Blutch et Chesterfield vont aller à la traque aux déserteurs, cela va les amener un peu trop loin de leurs lignes et vont se retrouver prisonniers dans le camp adverse. de l'action, des retournements de situation, une pointe d'humour, avec un dessin classique dans l'esprit du magazine Spirou, ça ce lit avec un certain plaisir, sans être révolutionnaire. Il s'agit du tome 50, il y en a encore beaucoup que je n'ai jamais lu, mais je constate que la qualité se maintient plutôt bien, même si les gags et les situations sont assez répétitifs, plus de 60 tomes dans le même esprit n'évite certainement pas les redites (combien de fois Blutch et Chesterfield se font capturer puis s'échappent, et combien y-a-t-il de répliques sur la lâcheté de Blutch ?). En lire un de temps en temps n'est pas désagréable, et cet épisode est assez réussi.
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Chesterfield et Blutch ont pour mission de retrouver des déserteurs, et de les ramener sur le champ de bataille. Ils s'acquittent de cette tâche avec plus ou moins d'enthousiasme (vous vous doutez bien que pour Blutch, la chasse aux déserteurs est une activité particulièrement...paradoxale). Cette mission va les conduire à approcher de très près l'armée sudiste...et à retrouver leur vieux "camarade", le bien nommé Cancrelat. Sympathique épisode des tuniques bleues, lecture idéale en cette (courte) matinée post-réveillon...
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Chesterfield et Blutch doivent traquer et ramener des déserteurs au camp nordiste pour qu'ils repartent au combat, mission dont ils s'acquittent avec réussite mais qui finit par les faire atterrir chez les confédérés.
Une histoire qui se lit avec intérêt, avec un peu d'humour mais qui ne présente aucune originalité. Entre le retour à la prison de Robertsonville qui est très furtive (finalement la prison a perdue de son prestige) et Cancrelat qui n'est là que pour le petit clin d'oeil, l'histoire reste assez basique.
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Un tome qui propose le retour de certains personnages pour nos deux héros. Une histoire pleine d'humour et que j'ai trouvé très agréable à lire.
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(Chesterfield)
...Des déserteurs confédérés !... Comme si on n'avait déjà pas assez de mal à rechercher les nôtres !
-ENFIN JE VOUS RETROUVE! CROYEZ-MOI, CETTE FOIS, VOUS NE VOUS EN TIREREZ PAS A SI BON COMPTE!
... à partir de maintenant, je m'occupe personnellement de vous!
-C'est gentil, mais nous ne voudrions pas abuser!
-Arrêtez Blutch! Vous voyez bien qu'il est suffisamment excité comme ça!
(Blutch)
Moi, m'obliger à faire la chasse aux déserteurs !! On m'aura vraiment tout fait faire!
- les ordres sont les ordres et je suis un soldat !
- c’est vrai ! Chez vous, même en s’y mettant à plusieurs, on aurait du mal à découvrir un morceau de cervelle !
Connaissez-vous le créateur des Tuniques bleues?