Arcadium

Club N°56 : BD non sélectionnée
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L'idée du départ est bonne : le jeu d'arcade qui vous plonge dans des mondes parallèles.

On retrouve avec plaisir l'ambiance des années 80.

Un petit air de déjà vu malgré tout : la série Stranger things n'est pas loin.

J'ai plutôt aimé cette BD, mais j'ai aussi eu l'impression de me perdre dans les différents plans.

C'est dommage !

Virginie
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Chic, une version gore et fantasmagorique de Jumanji, ambiance film d'horreur.

Mais déception : plus on avance dans le récit, plus je suis perdu.

J'ai souvent envie de revoir un film pour le comprendre, je n'ai aucune envie de relire cette BD pour y parvenir.

JF
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pour amateurs du genre.

J'étais curieux de cette histoire (version française de ce qui se fait en comics us) mais assez déçu du traitement graphique et complètement perdu dans cette histoire confuse de mise en abyme.

Benoit
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Bonne histoire au départ mais une fin désastreuse qui gâche tout.

JH
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La couverture était chouette, le début est prometteur mais la fin est vraiment décevante.

L'histoire devient incohérente et on peine à savoir où veut nous mener l'auteur.

Sam
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Gavin, jeune homme sombre et quelque peu marginal se rend à la police, le visage défiguré, pour le meurtre de sa famille.

Un compte à rebours surnaturel, terrifiant et assez gore qui immerge de lecteur dans l'esprit torturé du personnage.

Ma lecture a été assez fluide. le récit est plutôt bien maîtrisé, bien agencé. L'enchainement des cases se fait sans accroc.
Le dessin est assez peu expressif, identifiable comics, et m'est apparût plutôt agréable sans forcément m'accrocher totalement. Peut être que ça manque un poils de personnalité.

J'ai aimé l'ambiance mais j'ai rien compris.
autant j'ai pas trop mal suivit tout du long, autant l'explication final m'est restée totalement obscure.

Je suis restée sceptique.

Une claque incroyable après avoir lu Arcadium, une bande dessinée qui m'a totalement captivé dès le début.
Un univers très profond, extrêmement sombre, âmes sensibles s'abstenir... Un grand nombre de scènes gore fantasmagoriques.
On ne peut pas s'empêcher de lire cette bande dessinée d'un bout à l'autre, tant le scénario est bien ficelé. C'est une vraie réussite, avec une intrigue et une narration qui suscitent un suspense incroyable.
Nous souhaitons obtenir davantage d'informations sur les questions que nous pouvons nous poser dès les premières pages. Comment a-t-il eu cette énorme cicatrice ? Pourquoi se rend-il ? Pourquoi a-t-il tué sa famille ? L'a-t-il vraiment fait ? Est-il fou ?
Cette bande dessinée regorge de clins d'oeil aux années 80, que ce soit à travers les affiches, les cassettes, les groupes de musique, la borne d'arcade ou encore la représentation de certains personnages.
En ce qui concerne le dessin, il s'agit d'un style propre aux comics, mais les couleurs et les teintes flashy reflètent réellement l'atmosphère de ces années. En plus, l'environnement musical via le code QR nous plonge encore plus dans cet univers.
L'intrigue est vraiment superbement bien construite.
Pour ceux qui ont vécu les années 70-80, je vous recommande vivement de lire ce récit fantasmagorique.

Retour dans les années 80, époque où les cassettes de Metallica étaient le nec plus ultra en matière de nouveautés musicales, et où les bornes d'arcade avaient encore la cote.

On suit les aveux de Gavin qui s'est rendu de lui-même chez la police pour admettre le meurtre de sa famille. Il dit qu'il veut expliquer ce qui l'a poussé à agir de la sorte. L'histoire va d'abord sembler porter sur les choix qu'il faut faire dans la vie et les regrets qu'ils peuvent engendrer.

Mais très vite l'ésotérisme va prendre une place plus grande pour basculer peu à peu dans un récit de monde parallèle. En effet, Arcadium, un jeu sur borne d'arcade va bousculer Gavin et flouter la frontière entre réalité et univers virtuel.

La folie le guettant de plus en plus, il va devoir plonger au fond de son inconscient et retrouver tout ce que son esprit a pu refouler auparavant. Ainsi il va découvrir qui il est réellement, qui il était destiné à devenir et surtout comment il est lié à toute une série de meurtres violents.
En vérité cette BD m'a fait songer à L'antre de la folie de Carpenter, surtout pour les grandes lignes du scénario, de l'enquête et même sur certains twists communs aux deux médias. Mais il m'a aussi fait penser à Vidéodrome de Cronenberg pour le jeu sur la frontière entre illusion et réalité, pour les potentielles hallucinations et autres altérations physiques que semblent rencontrer les protagonistes.

Pour terminer, j'ai trouvé que le twist de fin venait presque rendre l'histoire et le reste du récit vain. de plus aucune, des questions ouvertes durant l'intrigue n'obtient vraiment de réponse. Dommage de terminer sur une note en demi-teinte.

Montana, 1989. Gavin est un jeune homme vivant dans la petite ville de Rosebud avec sa mère, son beau-père et ses demi-frère et soeur. Pour gagner un peu d'argent, il travaille dans un vidéoclub et trouve du réconfort dans les nuits silencieuses où il se plonge dans des films alors que le reste de la maison est plongé dans le sommeil. Tout bascule le jour où la famille Bradford se fait massacrer dans la ville. À partir de ce moment, une succession d'événements étranges conduiront Gavin vers les ténèbres...

L'album explore les thèmes de l'horreur psychologique, de la violence familiale, de la pauvreté, de l'étrange, de la folie et du cauchemar.

Nous avançons à travers cette histoire à l'ambiance cauchemardesque, dont le début ne laisse aucun doute. Au fil des pages, les multiples problèmes de Gavin et de sa vie familiale se dévoilent progressivement. La tension, le mystère, le danger et l'inquiétude s'installent rapidement et gagnent en intensité au fur et à mesure que l'histoire avance.
Mais où nous trouvons-nous exactement ? Dans une réalité alternative ? Un monde parallèle où la réalité ?
Nous avons été happés par l'intrigue de ce thriller angoissant, riche en frissons et en horreurs. le récit est captivant, bien construit et avec des rebondissements bien amenés. Nous avons aimé les dessins et les couleurs qui créent une atmosphère stressante avec ces ouvertures sur des décors sombres et effrayants.
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