iwahara veut se servir de la fantasy comme décor à son histoire, il utilise un monde très classique et bien sûr moyenâgeux, alors que depuis la littérature romanesque nous a montré qu'on pouvait faire de la fantasy à n'importe quelle époque. Passons. Étant moi-même dans un mood fantasy médiévale, entre mes lectures de Seven Deadly Sins et Frieren, cela m'a parfaitement convenu. J'ai d'ailleurs eu un peu l'impression d'être à la croisée des deux, niveau conception de l'histoire.



Le mangaka nous plonge dans une histoire où le narrateur est le roi des démons, une créature proche du lion de foudre qu'on retrouve dans certaines histoires au folklore asiatique. Ce dernier se réveille et souhaite exterminer les humains, sauf qu'il tombe sur un survivant qui le met au défi d'élever un bébé humain pour voir si ce dernier ne peut pas le convaincre qu'on n'est pas tous mauvais.



Alors que le premier chapitre est brutal et nous plonge dans la dévastation avec l'affrontement totalement déséquilibré entre nous et Clevatess, la suite elle n'est pas du même tonneau et se propose donc de faire un peu un pas de côté pour analyser le rapport de ce démon à l'humanité et de l'humanité aux démons. J'ai beaucoup la simplicité avec laquelle ce sombre univers complexe nous était présenté. L'auteur a d'abord imaginé un premier chapitre piquant pour nous accrocher puis a changé de tempo, non sans garder un discours critique tout en nous présentant le petit monde des humains, les différents royaumes et peuples, pendant que Clevatess est confronté à la vie humaine.



Tandis qu'on aurait pu s'attendre à une histoire d'affrontement entre démons et humains, c'est quelque chose de tout autre qui nous est raconté. Sur le mode de ses histoires comme L'enfant et le maudit, Somali, The ancient magus bride, nous sommes plutôt sur la rencontre entre un être fantastique et un enfant humain qui risque de changer complètement sa vision du monde. Ainsi Clevatess va-t-il être confronté, avec humour, aux besoins primaires de l'enfant : le laver, le nourrir, le garder en bonne santé et va-t-il se rendre compte qu'il ne peut faire ça seul et pire qu'il ne peut pas demander à n'importe qui. Il va aussi être confronté, astucieusement, à la noirceur de l'âme humaine, qui parfois n'a rien à envier aux démons, quand il va tomber sur une bande de brigands.



L'auteur manie donc astucieusement certains clichés de la fantasy médiévale avec un héros démon dévastateur, une héroïne virginale, des bandits esclavagistes maltraitant femmes et enfants. Il y ajoute une petite touche d'exotisme rappelant au choix Berserk ou FullMetal Alchemist avec ce chef faisant des expériences pour créer une créature bestiale et démoniaque à son service, qu'il doit ensuite nourrir. Mais au milieu de toute cette noirceur, reste un espoir, les changements qu'on voit doucement s'opérer chez Clevatess au contact de son bébé humain, pour l'instant assez froid et calculateur, on a espoir que des émotions vont naître en lui et le changer. Une dynamique classique mais bien écrite.



Clevatess n'est donc pas le titre qui va révolutionner le genre, cependant l'auteur y met assez de lui pour le rendre singulier. Dans un décor de dark fantasy médiévale assez classique, il nous propose de suivre une de ces histoires où une créature surnaturelle impitoyable risque de s'adoucir au contact d'un jeune humain. Avec son dessin si typique, le mangaka nous ensorcelle vite pour plonger dans cette histoire sombre où la lutte entre humains et démons est permanente et où l'humanité même n'a parfois rien de très bienveillant. L'histoire d'une rencontre ou plutôt de rencontres, qui démarre lentement mais avec une belle profondeur et de belles promesses en prévision. J'ai hâte de poursuivre le voyage.
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Dimension W, tome 2

Kyoma poursuit son combat avec Loser (qui reste encore très mystérieux dans ce tome) et l'éducation de récupérateur de coils illégaux de Mira dans ce tome. Il doit bien évidemment s'occuper de Mira hors du boulot et lui loue une caravane dans la cours de sa maison.... Quelques morveux viennent les enquiquiner comme les jeunes enfants savent faire.

Un futur ou les enfants sont sans cesse sous surveillance grâce a des bracelets électroniques . ils sont noté avec un système de score ou la moindre bêtise peut être fatale à leur avenir.

Un tome ou manipulations et complots sont de mises...enfin encore une belle aventure.



Les graphismes sont toujours excellents et avec de nombreux détails..

