Eric Aeschimann
Eric Aeschimann (Autre)Lorraine Kleindienst (Autre)Remi Noyon (Autre)/5 6 notes
Ils s’appellent Erri De Luca, Dian Fossey, Vinciane Despret, Yuval Noah Harari, Bruno Latour, Pablo Servigne, Vandana Shiva… Ils sont philosophes, éthologues, économistes, ou simples militants. Tous sont engagés pour construire un monde où l’animal, le végétal, le paysage – bref le vivant au sens large – auraient enfin une autre place dans nos représentations. Où l’humain se penserait différemment en plaçant sur eux un regard nouveau.
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Eric Aeschimann (Autre)Lorraine Kleindienst (Autre)Remi Noyon (Autre)/5 6 notes
Résumé :
Ils s’appellent Erri De Luca, Dian Fossey, Vinciane Despret, Yuval Noah Harari, Bruno Latour, Pablo Servigne, Vandana Shiva… Ils sont philosophes, éthologues, économistes, ou simples militants. Tous sont engagés pour construire un monde où l’animal, le végétal, le paysage – bref le vivant au sens large – auraient enfin une autre place dans nos représentations. Où l’humain se penserait différemment en plaçant sur eux un regard nouveau.
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Assemblage de réflexions diverses sur notre rapport au vivant. Ce 'recueil' d'interviews, de témoignages et d'article recèle beaucoup d'idées différentes. Il y a plein de choses à découvrir et plein de choses intéressantes.
Au bout d'un moment, j'ai ressentis une certaine frustration à ne pas explorer certains sujets plus en profondeurs. Je pense que ce livre est une excellente introduction pour découvrir les philosophes et chercheurs qui réfléchissent notre rapport au vivant. Après il faut lire leurs ouvrages pour aller plus loin.
Au bout d'un moment, j'ai ressentis une certaine frustration à ne pas explorer certains sujets plus en profondeurs. Je pense que ce livre est une excellente introduction pour découvrir les philosophes et chercheurs qui réfléchissent notre rapport au vivant. Après il faut lire leurs ouvrages pour aller plus loin.
Citations et extraits (2)
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Mais du fait des destructions environnementales, nous sommes en train de perdre ces "émotions de la Terre", qui nous meuvent et nous affectent. D'où la création d'une "typologie psychoterratique" : nommer, c'est faire exister, rendre visible ce qui est en train de s'éroder.
le capitalisme a hérité du naturalisme l'idée que le monde est un système de ressources infinies. [...] L'hubris du naturalisme, c'est de voir le monde comme un vaste entrepôt dans lequel nous pourrions puiser sans limites. Avec les conséquences que l'on voit aujourd'hui.
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Angoulême jour 3 - les dédicaces du samedi matin
Nicoby et Eric Aeschimann dédicacent à 4 mains la révolution Pilote, Matthieu Lauffray et Ralph Meyer dédicacent respectivement Long John Silver et Undertaker.
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Pas de sciences sans savoir (quiz complètement loufoque)
Présent - 1ère personne du pluriel :
Nous savons.
Nous savonnons (surtout à Marseille).
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