Le dessin est beau mais répétitif. On voit apparaître successivement une foule de personnages sans réel intérêt pour l'histoire. L'intrigue est tarabiscotée et les rebondissements plus qu'improbables.
Je n'ai même pas vraiment compris la fin.
Bref, une oeuvre très, très dispensable, quoique son auteur, que je découvre ici, soit célèbre et prolifique.
Challenge Bande dessinée 2023
LC thématique septembre 2023 : "Première rencontre"
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D'emblée, on est assommé par des dialogues qui ne donnent guère envie de poursuivre l'aventure. L'intrigue semble tout simplement inexistante au début. Finalement, cette mise en bouche ne me plaît pas trop entre un homme politique sur le retour, une mère dans le coma et une fille kidnappée mystérieusement. Que dire également de la fin ouverte ? Elle ne m'a guère convaincu car ce n'est pas limpide.
Par ailleurs, il faut bien suivre pour dénouer les fils de cette intrigue prise de tête et de récits à tiroir. Il est vrai que je n'ai jamais été un grand admirateur de cet auteur bien qu'il est fait des émules. Je trouve son dessin assez géométrique et anguleux dans un style que je n'affectionne guère.
Je n'ai pas particulièrement passé un bon moment de détente, ma note vient sanctionner le manque global d'intérêt personnel de cette lecture passive et fade. C'est assez décevant même si cela provient d'un auteur de renommé. Pour moi, l'habit ne fait pas le moine. Si j'aime pas, j'aime pas.
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Une BD d'Andreas quasiment lisible sans trop de creuser la tête sur ce l'auteur voulait nous dire. Assez rare pour le tester. Hormis la fin ouverte et sujette à interprétation, le scénario est plutôt linéaire, l'histoire agréable qui se tourne vers le fantastique (un peu mais pas tant que ca) avec des personnages bien dessinés : le père, homme politique sur le retour, la mère dans le coma, la fille qui disparait en Argentine et fait un aller retour en moins de 2 jours. Bref un kidnapping très mystérieux, une flic qui pense avoir compris mais au final la vérité est beaucoup plus compliqué qu'une simple histoire de corruption...
Pas mal du tout.
Le dessin est particulier mais moins anguleux que sur ces précédentes histoires.
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J'ai été intriguée par la couverture, et j'ai donc emprunté la BD à ma bibliothèque. L'histoire commençait bien. Une intrigue de thriller un peu supernaturel. La fille d'un politicien récemment mis au placard disparaît, enlevée. Et voilà qu'elle se manifeste... En Argentine ! Et sans aucun souvenir de comment elle est arrivée là.
Au fil des pages, on apprend que sa mère est dans le comas depuis sa naissance. le docteur qui veille sur elle est on ne peut plus louche, et une flic acharnée veut connaître la vérité.
Malheureusement, tout cela se casse la figure plutôt platement, et se résout sur la nouvelle mouture d'un ressort éculé.
J'ai trouvé l'expérience très décevante.
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Hormis un dessin soigné, l'histoire reste incompréhensible. On se perd dans une multitude de personnages. le scénario joue sur une accumulations de mystères que l on ne parvient pas à résoudre. La fin vient condamner cette oeuvre qui nous laisse dans l indifférence. J ai probablement raté quelque chose dans la narration qui m a rapidement égaré. Je ne conseille pas la lecture, même par curiosité.
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Andreas signe son retour avec un one-shot de 92 planches, à la hauteur de sa réputation : fort, fantastique, graphique et nécessitant toujours une vraie implication de la part du lecteur pour dénouer l'écheveau de l'intrigue. Pour lecteurs exigeants, amateurs de casse-têtes.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Superbe album à la réalisation soignée, nombreux sous-thèmes explorés, des pistes intelligemment étagées et, surtout, un suspens total, L’Argentine est une réussite à tous les points de vue.
Lire la critique sur le site : BDGest
On retrouve le style inimitable de l’auteur : cases étroites et nombreuses, jeu sur l’horizontalité et la verticalité, trait acéré idéalement mis en valeur par les couleurs d’Isa Cochet, rythme parfaitement étudié, comme une comptine graphique hypnotique qui emmène le lecteur dans un labyrinthe tantôt foutraque, tantôt oppressant, souvent jouissif.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Un récit policier aux contours d’apparence un peu plus classiques, mais où l’exigence narrative et graphique de cet auteur, qui se joue avec habilité des codes, résulte sur un jeu de piste vertigineux.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Je viens du pays des dieux. D'Argentine. Là où le soleil est une orange géante et où le ciel est si vaste qu'il est un reflet du paradis.