Côté graphisme, j'ai toujours un peu de mal bien que cet album soit très coloré. Je n'arrive vraiment pas à me faire aux personnages que je trouve pour la plupart ratés, comme Hadrian qui n'est pas du tout comme je l'imaginais, ainsi qu'Onyx alors que je le trouvais très beau dans le tome précédent. Les dragons ne sont pas au top non plus... C'est vraiment très particulier.
Côté histoire, en revanche, il n'y a rien à redire : plein d'actions et d'aventures, on ne s'ennuie pas du tout, d'autant plus qu'il y davantage de dialogues que dans les albums précédents. On s'éloigne toujours un peu des romans, mais là encore ça ne me gêne pas.
Comme dans le tome 4, Onyx est mis à l'honneur mais, cette fois-ci, on y suit son cheminement de simple soldat à premier lieutenant du roi Hadrian. L'action débute pendant la première invasion des Tanieths 500 ans auparavant, elle se poursuit jusqu'à la victoire des Chevaliers d'Émeraude et s'arrête au moment où Abnar décide de reprendre les pouvoirs qu'il leur avait donnés.
Comme pour les tomes précédents, je l'ai trouvé bien trop court, mais j'ai tout de même passé un agréable moment, et ce malgré le travail d'Oger très atypique.
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Un récit qui plaira, sans hésiter, aux amateurs de l'oeuvre d'Anne Robillard, mais aussi, à ceux qui aiment la bande dessinée en général !
Lire la critique sur le site : Sceneario
-Je voulais rencontrer l'homme qui n'a pas peur des dragons.
-Je ne fais que mon travail.
-Pourquoi t'imposes tu cette souffrance?
-Pour ne jamais l'oublier.