Un épisode très agréables , qui m'a complètement piégée car ma curiosité me pousse a e, savoir plus sur le passé de Kyoma, du loser, des coils numérotés et bien sûr sur l'avenir de la belle androide Mira.



un grand merci aux éditions Kioon et à Babelio pour m'avoir permis de découvrir ce manga



Je tenais a rajouter quelques petites choses, 2 ou 3 jours après avoir posté ma critique. J'avais déjà remarqué la grande finition de la jaquette avec une partie légèrement protubérante.. mais j'ai découvert hier soir que ces dessins en reliefs étaient en plus phosphorescents !! Un soin extrême a été pris sur la présentation du livre.. et je trouve ça purement génial !!!
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Dimension W, tome 1

Dans le futur, l'énergie est créée à partir d'un système révolutionnaire : les coils (dispositif à induction électromagnétique interdimensionnelle). Ce système remet en cause tout ce qui est connu de nos jours grâce a un plan en 4 dimensions (et non plus en 3!).



Bien évidemment toute cette énergie est réglementée. C'est le centre New Tesla qui a le monopole. New Tesla recherche tous les coils illégaux, et charge une entreprise de les récupérer. Ce sont le récupérateurs qui sont chargés de ces missions. Notamment Kyoma, un homme étrange, qui se sert d'aiguilles comme armes. Un mystère tourne autour de son passé... enfin une chose est sûre il est assez réfractaire aux nouvelles technologies.

Ses aventures vont l'amener à croiser le chemin d'une jeune femme Mira, elle aussi entourée de mystère.



Le graphisme est superbe. les détails sont là, bien présents. Quelques planches sont en couleurs.

L'histoire est palpitante... on a vraiment envie d'en savoir plus.

En bref, je ne suis pas une spécialiste des mangas, mais j'avoue avoir été très agréablement surprise par celui-ci.... et je n'ai qu'une seule envie c'est de poursuivre les aventures de Kyoma et Mira
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Dimension W, tome 1

En 2072, l’humanité n'a plus de soucis d'énergie grâce aux coils. Kyoma est chargé de récupérer les coils illégaux. Il croise la route de Mira est une étonnante cyborg. L'intrigue, assez confuse, démarre doucement.
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Clevatess, tome 3

Amateur de Dark Fantasy, d'héroïsme et de luttes de pouvoirs, ce tome est fait pour vous. Bien que faisant un certain détour, Yuji Iwahara continue à bâtir ici un univers sombre solide et immersif quoique classique où son dessin fascine par sa noirceur.





Le gros point fort de cette saga par rapport aux autres qui commencent à être assez nombreux sur le marché, c'est la patte graphique de l'auteur. Avec ces aplats de noirs terriblement sombre et ce dessin taillé à la serpe qui donne un petit côté encore plus "brut" à l'histoire, il a su créer une ambiance saisissante.



Pourtant l'histoire, elle, n'est rien que de très classique. Elle emprunte nombre de tropes du genre mais les met en scène avec facilité et fluidité pour rendre l'histoire prenante à lui et l'auteur en plus commence à penser à développer ses personnages dans ce tome où l'aventure fait un certain détour pour mieux travailler la notion de héros. J'aime ainsi quand le classique permet d'avoir de belles histoires profondes et prenantes à lire.



Ce sont nous deux héroïnes qui sont aux premières loges ici. Alicia et la nourrice de Luna sont parties se réfugier en ville le temps que Clevatess règle un peu ses comptes avec Dorel, mais elles ne s'attendaient pas à se faire attaquer à leur tour. Entre bataille de l'armée principale de Boelate sous les ordres de Dorel et attaques en douce des sorciers de cette armée contre nos deux jeunes femmes, on ne s'ennuie pas. Avec elle, c'est la notion de héros qui est questionnée avec une jolie finesse et un certain réalisme. Qu'est-ce qui définit un héros ? Peut-on tout accepter de lui ? Qu'est-ce que le peuple lui doit ou non ? Des questions intéressantes aux réponses nuancées ici dont Alicia s'en sort à merveille, renforçant encore son statut d'héroïne s'il y en avait besoin.



