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Critique de MarjorieD
Une belle écriture, un style certain… une lecture plaisante. Sans plus.
Je n'ai pas été particulièrement touchée par le personnage de Zita, ni par son histoire.
Peut-être est-ce dû au fait que je trouve le récit trop ancré dans son époque et dans son milieu, ce qui m'a empêchée de m'identifier un tant soit peu à l'héroïne ?
Dans ce roman, on croise des gens comme Sagan, Kessel, Edern Hallier,… des personnalités littéraires bien réelles, et d'autres, fictives, mais qui ne sont pas sans évoquer Sartre ou Gary par exemple.
On y rencontre aussi madame Claude, un certain président français que je ne nommerai pas (puisque l'auteure ne l'a pas fait non plus) et même un membre de la famille royale d'Angleterre ! C'est l'occasion pour l'auteure d'égratigner - ou plutôt d'éreinter - les milieux littéraires franco-parisiens et la haute bourgeoisie.
Très vite, on comprend que la rebelle, la scandaleuse, la sulfureuse Zita fera office d'oie blanche au milieu de tous ces hypocrites, envieux, mesquins, arrivistes et autres rapaces.
Ce livre, couronné de plusieurs prix littéraires, avait fait la quasi unanimité parmi les lectrices quand j'étais libraire, c'est pourquoi, malgré le topique qui ne me disait pas trop à l'époque, j'ai fini par le lire (l'ayant recueilli d'une boîte à livres).
Je le répète, j'y ai pris plaisir mais je ne partage pas l'engouement.
Ce n'est pas la première fois, ce ne sera pas la dernière…
Je n'ai pas été particulièrement touchée par le personnage de Zita, ni par son histoire.
Peut-être est-ce dû au fait que je trouve le récit trop ancré dans son époque et dans son milieu, ce qui m'a empêchée de m'identifier un tant soit peu à l'héroïne ?
Dans ce roman, on croise des gens comme Sagan, Kessel, Edern Hallier,… des personnalités littéraires bien réelles, et d'autres, fictives, mais qui ne sont pas sans évoquer Sartre ou Gary par exemple.
On y rencontre aussi madame Claude, un certain président français que je ne nommerai pas (puisque l'auteure ne l'a pas fait non plus) et même un membre de la famille royale d'Angleterre ! C'est l'occasion pour l'auteure d'égratigner - ou plutôt d'éreinter - les milieux littéraires franco-parisiens et la haute bourgeoisie.
Très vite, on comprend que la rebelle, la scandaleuse, la sulfureuse Zita fera office d'oie blanche au milieu de tous ces hypocrites, envieux, mesquins, arrivistes et autres rapaces.
Ce livre, couronné de plusieurs prix littéraires, avait fait la quasi unanimité parmi les lectrices quand j'étais libraire, c'est pourquoi, malgré le topique qui ne me disait pas trop à l'époque, j'ai fini par le lire (l'ayant recueilli d'une boîte à livres).
Je le répète, j'y ai pris plaisir mais je ne partage pas l'engouement.
Ce n'est pas la première fois, ce ne sera pas la dernière…