Pour l'amateur de fantasy plus explosive, le tome est aussi fort plaisant pour la quantité et la qualité des combats qu'il affiche. J'ai autant aimé suivre les échauffourées magiques d'Alicia contre les sorciers de Boelate que les attaques plus sanglantes et militaires de Dorel et son armée. L'ensemble est mis en scène avec la belle noirceur qu'on connaît à l'auteur et une variété certaine des attaques. Les phobiques d'insectes trembleront à plusieurs reprises pour Alicia et consorts, tandis que ceux que le sang fait tourner de l'oeil ne seront pas épargné par Dorel. Que ce soit à l'aide de magie ou par le tranchant de l'épée, ça coupe et attaque sec, ce que j'ai beaucoup apprécié ici.



Quant à l'intrigue globale, elle avance tranquillement, elle. Clenn/Clevatess comprend que quelque chose de louche se trame avec Dorel et que ce n'est pas juste un général à la tête d'une puissante armée. Cependant le devenir de tout ça, ce bébé héritier d'un royaume qu'il protège, son propre rôle dans le conflit et peut-être celui d'autres créatures magiques de haut rang, tout cela reste flou et en construction. J'imagine mal la série se finir prochainement vu tous les fils à peine lancés...



Belle série de Dark Fantasy à l'ambiance sombre grâce au trait et au discours sans concession de l'auteur, Clevatess peut même s'offrir le luxe d'un tome qui s'éloigne un peu de l'intrigue principale pour développer la figure héroïque de la jeune Alicia, comparse du terrible Clevatess, elle n'en reste pas moins passionnante à suivre. Combats, magie, complots, réflexions sur la figure du héros, c'est une lecture à nouveau riche qui se fait ici sous couvert de tropes bien connus du genre. Une jolie façon de se démarquer.
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Clevatess, tome 5

Où quand on découvre que l’aventure découverte jusqu’à présent n’est que la surface émergée de l’iceberg !



Quelle surprise que ce nouveau tome et quel relance de la part de Yuji Iwahara ! J’ai adoré me faire prendre de court comme ici et devoir jongler entre les révélations et différentes ambiances. Ce fut surprenant et ce fut prenant.



On sentait bien qu’un premier arc se cloturait avec la mort de Baldur et la restitution de Luna à sa mère, on pouvait se demander vers quoi allait aller la série. L’auteur y répond avec brio ici, bien que parfois il est failli me perdre et bien que parfois il emprunte un peu trop à une certaine fantasy académique. Mais je ne boude pas mon plaisir loin de là !



J’ai d’abord adoré suivre les tractations complexes entre les trois royaumes qui ont participé et/ou subi la guerre qui vient de se terminer. Ce fut une totale découverte de la géopolitique de l’histoire et je me suis parfois sentie un peu perdue au milieu de tous ces noms, mais en étant attentive, je me suis régalée des tensions entre les trois, de leurs ambitions et caractères différents et surtout de la solution trouvée. L’auteur ne se perd pas lui, il garde le nord et exploite à merveille le chapitre qui vient de se clore.



J’ai donc aimé être surprise de m’embarquer ensuite dans une fantasy d’espionnage et d’académie, avec des héros sous couverture dans la grande école de magie où Baldur a officié en secret et fait ses expériences. Cette infiltration promet toute sorte de rencontres et de rebondissements. Certes, le fond est classique : horribles expériences cachés, drôle de présence de l’Eglise, élèves qui semblent un peu en roue libre et trop puissants, hiérarchie à revoir et racisme envers les pays voisins, etc, mais c’est entraînant et déjà légèrement sombre comme sait le faire la série.



L’auteur pose de nouvelles bases solides pour une suite mélangeant encore plus géo-politique et magie. Alors oui, ce début est un peu léger avec des personnages qui prêtent à sourire à l’Académie, mais la noirceur n’est jamais bien loin. Et les discussions autour de la magie qui se profilent ainsi que les mystères de ce lieu augurent du très bon. J’ai hâte de poursuivre cette exploration.
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Clevatess, tome 1

Clevatess a une couverture qui brille superbement, oui tout le rouge de la couverture qui ajoute une touche exquise.

Et ça brille super bien, vous pouvez vous amuser à voir cela.



Kit Presse : Celui-ci joue aussi sur ce rouge, on a un cadre avec la même chose autour, et la fiche à l’intérieur, ça a du style.



Nous avons le droit à quelques pages couleurs au début, ça fait toujours plaisir 🙂

Les pages sont un peu granuleuse.

On peut aussi remarquer une belle touche d’ambiance pour situer des lieux, c’est dans un parchemin (j’adore ce genre de détails).



« Clevatess » est le nouveau manga de dark fantasy des éditions Kioon avec une touche des plus originales. Attention, pour public mûr et averti, des scènes pourraient vous troubler sinon, ex. une tête qui vole, oups tiens elle était encore accroché à la case d’avant.



La couverture nous annonce en réalité le trio improbable, ou duo improbable qui va s’occuper d’un bébé hominidé/humain.

Nous sommes dans un monde comme tant d’autres où les humains s’opposent aux démons mais également ont des divergences entre eux.

Le graphisme dégage quelque chose et assure également une partie de l’ambiance.

Clevatess, le personnage, est très impressionnant la première fois où on le voit, il dégage une grande force, mais il a aussi une très bonne idée finalement.



Les humains ont voulu éliminer le grand Clevatess, un des quatre roi-démons en réalité, ainsi il décide de se venger, les éliminer. Puis nous apprenons des éléments sur leur monde, certains matériaux. Clevatess veut s’assurer que ces armes ne lui nuiront jamais et il de dit autant éliminer toute forme d’hominidé.



[Pour en savoir plus ? – Ceux qui veulent en savoir plus et/ou ceux qui ont lu sinon passez cette partie]

Son plan a été remis en question par un bébé, qui s’appellera Luna. C’est simplement qu’il a été arrêté dans le feu de l’action, et qu’il a finit par se dire qu’il pourrait l’aider à comprendre ces hominidés qui lui pourrissent tant la vie. Ainsi que va-t-il faire ? L’élever bien sûr. Il fait de son mieux, avec un service original, mais il se rend vite compte de ses limites, de son manque de connaissance. C’est là qu’il va faire appel à Alicia, une femme, et une héroïne. Cela sera dans des circonstances particulières er explosives.

Alica sera également pas mal déroutée, commettra peut être même des impairs ou pas.



Comme toujours, tous les humains ne sont pas à mettre au même niveau. Clevatess va également se rendre compte que sous cette forme ce n’est quand même pas possible, ça y est la couverture a enfin pris tout son sens. Il a de la prestance qu’elle que soit sa forme. Il va apprendre à découvrir les humains, pour le meilleur et pour le pire. Il va vivre avec deux d’entre eux, une jeune femme et un bébé.



Le côté sombre nous le ressentons bien, il est allégé par des « rires », des moments qui semblent tellement sortir de nulle part. Il faut dire que nous avons des situations décalées.

Il va également mal commencer car ils vont croiser des bandits de grands chemins sans scrupule.

Vous pourriez avoir quelques hauts le cœur, voire envie de les trancher ^^’

[/Fin]



En bref, nous apprenons à connaître le monde dans lequel nous sommes tombés au fur et à mesure. Nous rencontrons également différents personnages de tous les genres.

Nous nous attachons aux 3 personnes de la couverture et nous demandons si malgré toutes les différences ils vont créer des liens. Clevatess restera-t-il purement spectateur ? Voudra-t-il toujours occire de l’humain ? S’attachera-t-il aux deux autres ? Trouvera-t-il ce qu’il cherche ? Apprendre-t-il à mieux parler (surtout aux femmes) ? Mieux comprendre les hominidés/humains ?

Le bébé ne perçoit rien, il est trop petit.

Pour Alicia c’est moins simple. Alicia est maligne, mais cela va lui faire un changement radical.

L’incursion dans ce nouveau monde de dark fantasy donne envie de découvrir la suite



Mention spécial à Nell (qui subit un dur traitement -_-) affaire à suivre dans le tome 2

Je suis surtout curieuse de voir ce que cela donnera d’ici quelques tomes où le recul sera meilleur 🙂



Le coup de bébé fallait le faire et oser quand même 🙂

Il faut un peu de temps pour entrer dedans, et ça fait beaucoup d’informations à digérer.

Je vous conseille donc une fois dedans de relire le début, tout se reliera mieux et fera plus de sens.



Affaire à suivre



Un bébé, un roi-démon, une héroïne pour s’ouvrir l’esprit mutuellement et apprendre les uns des autres.

Clevatess est très précautionneux avec le bébé (il fait attention pas trop frotter, bien nettoyer, bien alimenter, bien le changer …)

Il ne l’est pas du tout sur sa façon de parler aux femmes, il a encore beaucoup à apprendre à ce niveau-là/



C’est compliqué au début, ça fait beaucoup, ça s’enchaîne, n’hésitez pas à le relire une fois que tout le monde est réuni.



Nous pouvons autant exploiter la parentalité qu’un être encore vierge de tout, tout est à façonner en lui.

Un nouveau réceptacle.



Clevatess utilise le mot hominidés pour parler des hommes.

Il ne les comprend pas mais il est quand même prêt à réfléchir, prendre du recul.



Clevatess ne maîtrisant pas certaines choses de l’humanité, cela amène des situations décalées. Par ex. Il demande à Alicia de donner son lait au bébé. Non désolé, ça ne marche pas comme ça.
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Darker Than Black, tome 1

Darker than black, c'est non. Cela fait penser un petit peu à cette série qui a fait un flop après une première saison tonitruante à savoir Under the dome. Cela paraît mystérieux surtout avec l'apparition des contractants, sorte d'être humain dotée de super-pouvoirs mais avec des rituels assez compulsifs.



Il faut attendre le milieu de la série pour que l'intrigue prenne son envol. Par ailleurs, le scénario est souvent inutilement alambiqué alors que la trame paraît au final assez pauvre. Et puis, il y a cette psychologie des personnages qui apparaît assez artificielle. Non, ce n'est pas pour moi. J'achète pas.
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Le Roi des Ronces, tome 1

Je ne peux m'empêcher de constater le gâchis. Nous avons une série très intéressante mais qui a été totalement délaissée. Il n'y a même pas eu le moindre effort sur le côté mise en page avec un support de qualité. Non, rien de tout cela ! Juste un abandon en cours de route. Il y a tellement de mangas qui sont médiocres. Pour une fois qu'on en tient un de bien, il semble nous lâcher en cours de route !



On commence dans un genre de Jurassic Park moderne. Il y a également ce terrible virus qui ronge de l'intérieur. Il y a un côté très survival à cette série. On ne sait pas ce qui attend notre petit groupe de personnages. Il n'y a aucun temps mort. On entre tout de suite dans le récit parfaitement mené.



Des éléments de réponse seront donnés dans les tomes ultérieurs avec de grands rebondissements. le scénario se concentre surtout sur l'une des survivantes. Il manque tout de même quelque chose qui en ferait un grand manga. L'action tambour battant ne suffit pas.



Il y a un aspect cinématographique assez prononcé comme si l'auteur souhaitait une adaptation au cinéma ce qui a d'ailleurs été effectué par la suite en 2009. Je dirai que cela ressemble plutôt à une série B.



Au final, nous avons en réalité un thriller catastrophe sur fond de science-fiction. C'est une oeuvre plutôt réussie dont on ne pourra que regretter le final plutôt brouillon.
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Dimension W, tome 1

Je m’attendais sans doute à autre chose en commençant la lecture de cette série à savoir à un univers assez sérieux. La référence à Nikola Tesla, cet inventeur et ingénieur américain d'origine serbe qui a vécu entre 1856 et 1943, était plutôt remarquable. Il est vrai qu’il est peu connu du grand public alors qu’il fut certainement le plus grand inventeur de son siècle avec plus de 300 brevets déposés. Il a travaillé surtout sur la conversion de l’énergie.



Dimension W va plus loin en imaginant une sorte de monde futuriste ayant vaincu le problème de la pénurie d’énergie grâce à la 4ème dimension. Il faut dire que Tesla avait prédit que l’énergie libre serait la solution et que l’humanité mettrait en harmonie ses techniques énergétiques avec les grands rouages de la nature. Dans la bd, il est à noter qu’il apparaît souvent comme un savant fou dans le rôle du méchant ce qui est franchement une injustice quant à l’œuvre de sa vie et son apport pour améliorer la vie des hommes.



Pour en revenir à la série, l’auteur exploite un univers futuriste assez intéressant mais la série va partir dans des travers dès le troisième tome où l’évolution du scénario nous conduit ailleurs. Graphiquement, c’est plutôt du bon travail avec une lisibilité assez satisfaisante. L’édition est soignée. On a même droit à quelques pages en couleurs.



Je retiendrais surtout une série de science-fiction assez innovatrice mais qui a également ses travers (un personnage principal humoristique et trop stylé). Au final, une bonne réalisation tout de même.
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Dimension W, tome 9

Voilà un nouveau tome de Dimension W, l'histoire prend encore en intensité. Le grand méchant fait son apparition et l'on s'attend vraiment à une explosion, à des retournements de situation, des révélations... Ce tome est définitivement un entre-deux et une avancée capitale qui donne définitivement envie de voir la suite.

Ce tome est vraiment très bon que ce soit au niveau de l'histoire ou du dessin. Tout ce qu'il est possible d'en dire c'est qu'il sert parfaitement sa série.

Petit coup coeur pour les premières pages qui sont vraiment superbes en couleurs.
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